La Montagne (Haute-Saône)

commune française du département de la Haute-Saône

La Montagne
La Montagne (Haute-Saône)
Mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes des mille étangs
Maire
Mandat
Jean-Marie Brice
2020-2026
Code postal 70310
Code commune 70352
Démographie
Gentilé Montaignions
Population
municipale
39 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 3,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 18″ nord, 6° 35′ 33″ est
Altitude 700 m
Min. 570 m
Max. 802 m
Superficie 12,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Luxeuil-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mélisey
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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La Montagne
Liens
Site web cc-1000etangs.fr/la-montagne.htm

La Montagne est une commune française de moyenne montagne située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie du Massif des Vosges avec lequel elle partage une ascendance montagnarde culturelle et historique commune.

Ses habitants sont appelés les Montaignions.

Géographie modifier

Localisation modifier

La Montagne est située dans le nord-est du département de la Haute-Saône, dans le massif des Vosges. Son territoire est limitrophe des communes vosgiennes du Girmont-Val-d'Ajol et de Rupt-sur-Moselle au nord et les communes de La Rosière (Haute-Saône) à l'est, La Longine et Corravillers au sud[1].

Le plateau de Beauregard constitue un domaine skiable de fond libre d'accès[2].

Communes limitrophes modifier

  Girmont-Val-d'Ajol
(Vosges)
Rupt-sur-Moselle (Vosges)  
Le Val-d'Ajol
(Vosges)
N La Rosière
O    La Montagne    E
S
La Longine

Géologie et Relief modifier

La Montagne est située dans les Vosges Saônoises (Massif des Vosges), entièrement à l'étage montagnard, la commune possède un relief dessiné et une altitude minimale supérieure à 500 mètres. Le village centre où se trouve la Mairie (Le Petit Saucy) est très peu peuplé est se perche sur les pentes du Haut de Beauregard (ou Haut de Bellechaume) dans la haute vallée de la Croslière. Trois autres hameaux se trouvent dispersés au sein du territoire communal, on peut citer le Grand Saucy à 654 mètres, le Marchessant à 637 mètres et enfin le plus haut, le Martelot à 723 mètres. Le village centre se trouve lui à l'altitude de 700 mètres[1].

Ses altitudes varient de 570 mètres au Moulin de la Scie à 802 mètres à son sommet le plus haut : le Giraultfaihy. La commune dépasse également les 800 mètres au Gueuty (près du haut du Bambois) et aux abords du haut de l'Etang Fenot à la frontière avec Rupt-sur-Moselle[1].

Quelques sommets parsèment le territoire communal de La Montagne, les moins élevés sont au sud, à commencer par le Haut de la Brosse à 752 m, juste à côté se trouve le Haut de la Louvière à 756 mètres, il est situé sur le versant faisant directement face au village. C'est un des sommets les plus connus du secteur pour ses roches et sa vue[1].

Ces deux sommets voisins de moins d'un kilomètre sont séparés par le col de la Louvière (723 m). En continuant de remonter au nord des Brosses on trouve le col des Brosses (745 m) puis le Haut des Broussailles à 780 mètres qui domine la source de la Croslière. De l'autre côté de la vallée, sur le versant du village centre on trouve à l'ouest le Haut des Baumes à 764 mètres, le Haut de Bellechaume (ou de Beauregard), le Haut de la Passée à 792 mètres et juste au nord le Haut de Giraultfaihy à 802 mètres d'altitude. Entre ces deux derniers sommets, se trouve l'étang des Murots à 745 mètres[1].

 
Hameau du Marchessant au pied de la Louvière.

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

HHydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

La commune est traversée par le ruisseau de la Croslière, qui naît sur le territoire communal à la Breuche Beugnot et est un affluent du Breuchin, qu'il rejoint à La Longine. Il forme la haute vallée de la Croslière qui est la vallée principale de la commune[1].

Quelques petits torrents mineurs prennent leur source sur le territoire communal et sont affluents de la Croislière. Les torrents du Flaon, des Murots et des Graviers prennent leur source au nord et versent dans le ruisseau de la Méreille, affluent de la Combeauté qu'il rejoint 10 km plus bas au Val d'Ajol[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Lorraine, plateau de Langres, Morvan » et « Vosges »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 664 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 11,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Val-D Ajol », sur la commune du Val-d'Ajol à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 575,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Montagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 41 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (77,3 %), prairies (16,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Au Moyen Âge, La Montagne appartenait à la Franche-Comté de Bourgogne et au Bailliage d'Amont.

La commune de La Montagne comptait un peu plus de 700 habitants au début du XIXe siècle, avec une pointe à 774 habitants au recensement de 1846[16]. La démographie n'a cessé de chuter depuis le milieu du XIXe siècle à nos jours, notamment à cause de l'industrialisation de la vallée du Breuchin (usines textiles, forges...) et ensuite à la désindustrialisation (fermeture de ces mêmes usines à partir des années 1940-1950) et à l'exode rural vers les villes, qui marque la fin de la petite polyculture agricole, celle-ci même qui maintenait encore un peu plus de 200 habitants à La Montagne dans les années 1950 (201 habitants au recensement de 1954). La Montagne ne compte plus, aujourd'hui, qu'une quarantaine d'habitants.

Dès lors, de nombreux hameaux ont été délaissés tels que les secteurs des Graviers, des Murots (en contrebas de l'étang), le Rancey, le Pré des Deux, Grange Flaon, le Valmont, Faing Mougeot, Faing Laurent où il ne subsiste plus aucune habitation. Il existe encore les hameaux du Petit et Grand Saucy, le Marchessant, les Meneuvres, le Martenot, le Laurien, les Saumages, la Breuche Beugnot, les Genêtres, Champ Chamagne, le Lanhy, les Feignes, la Brosse, Derrière la Brosse, la Voie du Ban, les Habatteux qui sont habités et/ou qui disposent de quelques maisons secondaires.

Au siècle dernier, il y avait encore trois moulins sur le territoire communal :

  • le Moulin du Laurien (sur le ruisseau de la Croslière, en ruine aujourd'hui) ;
  • le Moulin de la Grange Flaon (sur le ruisseau Le Flaon, en ruine aujourd'hui) ;
  • le Moulin du Marchessant (sur le ruisseau de la Croslière, Minoterie Duhoux dans les années 1950, encore existante).

La carte de Cassini, élaborée vers 1760 et visible sur le site Géoportail[17], donnerait deux autres moulins : au niveau du Petit Saucy, sur le ruisseau de la Croslière et aux Meneuvres (entre les Meneuvres et le Grand Saucy, visible aussi sur cadastre napoléonien de 1825).

Politique et administration modifier

 
Carte départementale représentant en rouge la Communauté de communes des 1000 étangs.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

La commune faisait partie depuis 1793 du canton de Faucogney-et-la-Mer[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Mélisey.

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de la communauté de communes des mille étangs créée fin 2002.

Budget et fiscalité 2022 modifier

 
Carte du réseau hydrographique de la commune.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[18] :

  • total des produits de fonctionnement : 176 000 , soit 4 751  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 135 000 , soit 3 643  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 152 000 , soit 4 116  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 24 000 , soit 635  par habitant ;
  • endettement : 100 000 , soit 2 703  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 10,38 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 31,86 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 14,43 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation[19].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 mars 2001 Gérard Colle    
mars 2001 réélu en 2008 Denis Tisserand   Réélu pour le mandat 2014-2020[21],[22]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 39 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
699533708718663718721774766
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
634618619599582538459418411
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
409375394331312291270241201
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
16410377473023353840
2018 2021 - - - - - - -
3639-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Établissements d'enseignements[26] :

  • Écoles maternelles et primaires à Girmont-Val-d'Ajol, Rupt-sur-Moselle, Vecoux, Le Val-d'Ajol.
  • Collèges à Rupt-sur-Moselle, Remiremont, Faucogney-et-la-Mer.
  • Lycées à Remiremont.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[27] :

  • Médecins à Rupt-sur-Moselle, Faucogney-et-la-Mer, Le Val-d'Ajol, Dommartin-lès-Remiremont, Plombières-les-Bains, Ramonchamp, Le Ménil, Remiremont.
  • Pharmacies à La Rosière, Rupt-sur-Moselle, Faucogney-et-la-Mer, Le Val-d'Ajol, Dommartin-lès-Remiremont, Plombières-les-Bains, Ramonchamp, Remiremont, Luxeuil-les-Bains.
  • Groupe hospitalier de la Haute-Saône.
  • Centre hospitalier Beatrix de Lorraine de Remiremont.
  • Hôpitaux à Le Thillot, Cornimont, Bussang.

Cultes modifier

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

  • Sylviculture et autres activités forestières[31].
  • Autres cultures non permanentes.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Élevage d'autres animaux.

Tourisme modifier

  • Hébergements et restauration à La Montagne, La Rosière, La Longine, Girmont-Val-d'Ajol, Vecoux[32].

Commerces modifier

  • Commerces et services de proximité[33].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Chapelle de Beauregard, édifiée en 1884 .
    C’est un paysan, qui s’était perdu une nuit de grande neige, qui émit le vœu de construire une chapelle s’il retrouvait la direction de sa ferme. Il l'a donc érigé à l’endroit même où il s’était égaré.
    Autel en bois de chêne portant le Christ avec les quatre évangélistes (bas-relief). Statue de la Vierge de la Médaille Miraculeuse sur l'autel. Pèlerinage le lundi de la Pentecôte.
  • Quelques étangs dont l'étang des Murots (5,5 ha env.), l'étang des Peux (4 ha env.).
  • Le Moulin du Marchessant sur une dérivation du Marchessant[34].
  • Lavoir du Martenot.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Nicolas Daval, originaire du Marchessant vers 1630, ecclésiastique et philosophe. Il disparut un jour, en laissant sa famille, qui apprit seulement vingt ans après que Nicolas avait voyagé jusqu'en Allemagne. Il se fixa à Salzbourg (Autriche) et il mourut à Linz (Autriche) le [35].

Annexes modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes modifier

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d e f et g « Carte IGN de La Montagne » sur Géoportail..
  2. « La Montagne : l’autre domaine skiable de Haute-Saône : Glisse - A 800 m d’altitude, à La Montagne, les départementales RD136 et RD57, non déneigées à partir de la chapelle de Beauregard et du fort de Rupt, et la piste forestière du Giraultfays servent de pistes », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre La Montagne et Le Val-d'Ajol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Val-D Ajol », sur la commune du Val-d'Ajol - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Val-D Ajol », sur la commune du Val-d'Ajol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. geoportail
  18. Les comptes de la commune
  19. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  20. « Les maires de Montagne (La) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  21. Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
  22. « Liste des maires de la Haute-Saône » [PDF], Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Établissements d'enseignements
  27. Professionnels et établissements de santé
  28. Paroisse Vallée du Breuchin
  29. Communes et paroisses de Haute-Saône
  30. Doyenné des Plateaux de Vesoul
  31. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  32. Hébergements et restauration
  33. Le cadre de vie des Territoires
  34. « Moulin à farine, puis minoterie Duhoux », notice no IA70000107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Histoire et Statistiques de la Haute Saône - Avril 1842 - Pages 226&227