Les Billanges

commune française du département de la Haute-Vienne

Les Billanges
Les Billanges
L'église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Les Billanges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Manuel Perthuisot
2020-2026
Code postal 87340
Code commune 87016
Démographie
Gentilé Billangeots
Population
municipale
293 hab. (2021 en diminution de 1,68 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 53″ nord, 1° 32′ 03″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 451 m
Superficie 22,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambazac
Législatives Première circonscription
Localisation
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Les Billanges

Les Billanges [le bilɑ̃ʒ] (Los Bilanges en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune des Billanges fait partie des monts d'Ambazac, et borde la rive droite du Taurion qui lui sert de limite sud-est.

Communes limitrophes modifier

 
Situation de la commune des Billanges par rapport aux communes voisines.
 
Situation de la commune des Billanges en Haute-Vienne.

Lieux-dits modifier

  • L'Age, sur le territoire duquel se trouve Majaurde, autrefois propriété dépendante des moines de Grandmont, résidant à Trézin[2] ;
  • le Bas Breuil ;
  • la Bergerie ;
  • la Besse ;
  • la Betoulle ;
  • le Bois ;
  • Chantegros. Une sépulture gallo-romaine y est découverte en 1901 au lieu-dit les Blanchaux[2] ;
  • le Châtelard ;
  • les Égaux ;
  • Entrecolles ;
  • la Gance ;
  • le Gouteix ;
  • les Lilas, où se trouve un pont sur le Taurion[2] ;
  • Lignac ;
  • Maisonnieux ;
  • la Nouaille ;
  • le Péchereau ;
  • Perrassades ;
  • la Planche ;
  • Ponchale ;
  • le Puy Rebourg ;
  • le Rat ;
  • Trézin ; à l'emplacement du village était une chapelle de l'ordre disparu de Grandmont ;
  • Virareix.

Climat modifier

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique limousin et le climat montagnard[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 065 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-la-Montagne à 11,46 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 371,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Les Billanges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), prairies (12,7 %), terres arables (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune des Billanges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Billanges.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 19,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Lavaud-Gelade, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans le département de la Creuse et présentant une hauteur de digue de 20,5 m et une capacité maximale de retenue d’eau de 21,4 millions de m3. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l'onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[21].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d'exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune des Billanges est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Toponymie modifier

Le nom des Billanges a d'abord été Albillus, devenant Albillanicos, puis Aubillanges en 1273. Sous l'ancien régime le territoire des Billanges fait partie de l'élection de Bourganeuf[2]. Le nom de la commune se prononce traditionnellement [bilɑ̃ʒ] mais depuis la fin du 20e siècle, la plupart des gens, influencés par le double -l de la graphie adoptée par l'administration, prononcent [bijɑ̃ʒ].

Histoire modifier

Le chemin de pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle (GR 654D ou via Lemovicensis), en provenance de Châtelus-le-Marcheix, passe par le bourg des Billanges. Il se poursuit ensuite vers Saint-Laurent-les-Églises où il traverse le Taurion par le pont du Dognon.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
février 1871 1874 Jean Marcheix Républicain cultivateur
mars 1876 1878 Jean Marcheix Républicain cultivateur
mai 1900 mai 1908 Jules Fiacre Marcheix Républicain fils de Jean Marcheix
mai 1926 mars 1932 Louis Brunetaud    
octobre 1939 juin 1941 Louis Beaudisson[24] - tailleur
mars 1971 septembre 1987 Marcel Royère PCF  
octobre 1987] mars 1989 Henri Japaud PCF  
mars 1989 mars 2001 Philippe Couderc PCF  
mars 2001 En cours Manuel Perthuisot[25]    

Population et société modifier

Démographie modifier

Ses habitants sont appelés les Billangeots[26].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 293 habitants[Note 6], en diminution de 1,68 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7057206879299359311 025970979
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9619251 0019951 0391 0091 0861 0651 095
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0791 0891 067903797804742616594
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
515464382313285288301310291
2021 - - - - - - - -
293--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes modifier

La cure dépend de l'archiprêté de Bénévent, dans le diocèse de Limoges. Sa fête patronale est celle de la nativité de la Sainte-Vierge. Le presbytère des Billanges est vendu comme bien national le [31]. Le pape Nicolas IV, dans une bulle datée du , accorde des indulgences pour l'église Sainte-Marie des Billanges.

L'évêque de Limoges a toujours nommé les curés des Billanges.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Elle possède deux précieux reliquaires[32],[33], qui lui ont été attribués le , lors de la distribution des reliques de Grandmont.
Le premier est une œuvre d'orfèvrerie représentant saint Étienne de Muret, le second en bois et argent renferme une relique de saint Félicien[2].
L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 2005[34].
  • Vestiges gallo-romains à Virareix et au Maisonnieux.
  • Château des Égaux.
  • Pont des Lilas.
  • Chapelle du prieuré grandmontain de Trezin, fondée en 1205 par Aimery VI de Rochechouart et son épouse, transformée en grange à la Révolution et détruite en 1905[2].
  • Vestiges du Châtelard.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'azur au buste de Saint Étienne d’or.
Détails
Le blason des Billanges représente le buste de saint-Étienne de Muret, fondateur de l'ordre de Grandmont dont l'abbaye se trouvait à Grandmont. L'église des Billanges a reçu deux reliquaires de l'abbaye en 1790.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Les Billanges au fil du temps, 253 p., 2013.
    Monographie, édité par la mairie, sur la culture locale, le patrimoine, la démographie, l'histoire, la géographie, des personnalités originaires des Billanges, des mariages, des manifestations culturelles, festives et sportives, des migrants limousins, du château des Égaux, des familles de Bony de Lavergne, des activités anciennes et des souvenirs liés à celles-ci, de l'enseignement, des liens avec la Seconde Guerre mondiale, de la faune et de la flore, etc.
  • André Lecler, Dictionnaire historique et géographique de la Haute-Vienne, 1920-1926, Ducourtieux, Limoges.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l'existence du risque RGA ;
    • au maître d'ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l'étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. a b c d e f et g André Lecler, ibid.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Les Billanges et Saint-Léger-la-Montagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Leger la Montagne_sapc » (commune de Saint-Léger-la-Montagne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Leger la Montagne_sapc » (commune de Saint-Léger-la-Montagne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune des Billanges », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. Article R214-112 du code de l’environnement
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. (fr) « Les maires de la commune sur francegenweb.org » (consulté le ).
  24. Nommé président de la délégation spéciale des Billanges par décret présidentiel du 16 octobre 1939 sur proposition du ministre de l'intérieur Albert Sarraut, à la suite de la suspension des conseils municipaux jusqu'à la cessation des hostilités. Le président de la délégation remplit les fonctions de maire.
  25. (fr)[PDF]Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires
  26. (fr) « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Archives départementales de la Haute-Vienne, série Q, liasse 150, no 298.
  32. « Statue-reliquaire de la Vraie Croix : diacre dit saint Etienne de Muret », notice no PM87000040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  33. « Bras-reliquaire dit de saint Félicien », notice no PM87000041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. « Eglise de la Nativité de Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00100252, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.