Mainvilliers (Eure-et-Loir)

commune française du département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire

Mainvilliers
Mainvilliers (Eure-et-Loir)
« La Folie », hôtel de ville construit en 1902 sous le mandat de Pierre Chenais.
Blason de Mainvilliers
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Michèle Bonthoux (PS)
2022-2026
Code postal 28300
Code commune 28229
Démographie
Population
municipale
11 057 hab. (2021 en diminution de 1,36 % par rapport à 2015)
Densité 928 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 03″ nord, 1° 27′ 50″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 165 m
Superficie 11,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chartres
(banlieue)
Aire d'attraction Chartres
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Chartres-3
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Mainvilliers
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Mainvilliers
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Mainvilliers
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Mainvilliers
Liens
Site web ville-mainvilliers.fr

Mainvilliers est une commune française située dans la banlieue ouest de Chartres, dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire. Sixième ville du département par sa population, ses habitants sont appelés les Mainvillois et Mainvilloises.

Géographie modifier

Situation modifier

Mainvilliers est à 3 km de Chartres, de Lucé et de Lèves, à 5 km d'Amilly et à 6,5 km de Bailleau-l'Évêque.

Le principal hameau de Mainvilliers est Seresville.

 
Position de Mainvilliers (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune de Mainvilliers et des communes limitrophes

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

Au nord de Seresville, Mainvilliers est traversé par le Coinon ou Couanon ou Couasnon, provenant de Bailleau-l'Évêque et rejoignant Lèves, lieu de sa confluence avec l'Eure. Il prend le nom de « vallée des Joncs » lors de son parcours sur la commune.

Mainvilliers a bénéficié d'une station hydrologique sur le Coinon de 1969 à 1985 : le débit moyen annuel ou module, observé durant cette période de 16 ans, est de 0,022 m3/s, soit 22 litres par seconde pour une surface de bassin versant de 755 km2.

Durant les mois de décembre, janvier et février, le débit moyen annuel du Couasnon est au plus haut avec 0,08 m3/s en février, soit 80 litres par seconde. Le débit peut être nul à la fin d'été en septembre. La hauteur maximale instantanée, relevée le , est de 1,40 m[1]. Au moins une perte est répertoriée dans le lit du Couasnon[2].

Voies de communication et transports modifier

Voies de communication modifier

Réseau routier modifier
 
Entrée de Mainvilliers par la RD 939.
  • Provenant de l'ouest, Mainvilliers est traversée par la route départementale 24 (RD 24), reliant Senonches (35 km) à Chartres par Digny (25 km). Sur la commune, elle prend le nom de rue du Château d'Eau, puis, après le croisement avec la rue de la Libération, prend le nom de rue de la République et rejoint Chartres au « pont de Mainvilliers ».
  • Plus au nord, la route départementale 939 (RD 939) traverse également la commune, en reliant Verneuil-sur-Avre (Eure), distant de 53 km, à Angerville (Essonne), par Brezolles (40 km) et Châteauneuf-en-Thymerais (22 km). Sur la commune, elle prend le nom de rue Gambetta, avant d'être renommée rue du Faubourg Saint-Jean sur la commune de Chartres.
Réseau ferroviaire modifier
 
Bifurcation ferroviaire de Mainvilliers.

La gare de Chartres étant à moins de 2 km du centre-ville de Mainvilliers, cette commune n'a pas de halte ferroviaire. Elle est néanmoins traversée par deux lignes de chemin de fer dont la bifurcation se situe au sud de la rue Pierre-de-Coubertin :

Ces deux lignes ont contribué jusqu'à la Seconde Guerre mondiale à relier par chemin de fer Rouen à Orléans.

Transports modifier

Bus modifier

La commune est desservie par les lignes 1, 5, 8 et 10 du réseau de bus Filibus.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 638 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records CHARTRES (28) - alt : 155m, lat : 48°27'37"N, lon : 1°30'04"E
Records établis sur la période du 01-07-1923 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,5 3,4 5,1 8,5 11,6 13,5 13,4 10,5 8 4,5 2,2 7
Température moyenne (°C) 4,3 4,8 7,8 10,3 13,8 17 19,4 19,4 15,9 12,1 7,6 4,8 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,2 12,2 15,6 19 22,5 25,2 25,3 21,4 16,2 10,6 7,3 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−18,4
17.01.1985
−15
24.02.1963
−11
01.03.05
−4,9
04.04.1973
−1
01.05.1945
1,4
02.06.1962
0,9
30.07.1928
3
17.08.1927
0,5
22.09.1928
−5,4
28.10.1931
−11,3
30.11.10
−14,2
29.12.1964
−18,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
20,5
27.02.19
24,8
31.03.21
28,2
18.04.1949
31,4
16.05.1945
37,2
18.06.22
41,4
25.07.19
39,6
06.08.03
35,5
08.09.23
29,8
02.10.23
20,9
07.11.15
17
06.12.1979
41,4
2019
Ensoleillement (h) 635 876 1 403 1 836 2 087 2 215 2 303 220 1 811 1 184 724 601 17 874
Précipitations (mm) 49,9 41,5 43,5 44,6 55,3 51,5 51 47,7 46 58,4 56 60,7 606,1
Source : « Fiche 28070001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Mainvilliers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[13] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,4 %), zones urbanisées (17,6 %), forêts (9,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Mainvilliers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment le Coinon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1994, 1999 et 2018[21],[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mainvilliers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[22]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 236 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1178 sont en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

Toponymie modifier

A l’époque Gallo-Romaine, un grand nombre de villages de Beauce portent un nom qui se termine par Ville ou Villiers. Au Ve siècle, à la suite de l’arrivée de Germains en Beauce des domaines se forment. Ils continuent de s’appeler Villa ou Villieri mais prennent le nom des nouveaux occupants. Sur la commune, c’est le germain Mahin qui possède un domaine important. Le nom Mainvilliers s’est alors construit en plusieurs étapes. La ville s’appelle d’abord Mahin Villieri puis Ma-in Villiers pour finir par se nommer Mainvilliers[26].

Histoire modifier

De la Révolution française à la monarchie de Juillet modifier

  • 1791 : la commune de Lucé est réunie à celle de Mainvilliers par le décret de l'Assemblée nationale du .
Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé[27].
  • 1836 : la section cadastrale de Lucé est séparée des autres sections de Mainvilliers et érigée en commune sous Louis-Philippe par l'ordonnance royale du .

Du Second Empire à l'invasion prussienne de 1870-1871 modifier

En 1871, le préfet d'Eure-et-Loir rapporte que Mainvilliers a été occupé presque cinq mois par les Prussiens, du , date à laquelle le château a été bombardé, au [28].

XXe siècle modifier

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

À la suite de l'annulation des élections municipales de 2020 par un arrêt du Conseil d'État du 22 octobre 2021, la commune est sous la tutelle de l'État[29]. Pour les actes de pure administration et de gestion urgente, la commune est administrée par une délégation spéciale nommée par le préfet d'Eure-et-Loir le avec pour présidente Anne-Marie Borderon[30].

Le , les électeurs renouvellent leur confiance à Michèle Bonthoux avec 59,06 % des voix, le taux de participation étant de 36,03 %[31]. Elle retrouve son siège de maire le 28 janvier 2022.

Politique de développement durable modifier

La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2013[32].

Jumelages modifier

Mainvilliers est jumelée avec[33] :

 
Jumelages et partenariats de Mainvilliers. 
Jumelages et partenariats de Mainvilliers. 
VillePaysPériode
 Römerberg[34] Allemagnedepuis

Équipements et services publics modifier

 
"Espaces aquatique et forme - Les Vauroux".
 
Collège Jean-Macé.

Espaces publics modifier

  • Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[35].
  • La commune est dotée des « Espaces aquatique et forme - Les Vauroux ». Après avoir été gérés en collaboration avec la commune voisine de Lucé, l'équipement est aujourd'hui placé sous la responsabilité de la communauté d'agglomération Chartres Métropole.
  • La ville offre un service de bibliothèque gratuite, Jean de la Fontaine.
  • Depuis 2020, la ville est équipée d'un musée numérique, la Microfolie.
  • En septembre 2022, le Conservatoire des Machines Agricoles (COMPA) a rouvert ses portes au public après deux ans de fermeture.

Enseignement modifier

Les établissements d'enseignement de Mainvilliers sont au nombre de cinq[36] :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 11 057 habitants[Note 4], en diminution de 1,36 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7509189081 0321 046720706736819
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8398839741 1001 1181 2301 2511 3721 491
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6051 5561 7251 6531 6902 0332 1782 4222 580
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 0686 1198 49910 0689 95610 01810 33110 19411 323
2021 - - - - - - - -
11 057--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports modifier

  • CS Mainvilliers-Chartres Handball devenu le C 'Chartres Métropole Handball
  • C.S. Mainvilliers Football
  • CS Mainvilliers Basket
  • CS Mainvilliers Cyclisme
  • CS Mainvilliers-ASPTT Tennis
  • BAPAMA club de Badminton
  • CNV club nautique des Vauroux
  • LMPTTA club d'athlétisme
  • Shorinji kempo
  • École de karaté de Mainvilliers (Shotokan)
  • Dojo beauceron (judo, ju-jitsu, taïso)
  • La Pétanque Sportive
  • RAVENS club de football américain
  • ASCM Amicale Sportive des cheminots de Mainvilliers
  • ACCM Amicale des cheminots corpo de Mainvilliers
  • La Palme Eurélienne
  • Majo-Twirling Mainvillois club de majorettes

Manifestations culturelles et festivités modifier

La fête annuelle de la ville rend hommage à saint Hilaire, protecteur de l'église de Mainvilliers. En 2019, elle se déroule pendant trois jours en fin de semaine, courant juin[42].

Économie modifier

 
La Cueillette de Seresville.
  • Entre Mainvilliers et Seresville se trouve La Cueillette de Seresville, ferme de 20 ha proposant aux euréliens de faire eux-mêmes la cueillette de leurs fruits et légumes[43].
  • L’usine de valorisation des déchets Orisane, du groupe Novergie Suez traite la production de 301 000 habitants de la communauté d’agglomération, ainsi que celles du Somel et de Sirtom du Pays Chartrain[44].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Église Saint-Hilaire modifier

 
L'église Saint-Hilaire de Mainvilliers
L'église Saint-Hilaire possède quatre vitraux classées monuments historiques[45].

Autres lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi : de gueules à l’épée d’argent garnie d’or, aux deux clefs à l’anneau en losange, l’une du même et l’autre aussi d’argent, passées en sautoir brochant sur le tout.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Banque Hydro - MEDDE, « Synthèse de la Banque Hydro - Le Coinon à Mainvilliers (H9033310) » (consulté le ).
  2. « Perte du Couasnon », sur openstreetmap.org le site d'OpenStreetMap, (consulté le ).
  3. "Chartres-Orléans Réouverture au trafic voyageurs, Le calendrier", Réseau ferré de France.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Mainvilliers et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Mainvilliers », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mainvilliers », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  26. « Découvrir la commune - Mainvilliers - Site officiel de la commune », sur ville-mainvilliers.fr (consulté le ).
  27. "Section Q, le Hameau de Lucé, en une feuille.", Archives départementales d'Eure-et-Loir.
  28. A. Le Guay, « Aperçu général sur l'invasion prussienne dans le département d'Eure-et-Loir ; rapport du préfet », Rapports et délibérations / Département d'Eure-et-Loir, Conseil général,‎ , p. 296 (ISSN 1262-6155, lire en ligne).
  29. Sébastien Couratin, « Les élections municipales de 2020 à Mainvilliers annulées par le Conseil d’État », sur lechorepublicain.fr, .
  30. Ville de Mainvilliers, « Installation de la délégation spéciale »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ville-mainvilliers.fr, .
  31. Ville de Mainvilliers, « Élections municipales partielles 2nd tour : résultats à Mainvilliers »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ville-mainvilliers.fr, (consulté le ).
  32. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Mainvilliers, consultée le 7 novembre 2017.
  33. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  34. « http://www.ville-mainvilliers.fr/fr/information/90018/jumelage » (consulté le )
  35. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
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