Les Estables
Les Estables | |||||
Le village des Estables et son église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal | ||||
Maire Mandat |
Philippe Brun 2020-2026 |
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Code postal | 43150 | ||||
Code commune | 43091 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Establains, Establaines | ||||
Population municipale |
321 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9,5 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 54′ 19″ nord, 4° 09′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 1 033 m Max. 1 749 m |
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Superficie | 33,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Mézenc | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Les Estables est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, aux confins du Velay et du Vivarais. Le village est entouré du mont Mézenc (1 753 mètres) à l'est, du mont d'Alambre (1 691 mètres) au nord, et du Chaulet (1 622 mètres) au sud-est. Le village attire en hiver de nombreux touristes notamment grâce à sa station de ski. L'été, c'est le tourisme vert qui prend le relais.
Géographie modifier
Situation et description modifier
La commune des Estables se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1]. Situé à une altitude de 1 343 mètres, le bourg des Estables est le plus haut chef-lieu de commune du Massif central.
Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 29 km du Chambon-sur-Lignon[2], bureau centralisateur du canton du Mézenc dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Freycenet-la-Cuche (5,4 km), Chaudeyrolles (6,4 km), Le Béage (6,8 km), Borée (6,8 km), La Rochette (6,9 km), Moudeyres (7,1 km), Saint-Front (8,1 km), Freycenet-la-Tour (8,4 km).
Géologie modifier
Communes limitrophes modifier
Climat modifier
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 284 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 6,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 226,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −3,7 | −4,3 | −1,2 | 1,6 | 4,1 | 8,1 | 10,3 | 10,1 | 7 | 4,2 | 0,6 | −2,2 | 2,9 |
Température moyenne (°C) | −0,9 | −1,3 | 2,4 | 5,8 | 8,4 | 13 | 15,6 | 15,4 | 11,8 | 8 | 3,5 | 0,7 | 6,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 1,9 | 1,8 | 6 | 10 | 12,7 | 17,8 | 20,9 | 20,8 | 16,6 | 11,7 | 6,4 | 3,7 | 10,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−16,9 19.01.17 |
−19,2 04.02.12 |
−14,4 09.03.10 |
−8,6 04.04.22 |
−4,7 05.05.19 |
−0,2 08.06.19 |
3,5 14.07.16 |
3,2 22.08.14 |
−0,7 27.09.20 |
−7,9 28.10.12 |
−12,2 28.11.13 |
−15 03.12.10 |
−19,2 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,4 01.01.22 |
16,1 26.02.19 |
18,9 15.03.12 |
21,4 07.04.11 |
26,3 22.05.22 |
31,9 27.06.19 |
29,7 14.07.22 |
33 23.08.23 |
26,3 16.09.19 |
25,8 09.10.23 |
18,8 12.11.15 |
16,7 31.12.21 |
33 2023 |
Précipitations (mm) | 83,9 | 65,5 | 91 | 99,9 | 122,6 | 109,5 | 93,7 | 60,5 | 86,8 | 154,4 | 181 | 77,9 | 1 226,7 |
Hydrographie modifier
Le territoire de la commune est traversé par la Gazeille, un affluent de la Loire.
Urbanisme modifier
Typologie modifier
Les Estables est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[I 2],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols modifier
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,9 %), forêts (26,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %), zones urbanisées (0,9 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement modifier
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 420, alors qu'il était de 396 en 2013 et de 388 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 36,8 % étaient des résidences principales, 54,2 % des résidences secondaires et 9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 66,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 32,9 % des appartements[I 6].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements aux Les Estables en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (54,2 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,2 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].
Typologie | Les Estables[I 5] | Haute-Loire[I 8] | France entière[I 9] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 36,8 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 54,2 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie modifier
Histoire modifier
Un jeune géomètre, qui effectuait des relevés dans la région pour les cartes de Cassini, a été battu à mort par des villageois qui le suspectaient de sorcellerie dans les années 1740[13].
Politique et administration modifier
Découpage territorial modifier
La commune des Estables est membre de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Julien-Chapteuil. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Mézenc pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[15].
Liste des maires modifier
Population et société modifier
Démographie modifier
Évolution démographique modifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2021, la commune comptait 321 habitants[Note 4], en diminution de 3,31 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges modifier
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 161 hommes pour 167 femmes, soit un taux de 50,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement modifier
Médias modifier
Cultes modifier
Économie modifier
Revenus modifier
En 2018, la commune compte 146 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 324 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 740 €[I 13] (20 800 € dans le département[I 14]).
Emploi modifier
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 15] | 3,2 % | 4,5 % | 2,6 % |
Département[I 16] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 17] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 198 personnes, parmi lesquelles on compte 78,8 % d'actifs (76,2 % ayant un emploi et 2,6 % de chômeurs) et 21,2 % d'inactifs[Note 6],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 18]. Elle compte 165 emplois en 2018, contre 172 en 2013 et 175 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 159, soit un indicateur de concentration d'emploi de 103,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,5 %[I 19].
Sur ces 159 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 111 travaillent dans la commune, soit 70 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 47,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 33,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 18,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].
Culture locale et patrimoine modifier
Lieux et monuments modifier
- Le mont Mézenc (prononcer : « mézin »), point culminant de la Haute-Loire (1 753 m).
- Le mont d'Alambre.
- Col de la Croix de Peccata (1 559 m) second col routier le plus haut du Massif central, le point routier le plus haut de la Haute-Loire.
- Col de la Croix de Boutières, situé en Ardèche, est le plus haut col du département avec ses 1 502 m d'altitude.
- Musée de la dentelle dans la maison de béate de la Vacheresse.
- Ferme des Plantins ( Classé MH (2005)) construite en 1540 et typique du patrimoine rural de la région Mézenc-Meygal[21].
-
Vue générale des Estables et du Mont d'Alambre depuis la RD36.
-
Musée de la dentelle dans la maison de béate de la Vacheresse.
-
Le mont Mézenc vu depuis les pistes du mont d'Alambre.
-
Panorama depuis la table d’orientation du mont Mézenc.
Outre le musée cité ci-dessus, le village accueille une station de ski et de tourisme vert, dite station du Mézenc[22].
L'hiver, on y pratique :
- le ski de fond (vaste domaine de tous niveaux) ;
- le ski de randonnée nordique (traversée de la montagne ardéchoise[23]) ;
- le ski alpin (3 pistes vertes, autant de bleues, une rouge et une noire) ;
- sans compter raquettes, snowkite, traîneau à chiens, parapente à ski…
L'été, la randonnée pédestre est largement pratiquée, tout comme le vélo tout-terrain.
Personnalités liées à la commune modifier
- Jacques-Antoine de Chambarlhac de Laubespin ( - Les Estables ✝ - Paris), général d'Empire[24].
- Aimé Grasset, pionnier de l'aviation, 1888-1924.
Héraldique modifier
Les Estables possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Bibliographie modifier
- Roger Nicolas, « L’architecture rurale sur le plateau du Mézenc », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay, (lire en ligne)
- Bernard Rivet, « Philibert Barbasto, muletier des Estables au XVIe siècle », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,
- Ernest Ribbes, « Jacques Antoine de Chambarlhac, futur général de division avec les bataillons de volontaires de la Haute-Loire en Savoie en 1793 », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,
- Raymonde Chalendard-Bartoli, « Des choses non dites sur la vie aux Estables pendant la première moitié du XXe siècle », Les Cahiers du Mézenc, Privas, t. cahier n° 21,
- Michel Engles et Jean-Louis Jourde, « Les de Pelaprat, une famille de petite noblesse rurale aux Estables : du XIIe siècle au XVIIe siècle », Les Cahiers du Mézenc, Privas, t. cahier n° 24,
- Richard Crespy, « La croix du mont Mézenc, histoires et mémoires », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay, .
Notes et références modifier
Site de l'Insee modifier
- « Métadonnées de la commune des Estables » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 aux Les Estables » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 aux Les Estables - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 aux Les Estables - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune des Estables » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Estables (43091) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 aux Estables » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 aux Estables » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 aux Estables » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Références modifier
- Stephan Georg, « Distance entre Les Estables et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Les Estables et Le Chambon-sur-Lignon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches des Les Estables », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Les Estables_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Les Estables_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Les noms de lieux de la Haute-Loire : D'où vient le nom de mon village ?, Bordeaux, Editions Sud-Ouest, .
- Graham Robb, The Discovery of France, (ISBN 978-0-393-05973-1, lire en ligne ), 5.
- « communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ferme des Plantins », notice no PA43000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Le site de la station du Mézenc
- Michel Fonovich (photogr. Olivier Mathis), « Dans les traces ardéchoises » [html], Une saison en hiver, sur liberation.fr, Libération, .
- Ernest Ribbes, Jacques Antoine de Chambarlhac, futur général de division avec les bataillons de volontaires de la Haute-Loire en Savoie en 1793 : in Cahiers de la Haute-Loire 1994, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
Notes et cartes modifier
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Voir aussi modifier
Article connexe modifier
Liens externes modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Les Estables sur le site de l'Institut géographique national
- Office de tourisme intercommunal du pays du Mézenc et de la Loire sauvage
- Le site de la station du Mézenc