La bémol majeur

La tonalité de la bémol majeur se développe en partant de la note tonique la bémol. Elle est appelée A-flat major en anglais et As-Dur dans l’Europe centrale.

L'armure coïncide avec celle de la tonalité relative fa mineur.

$\new Staff { \relative c'' { \key as \major \override Staff.TimeSignature #'stencil = ##f \override Staff.BarLine #'stencil = ##f as1 bes c des es f g as g f es des c bes as } } \midi { \context { \Score tempoWholesPerMinute = #(ly:make-moment 120 1) } }$

L’échelle de la bémol majeur est : la♭, si♭, do, ré♭, mi♭, fa, sol, la♭.

tonique : la♭
médiante : do
dominante : mi♭
sensible : sol

Altérations : si♭, mi♭, la♭, ré♭.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Voir la catégorie : Œuvre en la bémol majeur.

Compositions célèbres en la bémol majeur :

Sonate pour piano n^o 12 (1802) et n^o 31 (1822) de Beethoven
Plusieurs valses de Chopin :
- Grande Valse brillante, op. 34 n^o 1 (1835)
- Grande Valse nouvelle, op. 42 (1840)
- Valse op. 64 n^o 3 (1847)
- Valse op. 69 n^o 1, « Valse de l'adieu » (posthume)
- Valse en la bémol majeur op. posthume
Intermezzo de la Symphonie n^o 3 de Robert Schumann (1850)
Liebesträume n^o 3 de Liszt (1850)
De nombreuses scènes de Rigoletto de Verdi (1851)
Quatuor à cordes n^o 14 de Dvořák& (1895)
Symphonie n^o 1 d'Elgar (1907)
Quatuor à cordes n^o 10 de Chostakovitch (1964)
I Want You Back de The Jackson Five (1969)

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La bémol majeur, sur Wikimedia Commons

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