Lamarche (Vosges)

commune française du département des Vosges

Lamarche
Lamarche (Vosges)
L'hôtel de ville de Lamarche.
Blason de Lamarche
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Les Vosges Côté Sud-Ouest
Maire
Mandat
Daniel Vagné
2020-2026
Code postal 88320
Code commune 88258
Démographie
Gentilé Lamarchois, Lamarchoises
Population
municipale
841 hab. (2021 en diminution de 13,92 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 09″ nord, 5° 46′ 57″ est
Altitude 355 m
Min. 339 m
Max. 500 m
Superficie 33,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vittel - Contrexéville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Darney
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lamarche
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Lamarche
Liens
Site web www.lamarche88.com

Lamarche est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Lamarchois.

Géographie modifier

Localisation modifier

À l'extrême sud-ouest du département des Vosges et de la Lorraine, Lamarche doit son nom à sa situation à la frontière de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté, dans une zone qui était déjà la limite entre trois peuples gaulois[1] : les Leuques du côté vosgien, les Lingons du côté de la Haute-Marne et les Séquanes en Franche-Comté. Lamarche est située à 16 km de Bourbonne-les-Bains, 17 km de Monthureux-sur-Saône, 20 km de Contrexéville, 23 km de Bourmont, 25 km de Montigny-le-Roi, 32 km de Jussey et 37 km de Neufchâteau.

Le lieudit Aureil-Maison est sur le tracé du sentier de grande randonnée 7.

Communes limitrophes modifier

Relief et géologie modifier

La ville est entourée de mamelons escarpés : le mont des Fourches (501 m) à l'est, le mont Saint-Étienne (477 m) au nord, la côte de Mont (452 m) au sud. À l'ouest, c'est la forêt de Morimond qui forme une barrière traversée seulement par la D 429 en direction de Fresnoy-en-Bassigny.

Voies de communication et transports modifier

Lamarche est sur la ligne ferroviaire à double voie de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt inaugurée en 1881. Du fait du mauvais entretien et d'une fréquentation faible, le service voyageurs a été interrompu le . Toutefois, il a partiellement repris le grâce à la création d'une liaison Paris – Contrexéville – Vittel[2], fonctionnant les vendredis, dimanches et jours fériés, de début avril à début novembre[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse et pour partie dans le le bassin versant de la Saône au sein du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par le Mouzon, le ruisseau Haut Fer, le ruisseau le Flambart, le ruisseau de Romain-Aux-Bois, le ruisseau le Petit Mouzon, le ruisseau de Graveilles, le ruisseau de Gris Fontaine, le ruisseau de la Coutelotte, le ruisseau de la Fontaine Aux Dames, le ruisseau de la Mauve et le ruisseau des Deserts[4],[Carte 1].

Le Mouzon, d’une longueur de 63,3 kilomètres, prend sa source sur le territoire de Serocourt, s’oriente vers l'ouest puis vers le nord peu après avoir quitté les localités de Rocourt et Tollaincourt, jusqu'aux abords de son confluent avec la Meuse[5].

Le ruisseau Haut Fer, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Saône à Fignévelle, après avoir traversé six communes[6].

Le ruisseau le Flambart, d'une longueur totale de 18,2 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Meuse à Audeloncourt, après avoir traversé quatre communes[7].

Le ruisseau Haut Fer, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Saône à Fignévelle, après avoir traversé six communes[6].

 
Réseaux hydrographique et routier de Lamarche[Note 1].

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 2] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[8].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 949 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey à 13 km à vol d'oiseau[11], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 3],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lamarche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,9 %), prairies (32,3 %), terres arables (9,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (2,2 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Anciennes mentions : Marchia (1217 et 1238), La Marche (1301), De Marchiis (1402), La Marche en Barrois (1751), Marchisia (1768), La Marche (1793 et 1801)[22],[23].

La première attestation de la localité est sous le nom de Marchia en 1217, d'une racine germanique marka, « frontière », repris en latin médiéval sous la forme marca ou marchala, de même sens.

Histoire modifier

Lamarche s'est développée au carrefour de deux grandes voies antiques, la voie de Langres à Strasbourg par le Donon, et la voie venant de Besançon qui rattrapait à Nijon le grand axe Lyon - Toul - Metz - Trèves. Située aux marches de la Lorraine et du Barrois, elle fut le siège d'un bailliage du comté de Bar puis une prévôté du duché de Lorraine. Le bourg fut fortifié et protégé par un château qui fut vraisemblablement détruit lors de la guerre de Trente Ans.

En 1424, la défense de Lamarche est organisée. Philippe de Norroy est fait gouverneur de Bassigny par René d'Anjou, duc de Bar car le bailliage est particulièrement exposé aux incursions des routiers anglo-bourguignons en lutte contre Robert de Baudricourt, vassal du dauphin Charles VII. Le , Jean de Vergy aidé d'une garnison anglaise forte de trois cents chevaux, part de la ville Montigny-le-Roi pour se porter au devant de la citadelle de Lamarche. Du 15 au , Philippe de Norroy, aidé de Huart de Mandres bailli de Bassigny, réunit à Lamarche près de 140 hommes d'armes en vue de défendre le pays. Vaincues les troupes ennemies battent en retraite mais ravagent les villages alentour dont Serocourt.

En 1425, les garnisons de Lamarche furent à nouveau renforcées afin de faire face à un nouvel assaut du sire de Vergy. À cet effet, Philippe de Norroy reçoit une somme de 100 livres pour solder des gens de guerre au service du duc.

La Marche a été chef-lieu de district sous la Révolution.

De ce riche passé[évasif], le bourg conserve une église ancienne, de nombreux édifices civils de belle facture, ainsi qu'une belle chapelle romane dans l'écart d'Aureil-Maison[24].

1843[25] : premier cimetière éloigné de l'église, situé à côté du château de la Trinité. On y trouve notamment une chapelle funéraire de la famille de Bourgogne et de la famille de Maussabré, anciens propriétaires du château aux XIXe et XXe siècles.

1927[26] : second cimetière éloigné de l'église, inauguré par le maire Camille Picard, en face du premier cimetière.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1908 1940 Camille Picard[27] Rad. Député (1910-1919, 1924-1928, 1932-1936)
Conseiller général du canton de Lamarche (1912-1919, 1925-1940)
1940 mars 1945 Henri Laurent Sans étiquette Industriel
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 1989 Jean-Pierre Antoine Gauche Principal-adjoint de collège
mars 1989 mars 2001 Gérard Voilquin Droite Chirurgien-dentiste
mars 2001 En cours
(au 09 août 2020)
Daniel Vagné Sans étiquette Artisan-boulanger-patissier

Comptes de la commune modifier

En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

  • total des produits de fonctionnement : 570 000 , soit 536  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 624 000 , soit 604  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 387 000 , soit 364  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 555 000 , soit 522  par habitant.
  • endettement : 20 000 , soit 19  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taux d’imposition Taxe d’habitation : 212,06 %
  • taxe foncière sur propriétés bâties : 9,12 %
  • taxe foncière sur propriétés non bâties : 13,57 %
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 30,75 %
  • cotisation foncière des entreprises : 11,70 %

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 841 habitants[Note 6], en diminution de 13,92 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
1 6741 5541 6121 4801 6251 7411 8412 0291 804
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 8321 7191 7541 7831 6931 6641 6511 6251 481
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 4501 4121 1611 1791 1121 1511 1371 1341 209
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
1 2011 3331 3381 2581 1591 0841 062983864
2021 - - - - - - - -
841--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Édifices religieux modifier

  • Église Notre-Dame de l'Assomption de Lamarche, classée aux Monuments historiques en 1997, datant du XIIIe siècle. Orgue de 1842 de Nicolas-Antoine Lété[32],[33],[34],[35], transformé en 1896 par Henri Didier[36].
  • Hôpital local maison de retraite, avec sa chapelle Saint-Charles-Borromée (4 rue de Bellune).
  • Les cimetières communaux : le premier de 1843 et le second de 1927 (rue du faubourg de France).
  • Cimetière israélite[37] de 1849 (rue de la Romaine). Il fait partie du patrimoine juif de Lorraine.
  • Chapelle Notre-Dame d'Aureil-Maison du XIIe siècle (au hameau d'Aureil-Maison)[38],[39], inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [40].
  • Calvaires :
    • Calvaire du chemin de la Maillarde, socle en pierre et croix en bois.
    • Calvaire de la croix de mission
  • Ruines de la chapelle du parc ancien couvent des Trinitaires.

Édifices publics modifier

  • Hôtel de ville (entre les 18 et 20 de la rue du colonel Renard)
  • École communale (rue de l'école).
  • Anciennes halles (rue du faubourg de France), transformées en salle des fêtes
  • Lavoirs[41] construits au XIXe pour suivre les théories de l'hygiénisme :
    • Fontaine des Sources de 1835 (place Jules Ferry).
    • Fontaine du Rupt du Mai de 1837 (carrefour rue du Colonel Renard / rue Gambetta).
    • Lavoir du Grisfontaine de 1838 (carrefour rue St Nicolas / avenue de la Gare).
    • Lavoir du hameau d'Aureil-Maison de 1848 (carrefour rue de la Bondisse / rue de la Fontaine).
  • Monument aux morts de 1921[42] (place Jules Ferry) ; il est surmonté d'une statue de poilu avec les bras croisés de François Cogné.
  • Monument Victor Perrin (1764-1841), maréchal d'Empire, duc de Bellune (au centre de la place de Bellune agrémentée d'une fontaine). La maison natale de Victor Perrin se trouve presque en face de la place, au 12 rue de Bellune.
  • Monument Charles Renard (1847-1905), rénovateur de l'aéronautique (sur la place du colonel Renard, rue de Bellune, en face de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption). Œuvre de Paul Theunissen[43]
  • Gare de Lamarche de 1881 située sur la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt.

Édifices privés modifier

  • Château de la Trinité (XVIIIe, ancien couvent de l'ordre des Trinitaires) devenu château à partir de sa vente en 1791 lors des événements de la révolution française.
  • Maison Renard[44], située 21 rue du colonel Renard, datant du XVIIIe siècle : maison de famille des frères Charles Renard et Paul Renard.
  • Hôtel de Bourgogne[45], situé 31 rue du colonel Renard, du début du XVIIIe siècle : immeuble inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du pour sa façade avec un remarquable escalier en fer à cheval et classé au même titre et par le même arrêté pour sa pièce à alcôve avec son décor au rez-de-chaussée et la salle voûtée du sous-sol[46].
  • Ancien siège du bailliage du Bassigny mouvant, de style classique du XVIIIe (au 10 rue de Bellune) avec une belle façade en pierres sculptées. Une jolie grille ferme une petite cour d'honneur sur le devant.

Héraldique modifier

  Blasonnement :
D'argent à la grenade de gueules, ouverte d'or, tigée et feuillée de sinople, penchée à senestre.
Commentaires : La présence d'une grenade sur un blason lorrain peut surprendre. D'après le site de la commune, la grenade est un symbole d'unité dans la diversité, les nombreux grains, tous différents, sont enfermés dans un même fruit. Elle pourrait symboliser le repeuplement composite du lieu après la guerre de Trente Ans.

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
    Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 647 : Lamarche
  • Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495 p.
    Lamarche p. 456 et Carte n°5 des Vosges, B.38.688.87

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. La ligne de partage des eaux entre le le bassin versant de la Meuse et le bassin versant de la Saône est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  2. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Lamarche » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Matthieu Michler, Carte archéologique de la Gaule - 88 - Les Vosges, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 2004, (ISBN 2-87754-088-X) (BNF 40040259), pages 71-72.
  2. « Le train des Eaux de retour dans les stations thermales », sur vosgesmatin.fr, (consulté le ).
  3. « Paris-Vittel en direct les week-ends » [PDF], sur ter.sncf.com/grand-est (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Lamarche », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « le Mouzon »
  6. a et b Sandre, « le ruisseau Haut Fer »
  7. Sandre, « le ruisseau le Flambart »
  8. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Lamarche et Saint-Ouen-lès-Parey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Impr. nationale, 1941
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. histoire de Lamarche sur le site de la commune
  25. Date sur les portes du premier cimetière
  26. Date à l'entrée du second cimetière avec la mention du député-maire Camille Picard
  27. Bertrand Munier, 1791-2003 Le Grand livre des élus vosgiens, Gérard Louis éditeur, Haroué, (ISBN 2-914554-34-6).
  28. Les comptes de la commune de Lamarche « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. L'orgue de 1842 de Nicolas-Antoine Lété, transformé en 1896
  33. Notice no PM88001143, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture tribune ; buffet d'orgue ; partie instrumentale de l'orgue
  34. Notice no PM88001036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Buffet néo-baroque à 3 tourelles
  35. Notice no PM88000501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture partie instrumentale de l'orgue
  36. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 304 et 350 à 353.
  37. Le cimetière juif de Lamarche
  38. La chapelle Notre-Dame hameau d'Aureil-Maison
  39. Chapelle Notre-Dame d'Aureil
  40. « Chapelle Notre-Dame d'Aureil », notice no PA00107189, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Lavoirs des Vosges sur le site lavoirs.org
  42. Monument aux morts de Lamarche sur le site monumentsmorts.univ-lille3.fr
  43. Le monument Charles Renard sur le site aerosteles.net
  44. « Maison du Colonel Renard », notice no IA88002043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Jean-François Michel, Châteaux et demeures de caractère en Vosges, Gérard Louis éditeur, Haroué, 2015, page 138.
  46. « Hôtel de Bourgogne », notice no PA00107191, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. * Jacques-Maximilien Benjamin Bins de Saint-Victor, Tableau historique et pittoresque de Paris depuis les Gaulois jusqu'à nos jours, vol. 2, p. 245, éd. Vanlinthout et Vandezande, 1830