La Trinité-sur-Mer

commune française du département du Morbihan

La Trinité-sur-Mer [la tʁi.ni.te syʁ mɛʁ] est une commune française, créée en 1864, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

La Trinité-sur-Mer
La Trinité-sur-Mer
La Trinité-sur-Mer.
Blason de La Trinité-sur-Mer
Blason
La Trinité-sur-Mer
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
Maire
Mandat
Yves Normand
2020-2026
Code postal 56470
Code commune 56258
Démographie
Gentilé Trinitains
Population
municipale
1 768 hab. (2021 en évolution de +8,93 % par rapport à 2015en évolution de +8,93 % par rapport à 2015)
Densité 285 hab./km2
Population
agglomération
7 859 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 10″ nord, 3° 01′ 42″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 31 m
Superficie 6,2 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Carnac
(banlieue)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quiberon
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.la-trinite-sur-mer.fr

La Trinité-sur-Mer est connue pour son port et pour ses compétitions nautiques.

La récompense "Ville Fleurie", également connue sous le nom de "Villes et Villages fleuris, anciennement appelée concours, a été créée en 1959 en France pour promouvoir le fleurissement, l'environnement de vie et les espaces verts.

Géographie

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Localisation

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Bâtie sur une hauteur, la ville de La Trinité-sur-Mer s'étire sur 800 mètres en bordure de la rivière de Crach dont le vaste estuaire, bien abrité, accueille les nombreux parcs à huîtres destinés à la récolte du naissain. Un petit port de pêche, un port de plaisance très fréquenté et des chantiers navals apportent une grande animation à la cité balnéaire qui possède de belles plages le long de la presqu'île de Kerbihan.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Hydrographie

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Voies de communication et transports

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Le premier pont de Kerisper sur la Rivière de Crac'h (construit entre 1899 et 1901).

Le premier pont de Kerisper permettant de franchir la Rivière de Crac'h et de relier La Trinité-sur-Mer à Crac'h et Locmariaquer via Saint-Philibert fut construit entre 1899 et 1901[1] (sa construction était réclamée par les habitants de la région depuis des décennies[2]). Ce pont était constitué d'arches en pierres à ses deux extrémités, avec un tablier métallique (type Eiffel) de 100 mètres de long et à voie unique dans sa partie centrale. Ce pont fut détruit par les Allemands le . Le nouveau et actuel pont de Kerisper a été inauguré en 1956 et a connu une rénovation importante en 2009-2010[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral doux », exposée à un climat venté avec des étés cléments[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auray à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 969,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , La Trinité-sur-Mer est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Carnac[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,4 %), zones agricoles hétérogènes (27 %), forêts (18,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,8 %), zones humides côtières (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), eaux maritimes (2,1 %), terres arables (0,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité tire son nom de la chapelle du village édifiée en 1682 en remplacement d'une ancienne chapelle Saint-Gildas. Avant 1864, elle s'appelait encore Locqueltas, en breton Lokeltaz, « lieu de Gweltas (Gildas) »[19].

Le nom de la commune en breton est An Drinded-Karnag, ce qui traduit en français donne La Trinité-Carnac. An Drinded rappelle La Sainte Trinité des Chrétiens.

Histoire

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Moyen-Âge

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C'est à partir du XIIIe siècle que l'on trouve des traces du village et de son port. L'activité saline est très importante pendant plusieurs siècles. Une maison de douanier postée en vigie à l’entrée du chenal témoigne de cette époque.

La Trinité-sur-Mer comprend 15 des 70 villages recensés dans la paroisse de Carnac en 1475. Parmi ceux-ci, Locqueltas (frairie de Larmor) ; une chapelle de la Sainte-Trinité y est construite en 1682, succédant à une chapelle Saint-Gildas. Locqueltas devient alors le village de la Trinité (bourg actuel).

Le XIXe siècle

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Dessin de A. Karl représentant La Trinité-sur-Mer vers 1893.

La commune de la Trinité-sur-Mer est créée en 1864, la paroisse en 1865.

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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Un vœu en faveur d'un projet de construction d'une ligne de chemin de fer à voie étroite allant d'Étel à Vannes en passant par La Trinité-sur-Mer, Crach, Le Bono, Baden et Arradon, qui aurait nécessité la construction de plusieurs ouvrages d'art, fut voté en 1916 par le Conseil général du Morbihan, mais ce projet n'aboutit pas[20]. Seule la ligne de tramway allant de la Trinité à Étel fut construite en 1901, mais elle ferma en 1915 et rouvrit, transformée en ligne de chemin de fer à voie étroite, entre 1922 et 1935[21].

La Première Guerre mondiale

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L'Entre-deux-guerres

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Le village se développa autour du commerce maritime et la petite communauté prospéra. Mais en 1931, le gouvernement prit une mesure protectionniste pour favoriser les Charbonnages de France. Le commerce maritime s'arrêta à la Trinité-sur-Mer. Le village se tourna alors vers la pêche. L'ancienne criée, démolie en 1923, fut reconstruite, et les goélettes laissèrent la place aux bateaux de pêche.

La Seconde Guerre mondiale

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L'épave d' un bombardier de la Royal Air Force, qui s'abima en mer à l'entrée du chenal du port de La Trinité pendant la Seconde Guerre mondiale a été retrouvée en 2015 par le Groupement de recherche archéologique, historique et maritime de Bretagne Sud (GRAHMBS)[22].

Le XXIe siècle

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Aujourd'hui, le port de pêche s'est transformé en port de plaisance avec l'essor du tourisme nautique. L'ostréiculture est aussi bien présente à la Trinité-sur-Mer.

 
Le front de mer.
 
Le port de plaisance.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1986 1995 André Nygren DVD Capitaine au long cours
Juin 1995 Mars 2005 Marcel Germain   Médecin
Mars 2005 Mars 2008 Claude Le Goffe   Chirurgien-dentiste
Mars 2008 Mars 2014 Yves Normand UMP  
Mars 2014 26 mai 2020 Jean-François Guézet DVD Retraité
26 mai 2020 En cours Yves Normand[23]   Juriste en entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 768 habitants[Note 3], en évolution de +8,93 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 1001 0551 0661 0931 1221 2681 3881 3821 431
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
1 4101 4191 5731 6521 7832 0901 6051 5331 530
1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 -
1 4041 4771 4331 5301 5311 6391 6131 768-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, selon l'Insee, 67,3 % des logements étaient des résidences secondaires à La Trinité-sur-Mer.

Enseignement

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La ville possède une école publique maternelle et primaire baptisée Les Crevettes Bleues. Elle se compose de trois classes : une maternelle, une CP-CE1 et une CE2-CM1-CM2. L'école possède aussi 3 cours de récréation. La ville possède également une école privée baptisée " Notre Dame", comprenant 3 classes.

 
Le port de la Trinité-sur-Mer.
 
Le casino de La Trinité-sur-Mer.

En complément au tourisme terrestre, La Trinité a développé son port à flot, qui est aujourd'hui un des principaux ports de plaisance en Bretagne. Sa position privilégiée au fond d'un estuaire lui permet d'accueillir les multicoques (catamarans, trimarans) qui viennent se préparer pour les courses autour du monde.

Mais La Trinité-sur-Mer est surtout un des lieux de régate les plus importants d'Europe. La Société Nautique de La Trinité-sur-Mer organise de nombreuses régates, forme les marins à travers son école de voile et de sport. Toutes les séries de course-croisière s'y retrouvent le weekend de Pâques où plus de 400 bateaux peuvent se retrouver dans une quinzaine de séries différentes, pour les régates du Spi Ouest-France.

La situation géographique de La Trinité permet d'organiser des régates complexes mais équitables dans la baie de Quiberon ainsi que des courses hauturières le long des côtes de Bretagne sud et autour des îles du Ponant.

La ville avait aussi un casino qui complétait l'offre en terme d'activités de loisirs et de tourisme ; il contribuait à financer une partie des équipements de la ville et leur entretien. Fermé depuis le , le Casino sert maintenant d'hôtel sous le nom "Hôtel de la Trinité".

Économie

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Patrimoine, personnalités et héraldique

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Lieux et monuments

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Le pont de Kerisper.
  • Le pont de Kerisper rejoint Saint-Philibert en franchissant la rivière de Crac'h. À l'origine, il s'agissait d'un pont en acier, conçu par Gustave Eiffel et inauguré en 1901. Il fut détruit en 1944 par les Allemands et reconstruit entre 1956 et 1958, sous la forme d'un pont en arc de 203 mètres de long. La structure attaquée par la corrosion due à l'environnement marin, des travaux de réfection ont été engagés fin 2009[28]. Après avoir été interrompus et reportés de plusieurs mois, ils ont repris en , pour une durée prévue d'un an[29].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armoiries de La Trinité-sur-Mer se blasonnent ainsi :

De gueules à trois ancres de marine d’or posées en pairle, leurs trangles appointées, un soleil non figuré du même brochante en abîme ; au chef d’or à un pont à une arche de sable chargé de trois coquilles d’huîtres de gueules rangées en fasces et brochantes.
Devise « Dah Hag atao ».
Conc. L. Ermoy.

Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Carnac comprend trois villes-centres (Carnac, Crach et Plouharnel) et deux communes de banlieue.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. "Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan", n° du 22 août 1898, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57791490/f205.image.r=Crach?rk=128756;0
  2. « Une lettre de Bretagne.. », sur Journal Le Rappel, (consulté le ).
  3. « locmariaquer.info/f221_%20le%2… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre La Trinité-sur-Mer et Auray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Auray » (commune d'Auray) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Auray » (commune d'Auray) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Carnac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune de La Trinité-sur-Mer ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Étymologie et Histoire de La Trinité-sur-Mer », sur infobretagne.com (consulté le ).
  20. « Nos futurs chemins de fer », L'Ouest-Éclair,‎ , p. 5 (lire en ligne sur Gallica, consulté le )
  21. « Voies ferrées d'intérêt local. Ligne de La Trinité-sur-Mer à Étel », sur Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan, (consulté le ).
  22. Sophie Paitier, « Une nouvelle carte bretonne des épaves de la Seconde Guerre mondiale », JournalLe Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Municipales à La Trinité-sur-Mer. Yves Normand élu », sur Ouest-France, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Conseil général du Morbihan, Morbihan Hebdo no 165, du 9 au 15 novembre 2009. Page consultée le 4 juin 2010.
  29. Le Télégramme.com, Pont de Kerisper. 12 mois de réfection, 7 août 2010. Consulté le 29 octobre 2010.
  30. François Krug, « A La Trinité-sur-Mer, la demeure historique du clan Le Pen », sur Le Monde, (consulté le ).
  31. Thierry Charpentier, « À La Trinité-sur-Mer, « les Le Pen, des citoyens lambda » », sur Le Télégramme, (consulté le ).
  32. Tugdual Denis, « Voyage à la Trinité: le fief du clan Le Pen », sur L'Express, (consulté le ).
  33. Le Télégramme, « Tour de France : Jacky Botherel, le Trinitain au cœur arc-en-ciel battant pour la Grande boucle », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  34. « Qui sont Les Guillemot ? Portrait du clan breton du jeu vidéo qui résiste à Bolloré », sur France 3 Bretagne, (consulté le ).
  35. « Port de plaisance de La Trinité-sur-Mer de La Trinité-sur-Mer | », sur baiedequiberon.bzh (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Xavier Dubois, Histoire de Carnac et de La Trinité-sur-Mer, Éditions du Menhir, Carnac, 2010

Articles connexes

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Liens externes

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