La Rivière (Gironde)

commune française du département de la Gironde

La Rivière
La Rivière (Gironde)
Château de la Rivière
Blason de La Rivière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes du Fronsadais
Maire
Mandat
Dominique Beyly
2020-2026
Code postal 33126
Code commune 33356
Démographie
Population
municipale
418 hab. (2021 en augmentation de 4,24 % par rapport à 2015)
Densité 130 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 56′ 08″ nord, 0° 18′ 31″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 78 m
Superficie 3,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Libournais-Fronsadais
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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La Rivière
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La Rivière
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La Rivière

La Rivière est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Izon, Saint-Aignan, Saint-Germain-de-la-Rivière et Saint-Michel-de-Fronsac.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Natura 2000 modifier

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont La Rivière[9],[10]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[11].

ZNIEFF modifier

La Rivière fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[12],[13], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[14].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,2 %), zones agricoles hétérogènes (21,6 %), terres arables (21,1 %), forêts (10 %), eaux continentales[Note 3] (8,6 %), zones urbanisées (7,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de La Rivière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[23]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1989, 1999, 2002, 2007, 2009, 2010, 2013 et 2021[25],[21].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[26]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Rivière.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 175 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 175 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 4] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[30]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].

Histoire modifier

Héraldique modifier

« De sinople à la fasce ondée cousue de sable, sommée d’une vague du même en cœur se déroulant vers senestre, chargée d’un poisson d’argent, accompagnée en chef de six filets ondés en barre du même et en pointe de six filets ondés en bande aussi d’argent, ladite fasce surmontée de deux grappes de raisin tigées posées en chevron renversé accostant une brouette, le tout d’argent brochant sur les filets, et soutenue d’une pointe abaissée partie de gueules et d’or sur une feuille roulée en pointe d’argent doublée de sable brochant sur les filets. »

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Celse Campaner    
2000 En cours Dominique Beyly[32] PS Directeur culturel
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 418 habitants[Note 5], en augmentation de 4,24 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
337342354427431436426424423
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
401423437449433394405389398
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
379376372301324304311324321
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
334310350367322321326356415
2021 - - - - - - - -
418--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

 
L'église Notre-Dame
  • Église Notre-Dame : l'origine de l'église[37] remonte au XIe siècle. Au XIXe siècle une tour clocher est ajouté à l'édifice. La voûte du sanctuaire, ainsi que la porte en plein cintre et les étroites fenêtres visibles sur le mur sud datent toujours du XIe siècle. La nef à voûte ogivale est quant à elle un peu plus tardive puisqu’elle date du XIIe siècle.
- Le mur sud de la nef est percé de deux baies romanes et soutenu par trois contreforts.
- L'abside est percé de sept baies à colonnettes. Les chapiteaux et la corniche sont sculptés.
- Le porche est sous voûte gothique avec de petites colonnes. Les fonts baptismaux au sud, un escalier au nord. Il s’ouvre sur la nef par un arc en plein cintre qui porte la balustrade ajourée de la tribune, flanquée de colonnettes.
- La nef comporte trois travées sous voûtes gothiques, à clefs de voûte sculptées.
- Deux chapelles s’ouvrent par un arc triomphal en plein cintre surmonté d’une petite baie romane aveugle. Elles sont couvertes d’une croisée d’ogives et ornées de niches à colonnes, celle du nord a un vitrail signé Nicolas Lorin, maître-verrier à Chartres, et celle du sud possède un retable de bois sculpté et peint avec images de Sainte Thérèse d’Avila et Sainte Jeanne de Chantal.
- Le chœur est remarquable par son architecture, un arc triomphal double sur colonnes, travée sous croisée d’ogives et cinq arcs gothiques convergents à la clefs de voûte.
- La statue la plus ancienne est, en face du confessionnal, la petite Vierge à l’Enfant, du XIVe siècle, en albâtre peint et d'origine anglaise. Elle aurait été vénérée en bord de Dordogne par les pêcheurs et marins, puis transférée dans la vieille église.
- Croix de cimetière avec instruments de la Passion.

Personnalités liées à la commune modifier

Jumelages modifier

  Nalda (Espagne) depuis 2002[38]

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre La Rivière et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  10. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  11. Espèces, INPN, consulté le .
  12. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  13. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  14. Espèces, INPN, consulté le .
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Rivière », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Rivière », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. Article R214-112 du code de l’environnement
  30. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  31. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  32. Réélu en mars 2008, 2014 et 2020.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. L'église Notre-Dame sur le site de l'Office de Tourisme du Fronsadais.
  38. Annuaire des villes jumelées