Laberlière

commune française du département de l'Oise

Laberlière
Laberlière
Église Saint-Médard
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Dominik Raabe
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60329
Démographie
Gentilé Berladiers, Berladières
Population
municipale
202 hab. (2021 en augmentation de 3,59 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 44″ nord, 2° 45′ 46″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 127 m
Superficie 3,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Laberlière
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Laberlière
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Laberlière
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Laberlière

Laberlière est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Description modifier

Situé au centre de la Picardie, Laberlière est un village est localisé dans la vallée du Matz et situé au nord-est de l'Oise.

Il se trouve à une vingtaine de kilomètres des villes de Compiègne, Noyon, Roye et Montdidier et à une centaine de kilomètres de Paris.

En 1850, Louis Graves décrivait Laberlière comme une petite commune « assise dans la vallée du Matz, dont le cours forme en partie sa limite occidentale ; elle est en outre arrosée par le ruisseau de la Fontaine-Manceau , et par celui du Puisard.
Le chef-lien consiste en une seule rue sur la route départementale de Beauvais à Noyon[1] ».

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Biermont, Ricquebourg et Roye-sur-Matz.

  Roye-sur-Matz Roye-sur-Matz  
Biermont N Roye-sur-Matz
O    Laberlière    E
S
Ricquebourg

Hydrographie modifier

Cette petite commune est drainée par le Matz, environné de zones humides et de marais, et dans lequel conflue le ruisseau de la Fontaine-Manceau et le ruissseau des Puisards de Manceau.

Le Matz est un affluent droit de l'Oise, donc un sous-affluent de la Seine.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Laberlière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,1 %), forêts (17,3 %), zones urbanisées (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), prairies (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[13].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

La commune comprend le hameau de Manceau situé sur la route de Biermont, sur la frive droite du Matz, et qui a été détaché de la commune de Roye-sur-Matz le 16 ventôse an XIII ()[15].

On peut également signaler :

  • Lieux-dits : le fief Bertin, la Folie
  • Lieux : le jeu d'arc, le parc du château.

Habitat et logement modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 92, alors qu'il était de 89 en 2015 et de 80 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 7,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Laberlière en 2020 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) inférieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80 % en 2015), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Laberlière en 2020.
Typologie Laberlière[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,3 90,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,1 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 7,6 7,1 8,2

Voies de communication et transports modifier

Une rue principale traverse le village. C'est l'ancienne route nationale 38, actielle RD 938 qui relie Beauvais à Noyon.

L'autoroute A1 et la LGV Nord tangentent à l'ouest le territoire communal.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 655, 675, 6301, 6303, 6307 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Toponymie modifier

L'étymologie de Berlière représente le dérivé, avec le suffixe roman collectif -aria (ière), du bas latin berula, probablement d'origine gauloise et qui a pu désigner alors, sous le nom de "berle", le cresson de fontaine (lieu aux berles), éventuellement "la cressonnière"[17].

En fait l'ancien français berle, belle désignait différentes plantes qui croissent dans les lieux humides, notamment le cresson, la berle ou ache d'eau, le mouron d'eau et la véronique cressonnière. En effet, le village de Laberlière est arrosé par le Matz[17].

Au fil des siècles, le nom du village change[18] :

  • de Berleria 1143
  • Petro de Beleria 1167
  • Belleria 1184 (bulle pape Luce III)
  • Bellerie 1196
  • Labewere 1210
  • Le Belier des Manseaux 1469
  • La Beliere 1470
  • Belliere 1580
  • La Berlière 1751
  • Laberlière 1840

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

La terre et la seigneurie de Laberlière appartiennent à l'abbaye Saint-Corneille de Compiègne, qui faisait desservir la cure par quelques-uns de ses religieux. En 1481, l'abbé de Saint-Corneille obtient de Jean de Bar, évêque de Beauvais, l'érection en cure de l'église de Laberlière[19].

Temps modernes modifier

La seigneurie de Laberlière appartient notamment à la maison de Lancry qui possédait également celles de Bains et de Boulogne-la-Grasse. En 1703, Antoine de Lancry , écuyer, est seigneur de Laberlière. Ses armes étaient de gueules, à un sautoir d'argent, chargé en cœur d'un macle d'azur[19].

Au début du XVIIIe siècle est détruite la chapelle Saint-Sulpice, dont ignore la date de son élévation. Autrefois, un pèlerinage et une neuvaine se tenaient le jour de Pâques et à la fin août. Ces processions rassemblaient les paroissiens du village et des alentours[15].

Circonscriptions administratives et électorales

Selon Émile Coët, « La paroisse de Laberlière (Belleria), faisait partie du bailliage, du grenier à sel de Roye et de l'élection de Montdidier. Elle comptait avec Manceaux trente-six feux en 1469 et cinquante-deux, en 1771, à cette dernière date elle payait deux cent cinquante-cinq livres de capitation[19]  ».

Époque contemporaine modifier

En 1850, le village dispose d'un presbytère, d'une mairie couverte en chaume, d'une école, de pâtures publiques. Les villageois produisent des fromages et un moulin à eau y est installé, permettant de moudre le grain et de produire de la farine[1].

Durant la Première Guerre mondiale, Laberlière est gravement endommagée : l'ancienne église, la chapelle, le château et une partie du moulin à eau qui subsiste encore sont détruits[15],[20] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [21].

L’activité du moulin cesse en 1921.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Lassigny[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité modifier

Laberlière est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Pierre Rosé[24]    
mars 2008 mars 2020 Christian Vos   Retraité
Président du syndicat des eaux de la Vallée du Matz[25]
mai 2020[26] En cours
(au 6 juin 2023)
Dominik Raabe   Technicien

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 202 habitants[Note 3], en augmentation de 3,59 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
204161234222229242213199188
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
167182182190197209209192186
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
179182190176172182159162169
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
176166151148146168170171176
2014 2019 2021 - - - - - -
193202202------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 101 hommes pour 99 femmes, soit un taux de 50,5 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
1,0 
3,9 
75-89 ans
8,0 
28,4 
60-74 ans
11,0 
20,6 
45-59 ans
25,0 
19,6 
30-44 ans
20,0 
10,8 
15-29 ans
12,0 
15,7 
0-14 ans
23,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • La Mairie-école, rebâtie vers 1930, rénovée et rendue accessible en 2021. L'école n'est plus utilisée depuis 1976[32].
  • L'église Saint-Médard, reconstruite dans les années 1920 après la destruction totale de l'édifice précédent qui datait du XIIe siècle pendant la Première Guerre mondiale. L'église est édifiée en style néo-roman et comprend un plan classique : clocher porche, nef unique, transept saillant et chœur polygonal. Le clocher, remarquable, est inspiré des ouvrages des XIe et XIIe siècles. Sa tour est épaulée par huit contreforts sans ressaut. Au-dessus se trouve l'étage du beffroi, octogonal et ajouré de huit petites baies en plein cintre et couronné par une courte flèche en pierre. À la base du clocher se trouve un puissant portail en plein cintre dont l’archivolte décorée de billettes et de bâtons brisés est reçue sur de courtes et larges colonnettes par l’intermédiaire de chapiteaux cubiques. Un gâble couronne le tout[33]. Sa cloche, baptisée Anne Catherine et provenant de l'église précédente et déjà utilisée en 1792usée, a été restaurée en 2019[34].
  • le monument aux morts
  • le moulin
  • Vestiges du château, qui était situé face à l’église et dont il subsiste qu’une partie du mur et un pilier en pierres de taille à l’entrée du parc[15].
  • Un calvaire bâti avec les pierres de la chapelle Saint-Sulpice, détruite au XVIIIe siècle, rappelle son existence[15].

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Laberlière » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Laberlière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Laberlière - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 111 p. (lire en ligne), p. 60-61, sur Google Livres.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Laberlière et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  15. a b c d et e « Laberlière », Le Pays des Sources > Présentation > Les 48 communes, sur cc-pays-sources.fr (consulté le ).
  16. « Transports en commun à Laberlière », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  17. a et b Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 28.
  18. Source : La Berlière (1999) - Lauriane Leroy - Édition SERHAM
  19. a b et c Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 210-211, sur Gallica.
  20. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Les maires de Laberlière », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. « Avis de décès de Pierre Rosé », sur courrier-picard.fr, (consulté le ).
  25. François-Xavier Chauvet, « 1 200 habitants toujours privés d'eau potable », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Laberlière (60329) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. « À Laberlière, la mairie prend un coup de jeune : Le montant total de l’investissement s’élève à 205 650 euros. La commune a reçu des aides pour cette refonte du rez-de-chaussée. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Dominique Vermand, « Laberlière, église Saint-Médard : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  34. « La cloche de Laberlière va ressusciter en Autriche : Ce village du Noyonnais investit dans une rénovation de son lourd objet, qui ne sonne plus depuis cinq ans. Un atelier autrichien redonnera vie à cette pièce sauvée deux fois », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).