Parvillers-le-Quesnoy

commune française du département de la Somme
(Redirigé depuis Le Quesnoy (Parvillers))

Parvillers-le-Quesnoy
Parvillers-le-Quesnoy
La mairie.
Blason de Parvillers-le-Quesnoy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes Terre de Picardie
Maire
Mandat
Christian Balcone
2020-2026
Code postal 80700
Code commune 80617
Démographie
Population
municipale
234 hab. (2021 en diminution de 1,68 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 50″ nord, 2° 44′ 21″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 106 m
Superficie 9,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Roye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Parvillers-le-Quesnoy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Parvillers-le-Quesnoy
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Parvillers-le-Quesnoy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Parvillers-le-Quesnoy

Parvillers-le-Quesnoy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Le territoire est bordé par Rouvroy, Damery, Andechy, Erches, Fouquescourt, La Chavatte, Fresnoy-lès-Roye, Goyencourt et Bouchoir.

Sol, sous-sol, hydrographie, relief modifier

Le sol communal est entièrement constitué du fertile limon des plateaux. Il recouvre une couche de craie qui n'affleure en aucun endroit.

Une nappe phréatique se trouvait en 1899 à 20 mètres de profondeur. C'est elle qui alimentait alors la population. Aucun cours d'eau ne coule sur le territoire[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-EN-SANTERRE (80) - alt : 95m, lat : 49°45'54"N, lon : 2°41'53"E
Records établis sur la période du 01-09-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,7 3,1 4,4 8 10,6 12,3 12,3 9,8 7,5 4,1 2 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,6 7,2 9,8 13,3 16,2 18,3 18,4 15,1 11,5 7,1 4,4 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,5 11,2 15,2 18,5 21,8 24,3 24,4 20,5 15,6 10,1 6,7 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
07.01.09
−11,6
12.02.12
−12,5
13.03.13
−4,8
08.04.03
−2,3
05.05.1996
2,2
05.06.12
2,8
03.07.11
3,7
02.08.15
−0,9
25.09.03
−6,1
24.10.03
−9,2
24.11.1998
−14,4
18.12.10
−17,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18
24.02.21
24,4
31.03.21
27,2
15.04.07
30,2
27.05.05
35,3
18.06.22
41,6
25.07.19
39,1
12.08.03
34,2
09.09.23
28,1
01.10.11
19,9
06.11.18
16,2
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 45,6 43 44,1 39,4 61,3 55,3 63,8 62,4 45,1 58,1 52,4 65,3 635,8
Source : « Fiche 80682001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Parvillers-le-Quesnoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,7 %), zones urbanisées (3,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

La commune est constituée par la fusion en 1968 de Parvillers et du Quesnoy[14] :

  • Parrovillaris (960), Parviller, Esparvillers, Parvillers (1323), peut être interprété comme « petite villa »[1] ;
  • Querculi apparait en 1130, Kaisnoi, Kaisnetum, forme latinisée et Caisnoi sont relevés ensuite. Dès 1569, on relève Le Quesnoy. Tous ces toponymes font référence à un lieu planté de chênes[15].

Histoire modifier

Des silex taillés et des monnaies antiques ont été découverts au Quesnoy et à Parvillers, attestant d'une présence humaine très ancienne[15],[1].

Les seigneuries du Grand et du Petit Buissancourt ont régné sur le village à l'époque féodale[1].

La chapelle Saint-Nicolas à Parvillers, démolie en 1855, serait le vestige d'un monastère ou d'une maladrerie[1].

Autour de l'église, des souterrains appelés « caves de guerre » ou muches, aussi bien à Parvillers qu'au Quesnoy, ont servi de refuge pendant les périodes troublées qu'a connues le village[15].

Parvillers a possédé un télégraphe aérien, installé sur le clocher de l'église. Il a été brûlé par les Cosaques pendant la guerre franco-allemande de 1870[1][Passage problématique].

Parvillers et Le Quesnoy se trouvaient dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale[16],[17].

Les deux anciennes communes ont été décorées de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

La commune de Parvillers, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1968 celle du Quesnoy (dite Le Quesnoy-en-Santerre, et qui avait elle-même absorbé Routiauville entre 1790 et 1794[19]) et devient Parvillers-le-Quesnoy[14].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Les anciennes communes puis la commune fusionnée se trouvaient de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , Parvillers-le-Quesnoy en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[20]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elles faisaient partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Parvillers-le-Quesnoy est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité modifier

La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[21].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[22],[23],[24]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[25], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [26].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[27].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs de Parvillers
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires successifs du Quesnoy[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1865 1888 Jean-Pierre Alphonse Guibon    
Liste des maires successifs depuis la fusion de 1968[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Bernard Coffin    
mars 2008 En cours
(au 8 octobre 2020)
Christian Balcone   Réélu pour le mandat 2014-2020[29],[30],[31],[32]

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 234 habitants[Note 3], en diminution de 1,68 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
360298287323348364385379369
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
338322331307282286275283251
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
241245239177192183162185177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
151132171154189221197220234
2021 - - - - - - - -
234--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'or à trois chevrons d'azur entravaillés avec un chêne arraché de sinople englanté du champ, passant sous le deuxième chevron et brochant sur les deux autres[43].
Ornements extérieurs
Deux croix de guerre 1914-1918 (Parvillers et Le Quesnoy-en-Santerre)
Détails
Les couleurs et les chevrons sont aux armes de la famille de Rély, dont étaient issus les seigneurs de Parvillers aux XVIe et XVIIe siècles, auxquels fut ajouté un chêne afin d'évoquer Le Quesnoy, formation toponymique signifiant « lieu planté de chênes ».

Adopté le .

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d e et f Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Parvillers, M. Chiraux, 1899, Archives départementales de la Somme.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Parvillers-le-Quesnoy et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Roye », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. a b et c Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur du Quesnoy, M. Dury, 1899, Archives départementales de la Somme.
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Parvillers. Observatoire allemand en béton construit dans l'écurie d'une ferme », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Parvillers. Parc du château ; abri allemand pour mitrailleuses, inachevé, le long du mur du parc. Cet abri flanquait le village face au nord-est », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17583.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Quesnoy », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  20. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  21. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  22. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  23. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  24. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  25. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  26. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  27. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  28. a et b « Les maires de Parvillers-le-Quesnoy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  29. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. « Un 2e tour le 29 juin pour les municipales à Parvillers-le-Quesnoy : Dix conseillers sur 11 avaient été élus le 15 mars dernier », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 247 (ASIN B000WR15W8).
  37. Cliché Berne-Bellecour, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnoy-en-Santerre. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  38. Cliché Berne-Bellecour, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnoy-en-Santerre. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  39. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Quesnoy-en-Santerre. L'église et ses abords », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  40. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Parvillers, d'après nature, 11 oct. 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  41. Notice no PM80001023Fonts baptismaux, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « Fonts baptismaux de l'église de Parvillers. - Nicolle, lith. - Extrait des "Voyages pittoresques dans l'ancienne France" par Taylor. », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  43. « 80617 Parvillers-le-Quesnoy (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).