Le Barp

commune française du département de la Gironde

Le Barp
Le Barp
Traversée du centre-ville.
Blason de Le Barp
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Arcachon
Intercommunalité Communauté de communes du Val de l'Eyre
Maire
Mandat
Blandine Sarrazin
2020-2026
Code postal 33114
Code commune 33029
Démographie
Gentilé Barpais
Population
municipale
5 654 hab. (2021 en augmentation de 5,09 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 36′ 25″ nord, 0° 46′ 00″ ouest
Altitude Min. 40 m
Max. 84 m
Superficie 107,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Barp
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.ville-le-barp.fr

Le Barp [lə baʁp] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le Barp est une commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans le Pays de Buch, sur la route nationale RN10 à environ 30 kilomètres au sud de Bordeaux. Elle se trouve dans la Forêt des Landes, sur le territoire du Parc naturel régional des Landes de Gascogne.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes en sont Cestas au nord, Saucats au nord-est, Saint-Magne au sud-est, Belin-Béliet au sud, Salles au sud-ouest et Mios à l'ouest.

Communes limitrophes du Barp[1]
Cestas Saucats
Mios  
Salles Belin-Béliet Saint-Magne

Climat modifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 13 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 020 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1992 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records LE BARP (33) - alt : 55 m 44° 39′ 24″ N, 0° 48′ 30″ O
Statistiques établies sur la période 1992-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1992 au 01-01-2013
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,4 4,3 6,3 10 12,9 14,3 14,5 11,2 9,5 5,2 3,1 8
Température moyenne (°C) 6,6 7,4 10,2 12,2 16,2 19,2 20,7 21 17,6 14,7 9,6 6,9 13,6
Température maximale moyenne (°C) 10,8 12,5 16,1 18,2 22,4 25,6 27,2 27,6 24 19,9 14 10,7 19,1
Record de froid (°C)
date du record
−10,7
13.01.03
−12,2
12.02.12
−10,9
01.03.05
−4,4
04.04.1996
0,1
14.05.1995
3,3
01.06.06
6,5
01.07.02
5,4
29.08.1998
1,6
25.09.02
−4,9
30.10.1997
−8,3
17.11.07
−12,1
16.12.01
−12,2
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
22,6
05.01.1999
25
15.02.1998
27,3
15.03.12
33,8
30.04.05
36,6
30.05.1996
40,5
21.06.03
38,5
20.07.1998
41,5
04.08.03
37,4
03.09.05
31,6
02.10.11
25
02.11.1993
21,9
07.12.00
41,5
2003
Précipitations (mm) 97,2 77,6 73 73,7 72,2 61,4 49,6 56,3 77,4 94,2 120,7 108,3 961,6
Source : « Fiche 33029001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Barp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine du Barp, une unité urbaine monocommunale[12] de 5 654 habitants en 2021, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,8 %), terres arables (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), zones urbanisées (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), eaux continentales[Note 6] (1,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports modifier

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune du Barp est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1999, 2009 et 2020[20],[18].

Le Barp est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[21]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[22],[23].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Barp.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 42,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 933 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 752 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie modifier

 
Toponymie et occupation du sol, Cassini 1756

Le toponyme est attesté dès le XIIIe siècle sous les formes latine Barbo (ablatif de Barbus), languedocienne (del) Barbe (1263) et gasconne (deu) Barp (donc lo Barp, 1220) : la transformation de Barbo à Barp est régulière en gascon.

Albert Dauzat et Ernest Nègre expliquent le toponyme par l'anthroponyme Barbus[27], l'article étant dû à une confusion avec le nom commun du barbeau, homonyme en gascon[28].

Bénédicte Boyrie-Fénié pense au contraire qu'il s'agit bien d'un nom commun, basé sur la racine hydronymique *barb- signifiant lieu humide (on relève au XIIIe siècle la mention « in palude de Barba » signalant un marais du nom de Barbe ; noter aussi les rivières voisines dénommées Barbouse et Barbanne)[29].

En gascon, le nom de la commune est Lo Barp.

Histoire modifier

François Jouannet signale le passage de la voie romaine vers Dax en provenance de Cestas, qui porte le nom local de Lébade ou Camin Rouman. Des vestiges antiques y ont été repérés par la suite, par entre autres Camille Jullian[30].

Le village a été fondé autour de l'hôpital qui existait dès le XIIIe siècle à la place de l'église actuelle et qui n'a pas survécu à l'abandon du pèlerinage car, comme le remarque irrévérencieusement Baurein, Qui peregrinantur, raro santificantur[31].

Important relais de poste sur la route d'Espagne qui traversait la paroisse du nord au midi : c'est la quatrième station de la poste à chevaux après Gradignan, Les Taules et Le Puch de Lagubath.

Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[32]. Les bouviers de la Lande transportant des denrées à vendre y faisaient halte avant d'arriver à Bordeaux. Par extrapolation, l'abbé Baurein, faute de renseignements directs, suggère qu'on y élève des pins et bois-taillis, qu'on s'y occupe de terres labourables et de la garde des troupeaux, et de faire du charbon pour le vendre à Bordeaux.

D'après Baurein, il existe à l'époque un lieu très apprécié des pasteurs qui y mènent leurs troupeaux, Les Sotiates qui doit peut-être son nom à la tribu mentionnée par Jules César.

À la Révolution française, la paroisse Saint-Jacques du Barp forme la commune du Barp[33].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1968 1983 René Born PS  
1983 2001 Guy Pellerin[34] UMP  
mars 2001 décembre 2006 Danièle Born PS  
janvier 2007 2020 Christiane Dornon[35] UMP-LR  
2020 En cours Blandine Sarrazin[36] DVC  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

Les habitants sont appelés les Barpais[37].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 5 654 habitants[Note 7], en augmentation de 5,09 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0141 0851 1071 3136741 4081 4121 4941 519
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4521 4381 5431 4481 4761 5261 4611 5181 520
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4371 4451 4441 2381 2121 0521 004805937
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8929581 3032 2382 5843 2424 0484 2934 523
2014 2019 2021 - - - - - -
5 3285 6055 654------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Agriculture modifier

L'essentiel de l'activité primaire est tournée vers l'exploitation de la forêt qui couvre une très grande part du territoire communal.

Darbonne Pépinière produit des fraisiers et petits fruits rouges, exporte et commercialise des plantes. Le Barp est célèbre pour sa production d'asperges des sables des Landes et ses recettes.

Industrie modifier

Dans le nord du territoire communal, est implanté le Cesta, centre d'études scientifiques et techniques d'Aquitaine, du Commissariat à l'énergie atomique qui abrite en particulier le laser Mégajoule.

Reportage avril 2013

Une entreprise d'exploitation d'un gisement d'argile de qualité s'adapte régulièrement depuis plus d'un siècle à l'évolution de la demande et du marché international. Elle porte actuellement le nom Les Grés de Gascogne et produit des pavés et des carrelages en céramique, lisses ou antidérapants, dans les teintes beige rosé[42]. Elle participe également aux journées patrimoniales girondines[43]. C'est une des dernières entreprises traditionnelles du parc naturel régional des Landes de Gascogne[44].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église Saint-Jacques.
  • L'église Saint-Jacques a été entièrement reconstruite durant la seconde moitié du XIXe siècle[45].
Elle abrite une cloche du XVIIIe siècle.

Héraldique modifier

Les armes du Barp se blasonnent ainsi :

Coupé, au premier, parti au I de gueules au prieuré à la tour gasconne couverte et girouettée d'argent, ouverte du champ, maçonnée de sable, flanquée de deux corps de logis couverts aussi d'argent, ouverts chacun aussi du champ, maçonnés aussi de sable, et au II d'or aux deux bourdons de pèlerin d'argent passés en sautoir et à la coquille d'azur brochant en abîme sur le tout, au second d'azur au chêne terrassé d’argent, fruité d’or, à dextre, et au pin terrassé aussi d’argent à senestre, au soleil d’or mouvant du milieu de la partition et à la pomme de pin renversée d’argent en pointe[46].

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Le Barp sur Géoportail, consulté le 18 mai 2015.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 33029001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 du Le Barp », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune du Barp », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Barp », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 10640..
  28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
  29. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 56..
  30. Hubert Sion, Académie des inscriptions et belles-lettres, Carte archéologique de la Gaule 33-1 : La Gironde, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, , 1re éd., 360 p. (ISBN 978-2-87754-028-5), p. 95..
  31. Il reprend ainsi la maxime du moine Thomas a Kempis « qui multum peregrinantur, raro sanctificantur » (« Ceux qui voyagent beaucoup se sanctifient rarement ») ; Jacques Baurein 1876 page 197
  32. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), p. 195-200
  33. Historique des communes, p. 4, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 18 mai 2015.
  34. « Guy Pellerin est décédé », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  35. Conseil municipal sur le site de la mairie.
  36. « Municipales au Barp, Blandine Sarrazin l’emporte », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  37. Nom des habitants du Barp sur habitants.fr, consulté le 18 décembre 2011.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Dubourg Jacques, « Bienvenue aux Grés de Gascogne », (consulté le ).
  43. Annie Lesca, « Aux Grés de Gascogne », sur Raconte-moi, (consulté le ).
  44. PNRLG, « Les Grés de Gascogne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  45. Église Saint-Jacques du Barp sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 18 mai 2015.
  46. Le blason sur le site de la mairie, bas de page, consulté le 20 décembre 2009.