Les Thuiles

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Les Thuiles
Les Thuiles
Chapelle des Guérins.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Barcelonnette
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Ubaye - Serre-Ponçon
Maire
Mandat
Sandra Reynaud
2020-2026
Code postal 04400
Code commune 04220
Démographie
Gentilé Thuilois
Population
municipale
369 hab. (2021 en diminution de 7,29 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 38″ nord, 6° 34′ 19″ est
Altitude Min. 1 053 m
Max. 2 898 m
Superficie 32,8 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barcelonnette
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Barcelonnette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Les Thuiles

Les Thuiles (en valéian : Las Téoulas[1][réf. non conforme][2], ) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Thuilois[3], en valéian : Lous Téoulencs[1][réf. non conforme][2].

Géographie modifier

 
Les Thuiles et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Situé à 1 111 m d’altitude[4], le village fait partie de la basse vallée de l'Ubaye. Il est proche de l'Ubaye, et du riou Bourdoux, un torrent de montagne. Le nom du village provient du fait qu'il y avait avant des fabriques de poteries.

Le village se situe entre Méolans-Revel et Barcelonnette.

Géologie modifier

Lors des deux dernières grandes glaciations, la glaciation de Riss et la glaciation de Würm, le glacier de l’Ubaye envahit la vallée ; le vallon du torrent de la Cimette était lui aussi occupé par un glacier. Les sommets des crêtes n’ont jamais été recouverts[5].

Relief modifier

 
Grande Séolane

Environnement modifier

La commune compte 969 ha de bois et forêts, soit 30 % de sa superficie[3].

Risques naturels et technologiques modifier

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barcelonnette auquel appartiennent Les Thuiles est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[6], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7]. La commune des Thuiles est également exposée à quatre autres risques naturels[7] :

  • avalanche ;
  • feu de forêt ;
  • inondation (dans la vallée de l’Ubaye) ;
  • mouvement de terrain.

La commune des Thuiles est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[8]. La départementale RD 900 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[9].

Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été prescrit en 2008 pour les risques d’avalanche, d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme[8] ; le Dicrim n’existe pas[10].

Dans la liste qui suit, figurent les tremblements de terre fortement ressentis dans la commune. Ils atteignent tous une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets). Les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre[11] :

  • le séisme du , d’une intensité ressentie à de V et demi et dont l’épicentre était situé à Saint-Clément-sur-Durance[12] ;
  • le séisme du , avec une intensité ressentie de V et dont l’épicentre était situé au Lauzet[13] ;
  • le séisme du , avec une intensité ressentie de V et dont l’épicentre était situé à Saint-Paul-sur-Ubaye[14] ;
  • le séisme du , avec une intensité ressentie de V et dont l’épicentre était situé à Prads-Haute-Bléone[15].

Toponymie modifier

Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1376 (de Tegulis), est le pluriel de l’occitan teulo, désignant les tuiles et les briques. Il est probable que ce nom faisait référence à une maison construite en briques ou couverte de tuiles, selon Ernest Nègre[16].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 900 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Barcelonnette », sur la commune de Faucon-de-Barcelonnette à 7 km à vol d'oiseau[19], est de 8,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 1],[20],[21].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[22]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Les Thuiles est une commune rurale[Note 2],[24]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barcelonnette, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (23 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16 %), prairies (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), zones urbanisées (1,2 %)[29].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

La commune est un ancien quartier (au sens de dépendance) de Barcelonnette. Elle est créée en 1790 par détachement[30]. Comme tel, elle appartient d’abord aux comtes de Provence, passe aux comtes de Savoie en 1388, puis au roi de France par le traité d'Utrecht[31].

Comme de nombreuses communes du département, Les Thuiles se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà deux écoles dispensant une instruction primaire aux garçons (dont une au chef-lieu)[32]. Les filles sont tenues à l’écart : la loi Falloux (1851) n’impose qu’aux communes de plus de 800 habitants l’ouverture d’une école de filles ; la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants, ce qui laisse encore Les Thuiles à l’écart[33]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles fréquentent l’école des Thuiles[34]. La deuxième loi Duruy (1877) permet à la commune, grâce aux subventions de l’État, de construire trois écoles neuves[35].

La commune des Thuiles est durement touchée par la Première Guerre mondiale, avec 20 morts sur 65 mobilisés. Une souscription publique est lancée afin de financer la construction du monument aux morts. Une autre souscription, de fin 1919 à 1921, a lieu dans toute la vallée de l'Ubaye et permet de financer un monument aux 509 morts de la vallée, érigé à Barcelonnette par Paul Landowski[36].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Aimé Donnadieu[37]    
         
mars 1996 mars 2001 Adrien Jaubert    
mars 2001[38] mai 2020 Jean-Pierre Bultel[39]   Retraité de la fonction publique
mai 2020 en cours Sandra Reynaud[40]   Technicienne
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

Les Thuiles fait partie:

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Politique environnementale modifier

Finances locales modifier

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 369 habitants[Note 4], en diminution de 7,29 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
519612525560572594606574492
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
554530497512459463413341351
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
347324333268229233219215174
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
184165184230274344383384368
2015 2020 2021 - - - - - -
398370369------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)

L'histoire démographique des Thuiles est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure jusqu'en 1856. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[45]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu'aux années 1960. Depuis, la population a plus que doublé.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

Médias modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Son activité a gardé un rapport avec l’ancienne manufacture de tuiles, puisqu’elle accueille de nombreux potiers et artisans[46].

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

L'église paroissiale, placée sous l’invocation de saint Martin de Tours, est construite au (XVIIIe siècle). La nef est haute ; ses trois travées sont voûtées d’arêtes. Sur les côtés nord et sud, dans chaque travée, se trouvent des chapelles aménagées dans de légers renfoncements. Le chœur, plus bas, est également voûté d’arêtes. L’ensemble, à l’exception du clocher et du portail sud, date de la fin du XVIIe siècle ou du XVIIIe siècle[47]. Le clocher, carré, surmonté d'une flèche de pierre accostée de quatre pyramidions, et le portail sud, de style gothique, sont les restes de l’édifice précédent et datent du début du XVIe siècle. Le portail est une arche arrondie à deux tores. Le linteau est porté par deux corbeaux, dont un est sculpté d’un personnage dont les bras portent le linteau[48]. Son cadran solaire date de 1881 ; restauré en 1996, il porte la légende «  Je passe et je reviens ; tu passes et ne reviens pas »[49].

 
Chapelle ouverte au hameau des Guérins.

Au hameau des Prats, se trouve un moulin et la chapelle Saint-Jean[30],[50], qui abrite le seul élément classé de la commune, un ciboire en argent du XVIIIe siècle, classé monument historique au titre objet[50].

Trois autres chapelles se trouvent sur la commune : Saint-Joseph à Miraval, aux Guérins et à Clot-Meyrans[30].

Patrimoine culturel modifier

Patrimoine naturel modifier

  • Cascades de la Gimette, de la Pisse

Sur le restaurant la Pastourière, un cadran solaire date de 1861[49].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b François Arnaud, Gabriel Maurin, Le langage de la vallée de Barcelonnette, Paris : Champion, 1920 - Réédité en 1973, Marseille : Laffitte Reprints
  2. a et b Jean-Rémy Fortoul, Ubaye, la mémoire de mon pays : les gens, les bêtes, les choses, le temps, Barcelonnette : Sabença de la Valeia (ISBN 2-908103-17-6), Mane : Alpes de Lumière (ISBN 2-906162-28-0), 1995. 247 p.
  3. a et b Roger Brunet, « Canton de Barcelonnette », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
  4. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  5. Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p. (ISBN 978-2-952756-43-3). p. 33.
  6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  7. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 1er septembre 2012
  8. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
  9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
  10. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 1er septembre 2012
  11. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Les Thuiles », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 1er septembre 2012
  12. BRGM, « fiche 50043 », Sisfrance, consultée le 1er septembre 2012
  13. BRGM, « fiche 40092 », Sisfrance, consultée le 1er septembre 2012
  14. BRGM, « fiche 40109 », Sisfrance, consultée le 1er septembre 2012
  15. BRGM, « fiche 40203 », Sisfrance, consultée le 1er septembre 2012
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 26246, p 1440
  17. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  19. « Orthodromie entre Les Thuiles et Faucon-de-Barcelonnette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  20. « Station Météo-France « Barcelonnette », sur la commune de Faucon-de-Barcelonnette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  21. « Station Météo-France « Barcelonnette », sur la commune de Faucon-de-Barcelonnette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  22. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  24. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  30. a b et c Daniel Thiery, « Les Thuiles », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 29 janvier 2012, consulté le 1er septembre 2012
  31. Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 202.
  32. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  33. Labadie, op. cit., p. 16.
  34. Labadie, op. cit., p. 18.
  35. Labadie, op. cit., p. 11.
  36. Sylvie Arnaud, « Dix-neuf monuments aux morts pour les Poilus Ubayens », La Provence, 11 novembre 2013, p. 11.
  37. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 1er avril 2014.
  38. Sylvie Arnaud, « Sandra Reynaud est candidat », La Provence, 17 mars 2014, p. 12.
  39. Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
  40. « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
  46. Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN 2-7449-0309-4), p 72
  47. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 225.
  48. Raymond Collier, op. cit., p. 198-199.
  49. a et b Homet et Rozet, Cadrans solaires..., p. 72.
  50. a et b Arrêté du 14 novembre 1991, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009