La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine

commune française du département de Loir-et-Cher

La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine
La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine
Mairie de La Chapelle Saint-Martin en Plaine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Blois
Intercommunalité Communauté de communes Beauce Val de Loire
Maire
Mandat
Jean-Louis Fesneau
2020-2026
Code postal 41500
Code commune 41039
Démographie
Gentilé Chapellois, Chapelloises[1]
Population
municipale
681 hab. (2021 en diminution de 5,94 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 43′ 05″ nord, 1° 25′ 03″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 124 m
Superficie 22,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blois
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Beauce
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine

La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Localisée au centre-nord du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Beauce », une vaste étendue de cultures céréalières, oléagineuses (colza) et protéagineuses (pois, féverolle, lupin), avec également de la betterave sucrière, et de la pomme de terre. Elle est drainée par la Sixtre.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Plusieurs espaces naturels d'intérêt sont présents sur la commune : un espace protégé, deux sites natura 2000, une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et un espace naturel sensible, En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 16 en 1988, à 28 en 2000, puis à 20 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un bâtiment porté à l'inventaire des monuments historiques : la chapelle Saint-Martin du Villiers.

Géographie modifier

Localisation et communes limitrophes modifier

La commune de la Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine se trouve au centre-nord du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Beauce[2],[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 15,9 km de Blois[4], préfecture du département et à 23 km de Beauce la Romaine, chef-lieu du canton de la Beauce dont dépend la commune depuis 2015[5]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mer[6].

Les communes les plus proches sont[7] : Ville (Dpt) Laissez la souris sur le nom de la ville pour afficher son code Insee et son code postal en info (Proximité Laissez la souris sur le kilomètrage pour afficher d'autres unités en infobulle. Les distances sont orthodromiques (à vol d'oi km) (974), Villexanton (2,8 km) , Mulsans (3,4 km) , Maves (4,8 km) , Talcy (6,1 km) , La Madeleine-Villefrouin (6,4 km) , Mer (6,4 km) , Suèvres (6,5 km) et Villerbon (6,9 km).

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Paysages et relief modifier

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[8]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[9]. La commune fait partie de l'unité de paysage de « la Beauce »[10].

La fertile Beauce, qui couvre pas moins de six cent mille hectares, est un vaste plateau, essentiellement consacré aux grandes cultures (céréales, colza, betterave sucrière). En Loir-et-Cher, la Beauce s'avance jusqu'à Blois, bordée au nord par le Loir et au sud par la Loire, couvrant un septième du département. Ses paysages épurés et ouverts sur le ciel contrastent avec les vertes collines Percheronnes au nord et surtout avec les grandes forêts Solognotes au sud[11].

L'altitude du territoire communal varie de 104 mètres à 124 mètres[12],[13].

Hydrographie modifier

 
Réseau hydrographique de la Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine.

La commune est drainée par la Sixtre (0,023 km), qui traverse la commune du nord-est vers le sud-ouest. D'une longueur totale de 19,6 km, il prend sa source dans la commune de Briou (41) et se jette dans la Cisse à Conan (41), après avoir traversé 7 communes[14]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[15].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 636 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Léonard-en-Beauce à 13 km à vol d'oiseau[18], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 642,2 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[22].Un espace protégé est présent sur la commune : « l'Éperon de Roquezon », un terrain acquis par le Conservatoire d'espaces naturels Centre-Val de Loire. Il présente une superficie de 20,62 ha[23].

Sites Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[24]. Une partie du territoire communal est incluse dans les sites Natura 2000 suivant[25] :

  • une ZSC : la « Vallée de la Cisse en amont de Saint-Lubin », d'une superficie de 336 ha[26] ;
  • une ZPS : la « Petite Beauce », d'une superficie de 52 565 ha[27].

Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Le territoire communal de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine comprend une ZNIEFF[28] : les « Pelouses de Roquezon et de la Cave » (34,82 ha)[29].

Espaces naturels et sensibles modifier

Dans le cadre de sa politique environnementale, le Conseil départemental labellise certains sites au patrimoine naturel remarquable, les « espaces naturels sensibles », dans le but de les préserver, les faire connaître et les valoriser. Vingt-six sites sont ainsi identifiés dans le département dont un situé sur le territoire communal : l' « Éperon de Roquezon », remarquable pour la mosaïque de milieux calcicoles qui la constitue et son intérêt préhistorique[30].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[31],[32],[33].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blois, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[34],[35].

 
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (98,8 %). La répartition détaillée ressortant en 2012 de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover est la suivante : terres arables (97 %), prairies (1,9 %), zones urbanisées (1,2 %).

Planification modifier

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[36].

Habitat et logement modifier

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (3,1 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,4 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à la Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine en 2016.
La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine[37] Loir-et-Cher[38] France entière[39]
Résidences principales (en %) 81,7 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,1 18 9,6
Logements vacants (en %) 15,2 7,5 8,1

Risques majeurs modifier

Le territoire communal de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques : le risque nucléaire et le transport de matières dangereuses[40],[41].

Risques naturels modifier

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[40]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[42]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[43].

Risques technologiques modifier

La totalité du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire. En cas d'accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactif. Or la commune se situe partiellement à l'intérieur du périmètre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 20 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d'iode stable dont l'ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d'une exposition à de l'iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[44],[45].

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[46].

Histoire modifier

Révolution française et Empire modifier

Nouvelle organisation territoriale modifier

Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[47], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine devient formellement « commune de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine »[47],[48].

En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Mer et au district de Mer[48]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[49],[50]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[49]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[51]. La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine est alors rattachée au canton de Mer et à l'Arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[52],[48],[53]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

 
La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine dans l'intercommunalité en 2016.

La commune de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine est membre de la communauté de communes Beauce Val de Loire, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [54].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Blois, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[6], en tant que circonscriptions administratives[6]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de la Beauce depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[55] et à la Troisième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[56].

Politique et administration municipale modifier

Conseil municipal et maire modifier

Le conseil municipal de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[57] avec liste ouvertes et panachage[58]. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[59].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 juillet 2020 Joël Moreaux[60]   Médecin
juillet 2020 En cours Jean-Louis Fesneau[60],[61]   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[62].

Alimentation en eau potable modifier

Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[63]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable et d'assainissement Collectif Val d'Eau qui assure le service en régie[64].

Assainissement des eaux usées modifier

En 2019, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine est assurée par le syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable et d'assainissement collectif Val d'Eau qui a le statut de régie à autonomie financière[65]. Deux stations de traitement des eaux usées sont en service au sur le territoire communal[66] :

  • « Le Mardeau », un équipement utilisant la technique des filtres plantés, dont la capacité est de 320 EH , mis en service le [67] ;
  • « La Chapelle Saint Martin en Plaine », un équipement utilisant la technique des filtres plantés, dont la capacité est de 600 EH , mis en service le [68].

L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[69]. La communauté de communes Beauce Val de Loire assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[70].

Sécurité, justice et secours modifier

La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Mer qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[71].

En matière de justice, La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[72], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[73].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[74]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[75].

En 2021, la commune comptait 681 habitants[Note 5], en diminution de 5,94 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9009539029741 0521 0841 0501 0551 071
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1051 1071 1071 0509881 0421 0881 012987
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
936882836708695662673639639
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
590621606590552591612605689
2015 2020 2021 - - - - - -
724684681------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[76] puis Insee à partir de 2006[77].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,8 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 348 hommes pour 367 femmes, soit un taux de 51,33 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[78]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,8 
90 ou +
0,9 
6,6 
75-89 ans
6,6 
12,6 
60-74 ans
15,1 
21,6 
45-59 ans
21,7 
22,2 
30-44 ans
20,8 
18,0 
15-29 ans
14,0 
17,1 
0-14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2020 en pourcentage[79]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,1 
75-89 ans
11,8 
19,4 
60-74 ans
20,1 
21 
45-59 ans
20,2 
16,6 
30-44 ans
16,2 
15,3 
15-29 ans
13,2 
17,5 
0-14 ans
16 

Économie modifier

Secteurs d'activité modifier

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à la Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[80] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
total % com (% dep[81]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble 57 100,0 (100) 50 7 0 0 0
Agriculture, sylviculture et pêche 19 33,3 (11,8) 17 2 0 0 0
Industrie 5 8,8 (6,5) 5 0 0 0 0
Construction 5 8,8 (10,3) 3 2 0 0 0
Commerce, transports, services divers 22 38,6 (57,9) 21 1 0 0 0
dont commerce et réparation automobile 8 14,0 (17,5) 8 0 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 6 10,5 (13,5) 4 2 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (22 entreprises sur 57) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (33,3) %, il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %). Sur les 57 entreprises implantées à la Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine en 2016, 50 ne font appel à aucun salarié et 7 comptent 1 à 9 salariés

Agriculture modifier

En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[82]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[83]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 53 en 1988 à 28 en 2000 puis à 20 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 45 ha en 1988 à 102 ha en 2010[82]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l'agriculture à la Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine (41) entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[82]
Nombre d'exploitations (u) 53 28 20
Travail (UTA) 66 33 21
Surface agricole utilisée (ha) 2 369 2 288 2 035
Cultures[84]
Terres labourables (ha) 2 367 2 287 2 026
Céréales (ha) 1640 1484 1338
dont blé tendre (ha) 1130 886 s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 54 61 98
Tournesol (ha) 228 s 41
Colza et navette (ha) 320 332 298
Élevage[82]
Cheptel (UGBTA[Note 6]) 299 204 1

.

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Chevet de l'église Saint-Martin.
  • Église paroissiale Saint-Martin.
  • Chapelle Saint-Vincent du Villiers, datée des XIe – XIIe siècles, et présentant des peintures murales dans l'abside et dans le chœur. Elle est protégée au titre des Monuments Historiques par une inscription à l'inventaire depuis 2010[85].

Personnalités liées à la commune modifier

L'une des personnalités de la commune est en fait sa plus ancienne association : L'harmonie de la chapelle Saint-Martin.

La fanfare de la Chapelle Saint-Martin est née en 1882 sur l'initiative de quelques musiciens amateurs. Elle ne compte à cette époque que 14 membres, mais un peu plus tard en 1909, elle forme déjà un groupe de 40 musiciens.

Malgré les méfaits de la guerre, elle connaît son apogée dans les années 1930 où elle se présente régulièrement aux concours régionaux ; et ensuite entre 1970 et 1980, après la fondation d'une école de musique en 1965.

En 1988, la fanfare prend le nom d'harmonie. L'école de musique qui a toujours continué la formation de musiciens se structure davantage et forme à partir de 1990 de nombreux enfants et quelques adultes avec l'aide de professeurs diplômés de l'harmonie et du conservatoire. L'harmonie s'étoffe et prend un nouvel essor sous la direction de monsieur Jean Baccon.

À la fin de l'année 2003 et après un travail remarquable, ce dernier confie la direction à monsieur Étienne Poulin.

En 2007, l'harmonie a fêté son 125e anniversaire de manière exceptionnelle en se produisant à Paris, sous le kiosque des jardins du Palais du Luxembourg (Sénat). (Source : Historique de l'association)

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée caractérisée par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).

Références modifier

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Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

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  • Stéphane Gendron, Les noms de lieux du Centre, Paris, éditions Bonneton, , 232 p. (ISBN 978-2-86253-226-4).
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
  • Liste des communes de Loir-et-Cher

Liens externes modifier

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