La Chapelle-Saint-Luc

commune française du département de l'Aube

La Chapelle-Saint-Luc
La Chapelle-Saint-Luc
Parc Pierre-Pitois.
Blason de La Chapelle-Saint-Luc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Troyes Champagne Métropole
Maire
Mandat
Olivier Girardin
2020-2026
Code postal 10600
Code commune 10081
Démographie
Gentilé Chapelains
Population
municipale
12 299 hab. (2021 en diminution de 1,38 % par rapport à 2015)
Densité 1 174 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 18′ 45″ nord, 4° 02′ 43″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 164 m
Superficie 10,48 km2
Unité urbaine Troyes
(banlieue)
Aire d'attraction Troyes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Troyes-3
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chapelle-Saint-Luc
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La Chapelle-Saint-Luc
Liens
Site web ville-la-chapelle-st-luc.fr

La Chapelle-Saint-Luc est une commune française située dans le département de l'Aube en région Grand Est. Elle fait partie de Troyes Champagne Métropole. Ses habitants sont appelés les Chapelains et Chapelaines. Elle est 3e plus grande ville de l'Aube par sa population[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

Située à 115 mètres d'altitude, le fleuve la Seine, est le principal cours d'eau qui traverse la commune de la Chapelle-Saint-Luc.

Communes limitrophes modifier

Toponymie modifier

Capella en 1147, nonas de capella sancti Luce en 1164.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 644,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Statistiques 1991-2020 et records TROYES-BARBEREY (10) - alt : 112m, lat : 48°19'28"N, lon : 4°01'11"E
Records établis sur la période du 01-05-1975 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,5 0,3 2,2 4,2 8,1 11,3 13,4 13,2 9,8 7,2 3,5 1,3 6,3
Température moyenne (°C) 3,6 4,3 7,4 10,2 14 17,4 19,8 19,6 15,7 11,9 7,1 4,3 11,3
Température maximale moyenne (°C) 6,8 8,2 12,5 16,2 19,9 23,5 26,2 26 21,6 16,6 10,6 7,4 16,3
Record de froid (°C)
date du record
−23
17.01.1985
−17,6
25.02.1986
−15,4
01.03.05
−6,2
09.04.03
−2
01.05.1984
0,4
05.06.1991
3,1
04.07.1984
3
31.08.1986
−0,4
29.09.02
−7
31.10.1985
−11,1
24.11.1998
−18
31.12.1985
−23
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,2
30.01.02
22,1
27.02.19
26,1
31.03.21
29,2
19.04.18
33,3
28.05.17
38,4
18.06.22
41,8
25.07.19
40,6
12.08.03
35
14.09.20
30,3
01.10.1985
23
02.11.20
19
03.12.1985
41,8
2019
Ensoleillement (h) 631 904 1 483 190 2 164 2 308 2 422 232 1 857 1 254 698 574 18 514
Précipitations (mm) 48,2 44,2 45,9 48,3 64,9 52,4 56,4 53,9 52,4 63,8 55,3 58,9 644,6
Source : « Fiche 10030001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,8
0,5
48,2
 
 
 
8,2
0,3
44,2
 
 
 
12,5
2,2
45,9
 
 
 
16,2
4,2
48,3
 
 
 
19,9
8,1
64,9
 
 
 
23,5
11,3
52,4
 
 
 
26,2
13,4
56,4
 
 
 
26
13,2
53,9
 
 
 
21,6
9,8
52,4
 
 
 
16,6
7,2
63,8
 
 
 
10,6
3,5
55,3
 
 
 
7,4
1,3
58,9
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Chapelle-Saint-Luc est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Troyes, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[12] et 136 438 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (61,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (30,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (28,4 %), terres arables (23,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine modifier

Le quartier « Chantereigne » est une zone d'une centaine d'hectares, à l'ouest de la rue Jean-Jaurès. Il se compose essentiellement d'habitats collectifs et d'équipements publics. Il est bordé au nord par le complexe sportif Lucien-Pinet, l'espace vert des Prés de Lyon et la zone pavillonnaire des Hameaux Saint-Luc.

À l'origine, en 1963, le conseil municipal délibère sur la création d'une zone à urbaniser en priorité afin de permettre à la commune de renforcer son aménagement. L'objectif est de répondre aux besoins en logement d'une population grandissante, venue travailler dans l'importante zone industrielle où s'implantent diverses entreprises et usines. La construction du quartier Chantereigne a donc donné une physionomie nouvelle à la commune, impulsée par le développent économique des années 1970. Ce quartier regroupe aujourd'hui plus de la moitié de la population chapelaine.

Sa rénovation a commencé au début des années 2000. La seconde phase (beaucoup plus significative), prévue dans le cadre de la zone urbaine sensible (ZUS) et soutenu par l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), débute en 2009. En 2015, il est réuni dans un vaste quartier prioritaire avec Montvilliers et Beau-Toquat[18].

Histoire modifier

Le village est cité en 1147 pour des dîmes dues à l'abbaye Saint-Loup[19] mais aussi dans une bulle de 1164 : nonas de Capella sancti Luce.
Le fief était au comte de Champagne, relevait de Saint-Sépulcre, il y avait une mairie comtale puis royale. Parmi les seigneurs particuliers, il faut citer la famille de Foulx[20] du XIVe siècle au XVIe siècle puis la famille de Nicolas Paillot, maire de Troyes à partir de 1597 et par mariage aux Lefvre. Marie Lefvre se mariait à Pierre-François de Mesgrigny en 1730. Les deux enfants Quinot furent les derniers seigneur à Chapelle-Saint-Luc. Les biens de la communauté comprenaient cinq pièces de terres représentant douze arpents.

En 1789, Villy relevait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection et du bailliage de Troyes et de la Mairie royale de Preize.

Château modifier

Une maison forte est citée en 1399, en 1442[21], elle est décrite en 1779[22] : « motte et lieu seigneurial de la dite terre, sur laquelle sont construits les bâtiments consistant en grand corps de logis, construit en pierre ; écuries, étables, grange, colombier à pied, avec cour et le tout fermé de fossés ». Il reste une cartouche des armes de la famille Foulx qui est conservé au musée de Troyes. Il a été détruit en 1842.

Anciens moulins modifier

Connu sous les appellations de Molendi de Fossiaco, de Tirvau, de Tirvert, des Tirverts, de Petit-Foissy, de Fouchy et qui appartenaient aux dames de Foissy. Sont donnés les moulins qui sont au-dessus du grand pré de Sainte-Maure par Thibault II, comte de Champagne, aux dames dépendantes de l'abbaye de Fontevrault. En 1446, M. Boutiot louait un moulin à blé et un à papier[23]. Ruinés en 1461, ils sont réédifiés par les échevins en même temps que la fosse-vanne pour laisser passer les bateaux. Loués en 1471 à Philippe Dufour, en 1486 à Pierre Mérille, famille qui en avait la location perpétuelle et faisait exploiter les moulins par Jean Bernard dit Claudin en 1524, à Claude Denise et Jacques Tartier à partir de 1533. En 1558, ils sont décrits comme un moulin à écorces, isolés, un à foulon, deux à papier et deux à blés[24]. En 1649, les dames reprenaient aux locataires insolvables et bâtirent deux nouveaux moulins, un à blé fut loué pour 830 livres et l'autre pour 1 100 à Guttin père et fils. Deux moulins furent vendus comme matériaux en 1708 et en 1719, le nouveau moulin à blé fut loué à Julien Courtin et Madeleine Lenoir son épouse. Saisis lors de la Révolution française, les moulins furent vendus 10 200 livres au citoyen Nicolas Truelle-Sourdan, juge et avocat au district de Troyes. Brûlé par les Alliés en 1815, il ne fut relevé qu'en 1845 par M. Hoppenot pour en faire une filature pour la bourre de soie. En 1861, M. Marot en refaisait un moulin à blé qui fut vendu à la Compagnie agricole de minoterie en 1922.

Politique et administration modifier

Entre le et le , La Chapelle-Saint-Luc était au canton de Sainte-Maure, puis de Troyes extra-muros jusqu'en an VIII avan de passer à celui de Saint-Martin-es-Vignes jusqu'en an IX. La Chapelle-Saint-Luc passe ensuite au 2e canton de Troyes.

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1959 Albert Cinget . .
1959 1963 Edouard Charton . .
1963 1977 Lucien Pinet . .
1977 1983 Yves Predieri PS
puis UDF
Conseiller général du Canton de Troyes-4 (1973-1988)
1983 1989 Paul Noley . .
1989 2001 Pierre Pitois PS .
2001 2008 Yves Rehn DVD Praticien hospitalier biologiste
mars 2008 En cours Olivier Girardin[25]
Réélu pour le mandat 2020-2026 [26]
PS Cadre supérieur
Conseiller régional
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale modifier

La commune a été récompensée par quatre fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[27].

Jumelages modifier

  Neckarbischofsheim (Allemagne)  : cérémonie officielle et signature des actes de jumelage par Albert Kumpf (Bürgermeister) et Lucien Pinet (maire).

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[28],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 12 299 habitants[Note 5], en diminution de 1,38 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
330310349259348367373398409
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
378383373402480569627588803
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8819381 1171 2521 6591 9862 2502 0883 483
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 5946 52815 13616 24115 81514 44713 67612 71612 796
2021 - - - - - - - -
12 299--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 5 612 hommes pour 6 301 femmes, soit un taux de 52,89 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,5 
6,2 
75-89 ans
8,8 
15,0 
60-74 ans
15,2 
16,2 
45-59 ans
17,9 
18,0 
30-44 ans
17,0 
17,4 
15-29 ans
17,9 
26,9 
0-14 ans
21,7 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,3 
60-74 ans
18,2 
19,5 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,4 
18,2 
15-29 ans
16 
19,3 
0-14 ans
17,2 

Culture locale et patrimoine modifier

Événement culturel modifier

Depuis 2016, l'association Fata Morgana organise le Festival International du Court Métrage Court en Scène[33],[34], qui s'est appelé pour la première édition "Festival International du Court Métrage du Grand Troyes". Les projections ont lieu au Centre Culturel Didier Bienaimé. Le festival a la particularité d'accueillir les réalisateurs des films sélectionnés pour leur permettre d'échanger avec le public.

Lieux et monuments modifier

  • Le parc Pierre-Pitois (anciennement "parc des étangs de Fouchy", renommé "parc Pierre-Pitois" le 18/10/15) : lieu de promenade avec aires de jeux, de pique-nique et parc animalier. On peut y voir un pavillon floral dédié aux variétés exotiques (orchidées, ficus, bananiers).
  • Le parc des Près de Lyon : promenade, parcours de santé, minigolf
  • Le musée de l'ancienne malterie de Champagne : il relate l'histoire de la cité, village devenu ville avec l'industrialisation.
  • L’église Saint-Luc : d'architecture gothique, située dans la vieille ville, elle a été construite en deux temps : l’abside, le transept doublé et la travée orientale datent de 1531, la travée et la façade ouest de 1579[35].
  • Église du Sacré-Cœur de La Chapelle-Saint-Luc.

Les parcs et squares à découvrir modifier

  • Le parc Pierre Pitois, 78 avenue Aristide Briand.
  • Le parc des Près-de-Lyon, avenue Neckarbischofsheim.
  • Le parc cinquantenaire de la Libération, rues Pasteur et André Marceau.
  • Le parc Mouchotte, rue E. Mouchotte.
  • Le square Yves Prédieri, rue Raymond Chasseigne.
  • Le square Jorand, rue Raymond Poincaré.
  • Le square Les Hatées, rue Ernest Perochon.
  • Chemin rural, rue Lazare Carnot.

Héraldique modifier

Lors des délibérations du conseil municipal du , le maire de l'époque, Lucien Pinet, fait savoir qu'il a pris contact avec la Société académique de l'Aube en vue de la confection d'une marque symbolique communale.

  Blason
D'azur au saint Luc d'argent contourné et le genou dextre posé à terre, tenant dans sa senestre une maquette de chapelle d'or, brochant sur un bœuf d'argent contourné et couché à ses pieds derrière lui, au chef cousu de gueules chargé d'une roue dentée d'argent accompagnée de quatre gerbes de blé d'or, deux de chaque côté.
Détails
  Armes parlantes. Les armes sont parlantes et rappellent le nom de la commune, le dessin de la chapelle rappelle d'aussi près que possible celui de l'église de La Chapelle-Saint-Luc. Le bœuf est le symbole qui accompagne généralement l'évangéliste saint Luc et permet de le reconnaître dans l'imagerie. Dans la partie haute du blason (le chef), la roue dentée rappelle le caractère industriel de la commune et spécialement la présence d'une zone industrielle. Les gerbes de blé rappellent le caractère agricole de la commune.
Adopté par la municipalité.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « AUBE : Carte, plan departement de l' Aube 10 », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Luc et Barberey-Saint-Sulpice », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Quartier Prioritaire : Chantereigne Montvilliers Beau-Toquat sur sig.ville.gouv.fr
  19. Charles Lalore, Collection des principaux cartulaires du diocèse de Troyes, vol. 1, E. Thorin (Paris), (lire en ligne), « 16-14 avril 1147 », p. 35.
  20. Aussi écrit Fox, Folz, Fos.
  21. Archives départementales de l'Aube, E85.
  22. Archives départementales de l'Aube, E 948.
  23. Archives municipales de Troyes, AA, 16e carton, 1re liasse.
  24. Archives municipales de Troyes, AA, 29e carton.
  25. Conseil général de l'Aube mise à jour au 10 avril 2008
  26. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21598566
  27. Source : Villes et Villages Fleuris
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chapelle-Saint-Luc (10081) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  33. « festival », sur festival (consulté le ).
  34. « Le film court fait son cinéma au centre culturel Didier-Bienaimé à La Chapelle-Saint-Luc », L'Est Eclair,‎
  35. PA00078073

Annexes modifier

Bibliographie modifier

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