Le Rheu
Le Rheu | |||||
![]() La mairie du Rheu. | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Rennes Métropole | ||||
Maire Mandat |
Mickaël Bouloux (PS) 2020-2026 |
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Code postal | 35650 | ||||
Code commune | 35240 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Rheusois | ||||
Population municipale |
8 914 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 472 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
395 710 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 06′ 07″ nord, 1° 47′ 44″ ouest | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 48 m |
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Superficie | 18,89 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Rheu (bureau centralisateur) |
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Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.lerheu.fr | ||||
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Le Rheu est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
Elle borde la ville de Rennes à l'ouest avec sa voisine Vezin-le-Coquet.
La population a été estimée à 8 159 habitants en 2014. Elle était de 5 735 habitants en 1999 et 3 080 habitants en 1968. Les habitants sont les Rheusois et les Rheusoises.
GéographieModifier
La commune du Rheu est située dans un paysage bocagé et est composée de trois principaux foyers de peuplement : le centre-ville du Rheu, les Landes d'Apigné à l'est autour de la D 224 (rue Nationale et ancienne route de Lorient venant de Rennes), et le bourg de Moigné (ancienne commune ayant fusionné avec Le Rheu le ) au sud.
Communes limitrophesModifier
HydrographieModifier
Le Rheu se trouve intégralement dans le bassin de la Vilaine. La commune a comme frontière naturelle le fleuve la Vilaine à l'est (frontière avec Rennes) et deux de ses affluents, la rivière la Flume au nord-est (frontière avec Vezin-le-Coquet) et au nord (frontière avec Pacé) et le ruisseau du Lindon au sud-ouest (une petite partie de la frontière avec Chavagne).
Le ruisseau le Lindon traverse le bourg du Rheu, bien que la majorité de celui-ci soit couverte.
TransportsModifier
Les deux accès principaux à la commune sont la voie express Rennes-Lorient (RN 24) et la « seconde ceinture rennaise » (RD 288).
La commune est desservie par les bus du service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole :
Le centre est desservi par les lignes 54, 76 et 154ex.
Les landes d'Apigné sont desservies par les lignes 54, 55 et 56.
Moigné est desservie par la ligne 56.
UrbanismeModifier
LogementModifier
Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Le Rheu et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1],[I 2].
Le Rheu | Ille-et-Vilaine | |
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Parc immobilier total (en nombre d'habitations) | 4 057 | 546 440 |
Part des résidences principales (en %) | 92,2 | 86,2 |
Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,4 | 6,9 |
Part des logements vacants (en %) | 6,3 | 6,9 |
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) | 55,8 | 59,8 |
Morphologie urbaineModifier
Le Rheu dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019[1]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.
Noms de ruesModifier
Projets d'aménagementsModifier
ToponymieModifier
Les formes anciennes attestées sont : de Rodo (1279), Le Rou (1388), Le Ru (1539)[2], Lireu (XVIIe siècle, voir la carte ci-contre).
Le nom breton de la commune est Reuz [3]. Cette forme est artificielle pour ce toponyme qui n’est pas breton et n’a pas subi l’influence phonétique du breton. Le nom de la ville L'Reû en gallo[4].
HistoireModifier
OrigineModifier
Des documents datant de 1240 et 1279 attestent de l'existence des paroisses de Moigné et du Rheu.
Plus tard, au Moyen Âge, le climat d'insécurité aurait favorisé l'instauration du système féodal avec ses seigneuries (La Freslonière, la Motte au Vicomte, Apigné, Méjussaume) et l'édification de nombreux manoirs. On trouve aussi une tombe du XVe et la sacristie datant du XVe siècle.
La Révolution française fut bien accueillie par la population. En 1790, les communes du Rheu et de Moigné furent créées et leurs maires élus au suffrage universel.
Durant le XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle, le développement des deux communes fut relativement calme.
Les maires successifs faisaient partie de la noblesse (familles Freslon, Boisbaudry).
Le développement de la cité-jardinModifier
Au début des années 1950, la commune du Rheu est essentiellement rurale et l'activité est limitée aux commerces et artisans du bourg et de l'axe des Landes d'Apigné. Le maire de l'époque, Jean Châtel, veut faire du Rheu, une petite ville, en raison de l'industrialisation du secteur (installation de Citroën à la barre Thomas à Rennes). Il lance la première opération d'urbanisme en 1955 aux Landes d'Apigné, le long de la RN 24 de l'époque (devenue depuis la « route nationale »), 110 pavillons sont créés mais l'expérience ne le satisfait pas.
En 1959, il décide donc de faire appel à Gaston Bardet, directeur des études de l'Institut International et supérieur d'urbanisme appliqué de Bruxelles[5].
Gaston Bardet devient urbaniste conseil du Rheu pendant 10 ans et y impose le concept de cité-jardin. Concept désirant concilier développement du lien social, l'aménagement intelligent des axes de circulation, et la mise en place d'un cadre de verdure. Il mettra ainsi en chantier trois lotissements : le lotissement est, le lotissement des Oiseaux (avenue des Cygnes, rue des Mésanges, etc.) et le lotissement des Sports (avenue des Sports, rue des Tennis, etc.).
Le , la commune de Moigné est rattachée à la commune du Rheu[6]. La superficie de la commune passe de 1 410 à 1 889 hectares. Le nombre d'habitants passe de 2 001 à 2 291.
Au début des années 1970 après le départ de Gaston Bardet, la ville lance le lotissement de la Motte, un lotissement en opposition aux principes de Bardet. L'opération ne sera pas renouvelée. En 1971, les premiers habitats collectifs apparaissent dans la commune (Résidence la Noë, Petit Verger, etc.). En 1976, la commune crée le quartier de la Bouvetière où se mélangent habitat collectif et pavillonnaire, puis le quartier du Clos-Joury.
Un collège expérimental (absence de notation, absence de grillages, construction de plain-pied, laboratoire de langues, salle de spectacle) est construit en plein centre bourg en 1974. Il prendra le nom de collège Georges-Brassens au milieu des années 1980, et reviendra dans la norme à ce moment-là.
En 1977, le lycée agricole des Trois-Croix de Rennes (qui a laissé la place au lycée Victor-et-Hélène-Basch) déménage et s'installe au Rheu.
Depuis 2003, le lycée agricole Rennes-Le-Rheu porte le nom de lycée Théodore-Monod.
Le centre-villeModifier
Au milieu des années 1980, le centre-ville du Rheu est complètement redessiné. La plupart des maisons et des bâtiments autour de la mairie et de l'église sont rasés afin de créer un centre-ville entièrement piétonnier. De nombreux immeubles d'habitat sont créés avec au rez-de-chaussée de ces immeubles, des cellules commerciales afin de constituer un véritable centre commercial au cœur de la ville.
En 1986, la ferme de la Noé est partiellement rénovée afin de devenir un centre culturel (centre la Noé) accueillant le siège de l'association Agora et différentes activités (cours de musique, centre de loisirs jusqu'au début des années 2000, maison des jeunes, Le Parking – salle de répétition pour les musiques actuelles). La partie non rénovée du centre la Noé devrait prochainement être détruite afin d'accueillir de nouveaux logements collectifs. En face de La Noë, a été construite la Maison des jeunes, inaugurée en .
Les bâtiments du COSEC sont en rénovation depuis 2006, avec la construction d'une grande salle de niveau régional, la rénovation des vestiaires et de l'ancienne salle (livrée en 2008) ainsi que la construction d'un dojo et d'une salle de danse (actuellement en travaux).
En 1988, la commune lance la ZAC des Champs-Freslons (quartier des Champs-Freslons, des Perrières, de la Cranais, de la Colline/la Mare), qui prévoit la construction de 900 logements. Les fermes des Champs-Freslons et des Perrières sont rénovées afin d'accueillir le siège du Sporting Club pour la ferme des Champs-Freslons et la bibliothèque et certaines activités de l'Agora pour la ferme des Perrières. Le centre de loisirs et la halte-garderie déménagent dans le quartier de la Cranais à l'emplacement de l'ancienne maison de la famille du maire Jean Châtel.
Afin de satisfaire la demande croissante en logement dans l'agglomération rennaise, la ville lance en 2004, la ZAC des Huberdières et décide d'initier la rénovation de la ferme de la Mare où devrait se situer à terme une médiathèque.
À partir de 2008, une nouvelle ZAC est prévue : la ZAC de la Tremeliere. Près de 1 000 logements y seront construits dans ce nouveau quartier d'ici à 2014. Le développement de ce quartier sera assuré par l'urbaniste et architecte iranienne Nasrine Seraji.
Par ailleurs, une réflexion sur le secteur des Acquets est engagée. Des équipements tels qu'une salle multifonction ainsi qu'un centre commercial devraient y être construits.
La commune obtient en 1987 deux fleurs au concours national du fleurissement puis quatre fleurs depuis 1989. Elle obtient même en 1996, le grand prix national du fleurissement.
Hypothèses de développement urbainModifier
Des études en vue du développement futur du Rheu pour les vingt prochaines années ont été menées en 2003. Il est ainsi envisagé à court et moyen terme :
- l'urbanisation du secteur de la Tremelière, des acquets et à proximité du secteur de la Freslonière ;
- la mise en place d'équipements collectifs aux landes d'Apigné ;
- le désenclavement du tissu commercial du centre-ville ;
- la valorisation de la Vilaine avec un pôle de loisirs et de promenade, des restaurants, des hôtels ;
- une modification des accès à la ville et du développement urbain : accès depuis la route de Lorient (RN 24) souvent embouteillé, urbanisme et axes de circulations tendant à unifier la ville du Rheu aujourd’hui éclatée entre le bourg du Rheu, les landes d'Apigné et Moigné.
HéraldiqueModifier
Politique et administrationModifier
Rattachements administratifs et électorauxModifier
La commune appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton du Rheu, créé lors du redécoupage cantonal de 2014 et dont elle est le bureau centralisateur. Avant cette date, elle appartenait au canton de Mordelles.
Pour l'élection des députés, Le Rheu fait partie de la huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Florian Bachelier (LREM). Sous la IIIe République, elle appartenait à la deuxième circonscription de Rennes, de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud) et de 1986 à 2010 à la 3e circonscription (Rennes-Montfort).
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.
IntercommunalitéModifier
Le Rheu appartient à Rennes Métropole depuis sa création le , la ville faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .
Le Rheu fait aussi partie du Pays de Rennes.
Administration municipaleModifier
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[7].
- Conseil municipal actuel
Les 29 sièges composant le conseil municipal ont été pourvus le à l'issue du second tour, celui-ci ayant été organisé dans un contexte particulier, lié à la pandémie de Covid-19. Actuellement, il est réparti comme suit :
Groupe | Effectif | Statut | ||||||
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« Le Rheu demain, pour une ville solidaire, écologique et citoyenne » (PS) | 22 | majorité | ||||||
« Le Rheu nouveau citoyen » (LREM) | 7 | opposition | ||||||
Liste des mairesModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
JumelagesModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[13].
En 2018, la commune comptait 8 914 habitants[Note 1], en augmentation de 12,27 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
EnseignementModifier
Sur le territoire de la commune se situent trois complexes scolaires publics, le collège Georges-Brassens et le lycée d'enseignement général et agricole Théodore-Monod avec une option en maraîchage biologique.
Événements et vie de la communeModifier
- Les Tablées du Rheu, salon gastronomique et des produits du terroir créé en 1985 : mars (25 000 visiteurs, 220 exposants)
- Carnaval : fin mars
- Arts en folie/Agorafolies : animations et expositions culturelles et artistiques dans de multiples lieux de la commune (mi-mai à mi-juin)
- Fête de la musique : vendredi précédant ou suivant la Fête de la musique du
- Grand prix cycliste et retraite aux flambeaux : juillet
- Prix ado des arts plastiques (juin) : prix réservés aux adolescentes et adolescents d'Ille-et-Vilaine
- Braderie jeunesse : octobre
- Marché hebdomadaire, le samedi matin
- Organisation des mondiaux 2016 du jeu de Mölkky
- Saison culturelle : tout au long de l'année[16].
Vie associativeModifier
La vie associative et culturelle du Rheu s'organise autour de deux grandes associations :
- le Centre Culturel et d’Activités Agora ;
- le Sporting Club Le Rheu.
Toutefois bien d’autres associations animent la vie culturelle et sociale de la commune et notamment l’école intercommunale de musique de la Flume, dont le siège est situé au Rheu depuis 2008.
L'AgoraModifier
association socio-culturelle de 1 000 membres[17], siégeant au centre culturel La Noë créée en 1959 sous le nom de CCOR et renommée AGORA en 1991. L'association :
- regroupe une vingtaine d’activités de pratiques artistiques et culturelles (aquarelle, arts plastiques, danses (classique, jazz, hip-hop), théâtre, langues (allemand, anglais, espagnol), découverte musicale dans un partenariat avec l'école intercommunale de musique de la Flume, randonnées pédestres, club nature, patchwork, informatique, etc.) ;
- organise des événements (forum des associations, carnaval, fête de la musique, Arts en folie, etc.) ;
- organise des expositions et des spectacles dans la commune.
Elle est titulaire de licences d'entrepreneur de spectacles pour cette activité. Le secteur jeunesse d’Agora (CLSH, Maison des jeunes, halte-garderie) qui existait depuis plus de vingt ans est passé sous compétence municipale en 2005. Agora a centré ses activités dans le domaine culturel, spectacles et loisirs culturels.
Sporting Club Le RheuModifier
Le Sporting Club (2 300 licenciés) créé en 1965 et composé de 19 sections sportives : football (1928), basket-ball, gymnastique volontaire, pétanque, billard français, haltérophilie, musculation, rugby à XV (Sporting club Le Rheu rugby)[18], cyclotourisme, jogging, course, sports loisirs, judo, karaté, aïkido, tennis, golf, kart cross, volley-ball.
ÉconomieModifier
La zone artisanale (ZA) et commerciale du Chêne vert située aux Landes d'Apigné créée en 1960 et la ZAC d'Apigné sont le moteur de la vie économique de la commune. Ces deux ZAC accueillent plus de 100 petites, moyennes et grandes entreprises. La récente ZAC d'Apigné est destinée à devenir la zone d'activité logistique de Rennes Métropole. La plateforme Colissimo, chargée du tri des colis postaux du Grand Ouest s'y est installée en 2004 et la plateforme logistique Logidis du groupe Carrefour s'y est installée en tout comme les agences de l'infrastructure, de l'IGE et de Process-PSR de SPIE.
Le centre INRA de Rennes possède deux unités de recherche situées au Rheu près du bois de la Motte depuis 1966 (dédiées à l'amélioration des plantes et biotechnologies végétales et à la biologie des organismes et des populations appliquée à la protection des plantes), un domaine expérimental de 307 ha, une unité expérimentale de testage des porcs et une station de recherches cidricoles et de biotransformation des fruits et légumes. Ce centre emploie environ 250 personnes[19].
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
- Église Saint-Pierre et Saint-Paul (Chœur du XVe siècle, reconstruction de l'église à partir de 1845)[20] ;
- Golf et le château de la Freslonnière, ancienne propriété de la Famille de Freslon de La Freslonnière ;
- Château de Monvoisin (détruit) ;
- Bois de la Motte.
L'écart d'Apigné comprend notamment :
- les étangs d’Apigné ;
- le château d’Apigné, construit à la fin du XIXe siècle[21] ;
- le moulin d’Apigné[22],[23].
Le bourg de Moigné comprend notamment deux monuments (respectivement classé ou inscrit au titre des monuments historiques) :
Écluses, près des étangs d'Apigné.
Personnalités liées à la communeModifier
- Gabriel Freslon, seigneur de La Freslonnière, conseiller au Parlement de Bretagne à Rennes, président à mortier, député par le Parlement vers le roi Louis XIV le , mort le , inhumé en l'église Saint-Sauveur de Rennes.
- Cathy Melain, championne d’Europe de basket-ball
- X Makeena
- Samuel Lebret, champion de France d'haltérophilie
- Paul Hutin-Desgrées (1888-1975), fondateur du quotidien Ouest-France, décédé dans la commune
- Gaston Bardet, urbaniste, l'un des fondateurs du concept de cité-jardin
- Sylvain Wiltord, vainqueur du championnat d'Europe des Nations de football qui a vécu de longues années au Rheu et qui y vit encore
- Jimmy Briand, ancien joueur du Stade Rennais, de l'Olympique Lyonnais, de Guingamp, aujourd'hui à Bordeaux, a habité au Rheu
- Camille Abily, championne de France, de la champions league et de la ligue 1 féminine.
- Bernard de La Villardière, journaliste
HéraldiqueModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- « Chiffres clés - Logement en 2017 au Rheu » (consulté le 28 octobre 2020).
- « Chiffres clés - Logement en 2017 en Ille-et-Vilaine » (consulté le 28 octobre 2020).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- Un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour 43 communes, sur metropole.rennes.fr
- Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spézed, Coop Breizh, , 480 p. (ISBN 2-903708-04-5, OCLC 963221846), p. 389
- Résultats concernant « Le Rheu » dans la base KerOfis de l’office public de la langue bretonne.
- « ChubEndret », sur chubri-galo.bzh
- lerheu.fr L’influence de Gaston Bardet, 29 octobre 2018, sur le site www.lerheu.fr
- Géographie administrative et d’étude : Commune Moigné (35182) sur le site de l'INSEE.
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
- Démissionne de son mandat à la suite de son élection comme président du Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine.
- « Mickaël Bouloux, nouveau maire, succède à Jean-Luc Chenut », Ouest-France, 13 avril 2015.
- Blog du comité de jumelage franco-allemand
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Spectacles
- site officiel de l'Agora
- Site officiel du SC le Rheu
- Site Internet de l'INRA de Rennes
- Notice no IA00007823, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
- Notice no IA35046347, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
- Notice no IA35027805, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
- Notice no IA35000595, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
- Notice no PA00090758, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090757, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussiModifier
ArchivesModifier
- Seigneurie et vicomté de Méjusseaume et seigneurie de la Motte-au-Vicomte, au Rheu, cotes 14 J 41, 14 J 69-71 > Fonds Freslon de la Freslonnière, (14J), Archives I et V.
FilmographieModifier
- Documentaire Rue des Mésanges de Philippe Baron. Production Vivement Lundi/France 3 (2002)
BibliographieModifier
- Rémy Allain, Le Rheu, 1953-2003 : l'utopie à l'épreuve. Les 50 ans d'une "villette", cité-jardin de la région rennaise, in "De la campagne à la ville", Cahiers Nantais no 58, , Cestan Nantes - ESO UMR 6590 - CNRS
- Michel Damphousse, L'urbanisation d'une commune de banlieue : Le Rheu, Mémoire de maîtrise de géographie, Rennes, 1973, 184 p. Archives d'I&V - 2 J 216
- Michel Renoult, Le Canton de Mordelles en cartes postales et photos anciennes, éditions Danclau (ISBN 2-907019-39-2)
- Michel Renoult, Le Rheu, au pays de Rennes en Bretagne, éditions Jean-Pierre Bhir (ISBN 2-902923-12-0)
- Stephen Musgrave, « Le Rheu: Letchworth in Brittany ? », Town and Country Planning, vol. 71, no 11, p. 289–292, Town and Country Planning Association, London, Cet article établit un parallèle entre le développement du Rheu et celui de Letchworth Garden City, en Grande-Bretagne, inspirés du même modèle des cités-jardins.
- Gaston Bardet, (translated by F.J.Osborn) « False New Towns and new Rural Cities », "Town and Country Planning", vol.35, p. 193-195, Town and Country Planning Association, London, April 1967