Les Roches-Tranchelion

château et collégiale à Avon-les-Roches (Indre-et-Loire)
Les Roches-Tranchelion
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Le site des Roches-Tranchelion[N 1], constitué des ruines du château et de la collégiale du même nom, se trouve sur la commune d'Avon-les-Roches (Indre-et-Loire), à environ deux kilomètres à l'est du bourg. Il est classé au titre des monuments historiques depuis 1914.

Historique modifier

Le domaine, d'abord dénommé des « Roches » a changé de mains à plusieurs reprises, pour des raisons parfois documentées (notamment transmission par mariage avec dotation), sinon hypothétiques : legs entre parents plus ou moins éloignés, échanges ou achats. Cela explique aussi son changement de nom. L'histoire de sa propriété et de ses propriétaires n'est connue que d'une façon fragmentaire.

Le nom de famille Tranchelion a pour origine le bourg de Pierre-Buffière en Limousin, où se trouvait le château homonyme, à une vingtaine de kilomètres au sud de Limoges[1],[2],[3],[4].

Avant 1365, Huguenin (alias Hugues) de Tranchelion épouse Jeanne Payen/Payenne (alias Péan/Péanne), qui tenait le fief de Palluau de sa mère Isabeau de Palluau (mariée à Jean Payen). Le , Huguenin fait aveu de la seigneurie de Palluau, qu'il tient de sa femme Jeanne[5].

Leur arrière-petit-fils Guillaume de Tranchelion, seigneur de Palluau, chambellan du roi Charles VI puis du roi Charles VII[1],[6], épouse avant 1425[6] Guillemette Horric (alias Horry/Herrie/Henrie ou Oury/Ourry ou Ouvoie/Ouvoye/Urvoy)[N 2],[8],[9], fille de Guillaume Horric[N 3], dame et héritière du fief des Roches à Avon-les-Roches. Guillaume de Tranchelion en relève le titre et prend possession du domaine des « Roches », qui devient des « Roches-Tranchelion »[13],[14],[15].

Guillaume de Tranchelion fait construire le château, et le pourvoit en 1440 d'une chapelle castrale consacrée à Marie-Madeleine. Le , le roi Charles VII lui donne la permission d'en renforcer les fortifications[16].

Une page d'histoire de France modifier

Charles VII tient les 17 puis au château des Roches-Tranchelion son Conseil, dont Guillaume de Tranchelion est l'hôte et l'un des membres[17],[18],[N 4], Conseil qui, après avoir acté la rupture de la trêve par les Anglais, décide la reprise des hostilités[20], qui débutera, trois mois plus tard, par le siège de Rouen victorieux, se poursuivra par le recouvrement de la Normandie en 1450, et qui mettra fin en 1453 à la guerre de Cent Ans. Des chroniqueurs relèveront que des séjours de Charles VII aux Roches-Tranchelion ont eu lieu en 1446, 1447, 1449, 1458, 1459, 1460 (du 17 au [21]) et 1461[22],[N 5]. C'était un de ses lieux de chasse favoris[25],[26], et un archéologue, M. R. de Croy, propriétaire du château de la Guerche vers 1830, rapporte la tradition locale selon laquelle « Charles VII et Agnès Sorel habitèrent ensemble divers châteaux de la Touraine et du Berry qui appartenaient à des familiers du prince [...] : Fontenailles, Esves-le-Moustier, Semblançay, les Roches-Tranchelion, Cheillé, Champigny, la Guerche »[17].

En 1469 Hardouin de la Tousche (alias de la Touche) possède le domaine[27], dont il a rendu aveu le [28]. Il est peu probable que la raison de ce transfert de propriété provienne de la parenté entre Guillaume de Tranchelion et Hardouin de la Tousche, puisqu'ils n'ont que des liens éloignés, et par alliances : le fils de Hardouin et de Louise de Billy, Lancelot de la Tousche, est l'époux d'une nièce à la troisième génération d'une des épouses de Guillaume de Tranchelion[29],[6],[30],[31] ; ce Lancelot est aussi l'époux d'une petite-fille d'un cousin issu de germain de Guillaume de Tranchelion[32]... Mais Guillaume et Hardouin avaient eu l'occasion de se rencontrer en 1446 au pas d'armes de la « Joyeuse Garde » organisé à Saumur par René d'Anjou (le « roi René »)[33].

Hardouin de la Tousche[30], après avoir été en 1469 pannetier du roi Louis XI, qui visitera les Roches-Tranchelion le , se met au service du roi René, puis devient maître d'hôtel de Jeanne de Laval, seconde épouse de ce dernier et, à ce titre, reine de Sicile, puis il teste à Saumur le [14],[15],[34].

Son fils Lancelot de la Tousche[31] lui succède en 1508 en qualité de seigneur des Roches-Tranchelion. À l'emplacement de l'ancienne chapelle castrale, il lance vers 1510 l'édification de la collégiale, dont le chantier durera une quinzaine d'années, et qui sera consacrée le par Martin de Beaune, archevêque de Tours « en l'honneur de Dieu et de la benoîte Vierge Marie et de monseigneur saint Jean Baptiste [...et] qui s'appellera église collégiale de Monsieur Saint-Jean-Baptiste-des-Roches-Tranchelion » ; desservie par un collège de cinq chapelains, sa destination est non seulement funéraire ― accueillir les sépultures familiales[35] ― mais encore paroissiale[15],[36]. Le fief et la collégiale des Roches-Tranchelion, ou « Roches-l'Archidiacre », relèvent alors de la châtellenie de L'Île-Bouchard[37].

Lancelot de la Tousche décède avant le [N 6]. Son fils, autre Lancelot (alias François[40]), également seigneur des Roches-Tranchelion, a pour fille Isabeau de la Tousche qui épouse en 1550 Gabriel de Montgommery, comte de Lorges, et seigneur des Roches-Tranchelion par son mariage, capitaine de la garde écossaise du roi Henri II, et auteur involontaire du régicide de ce dernier en 1559 au cours d'un tournoi à Paris. Craignant la vengeance de la reine-mère et régente[N 7] Catherine de Médicis, il vend à la hâte le domaine des Roches-Tranchelion à Jacques Ferrant, greffier de la prévôté de Loudun (avec possibilité de réméré, c'est-à-dire de rachat)[41] et s'exile en Angleterre. Son retour en France quelques années plus tard lui sera fatal[28].

La famille de Montgommery réussira cependant à retrouver ses biens, et Marguerite de Montgommery de Lorges (1585-1606), petite-fille d'Isabeau et Gabriel, transmettra ses droits à son mari Jacques de Durfort, marquis de Duras (1547-1626), épousé en 1603. D'où Guy-Aldonce de Durfort-Duras (1605-1665), dont le fils aîné, le maréchal-duc Jacques-Henri de Durfort de Duras, céde le 8 mars 1683 les Roches-Tranchelion à Gabriel-Henri de Beauvau (issu d'un rameau cadet de la branche du Rivau), sire de Crissé et Montgoger. Une fille de ce dernier, Henriette-Louise de Beauvau, dame de Montgoger, hérite et marie en 1711 Hubert de Choiseul-Chevigny-La Rivière : dont César Gabriel de Choiseul (1712-1785), 1er duc de Praslin, père lui-même de Renaud César de Choiseul, 2e duc de Praslin.

La base généalogique universelle Roglo donne la liste des seigneurs des Roches-Tranchelion depuis Hardouin de la Tousche jusqu'à Renaud César de Choiseul-Praslin (1735-1791)[42].

Blason de Tranchelion modifier

Deux sites généalogiques donnent les différentes variantes du blason[2],[1].

On peut aussi le trouver dans des armoriaux anciens manuscrits : l'armorial de Gilles Le Bouvier dit Berry (ca. 1455)[43],[N 8], et l'armorial d'Hozier (ca. 1696)[45].

Par son blason, la commune de Palluau-sur-Indre a conservé la mémoire de son ancienne appartenance aux seigneurs de Tranchelion :

Époque contemporaine modifier

Bien qu'en ruines, les deux monuments n'ont cependant ni le même âge, ni le même style, ni le même état de conservation : le château, datant du XVe siècle (bas Moyen Âge) ne présente plus que des vestiges épars, alors que la collégiale, bâtie au XVIe siècle (Renaissance) a conservé des ruines majestueuses[46].

En 1966, au cours de l'aménagement des abords du site par des bénévoles, un bulldozer met au jour 214 pièces d'or, d'un poids total d'un kilogramme, enfouies après 1619. D'abord déposée au Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France, cette découverte est partiellement dispersée en 1968 à l'hôtel Drouot[47].

Le château modifier

Enfouis sous la végétation, ne subsistent que quelques pans de mur et les vestiges d'une tour d'angle de l'enceinte[22]. Déjà sur le plan cadastral de 1831 ne figuraient plus qu'un mur et deux tours[48],[49]. Cela permet néanmoins d'évaluer la taille de l'édifice.

La collégiale modifier

L'église a été construite en tuffeau blanc[50] sur le soubassement d'un ancien château, comprenant des salles basses munies de meurtrières. Les voûtes de la collégiale s'élèvent à plus de douze mètres[51].

L'église présente un plan en croix latine d'axe ouest-est selon la tradition, et possède une large nef formée de deux travées sans bas-côtés[36], à couvrement du type voûte d'ogive, éclairée par les baies du mur sud. Au-delà de la croisée du transept s'ouvre l'abside. Le croisillon nord du transept est flanqué d'une tour d'escalier hexagonale. Sous le chœur se trouve une crypte voûtée.

La façade occidentale, façade d'entrée principale, comporte sur toute sa hauteur une grande arcade, au décor associant le style flamboyant à celui de la Renaissance primitive. De chaque côté de cette arcade, qui occupe approximativement le tiers de la largeur, deux registres superposés sont divisés verticalement par des pilastres décorés de losanges et de rosaces. Les deux registres supérieurs présentent chacun deux médaillons à profils et un à rosace à feuilles d'acanthe. Les compartiments de la voussure sont occupés par des séraphins surmontés d'une coquille. Sous la clé de la voussure figure en haut-relief Dieu le Père assis sur son trône, représenté avec une longue barbe et coiffé d'une tiare ; servi par deux anges debout à ses côtés, il donne sa bénédiction de la main droite et tient sur son genou gauche le globe terrestre. Au-dessous, un oculus montre les amorces d'une structure disparue (lobes ?). Des niches à statues, maintenant vides pour la plupart[52], sont réparties sur cette façade[36].

Selon l'abbé Jean-Jacques Bourassé, historien et archéologue tourangeau, la collégiale des Roches-Tranchelion est contemporaine de la Sainte-Chapelle de Champigny-sur-Veude, de celle du château d'Ussé et de l'église Saint-Jean-Baptiste de Montrésor, ce qui explique leur ressemblance de style et de décoration[53].

Après avoir souffert pendant les guerres de religion, la collégiale est délaissée vers 1600, puis desservie irrégulièrement jusqu'à la Révolution, où elle est complètement abandonnée[36].

Classement MH modifier

Par arrêté du , les ruines du château et de la collégiale des Roches-Tranchelion sont classées au titre des monuments historiques, sous le statut de propriété privée[51].

Mise en valeur et protection du site modifier

Le est créée une association dénommée Les amis des Roches Tranchelion, dont l'objet déclaré est « la valorisation culturelle et touristique de la collégiale des Roches Tranchelion »[54],[55].

La presse régionale se fait l'écho des inquiétudes que l'état et la sécurite des ruines provoquent dans le public ; la voûte du transept nord semble particulièrement exposée[56].

Bibliographie et sitographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Orthographié aussi « Roches Tranchelion ».
  2. Le généalogiste André Borel d'Hauterive a consacré une notice à cette famille Horric, dans le volume de 1882 de son Annuaire de la noblesse française. Page 204, l'auteur a répertorié les principales orthographes qui figurent dans les textes en latin et en français pour la désigner. Et en tête du volume, en est représenté le blason[7].
  3. On trouve sur un site de généalogie le couple « Guillaume de Tranchelion-Guillemette Horric », celle-ci étant dite fille de Guillaume Horric, seigneur du Bois d'Ancennes [ Mondion, Vienne ] et de Jeanne Turpin, et sœur d'autre Guillaume Horric[10], dont le site généalogique Roglo donne le titre, la charge de sénéchal de Châtellerault, et l'ascendance, y compris maternelle (Jeanne Turpin descend des seigneurs de Crissay-sur-Manse, village situé à deux kilomètres des Roches-Tranchelion)[11],[12].
  4. Siègent alors à ses côtés des personnalités telles que le roi René et Jacques Cœur, ainsi que Dunois et Raoul de Gaucourt, compagnons d'armes de Jeanne d'Arc[19].
  5. Les Tranchelion ont eu des liens plus étroits, quoique par alliance, avec la famille royale : Jeanne de Rosny, qualifiée de « demoiselle de la reine [ Marie d'Anjou ] », et belle-sœur d'Hélion de Tranchelion, fils de Guillaume de Tranchelion et de Guillemette Horric est, durant plusieurs années après le décès d'Agnès Sorel (1422-1450), une favorite de Charles VII. En , le roi la gratifie de douze cents écus à l'occasion du mariage d'Hélion de Tranchelion « maître d'hôtel de la reine » avec sa sœur Catherine de Rosny, à qui il fait un don de deux cents livres[23],[24].
  6. Date à laquelle son épouse Madeleine de Menou est désignée veuve[38],[39].
  7. Pendant la minorité de ses fils, les futurs Charles IX et Henri III.
  8. Cet armorial donne aussi le blason de la famille de la Touche[44].

Références modifier

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  4. Archives départementales de la Haute-Vienne, « Fonds Auguste Bosvieux », sur archives.haute-vienne.fr (consulté le ) : « Antoine de Tranchelion, [...] abbé de Tranchelion [...] était Limousin. (Rabelais) », p. 253.
  5. Archives départementales de l'Indre, « Seigneurs et paysans au Moyen Âge à Palluau : Document 1 : La charte de l’aveu par Hugues Tranchelion de la seigneurie de Palluau (12 novembre 1365) » [PDF], sur www.indre.fr (consulté le ), p. 2-3.
  6. a b et c Base généalogique Roglo, « Guillaume de Tranchelion », sur roglo.eu (consulté le ).
  7. André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France : 38e année, , 416 p. (OCLC 763428670, BNF 34210355, lire en ligne), NP-3e vue (blason), 204 (orthographes).
  8. Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, vol. IV, (lire en ligne), p. 84-85 Note 1 (orthographes Horric).
  9. « Guillemette Horric : dame des Roches », (montre le blason de la famille Horric), sur man8rove.com (consulté le ).
  10. Jean-Marie Ouvrard, « Horric : Branche du Bois d'Ancenne, du Plessis-Bonnay et du Coudreau », sur wbboukv.cluster029.hosting.ovh.net (consulté le ).
  11. Base généalogique Roglo, « Arbre généalogique de Guillaume Horric : Jusqu'aux arrière-grands-parents », sur roglo.eu (consulté le ).
  12. Base généalogique Roglo, « Arbre généalogique de Jeanne Turpin : Jusqu'aux arrière-grands-parents », sur roglo.eu (consulté le ).
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  19. Pierre-Roger Gaussin, « Les conseillers de Charles VII (1418-1461) : Essai de politologie historique », sur journals.ub.uni-heidelberg.de, Francia - Forschungen zur westeuropäischen Geschichte (Francia - Recherche sur l'histoire de l'Europe occidentale), (consulté le ), p. 104-127 (vues 39-62/65).
  20. Jean V de Bueil, Le jouvencel : suivi du commentaire de Guillaume Tringant, Paris, H. Laurens, 1887-1889 (lire en ligne), p. CLVIII (vue 165).
  21. Auguste Vallet de Viriville, Histoire de Charles VII, roi de France, et de son époque (1403-1461), t. III, Paris, Jules Renouard, , 512 p. (OCLC 490225106, BNF 36433784, lire en ligne), p. 427.
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Liens externes modifier

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  • Ressource relative à l'architecture  :
  • Famille Tranchelion sur Racines & Histoire
  • Ministère de la Culture, « Réf. Mérimée IA37000468 », Château des Roches-Tranchelion : photos en noir et blanc, dont une (p. 4) datée de 1894, sur www2.culture.gouv.fr (consulté le ), p. 4, 6-10.