Lannédern

commune française du département du Finistère

Lannédern
Lannédern
Le site de Lannédern depuis l'église : à l'arrière-plan les monts d'Arrée et le mont Saint-Michel-de-Brasparts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Châteaulin
Intercommunalité Communauté de communes Pleyben-Châteaulin-Porzay
Maire
Mandat
Pauline Caro
2020-2026
Code postal 29190
Code commune 29115
Démographie
Population
municipale
311 hab. (2021 en augmentation de 2,3 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Population
agglomération
6 685 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 18′ nord, 3° 54′ ouest
Altitude Min. 80 m
Max. 201 m
Superficie 12,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pleyben - Châteaulin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Briec
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Lannédern
Liens
Site web www.lannedern.bzh

Lannédern [lanedɛʁn] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Elle est située au sud des monts d'Arrée, du Yeun Elez et du lac réservoir de Saint-Michel.

Géographie modifier

Communes limitrophes de Lannédern
Brasparts Loqueffret
Pleyben   Plonévez-du-Faou
Le Cloître-Pleyben

Description modifier

Lannédern est un bourg étiré le long de la route départementale 14, orientée du nord-est au sud-ouest, du Huelgoat à Pont-Keryau, situé dans la commune de Pleyben. Situé à une altitude de 154 mètres, il s'est développé sur un replat formant un belvédère dominant les paysages vallonnés de la partie orientale de Brasparts et de la partie occidentale de Loqueffret, avec des vallons encaissés (la Douffine et ses affluents) et des éminences verdoyantes comme le Bois de Bodriec et le Roc'h Glaz situés dans la commune de Loqueffret. Au loin, au nord-ouest, le dôme du mont Saint-Michel de Brasparts domine l'horizon, par delà le marais du Yeun Elez.

La commune est limitée au nord par un affluent de rive gauche de la Douffine coulant dans une vallée relativement encaissée qui sépare la commune de ses voisines nordiques Brasparts et Loqueffret : c'est là au nord-ouest du territoire communal que se rencontrent les altitudes les plus basses de la commune: 84 mètres près de Kerivarc'h, hameau situé en Brasparts mais limitrophe de Lannédern, 83 mètres dans la vallée du Ster Roudou, à la confluence avec un ruisseau de rive gauche qui sert de limite avec la commune de Pleyben. Les altitudes les plus élevées se rencontrent à proximité du bourg, à son sud-est (200 mètres au sud de Roc'h Ven, 195 mètres à la chapelle de Coat ar Roc'h), ce qui explique que le bourg de Lannédern est exposé sur une pente regardant vers le nord, tournant le dos au sud. Des altitudes assez élevées se rencontrent également à proximité de la limite orientale de la commune (176 mètres à Kerharnel) avec la partie sud de Loqueffret et méridionale (167 mètres à Pennanéac'h) avec la commune voisine de Le Cloître-Pleyben.

La commune est peu boisée, mais présente un paysage de bocage verdoyant. Outre un bourg de taille modeste, la population est répartie en une vingtaine de hameaux, les plus importants étant ceux de Treuscoat, Quivit, Coulin, Mescoz, Guernaléon, Penhuil, Doar Guennou, Pennanéac'h.

Lannédern est proche du parc naturel régional d'Armorique, mais n'en fait pas partie.

Géologie modifier

Des gisements de jaspe existent dans d'anciennes carrières situées entre Lannédern et la chapelle Coat ar Roc'h ; ces jaspes à magnétite[1] de couleurs variées (noirs, bruns, rouges ou blancs) sont liés au volcanisme spilitique d'âge dinantien[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 281 mm, avec 16,3 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brennilis à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 552,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lannédern est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe dix-huit communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,3 %), zones agricoles hétérogènes (38 %), prairies (2,8 %), zones urbanisées (2 %), forêts (0,9 %)[15]. CORINE Land Cover L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lanedern vers 1330, Lannedern en 1368.

Le nom de Lannédern provient du breton « lan » (ermitage) et de saint Edern[17], né au Pays de Galles ou en Irlande.

Histoire modifier

L'histoire de Lannédern est peu connue. Il n'y a pratiquement aucun vestige des temps préhistoriques et antiques si ce n'est quelques tumuli non datés.

Origines modifier

 
Saint Edern sur son cerf (calvaire de l'enclos paroissial).

Edern né au Pays de Galles ou en Irlande, est l'un des saints venus de ce pays, probablement en 894 près de Douarnenez, à Le Juch, dans un premier temps, puis à Edern, ensuite à Plouédern, avant de s'établir à Lannédern[18] pour évangéliser la Bretagne[19] à la fin du IXe siècle. Lannédern dépendait initialement de la paroisse de l'Armorique primitive de Pleyben et son existence est connue depuis 1330 (Lanedern)[20].

Moyen Âge modifier

Selon un document de 1498, une école existait alors à Lannédern[21].

L'enclos paroissial témoigne que la paroisse a connu une certaine richesse aux XVIe et XVIIe siècles, due probablement surtout à la famille noble des Lezormel dont le blason est représenté plusieurs fois dans l'église.

Époque moderne modifier

La commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges en 1675.

Le XIXe siècle modifier

Le XXe siècle modifier

La Première Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Lannédern porte les noms de trnte-cinq soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Parmi eux, trois (Jean Le Bras, Yves Morvannou, Jean Salaün) sont morts à Rossignol (Belgique) en 1914 lors de la Course à la mer ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français[22].

La Seconde Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Lannédern porte les noms de huit personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

Démographie modifier

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
527621482606631623577663666
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
669671616634678720766751758
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
863831818775766713667612566
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
531477409361309272295316295
2021 - - - - - - - -
311--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Après une première baisse temporaire de population au tout début du XIXe siècle, Lannédern a connu une population relativement stable, avec d'assez faibles dents de scie dans l'évolution démographique tout au long du XIXe siècle (un minimum relatif est atteint en 1841 avec 577 habitants, un maximum relatif en 1886 avec 766 habitants), atteignant son maximum absolu en 1901 avec 863 habitants. Par delà ces modestes dents de scie, une augmentation globale de +381 habitants (+79 %) en 95 ans de 1806 à 1901 peut quand même être constatée tout au long du XIXe siècle. Le changement de siècle coïncide avec le retournement démographique : la population baisse constamment d'un recensement à l'autre tout au long du XXe siècle, passant de 863 habitants en 1901 à 272 en 1999 (perte de 591 habitants en 98 ans, soit -68,4 %, une perte de plus des deux-tiers des habitants en à peine un siècle). Les premières années du XXIe siècle semblent toutefois amorcer un timide retournement démographique puisque la commune a gagné vingt-trois habitants en sept ans entre 1999 et 2006, grâce à un solde migratoire redevenu positif (+1,5 % l'an en moyenne entre 1999 et 2006) alors qu'il a été constamment négatif tout au long du XXe siècle. L'accroissement naturel reste toutefois négatif (vingt-huit naissances en dix ans de 1998 et 2007 pour trente-deux décès)[25] en raison du vieillissement de la population (26,4 % de 65 ans et plus en 2006 contre 17,3 % de 0 à 14 ans).

La densité de population n'est plus que de 23,7 habitants au km2 alors qu'elle atteignait 69,4 habitants au km2 en 1901.

Politique et administration modifier

 
La mairie-poste.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1925 1941 Alain Le Seac'h    [26],[27]
1965 1977 Jean Cornec   garagiste[28]
1977 2001 Louis Salaun    [29]
2001 2008 Jean Pirche RPR Conseiller général du canton de Pleyben (1985-2004)
2008 2020 Georges Pouliquen DVD Retraité
2020 En cours Pauline Caro SE Dirigeante d'entreprise

Monuments modifier

 
L'église Saint-Edern.
 
Le calvaire de l'enclos paroissial.
 
Détail de l'ossuaire (têtes de morts).
 
La chapelle de Coat ar Roc'h (lieu de l'ermitage de saint Edern).

« Le tombeau de saint Edern se trouvait autrefois au milieu de la nef (de l'église de Lannédern). Mais comme l'espace était trop étroit pour les fidèles, vers 1860 il a été relégué au bas du collatéral nord, où il est un peu perdu dans l’obscurité. Ce monument est constitué par une table portée sur une arcature à redents qui semble du XIVe siècle, et sur cette table est la statue couchée du saint, vêtu de la robe et de l'aumusse, les mains jointes et les pieds posés sur le cerf qui est sa caractéristique ordinaire »[34]. Le saint serre sous le coude gauche le livre de prières avec ses fermoirs et que le cerf selon dom Plaine semble être venu près du tombeau de son maître y expirer « pour témoigner l’attachement inviolable qu’il avait voué à son sauveur »[19].

Dans le trésor de l'église Saint-Edern de Lannedern (29) se trouve une croix de procession en argent du XVIIe siècle avec inscription et poinçon surmonté d'un oiseau de François Lapoul, orfèvre à Morlaix, des représentations de la Vierge Marie et de saint Jean sur les consoles en volute et un nœud à deux étages de niches contenant les Apôtres. L'inscription sur la croix : « FET.CE.IOUR.19.AVRIL.1620 » et poinçon F.L. Saint Jacques, auréolé, a la tête couverte d’un capuchon. En robe et manteau, la besace au côté, il tient un livre dans la main droite et un gigantesque bourdon dans la gauche.

  • Un ossuaire daté de 1660 est situé à proximité de l'église. Une des statues extérieures représente l'Ankou. La mort est représentée sous forme de crâne et tibias entrelacés, avec l'inscription Cogita Mori - Respice finem (« Rappelle-toi que tu es mortel - Songe à ta fin »). Une autre statue représente Saint Edern, pieds nus reposant sur le cerf de sa légende, animal qu'il aurait apprivoisé et qui serait resté son compagnon jusqu'à sa mort. Une sirène sculptée sur l'ossuaire montre une poitrine très généreuse exposée au regard des hommes[31].
  • La chapelle Notre-Dame de Coat ar Roc'h date du XVIe siècle. Elle a été édifiée à l'emplacement de l'ermitage de saint Edern[20]. Elle a été une propriété privée possédée par Jean Pirche, avocat et maire de la commune, décédé en 2020 ; la vente aux enchères de sa collection d'art dans le but de financer la restauration de la chapelle, avant sa restitution au culte, est organisée le [35].
  • La chapelle Sainte-Anne est en fait un ancien ossuaire datant de 1668, situé dans l'enclos paroissial.
  • Croix du XVIe siècle.
  • Calvaire dans l'enclos paroissial.
  • Le calvaire (1625) situé au nord du hameau de Birilit est de Roland Doré.

Héraldique modifier

  Blason
Parti: au 1er bandé d'argent et d'azur, au 2e d'orangé à l'ermite en aumusse chevauchant un cerf à la ramure brisée, le tout d’argent, sur un socle du même; le tout sommé d'un comble d'argent chargé de quatre mouchetures d'hermine de sable[36].
Devise
« bevañ mad » (vivre bien).
Détails
Adopté le 7 mai 2010.

Légendes modifier

  • La légende du cerf de Saint Edern[37].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes modifier

Références modifier

  1. Ces jaspes sont issus d'une transformation très poussée vers la forme "pierre" d'une vase de grand fond, dans laquelle est mélangée à la silice une certaine proportion de matière organique.
  2. (en) « Coat ar Roc'h area, Lannédern, Finistère, Brittany, France », sur Mindat.org, (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Lannédern et Brennilis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Brennilis » (commune de Brennilis) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Brennilis » (commune de Brennilis) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  17. « Sant Edern »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur grandterrier.net (consulté le ).
  18. Jacques Baudouin, "Grand livre des saints: culte et iconographie en Occident", Nonette, 2006 [ (ISBN 978-2-84819-041-9)]
  19. a b et c « http://catholique-quimper.cef.fr/decouvrez_notre_patrimoine/les-pardons/bol-d-air-breton/copy_of_saint-edern/ »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. a et b Lannedern.
  21. Jean Rohou, Fils de ploucs, tome 2, 2007, éditions Ouest-France, (ISBN 978-27373-3908-0).
  22. Memorialgenweb.org - Lannédern : monument aux morts.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Données Insee.
  26. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k346375f/f2.item.zoom
  27. Lannédern Démission du Maire M. Alain Le Séac’h vient d’adresser à M. le Préfet du Finistère sa démission de Maire de Lannédern. Elu pour la première fois en 1912 conseiller municipal de notre commune M. Le Séac’h succéda en 1925, comme Maire, à M. Bourlès. Grand mutilé de guerre, M. Le Séac’h est chevalier de la Légion d’honneur. La Dépêche de Brest 30/04/1941
  28. https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=19990312&article=19990312-5324029&type=ar
  29. http://www.lannedern.bzh/wp-content/uploads/2021/03/VAL_14_janvier2012.pdf
  30. Fiche, Culture.gouv.fr.
  31. a et b Sophie Duhem, Impudeurs et effronteries dans l'art religieux breton (XVe siècle - XVIIIe siècle), éditions Le Télégramme, 2012, (ISBN 978-2-84833-288-8).
  32. Patrice Ciréfice, « Pardon de Saint Edern en Lannédern », sur forum-actif.net, Le forum de Brasparts, (consulté le ).
  33. « Affichage d'un enregistrement », sur dastumedia.bzh (consulté le ).
  34. Peyron, Abgrall, « Bulletin diocésain d’histoire et d’archéologie », op. cit. mars-avril, 1919, p. 51.
  35. Yann Le Gall, « L'exceptionnel mobilier d'une chapelle mis aux enchères », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
  36. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=18616
  37. Claude Gaignebet, A plus hault sens, tome II, Maisonneuve et Larose, 1986, (ISBN 2-7068-0925-6).

Liens externes modifier

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