Limas

commune française du département du Rhône

Limas
Limas
L'église
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Villefranche-sur-Saône
Intercommunalité Villefranche-Beaujolais-Saône
Maire
Mandat
Michel Thien
2020-2026
Code postal 69400
Code commune 69115
Démographie
Gentilé Limassiens et les Limassiennes
Population
municipale
4 790 hab. (2021 en augmentation de 1,74 % par rapport à 2015)
Densité 868 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 58′ 35″ nord, 4° 42′ 22″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 332 m
Superficie 5,52 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Gleizé
Localisation
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Liens
Site web limas.fr

Limas [lima] est une commune française située dans le département du Rhône, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Limas est une commune moyenne adjacente à Villefranche-sur-Saône située à 30 km au nord de Lyon.

Communes limitrophes modifier

  Gleizé Villefranche-sur-Saône  
N Villefranche-sur-Saône
O    Limas    E
S
Pommiers Anse

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de la communauté d'agglomération Villefranche-Beaujolais-Saône.

Étymologie modifier

L'origine du nom de la commune est soit lima (boue, limon) ou mas, mans (petit enclos). Sur des cartes anciennes le nom de la commune est Lymans ou Limanz[1].

En ce qui concerne Lymanz ou Lymans, l’étude du nom permet de le faire remonter avant l’époque gallo-romaine. En effet, Ly-Manz, Le-Mans, Le-Mansus signifie en langue celte (issue du grec) « petit domaine qui constitue une unité agricole ».

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Nord-est du Massif Central »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villefranche », sur la commune de Villefranche-sur-Saône à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records VILLEFRANCHE (69) - alt : 174m, lat : 45°59'13"N, lon : 4°44'15"E
Records établis sur la période du 01-01-1934 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,9 1 3,6 6,6 10,8 14,3 16,2 15,5 12 8,6 4,4 1,6 8
Température moyenne (°C) 4,2 5,3 9 12,5 16,7 20,5 22,5 22 17,9 13,4 8 4,8 13,1
Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,6 14,4 18,4 22,6 26,7 28,8 28,5 23,8 18,1 11,6 8 18,2
Record de froid (°C)
date du record
−21,9
25.01.1963
−19
06.02.1963
−11,5
01.03.05
−5
08.04.03
−0,8
04.05.1967
3,7
02.06.1975
4,9
03.07.1948
5
31.08.1986
0,5
25.09.1972
−4,9
29.10.1950
−8,5
23.11.1998
−16,2
22.12.1963
−21,9
1963
Record de chaleur (°C)
date du record
19,1
10.01.15
23,1
25.02.21
27,7
31.03.21
32
15.04.1949
40
29.05.1947
41
12.06.1947
43,5
30.07.1947
43
02.08.1947
36
14.09.1947
31,6
02.10.23
23,3
06.11.15
19,9
31.12.22
43,5
1947
Précipitations (mm) 48,3 37,9 46,9 62,6 73,5 73,6 77,1 71 68,2 89,9 88,4 53,5 790,9
Source : « Fiche 69264001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Limas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[11] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (55,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (38,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,1 %), terres arables (6,8 %), cultures permanentes (5,7 %), prairies (5,1 %), eaux continentales[Note 3] (0,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Époque Romaine modifier

Sur le site de Limas, il existait déjà un village de nom celte. De nombreux soldats romains retraités s'y installèrent ensuite. Ils construisirent des villas qui devinrent de nombreux villages aux noms à consonance latine.

Une carte de 838 précise cette implantation romaine : Lymans était située en pagus lugdunensis (Pays de Lyon), dans l’ager de Buissanta (territoire occupé par plusieurs familles).

Lorsque la région fût convertie au christianisme, les limites des pagus devinrent celles des diocèses, les agers devinrent des paroisses.

Époque médiévale modifier

En 900, dans l’ager de Buissanta sont citées la villa de Buissanta et celle de Lymanz. En 940, dans le cartulaire de Savigny, Unfred de Beaujeu fait don de biens situés dans le diocèse de Lyon, dans l’ager d’Anse, dans une villa appelée Lymans. En 950, celle ci devient le siège d’une seigneurie ecclésiastique dépendante de l’abbaye de Cluny (Lymans est doyenné) et d’un seigneur vassal de Beaujeu, Guichard de Lymans. En 976, le nom apparaît dans une charte de l’Abbaye de Savigny.

En 1080, Humbert II de Beaujeu achète la mouvance de Lymans.

Vers 1280, après accord de Cluny, Beaujeu installe un prévôt, pour percevoir les redevances et faire fonction de basse justice. À cette époque, Lymans dépend à la fois d’un seigneur laïc (le seigneur de Lymans) et d’un seigneur ecclésiastique (le doyen de Lymans nommé par Cluny).

Vers le début du 12e siècle, le seigneur de Beaujeu décide la création de Villefranche-sur-Saône, à partir de terres appartenant à la seigneurie de Limas.

En 1310, le fief de Lymans fut dit « prieuré, seigneurie ecclésiastique, prévôté ».

En 1500 Pierre de Bourbon décide de transférer la prévoté à Villefranche. En 1562, la région fut dévastée par le baron des Adrets, chef du parti protestant de cette époque. Le château, abandonné par les moines réfugiés à Cluny, est mis à sac. L'abbaye de Cluny s'en sépare en 1575.

La révolution[17] modifier

Il n’y eut pas de victimes à LIMAS, les nobles habitant Villefranche sur Saône depuis de nombreuses années.

Seule l’Eglise possédait des biens importants sur la commune. Ils furent saisis et revendus comme biens nationaux. Ce fut le cas du presbytère et de tous les terrains appartenant aux sœurs de l’hôpital de Villefranche sur Saône. Ces ventes accentuèrent le morcellement des domaines. L’église de Limas fut conservée comme bien communal dans le but de servir de salle de réunions.

Après la révolution[17] modifier

Les citoyens de la commune durent effectuer de nombreuses dépenses pour :

  • la remise en état et l’agrandissement de l’église
  • la construction d’une école communale (maison mairie-école)
  • la transformation des chemins de terre en routes empierrées.

Le château de Belleroche aujourd’hui disparu.

Les domaines agricoles[17] modifier

En 1700, LIMANS comptait 12 domaines et 25 petits propriétaires.

En 1720, sont imposés 10 domaines et 5 vignes.

En 1740, sont imposés 8 domaines et 7 vignes.

En 1760, sont imposés 7 vignes.

Héraldique modifier

  Blason
Parti: au 1er d’argent à la tour senestrée d’un avant-mur du même, maçonnée de sable et surmontée d’un écu tiercé en pal d’azur, d’argent et de gueules, au 2e d’argent à la grappe de raisin de gueules tigées et feuillées de sinople.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1902 décembre 1903 Joseph Clairet    
décembre 1903 décembre 1917 Joseph Chatillon    
décembre 1917 novembre 1940 Humbert Chatillon    
novembre 1940 août 1942 Pierre Dupuy    
août 1942 mars 1961 Jean Baudry    
mars 1961 mars 1977 Fernand Gayot    
mars 1977 mars 2001 Hubert Boulaud   Maire honoraire
mars 2001 En cours
(au 10 mars 2022)
Michel Thien UMP-LR Chef d'entreprise retraité
Conseiller général (2005 → 2015) puis départemental de Gleizé (2015 → )
5e vice-président du conseil départemental du Rhône (2015 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 4 790 habitants[Note 4], en augmentation de 1,74 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3532024655466781 0001 7821 2171 419
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
528555555641580612602628660
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7016977089399961 0901 1291 1621 310
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 5201 7703 2163 4633 6524 1514 3944 4674 754
2021 - - - - - - - -
4 790--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La ville compte :

  • une école maternelle ;
  • une école primaire ;
  • le collège Maurice-Utrillo.

Manifestations culturelles et festivités modifier

La Commune de Limas est régulièrement animée par la Fête des Conscrits

Santé modifier

Sports modifier

Un site d'escalade près du lieu-dit Notre Dame de Buisante (sur la commune de Pommiers) est aménagé dans une ancienne carrière[22].

Cadre de vie modifier

Environnement modifier

Données climatiques modifier

Données climatiques à Limas.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,7 0 2,7 5,4 9,1 12,5 14,7 14 11,4 7,3 3,4 0,4 86
Température moyenne (°C) 2,4 3,8 7,7 10,7 14,6 18,1 20,5 19,8 16,8 11,8 6,8 3,2 122
Température maximale moyenne (°C) 5,6 7,6 12,7 16 20,1 23,8 26,4 25,7 22,2 16,3 10,2 6,1 157
Précipitations (mm) 49 47 51 55 78 79 57 76 78 69 66 51 0
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Blacé de 2001 à 2017[23].


Transports modifier

Réseau Libellule modifier

 
La ligne 1 Libellule dessert Limas.

Depuis 2010 modifier

Depuis le , le réseau Libellule a remplacé le STAV. La commune est desservie par les lignes 1, 2, 4, 6, 7. Le TAD STAV est devenu Libellule à la demande.

Depuis 2015 modifier

À partir du , le SYTRAL devient l'unique autorité organisatrice des transports urbains et interurbains sur l'ensemble du territoire de la métropole de Lyon et du département du Rhône. Le SYTRAL pilote :

Réseau SNCF modifier

La gare la plus proche de Limas se trouve à Villefranche-sur-Saône (1.51 kilomètres), Anse (3.38 kilomètres), Saint-Georges-de-Reneins (9.81 kilomètres), Quincieux (9.28 kilomètres), Marcilly-d'Azergues (11.34 kilomètres). Le temps moyen de transport pour se rendre à Lyon est de l'ordre de 30 à 35 minutes. En 2017, le prix moyen d'un billet de train est de 7€.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Le manoir du Martelet modifier

 
Le manoir du Martelet.

L'église de Limas modifier

Espaces verts et fleurissement modifier

En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[24].

Personnalités liées à la commune modifier

La commune est citée par Philippe Noiret dans "L'Horloger de Saint-Paul".

Le journaliste présentateur de BFMTV Loïc Besson est originaire de Limas[25] où il a suivi sa scolarité maternelle et primaire.

Jumelage modifier

  Mieming (Autriche) depuis 1999

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. historique détaillé
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Limas et Villefranche-sur-Saône », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Villefranche », sur la commune de Villefranche-sur-Saône - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Villefranche », sur la commune de Villefranche-sur-Saône - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Ville de Limas », sur limas.fr (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. FFME, Escalade autour de Lyon, (ISBN 2908330377).
  23. « Climatologie mensuelle à Blacé », sur le site de infoclimat.org (consulté le ).
  24. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  25. « Ce présentateur de BFMTV est originaire de Limas », Le Progrès,‎ (lire en ligne).

Liens externes modifier

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