Étude n° 4 pour un vase commandé par la comtesse Henri Greffulhe comme cadeau de mariage pour la princesse Marguerite de Chartres, d'où le décor de marguerites. Un quatrain du poète français Robert de Montesquiou, cousin de la comtesse, est inscrit sur le vase. cristal soufflé à plusieurs couches, inclusions de verre et de poussiière d'or, cabochons et anses rapportées à chaud.
Vase exposé lors du Salon du Champ-de-Mars de 1892 et représentant des anémones à divers degrés de floraisons : cette fleur s'éveille à l'époque de Pâques et l'association des deux est un symbole du renouveau et du changement. Inscriptions : "A mon ami / Henri / Hirsch" et "Les Anémones de Pâques"[4].
Vase présentant de nombreux défauts et étant a priori une œuvre d'essai pour tester la technique de marqueterie. Roselyne Bouvier, professeure d'histoire de l'art à l'École des Beaux-Arts d'Épinal, considère que l'« harmonie colorée n'est pas très réussie ». L'orchidée représentée ici, d'une étonnante couleur orange, vient sans doute de Nancy et a été peinte par Paul Nicolas. Elle rentre dans les collections du musée de l'École de Nancy dès 1904, suivant l'avis d'Émile Gallé[5].
Ce vase rentre dans les collections du musée de l'École de Nancy dès 1904, suivant l'avis d'Émile Gallé et représente l'appropriation et l'adaptation d'une esthétique japonisante par l'artiste[6].
Vase exposé dans la vitrine Repos de la solitude de l'Exposition universelle de Paris de 1900; l'œuvre est une prise de position de Gallé sur l'affaire Dreyfus, exprimant le souhait de Gallé de voir l'innocence d'Alfred Dreyfus prouvée.
Il s'agit probablement de la dernière œuvre réalisée par Émile Gallé. Deux exemplaires en sont connus. Un exemplaire de La Main aux algues (sans coquillages) est également connu et exposé au musée de l’École de Nancy. Un autre exemplaire qui serait plutôt un essai raté est passé en vente publique le 13 décembre 1970 à Versailles.