Ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière)

ligne de chemin de fer franco-suisse

Ligne de
Lyon-Perrache à Genève (frontière)
Voir la carte de la ligne.
Carte de la ligne
Voir l'illustration.
Z 27693/94 passant devant le Fort de l'Écluse avant la ré-électrification.
Pays Drapeau de la France France
Villes desservies Lyon, Ambérieu-en-Bugey, Culoz, Valserhône, Genève
Historique
Mise en service 1856 – 1858
Électrification 1953 – 2014
Concessionnaires CF de Lyon à Genève (1853 – 1858)
PLM (1858 – 1937)
SNCF (1938 – 1997)
RFF (1997 – 2014)
SNCF (depuis 2015)
Caractéristiques techniques
Numéro officiel 890 000
Longueur 159,5 km
Écartement standard (1,435 m)
Électrification 1500 V continu
de Lyon à Bellegarde
25 kV – 50 Hz
de Bellegarde à Genève (frontière)
Nombre de voies Double voie
Signalisation BAL de Lyon à Culoz
BAPR-DV de Culoz à Bellegarde
BAL de Bellegarde à La Plaine
Trafic
Propriétaire SNCF
Exploitant(s) SNCF / CFF
Trafic TER, TGV, Léman Express, Fret
Schéma de la ligne

La ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière) est un axe important du réseau ferré français ; outre sa fonction de rocade régionale, elle assure entre Ambérieu-en-Bugey et Culoz une fonction de radiale en tant qu'accès à la ligne de la Maurienne et à la ligne du sillon alpin (Genève - Valence via Grenoble). Elle cumule donc des trafics très divers : TGV Paris-Genève et Évian, Genève-Sud de la France, TER Auvergne-Rhône-Alpes, Léman Express et trains de marchandises.

Elle constitue la ligne 890 000[1] du réseau ferré national.

Situation et parcours modifier

La ligne a deux sections de caractéristiques différentes, de son point de départ à Lyon jusqu'à Ambérieu-en-Bugey elle reste dans la plaine en longeant le Rhône dans ses débuts, puis jusqu'à Genève, elle devient sinueuse avec plusieurs tunnels du fait d'un parcours plus accidenté sans être véritablement montagneux.

Histoire modifier

Création modifier

Après de longues études et négociations, dont l'origine remonte à une idée émise en 1830[2], la loi n° 549 promulguée le 10 juin 1853, par Napoléon III, finalise les choix et l'organisation de la « concession du Chemin de fer de Lyon à la frontière de Genève, avec embranchement sur Bourg et Mâcon[3] ».

Cette loi confirme le choix d'Ambérieu comme point de départ d'un embranchement qui doit se raccorder avec la ligne de Paris à Lyon[4].

En 1855, la Compagnie du chemin de fer de Lyon à Genève fait une étude sur les stations qu'elle prévoit d'ouvrir entre Ambérieu et la frontière suisse, une notice projet est établie, pour chaque arrêt prévu, à la date du 15 décembre 1855[5].

À la suite de la déconfiture financière de la Compagnie du chemin de fer Grand-Central de France en 1857 et afin d'en absorber les conséquences en répartissant les lignes dont elle était concessionnaire entre des compagnies ayant une assise financière large, la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée est constituée par la fusion des compagnies du chemin de fer de Paris à Lyon, du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée et du chemin de fer de Lyon à Genève. Cette fusion est approuvée par décret le 19 juin 1857[6].

Ouverture le de la section de ligne entre Lyon Saint-Clair et Ambérieu-en-Bugey, la section de ligne entre Ambérieu-en-Bugey et Seyssel ouvre le . L'ouverture de la section de ligne entre Seyssel et Genève a lieu le et enfin le , ouverture de la section entre Lyon Saint-Clair et Lyon-Brotteaux ; le 24 novembre, ouverture du raccordement vers la gare de la Guillotière, connectée à Lyon-Perrache depuis le .

Évolution modifier

 
Carte de la ligne.

La convention internationale entre la France et la Suisse signée le permet au canton de Genève de racheter la section suisse entre La Plaine et Genève-Cornavin. Cette convention est approuvée en France par une loi le [7]. Elle est promulguée par décret le [8]. Le canton de Genève procède au rachat de la section avec effet au . Ce rachat donne lieu à une convention entre la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée et les chemins de fer fédéraux, afin que les trains en provenance de France puissent atteindre la gare de Genève-Cornavin[9].

Le 14 décembre 1952, mise en service de l'électrification en courant 1,5 kV= de la section de ligne de Lyon-Perrache à Lyon-Saint-Clair, par la SNCF, suivie le 22 septembre 1953, par celle du tronçon entre Lyon-Saint-Clair et Culoz.

Le 17 février 1955, mise en service de l'électrification en courant 1,5 kV entre Mâcon, Bourg-en-Bresse et Ambérieu-en-Bugey suivie le 16 décembre de la même année par celle du tronçon entre Culoz et Bellegarde. Pour finir, le 20 septembre 1956, mise en service de l'électrification en courant 1,5 kV= entre Bellegarde et Genève, avec un train inaugural tracté par la locomotive électrique CC 7121 (alors détentrice du record du monde de vitesse sur rail).

 
Entre Tenay-Hauteville et Virieu-le-Grand : l'ancienne gare de Rossillon.

En 1980, mise en service du shunt de Culoz avec voie directe franchissable à 60 km/h pour les liaisons Genève - Grenoble - Valence, supprimant le rebroussement et l'arrêt de ces trains à Culoz. Le 27 septembre 1981, mise en service commercial des 2 premiers allers-retours TGV Paris - Genève via Bellegarde, Culoz, Ambérieu et Bourg-en-Bresse. En , modification de la ligne à l'entrée de Genève, due à la création de la gare de Genève-Aéroport[10] : les 2 voies principales à ciel ouvert sont ré-électrifiées en 15 kV 16,7 Hz (trafic uniquement CFF à destination de l'aéroport), le trafic SNCF utilise un nouveau tronçon à voie unique passant sous les 2 voies (tunnel de Châtelaine). Des jonctions de secours sont prévues, avec sections de séparation, entre 1500 V continu, et 15 kV alternatif (en cas d'incident sur voies CFF ou dans le tunnel de Châtelaine).

Le 12 juin 1983, dernier jour de fonctionnement de l'ancienne gare de Lyon-Brotteaux, remplacée le lendemain, par la nouvelle gare de Lyon Part-Dieu.

Le , mise hors tension de la section Bellegarde - Genève (incluant La Praille), avec la fin définitive de la tension 1,5 kV= à Genève ; après six semaines de fermeture complète, cette portion est réélectrifiée en 25 kV 50 Hz[11].

Circulations modifier

Mises en service et retraits modifier

Années 1950 modifier
Années 1960 modifier
Années 1970 modifier
Années 1980 modifier
  • En 1987, mise en service de rames réversibles Corail tractées ou poussées par des Locomotives électriques BB 25200 sur Lyon - Genève.
  • Le 31 mai 1987, le « Catalan Talgo » Genève - Barcelone perd sa qualification de TEE, devient un EC comportant les 2 classes et retransite à nouveau via Grenoble (au lieu de Lyon).
Années 1990 modifier
Années 2000 modifier
 
TGV Lyria pour Paris attendant son départ en gare de Genève, sur le dernier quai (voie n° 8), réservé (avec la voie n° 7) aux convois français.

Trains remarquables modifier

  • Paris - Genève via Bourg-en-Bresse et Dijon (avant 1981).
  • « Hispania Express » À partir de l'été 1963 Copenhague - Cerbère/Port Bou via Lübeck, Hambourg, Hanovre, Francfort sur le Main, Mannheim, Fribourg en Brisgau, Bâle, Biel/Bienne, Lausanne, Genève, Bellegarde, Lyon Gare des Brotteaux, Valence, Avignon, Nîmes, Montpellier, Béziers, Narbonne, Perpignan. Ce train acheminait des voitures directes en provenance de Dortmund via Essen, Düsseldorf, Cologne, Bonn et Mayence. La desserte a été limitée au trajet Hambourg-Cerbère/Port Bou à l'été 1969 puis au trajet Bâle-Cerbère/Port Bou dans les années 90 et supprimée en 2001.
  • AP/PA Genève - Hendaye/Irun.
  • GB/BG Genève - Bordeaux via Culoz, Lyon et Clermont-Ferrand (dès le 30/06/1954).
  • « Le Catalan » Genève - Cerbère via Bellegarde, Culoz, Chambéry, Aix-les-Bains, Grenoble, Valence, Avignon, Nîmes, Montpellier, Béziers, Narbonne et Perpignan (du 01/10/1955 au 31/05/1969).
  • « Alpazur » Genève - Digne via Culoz, Chambéry, Grenoble et Veynes - Dévoluy par la ligne des Alpes (dès le 31/05/1959), sur la section de ligne de Genève à Culoz.
  • « Le Rhodanien » Genève - Marseille via Bellegarde-sur-Valserine, Culoz, Aix-les-Bains, Chambéry, Grenoble, Valence et Avignon (du 31/05/1964 au 30/05/1971), sur la section de ligne de Genève à Culoz.
  • « Catalan Talgo », Genève - Barcelone, TEE de 1re classe, puis EC avec les 2 classes (du 01/06/1969 au 24/09/1994).
  • « Rhône-Océan » Genève - Auray - Quimper via Lyon et Nantes (temporaire d'été).
  • « Thalys » TGV Genève -Bruxelles (de mai 2000 à 01/09/2002).

Descriptif modifier

Matériel roulant utilisé modifier

 
Les voies au sud de la gare Saint-Clair.
 
TER Valence-Genève faisant son demi-tour en gare de Culoz.
 
TER Lyon-Genève quittant la gare de Seyssel-Corbonod.

Locomotives modifier

Vapeur

  • 141 C des dépôts d'Ambérieu, Annemasse et Grenoble (de 1924 à 1942).
  • 141 E (ex-141C modifiées) des dépôts d'Ambérieu, Annemasse et Grenoble (de 1942 à 1955).
  • Locomotives à vapeur 141 F (ex-141C modifiées) des dépôts d'Ambérieu, Annemasse et Grenoble (de 1946 à 1955).
  • C 5/6 des CFF louées par la SNCF sur Genève - Ambérieu (de 1945 à 1946).
  • 141R des dépôts d'Ambérieu, de Vénissieux, de Grenoble et d'Annemasse (de 1946 à 1958).

Diesel

  • BB 67300 du dépôt de Chambéry (sur Genève - Grenoble - Valence). De nos jours, ces engins thermiques, ne répondant pas aux normes UIC actuelles antipollution (Euro 5/Euro 6), sont interdits à Genève. Seuls les véhicules thermiques CFF, conformes, ainsi que les futurs locotracteurs Bi-mode/bi-fréquence (15 kV basse fréquence/25 kV 50 Hz) et diesel (norme UIC Euro 6), peuvent secourir des trains électriques, en cas d'avarie des caténaires.
  • CC 72000 du dépôt de Vénissieux, puis du dépôt de Nevers (sur Genève - Grenoble - Valence). En cas d'utilisation exceptionnelle de ces machines, seules seraient autorisées les CC 72100, remotorisées, à venir à Genève.

Électrique

  • 2D2 9100 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • BB 8100 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • CC 7100 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • BB 9200 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • BB 9300 du dépôt de Villeneuve-Saint-Georges.
  • BB 9400 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • CC 6500 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • BB 7200 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • BB 25200 du dépôt de Lyon-Mouche.
  • BB 25500 du dépôt de Lyon-Mouche (louées par les CFF sur Genève - La Plaine - Bellegarde avec rames RIO).
  • BB 26000 du dépôt de Dijon-Perrigny.
  • BB 22200 du dépôt de Chambéry
  • Depuis 2014, seuls les engins bi-courant sont autorisés à emprunter la ligne de bout en bout (ré-électrification de Bellegarde-Genève en 25 kV 50 Hz).

Autorails modifier

  • Autorail Bugatti (jusqu'en ).
  • X 52000 et X 52100 du Centre autorails de Grenoble entre Genève et Culoz sur trains Genève - Digne via Culoz et Grenoble (de 1953 à 1972).
  • X 2400 du dépôt de Lyon-Vaise.
  • X 2700 dits RGP2 du dépôt de Lyon-Vaise.
  • X 4200 du dépôt de Marseille-Blancarde entre Genève et Culoz sur train "Alpazur" Genève - Digne via Culoz et Grenoble (de 1959 à 1974).
  • X 2770 dits RGP1 ex-TEE du dépôt de Marseille-Blancarde sur le "Catalan" et "Le Rhodanien" entre Culoz et Genève (de 1965 à 1971).

Automotrices modifier

 
la bifurcation vers Annemasse. Un TGV approche en direction de Paris
  • Turbotrains ETG sur Valence - Grenoble - Genève (dès le 10/06/1975) entre Culoz et Genève.
  • Z2 de la série Z 9600.
  • TER 2N de la série Z 23500.
  • TER 2N-NG de la série Z 24500.
  • ZGC de la série Z 27500.
  • X 72500 (jusqu'au , sur Genève - Grenoble - Valence).
  • X 73500 (en remplacement exceptionnel d'X 72500 jusqu'à mi-2009, sur Genève - Grenoble - Valence).
  • Bi-modes bi-courants BGC B 82500 du dépôt de Lyon-Vaise (depuis le , sur Genève - Grenoble - Valence).
  • Parfois, des BGC 81500 sont utilisés, en mode électrique 1500 volts continu (cependant, depuis 2014, ils doivent arriver et repartir de Genève en mode thermique, à cause de l'électrification 25 kV 50 Hz de Bellegarde à Genève).

La ligne aujourd'hui modifier

Au départ et à l'arrivée de Genève, la ligne voit transiter les trains Genève - Paris de Genève via Bellegarde et la ligne du Haut-Bugey (rouverte après modernisation le ), et les trains Genève - Chambéry - Grenoble - Valence de Genève à Culoz via Bellegarde. À Culoz une voie de raccordement (limitée à 60 km/h) permet à la ligne Genève - Lyon de rejoindre directement la ligne pour Aix-les-Bains, Chambéry, Grenoble et Valence, sans transiter par la gare de Culoz (dans les deux sens).

À Longeray, peu après Bellegarde, se trouve la bifurcation pour la ligne vers Annemasse et Évian-les-Bains où transitent les relations Lyon - Annemasse - Évian ou Paris - Évian.

La ligne modernisée modifier

La section Bellegarde - Genève est réélectrifiée en 25 kV 50 Hz en 2014 en vue de la mise en service du Léman Express et de la ligne CEVA[12]. La bifurcation vers Genève-Aéroport est également modifiée afin d'éliminer le goulet d'étranglement de la voie unique entre la bifurcation et la gare de Genève-Aéroport.

Notes et références modifier

  1. Classement sonore des voies du département du Rhône Cliquez sur l'icone "i" et sur la ligne concernée sur la carte
  2. Site Musée du Cheminot d'Ambérieu-en-Bugey, historique lire (consulté le 14/10/2009).
  3. France, Bulletin des lois de la République française, Volume 1, imprimerie nationale, 1853. p. 1129 lire (consulté le 14/10/2009).
  4. France, Bulletin des lois de la République française, Volume 1, imprimerie nationale, 1853. p. 1 131.
  5. Site chemin de fer, Documents Chemin-de-fer de Lyon à Genève (Ambérieu à la frontière Suisse « lire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), enquête des stations « lire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le 18/10/2009).
  6. « N° 4797 - Décret impérial qui approuve la convention passée, le 11 avril 1857 entre le ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics, et les Compagnies des chemins de fer de Paris à Lyon, et de Lyon à la Méditerranée », Bulletin des lois de l'Empire Français, Paris, Imprimerie impériale, xI, vol. 10, no 522,‎ , p. 275 - 327.
  7. « N° 1053 - Loi qui autorise la ratification de la convention signée, le 18 juin 1909, entre la France et la Suisse, au sujet de la reconstruction et de l'exploitation de diverses voies ferrées intéressant les deux pays ; approuvant une convention provisoire passée par le ministre des travaux publics, des postes et des télégraphes avec la compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, et concédant à cette compagnie, au titre d'intérêt général, une ligne de chemin de fer allant de Frasne à la frontière suisse, vers Vallorbe ; approuvant une convention provisoire passée par le ministre des travaux publics, des postes et des télégraphes avec la compagnie des chemins de fer de l'Est et autorisant cette compagnie à participer à la formation du capital nécessaire à l'établissement, en territoire suisse, de la ligne de Moutiers à Granges et à Longeau : 28 décembre 1909 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 1, no 24,‎ , p. 2321 - 2324 (lire en ligne).
  8. « Décret qui approuve la convention, signée le 18 juin 1909, entre la France et la Suisse relative à l'amélioration des voies d'accès au Simplon : 10 janvier 1910 », Journal officiel de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, no 20,‎ , p. 618 - 619 (lire en ligne).
  9. « Loi approuvant une convention passée entre les chemins de fer fédéraux et la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée pour la circulation des trains de cette dernière compagnie sur la ligne de Genève à La Plaine et leur admission dans la gare de Genève-Cornavin : 8 août 1913 », Journal officiel de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, no 220,‎ , p. 7431 - 619 (lire en ligne).
  10. « Archive chantier : La ligne Cornavin - Aéroport »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur bus-tram-geneve.ch (consulté le ).
  11. « Brochure CFF sur la réouverture de la ligne Genève-La Plaine. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur bellegarde01.fr (consulté le ).
  12. Olivier Carmelle et Véronique Pont-Carmelle, La ligne du Haut-Bugey : de “l'intérêt local” au Paris-Genève, La Roche-Blanche, La Regordane, , 2e éd. (1re éd. 2006), 208 p. (ISBN 978-2-906984-66-0, 978-2-906984-90-5 et 2-906984-66-3, présentation en ligne), p. 186

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, N.M. Paris, 1969.
  • Jean-Chaintreau, Jean Cuynat, Georges Mathieu, Les Chemins de fer du PLM, La Vie du Rail et La Régordanne, 1993.
  • Patricia et Pierre Laederich, André Jacquot, Marc Gayda, Histoire du réseau ferroviaire français, Ormet, Valignat, 1996.
  • Maurice Mertens, Jean-Pierre Malaspina, La légende des Trans Europ Express, LR-Presse, 2007.
  • Bernard Collardey, « Lyon - Genève, un axe très fréquenté », dans Rail Passion no 121, ,pp. 42-66.
  • Jean-Marc Dupuy, « Les archives du PLM, tome 1 : l'histoire de la Compagnie des origines à 1899 », dans Le Train, numéro hors-série, 2008.

Articles connexes modifier

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