Londinières

commune française du département de la Seine-Maritime

Londinières
Londinières
La place principale avec l'église Notre-Dame et le monument aux morts.
Image illustrative de l’article Londinières
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC de Londinières
Maire
Mandat
Armelle Biloquet
2020-2026
Code postal 76660
Code commune 76392
Démographie
Gentilé Londinièrais
Population
municipale
1 243 hab. (2021 en diminution de 3,57 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 57″ nord, 1° 24′ 10″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 203 m
Superficie 18,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Londinières
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Londinières
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Londinières
Liens
Site web http://www.londinieres.fr/

Londinières est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie modifier

Description modifier

Cartographies de la commune
 
  La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Londinières est un bourg périurbain normand sitié aux portes du pays de Bray. Elle est située à 15 km au nord de Neufchâtel-en-Bray, 30 km au sud-est de Dieppe et de la Manche, 60 km au nord-est de Rouen et 195 km au nord-ouest de Paris.

Par l'ancienne route nationale 314 (reliant Forges-les-Eaux à Eu) qui la traverse et sa proximité à l'A28, elle constitue un carrefour local relativement important.

Le bourg est le terminus de la ligne de bus Dieppe - Londinières.

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

La commune est drainée par l'Eaulne, affluent du fleuve côtier normand l'Arques., ainsi que par ses étangs.

Quartiers, hameaux et lieux-dits modifier

  • Boissay-sur-Eaulne (à l'ouest de Londinières, sur la rive gauche de l'Eaulne), ancienne commune absorbée en 1823[1] ;
  • la Croix ;
  • Grainville.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Londinières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,5 %), prairies (28,2 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 696, alors qu'il était de 669 en 2013 et de 618 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 84,6 % étaient des résidences principales, 7,1 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Londinières en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,1 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 57,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,2 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Londinières en 2018.
Typologie Londinières[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 84,6 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,1 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 8,3 8,1 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lundinarias, variation Nundinarias en 872-875[15]; Nundinarias en 875[16]; Lundinarias en 1034 environ (Jean Adigard des Gautries, 1958 p. 301)[15].

Il s'agit d'une formation toponymique en -arias, suffixe féminin (-aria) à l'accusatif pluriel. Le premier élément Londin- < Nundin- semble s'expliquer par le latin nundĭnae, nundinārum « marché »[16], d'où le sens global d’« (emplacement) de marché »[17]. Ce lieu était donc occupé par un marché, ce qu'il est d'ailleurs resté[16].

Remarque : le passage de Nundinarias à Londinières s'explique par un phénomène de dissimilation du [n] initial que l'on retrouve dans Longjumeau (Essonne, Nongemellum XIe siècle)[16].

Histoire modifier

L'élément le plus marquant de l'histoire du village est la découverte fortuite, en 1846, par Paul-Henri Cahingt, un fermier et érudit local, accompagné de l'abbé Cochet d'environ 400 fosses taillées dans la craie et qui renfermaient parfois plusieurs corps. Les sépultures étaient orientées ouest-est et disposées en rangées nord-sud. Comparativement aux nécropoles mérovingiennes analogues de Douvrend ou d'Envermeu, le mobilier exhumé est relativement peu luxueux (aucune pièce d'or ou dorée). Dans ce mobilier se trouvent : des plaques boucles en bronze datées du VIIe siècle, des fibules, une abondante céramique (150 pots, des vases, des assiettes) et un peu de verrerie. Le grand nombre d'armes découvertes sur le site et leur type montrent qu'il s'agissait de guerriers francs (avec femmes et enfants) : on dénombre pas moins de 130 scramasaxes, une vingtaine de breitsaxes, trois spatha (épées), une quinzaine de haches dont une francisque, des fers de flèches, 75 lances, un umbo de bouclier en fer, etc[18],[19].

Londinières était une baronnie[20].

La halle dite aux grains (blé, seigle, pois, vesce, lentille, sainfoin...) est édifiée en 1835. Au-dessus sont alors installées la mairie, dans un local de location, et une salle d’audience pour la justice de paix. La Halle au beurre est construite dans un second temps entre le perron de l’église et le monument aux morts. Après la suppression des foires, ce bâtiment a été transformé en l'hôtel-de-Ville[21].

Le circuit de Dieppe sur lequel se sont courus quatre Grands prix de l'ACF passait par Londinières.

La ville a été desservi par la ligne de chemin de fer secondaire Amiens - Aumale - Envermeu de 1906 à 1947.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, elle a subi des bombardements le et le [22]. Elle est décorée de la Croix de guerre 1939-1945 .

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Elle était de 1793 le chef-lieu du canton de Londinières[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Neufchâtel-en-Bray.

Intercommunalité modifier

Londinières est le siège de la communauté de communes de Londinières, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1864   M. Payen    
1941   Découvert    
    Paul Godouet DVD puis UDR Conseiller général de Londinières (1960 → 1973)
Les données manquantes sont à compléter.
  1978[25] Maurice Dunet    
mars 1978 juin 1995 Jean-Pierre Dancourt DVD Vétérinaire
Conseiller général de Londinières (1973 → 1992)
juin 1995 mars 2001 M. Hardy   Professeur
mars 2001 avril 2018[26] Michel Huet[27] DVD Directeur retraité de l’Institut Saint-Joseph à Mesnière
Président de la CC de Londinières (2014 → 2020)
Démissionnaire
avril 2018[28] En cours
(au 4 février 2021)
Armelle Biloquet DVD Agricultrice
Vice-présidente (2014 → 2020) puis présidente (2020 → ) de la CC de Londinières
Conseillère départementale de Neufchâtel-en-Bray (2021 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[29],[30]

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

La ville accueille[Quand ?] une école maternelle (école "les Jeunes-Pousses"), une école primaire, dotée d'une 3e classe pour la rentrée 2017-2018[31] (école du Tilleul), et un collège (collège Paul-Henri-Cahingt).

Le lycée d'enseignement général le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Il y a aussi un lycée professionnel et agricole à Neufchâtel-en-Bray. Le canton de Londinières possède un lycée d'hôtellerie situé à Smermesnil.

Santé modifier

L'hôpital le plus proche est celui de Neufchâtel-en-Bray. Le CHU le plus proche est celui de Rouen.

La commune dispose[Quand ?] d'une pharmacie, de cabinets d'infirmiers libéraux, trois médecins généralistes, un dentiste, un kinésithérapeute, une maison de retraite. Elle dispose également d'une maison pluridisciplinaire de santé.

Grâce à l'aide de la région et du département, qui ont subventionné de 510 000  l'équipement, la commune, classée déficitaire par l’Agence régionale de santé depuis 2005, s'est équipée en 2016 d'une maison de santé pouvant accueillir jusqu’à 12 praticiens : kinésithérapeutes, généralistes, dentistes[32],[33]...

Équipements sportifs modifier

La commune dispose[Quand ?] de plusieurs équipements sportifs tels que deux gymnases (dont un est exclusivement réservé à la pratique du tennis) ainsi qu'un stade de football. La commune est également proche d'un terrain de motocross connu dans la région.

Près de l'étang ont été installés en 2019 six appareils de fitness en libre-service[34]

Autres équipements modifier

Une maison France Services ouvre en 2021 dans les locaux du centre médico-social. Cet équipement, animé par la mutualité sociale agricole, permet d'accéder à des services publics comme la caisse d’allocations familiales, les ministères de l’Intérieur, de la Justice, des Finances Publiques[35]

Population et société modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 1 243 habitants[Note 2], en diminution de 3,57 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7397017339979851 0591 0531 0341 012
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0691 1461 1411 1461 1521 1161 1151 1251 139
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0671 1121 0881 1121 0991 1171 0991 0891 123
1962 1968 1975 2006 2011 2016 2021 - -
1 2451 2211 1701 1881 2911 2711 243--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports modifier

L'Union sportive de Londinières, fondée le a fété en 2022 ses cent ans. A cette occasion, le nouveau stade de la commune a été baptisé stade Laurent-Coquin, du nom du président de ce club de 1999 à 2021[39],[40].

Manifestations culturelles et festivités modifier

Le premier week-end de septembre une fête-foraine s'installe dans le centre bourg[41].

Le jour de l'Ascension une braderie d'importance régionale[réf. nécessaire] est organisée.

Économie modifier

L'activité économique principale du bourg est l'agriculture. Londinières possède cependant une zone d'activités en cours de commercialisation[Quand ?], qui contient quelques entreprises. Notamment SERAPID, entreprise spécialisée dans l'industrie high-tech et dans l'équipement théâtral (élévateur, changement de décors...). Celle-ci embauche environ 80 salariés et a un chiffre d'affaires situé aux alentours de 20 millions d'euros.

La société SERAPID possède une autre antenne en France située à Rouxmesnil-Bouteilles et une autre à Détroit, aux États-Unis.

Culture locale et patrimoine modifier

 
Le clocher datant du XVIe siècle.
 
Le monument aux morts.

Lieux et monuments modifier

  • Église Notre-Dame
    L'église Notre-Dame de Londinières date du XVIe siècle. L’édifice s’écroule sous les bombardements du (allemand) et du (anglais). Il ne reste plus alors que le clocher et le transept nord, fort ébranlés eux aussi, et qu’il faudra d’ailleurs consolider en 1954. Les travaux de restauration débutèrent en 1955. Autrefois placé au centre de l’édifice, le clocher s’inscrit désormais latéralement dans la nouvelle construction. Il abrite trois cloches pesant 1 200 kg, 800 kg et 350 kg dénommées respectivement : Louise-Céline, Marie et Marie-Louise Céline. La nouvelle nef est très vaste et bien éclairée par les grandes baies vitrées latérales. Elle comporte également un vitrail moderne dédiée à la Vierge Marie. L’église compte quelques œuvres d’art : une dalle tumulaire, un très beau Christ restauré, une table de communion, un orgue à tuyaux (construit par la facture d'orgues Roethinger en 1962) et quelques statues anciennes dont un « saint Sébastien » en bois transpercé de flèches.
  • Église Saint-Melaine, à Boissay-sur-Eaulne, en damiers de pierres et de briques roses, avec une toiture d'ardoises et un clocher quadrangulaire massif. Au dessus deu porche se trouve une pierre ornée de la salamandre, symbole de François Ier
    Ancienne église paroissiale, elle a appartenu à l'Abbaye Notre-Dame du Bec dès le XIIe siècle. Peu fréquentée, car de nombreux habitants étaient protestants, elle tombe complètement en ruines lors d'un orage de 1708. Elle est reconstruite jusqu'en 1758, restaurée ou remaniée en 1771, 1828, 1986 et 1996, à la suite d'un effondrement du sol[42].
  • Monument aux morts

Personnalités liées à la commune modifier

  • Paul Henri Cahingt (1825-1914) : il réalisa des fouilles de sites du Néolithique, gaulois et mérovingiens sur Londinières et sa région. Il a découvert de nombreux objets[43] dont quelques-uns sont exposés au collège qui porte son nom à Londinières ainsi qu'au musée des Antiquités de Rouen (pour la plus grosse partie).
  • Henri Cahingt[44] (1856-1943), son fils, professeur au collège de Dieppe, auteur de nombreux ouvrages, né à Londinères.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. Abbé Jean-Eugène Decorde, Essai historique et archéologique sur le Canton de Londinières, Neufchâtel-en-Bray, Imprimerie Duval, , 327 p. (lire en ligne), p. 174.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Londinières et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, 2 t., Paris, 1982 - 1984, p. 568 (lire en ligne sur Dico-Topo) [1]
  16. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, Éditions Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 101.
  17. [2]
  18. Isabelle Rogeret, La Seine-Maritime 76, in Carte archéologique de la Gaule, éditions de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris 1998.
  19. David Duarte, « 400 tombes mérovingiennes découvertes il y a 170 ans : C'est une découverte faite il y a plus de 170 ans. Une nécropole de 400 tombes, datant de l'époque des premiers Francs, à l'endroit même de la colline surnommée « le mont blanc » », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Dictionnaire Historique de la France T2
  21. « D'un siècle à l'autre à Londinières », Le Réveil édition Bresle Somme Oise, no 3707,‎ , p. 8.
  22. Norbert Dufour et Christian Doré, L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN 2-86743-179-4), p. 98.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « Les maires de Londinières », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. « Londinières : la secrétaire de mairie s’en va », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  26. Cynthia Lherondel, « Après la démission de Michel Huet : un nouveau maire sera élu vendredi 27 avril 2018 à Londinières : Suite à la démission du maire de Londinières, Michel Huet, une réunion de conseil municipal est organisée vendredi 27 avril 2018 pour élire le nouveau maire », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il quitte sa fonction de maire mais il restera conseiller municipal. Il conservera aussi son poste de président à la tête de la Communauté de communes de Londinières. Il a adressé une lettre d’explications d’environ une page aux Londiniérais afin d’expliquer sa décision « et dire que je voulais une transition avec Armelle Biloquet ». Son adjointe à la vie sociale et associative, devrait lui succéder. Même si rien n’est acté, comme le confirmait Michel Huet, il y a quelques jours ».
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Cynthia Lhérondel, « 64,86% des électeurs ont fait le déplacement aujourd'hui à Londinières pour les élections municipales. Face à eux, une seule liste: celle du maire, Michel Huet. », Le Réveil,‎ (lire en ligne) et « Une équipe municipale rajeunie à Londinières », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  28. « Armelle Biloquet, élue maire de Londinières à l’unanimité : Armelle Biloquet succède à Michel Huet à la tête de la mairie de Londinières. Elle a été élue à l'unanimité. Une succession logique qui s'est concrétisée vendredi 27 avril », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A Londinières (Seine-Maritime), l’ancienne première adjointe, Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie vendredi 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Ce dernier reste cependant conseiller municipal et président de la Communauté de communes de Londinière ».
  29. « Municipales 2020. A Londinières, Armelle Biloquet : « Nous essayerons de n'oublier personne » : Armelle Biloquet, a pris les rênes de la mairie le 27 avril 2018. Elle a succédé à Michel Huet, démissionnaire. Elle dévoile les projets qu'elle espère mener entre 2020 et 2026 », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Londinières : Armelle Biloquet, élue maire à l’unanimité : Lundi 25 mai 2020, Armelle Biloquet a été élue maire de Londinières à l'unanimité. Ses adjoints sont : Régine Martel, Jean-Marie Dumouchel et Jacques Lecourt », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Cynthia Lherondel, « Une nouvelle salle de classe à l’école élémentaire de Londinières pour la rentrée : Pour accueillir dans de bonnes conditions l'ensemble des écoliers à l'école élémentaire, la municipalité a décidé la construction d'une nouvelle salle de classe. La livraison doit intervenir pour la rentrée 2017-2018 », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Raphaël Tual, « Maison de santé : ils revendiquent un « choix politique » : Deux présidents pour un chantier. En début de semaine, les présidents de Région et du Département étaient à Londinières pour visiter le projet de maison de santé », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Cynthia Lherondel, « Pas de matériel, pas de cabinet dentaire à Londinières pour l’instant ! : Ouverte depuis le 1 juin 2016, la maison de santé de Londinières devait accueillir une dentiste ce mois-ci. Mais son installation est reportée », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Cynthia Lherondel, « A Londinières, six appareils de fitness sont en libre-service près de l’étang : A Londinières, près de l'étang, six appareils de fitness sont désormais en libre accès. Cardio, abdos, pectoraux… Il y en a pour tous les muscles ! », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « une Maison France services est attendue dans les prochains mois : L’arrivée d’une Maison France Services à Londinières est une affaire de mois. Le dossier avance bien et la Communauté de communes a même déjà opté pour que les locaux du CMS accueillent la nouvelle structure », Le Réveil édition Pays de Bray, no 3696,‎ , p. 15 (lire en ligne, consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Sébastien Aliome, « 1922 - 2022 : 100 ans d'histoire pour l'US Londinières le samedi 4 juin : Ce samedi 4 juin, le club de football de Londinières va fêter officiellement ses 100 ans. À cette occasion, le stade sera rebaptisé du nom de l'ancien président, Laurent Coquin », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « L'US Londinières fête ses 100 ans et rebaptise son stade au nom de Laurent Coquin : L'US Londinières a fêté ses 100 ans autour d'un tournoi de football. Mais c'était aussi l'occasion d'inaugurer le stade au nom de son ancien président : Laurent Coquin », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Laurent Hellier, « Ce week-end, Londinières est en fête », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Cynthia Lherondel, « A Londinières, le hameau de Boissay était une paroisse autrefois : Boissay, hameau de Londinières était autrefois une paroisse. Son nom vient du latin « Buxetum » signifiant « lieu planté de buis ». Elle a été rattachée à la commune en 1822 », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. Abbé Jean Benoît Désiré Cochet, La Seine-Inférieure historique et archéologique : Époques gauloise, romaine et franque, Paris, Librairie Derache, , 2e éd., 614 p. (lire en ligne), p. 594-595.
  44. Claude Féron, « Henri Cahingt », Les présidents des Amys du Vieux Dieppe de 1912 à nos jours, Les Amys du Vieux Dieppe (consulté le ).