Lamagdelaine

commune française du département du Lot

Lamagdelaine
Lamagdelaine
Borie de Savanac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cahors
Maire
Mandat
Véronique Arnaudet
2020-2026
Code postal 46090
Code commune 46149
Démographie
Population
municipale
710 hab. (2021 en diminution de 0,7 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 07″ nord, 1° 29′ 25″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 331 m
Superficie 10,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cahors-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Lamagdelaine

Lamagdelaine est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot, le ruisseau de Nouaillac. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Lamagdelaine est une commune rurale qui compte 710 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Lamagdelainois ou Lamagdelainoises.

Géographie modifier

La commune est comprise dans l'aire urbaine de Cahors : elle est à moins de 4 km (à vol d'oiseau) à l'est-nord-est de Cahors[1].

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Arcambal, Cahors, Laroque-des-Arcs, Valroufié, Vers et Bellefont-La Rauze.

Communes limitrophes de Lamagdelaine[1]
Bellefont-La Rauze
  Saint Géry-Vers
Cahors Arcambal

Hydrographie modifier

Le Lot sert de limite sud à la commune, et son affluent de rive droite (rive nord) le ruisseau de Nouaillac marque la limite est[1].

Transports modifier

Elle est traversée du nord au sud par l'autoroute A20. La D653 longr la rive droite du Lot[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Montat à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

La commune est dans le périmètre du « géoparc des causses du Quercy », classé Géoparc en mai 2017 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[10],[11].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[12] : le « cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont huit dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[13] et la « vallée du ruisseau de Nouaillac » (1 036 ha), couvrant 4 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[12] : la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 ha), couvrant 36 communes dont huit dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[15].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lamagdelaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[I 1],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), zones urbanisées (5,6 %), cultures permanentes (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), eaux continentales[Note 5] (3,3 %), prairies (3,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Lamagdelaine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Cahors, regroupant 14 communes concernées par un risque de débordement du Lot et du ruisseau du Bartassec, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[21]. L'événement passé le plus significatif est la crue des 9 et où le Lot a atteint 8,90 m à Cahors après une montée très rapide des eaux. Seules les crues de 1783 et 1833 ont dépassé ces valeurs. Les dégâts ont été très importants. Deux crues survenues sur le Bartassec en 1996 et 2010 ont eu un très fort impact sur les activités économiques de l'agglomération de Cahors. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1994, 1996, 1999, 2003 et 2010[23],[19].

Lamagdelaine est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Moyenne vallée du Lot. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[24].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamagdelaine.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[25]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 374 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 343 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].

La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 6] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[30] et 296 millions de mètres cubes[31],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[32].

Toponymie modifier

Lamagdelaine s'appelait autrefois Saint-Pierre de Floirac[33] ou Floirac[34].

Lamagdelaine (en occitan Lamagdalena) est basé sur l'hagiotoponyme chrétien Marie-Madeleine[34].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

La grotte du Coual se trouvait en rive droite du Lot ; elle a aujourd'hui disparu[35]. Elle a livré fin XIXe siècle un grand biface acheuléen[36] (Bergougnoux 1887[37]), que Lorblachet a attribué à l'Acheuléen ancien ; et du Magdalénien[35], dont l'une des deux lampes paléolithiques connues (en 1945) dans le département du Lot (l'autre lampe du Lot provenant de Saint-Cirq-Madelon)[38].

Le gisement de plein air des Bosses, un peu en amont sur la même rive[39], a fourni une belle série lithique (2 626 pièces)[40] du Paléolithique moyen ancien datée d'environ 300 000 ans[41]. La production est orientée vers le débitage d'éclats avec des méthodes systématisées, mais l'outillage lourd (bifaces) est encore présent[40]. On y trouve du débitage discoïde et - principalement - du débitage sur enclume[42].

XIXe siècle modifier

La commune a été créée en 1875 par détachement de sections de Laroque-des-Arcs[34].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs[43]
Période Identité Étiquette Qualité
2001   Jean-claude Luzorgues    
mars 2008 2014 Maurice Pons    
mars 2014 En cours Véronique Arnaudet DVG Agent mandataire en assurances
Conseillère départementale depuis 2021
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

En 2021, la commune comptait 710 habitants[Note 7], en diminution de 0,7 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
550549513503502411401351280
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
271221207206229215275443626
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
731740762744704710---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 328 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 723 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 820 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 3,6 % 8,7 % 8 %
Département[I 7] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 427 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (66,4 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 167 emplois en 2018, contre 143 en 2013 et 134 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 288, soit un indicateur de concentration d'emploi de 58,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,9 %[I 10].

Sur ces 288 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 56 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 93,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture modifier

Secteurs d'activités modifier

60 établissements[Note 10] sont implantés à Lamagdelaine au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 60
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
2 3,3 % (14 %)
Construction 9 15 % (13,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
11 18,3 % (29,9 %)
Activités financières et d'assurance 2 3,3 % (2,8 %)
Activités immobilières 4 6,7 % (3,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 15 % (13,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
16 26,7 % (12 %)
Autres activités de services 7 11,7 % (8,7 %)

Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,7 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 60 entreprises implantées à Lamagdelaine), contre 12 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces modifier

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48] :

  • Menuiserie 46, travaux de menuiserie bois et PVC (547 k€)
  • Maconnerie Ribeiro, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (130 k€)

Agriculture modifier

1988 2000 2010 2020
Exploitations 17 11 11 7
SAU[Note 12] (ha) 188 197 175 174

La commune est dans la vallée du Lot », une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particulièrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (17 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 174 ha[51],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • La borie dans le hameau de Savanac est une ancienne demeure seigneuriale campagnarde datant des XIIIe et XIVe siècles. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1993[52].
  • Église Sainte-Madeleine de Lamagdelaine.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lamagdelaine » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lamagdelaine » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lamagdelaine » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lamagdelaine » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a b c et d « Lamagdelaine, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Lamagdelaine et Le Montat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le Montat » (commune du Le Montat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Montat » (commune du Le Montat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les différents espaces protégés. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « le géoparc des Causses du Quercy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le ).
  11. « géoparc des causses du Quercy », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Lamagdelaine », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF le « cours moyen du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « vallée du ruisseau de Nouaillac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  29. Article R214-112 du code de l’environnement
  30. « barrage de Grandval », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  31. « barrage de Sarrans », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. « Lee Grand Cahors - Lamagdelaine »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur grandcahors.fr, (consulté le ).
  34. a b et c Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 58.
  35. a et b [Colonge et al. 2013] David Colonge, Marc Jarry, Jacques Jaubert, Vincent Mourre et Alain Turq, « Quel Paléolithique ancien en Quercy ? », dans M. Jarry, J.-Ph. Brugal & C. Ferrier (dir.), Modalité d’occupation et exploitation des milieux au Paléolithique dans le Sud-Ouest de la France : l'exemple du Quercy (Actes de la session C67, XVème Congrès mondial de l’UISPP, Lisbonne, sept. 2006), Paléo, supplément no 4, p. 197-212, , sur academia.edu (www.academia.edu/download/33416604/Colonge_et_al_2013_Paleolithique_ancien_Quercy.pdf), p. 205.
  36. [Jaubert 1994] Jacques Jaubert, « L'industrie lithique du Paléolithique inférieur et moyen de l'affluent Robert de Joly », Publications du musée des Confluences, no 31 « L'autre Padirac. Spéléologie, karstologie, paléontologie et préhistoire, dans l'affluent Robert de Joly »,‎ , p. 200-223 (lire en ligne [sur persee]), p. 216.
  37. [Bergougnoux 1887] Félix Bergougnoux, Les temps préhistoriques en Quercy (monographie), Impr. Typographique JB Pignères, . Cité dans Colonge et al. 2013, p. 201 avec reproduction du dessein de Bergougnoux.
  38. [Bastin 1945] A.-H. Bastin, « Les lampes paléolithiques de St-Germain-la-Rivière (Gironde) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 42, nos 1-3,‎ , p. 34-38 (lire en ligne [sur persee]), p. 36, 37.
  39. [Jarry et al. 2013] Marc Jarry, Jean-Philip Brugal, Catherine Ferrier et Hélène Martin, « Cultures et environnements paléolithiques : mobilité et gestion des territoires des chasseurs-cueilleurs en Quercy », Paléo, no 4 « Actes de la session C67, XVe Congrès mondial de l’UISPP, Lisbonne, sept. 2006 »,‎ , p. 13-20 (lire en ligne [PDF] sur researchgate.net, consulté le ), p. 15, fig. 1.
  40. a et b Colonge et al. 2013, p. 203.
  41. Colonge et al. 2013, p. 197.
  42. Colonge et al. 2013, p. 204.
  43. « Les maires de Lamagdelaine », sur francegenweb.org, (consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. « Entreprises à Lamagdelaine », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  49. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  50. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lamagdelaine - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  52. « Borie de Savanac », notice no PA00125600, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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