La Malédiction de la Panthère rose

film sorti en 1978
La Malédiction de la Panthère rose

Titre original Revenge of the Pink Panther
Réalisation Blake Edwards
Acteurs principaux
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre Comédie policière
Durée 99 min
Sortie 1978

Série

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La Malédiction de la Panthère rose (Revenge of the Pink Panther) est un film américano-britannique réalisé par Blake Edwards, sorti en 1978. C'est le dernier opus de la série tourné avec Peter Sellers, mort en 1980.

Synopsis modifier

Ayant échappé à seize attentats, l'inspecteur Clouseau est devenu une légende. La French Connection, pour montrer son pouvoir à ses « clients », cherche à éliminer cet inspecteur. C'est un criminel évadé qui est tué par erreur à sa place. Clouseau, considéré comme mort, a droit à des funérailles nationales. L'inspecteur Dreyfus, ex-supérieur et « ennemi intime de Clouseau », est libéré de l'asile psychiatrique où il était interné (cf. épisodes précédents) afin de mener l'enquête sur le crime. De son côté, Clouseau, aidé par Kato, enquête aussi. Tous vont se retrouver à Hong Kong[1],[2].

Fiche technique modifier

Distribution modifier

Particularités modifier

Bien que l'inspecteur Dreyfus ait été désintégré à la fin du film précédent, on le retrouve dans la même situation qu'au début dudit film, prêt à quitter l'asile psychiatrique où il avait été interné à la fin du Retour de la Panthère rose (1975), sans qu'aucune explication ne soit donnée à cette « résurrection »

Le plan de coupe sur l'hôpital psychiatrique à 32 min 52 s a été tourné sur le campus de l'École normale supérieure Paris-Saclay à Cachan. À Hong-Kong, quelques scènes sont tournées à l'hôtel Excelsior (en)[4].

Distinctions modifier

Récompenses modifier

Nominations modifier

Place dans la série modifier

Ce film est le cinquième d'une série de huit films réalisés par Blake Edwards et le dernier de cette série tourné du vivant de Peter Sellers[5].

Notes et références modifier

  1. « La Malédiction de la Panthère rose », sur Télérama
  2. Claire Devarrieux, « Cinéma " La Malédiction de la Panthère rose " », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  3. Le personnage étant censé être un travesti, il est joué par une femme mais doublé par un homme en VO comme en VF.
  4. (en) Amanda Lee et Sandy Li, « Mandarin Oriental mulls sale of iconic Excelsior hotel in Hong Kong », South China Morning Post,‎ (lire en ligne)
  5. Samuel Douhaire, « Panthères à gogo », Libération,‎ (lire en ligne)

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Liens externes modifier