La Verpillière

commune française du département de l'Isère

La Verpillière
La Verpillière
La mairie.
Blason de La Verpillière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté d'agglomération Porte de l'Isère
Maire
Mandat
Patrick Margier
2020-2026
Code postal 38290
Code commune 38537
Démographie
Gentilé Vulpillien(ne)s
Population
municipale
7 500 hab. (2021 en augmentation de 7,42 % par rapport à 2015)
Densité 1 130 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 16″ nord, 5° 08′ 37″ est
Altitude Min. 205 m
Max. 305 m
Superficie 6,64 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Villefontaine
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Verpillière
(bureau centralisateur)
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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La Verpillière
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La Verpillière
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La Verpillière
Liens
Site web www.laverpilliere.eu

La Verpillière [la vɛʁpijɛʁ] est une commune française de l'unité urbaine de Villefontaine, située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Autrefois rattachée à la province du Dauphiné, la ville est située dans la partie orientale de l'aire urbaine de Lyon.

La commune appartient à la communauté d'agglomération Porte de l'Isère dont le siège est fixé à L'Isle d'Abeau. Ses habitants sont dénommés les Vulpillien(ne)s[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de La Verpillière est située sur un axe important de la région Auvergne-Rhône-Alpes entre Lyon et Grenoble-Chambéry.

 
Plan de La Verpillière et des communes limitrophes

L'agglomération bénéficie d'un positionnement géographique avantageux sur les plans économique et social , non loin d'un aéroport international et de nombreux axes routiers majeurs et se positionne à 77 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, 29 km de Lyon, chef-lieu de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, 332 km de Marseille et 499 km de Paris, par la route.

Le centre de la commune est également situé à 12,4 km de Bourgoin-Jallieu, principale ville de son secteur[2].

Description modifier

Ville de taille moyenne, La Verpillière est le chef-lieu d'un canton qui porte le même nom. La superficie de la ville est de 6,64 km2 et de plus de 7 000 habitants.

Surplombée par une forêt, et composée en partie de terres agricoles et de marais (fortement impactés par une urbanisation croissante) , La Verpillière a su demeurer un lieu ou la nature reste maître des lieux (même si elle ne reste pas à l'abri de la poussée immobilière), elle est en outre traversée par une rivière « La Bourbre », et possède un étang.

La Verpillière a intégré la nouvelle communauté d'agglomération (CAPI), dans laquelle elle est représentée par deux vice-Présidents et huit délégués. Les principales villes voisines sont Villefontaine, Saint-Quentin-Fallavier (accueillant l'une des plus grandes ZI de France), L'Isle-d'Abeau et Bourgoin-Jallieu connue par le rugby.

Communes limitrophes modifier

Villefontaine, Saint-Quentin-Fallavier et Frontonas sont les trois villes limitrophes de La Verpillière.

Géologie et relief modifier

 
Vue générale de La Verpillière, depuis le château de Fallavier, la centrale du Bugey à l'arrière plan.

La Verpillière se situe entre la plaine de Lyon et la bordure occidentale du plateau du Bas-Dauphiné qui recouvre toute la partie iséroise où il n'y a pas de massifs montagneux. Le plateau se confond donc avec l'ensemble géographique du nord du département de l'Isère, secteur qui est essentiellement composé de collines de basse ou moyenne altitude et des longues vallées entre Terres froides et Balmes viennoises. L'ouest de ce secteur correspond à la plaine lyonnaise.

Il s'agit en fait d'une pénéplaine accidentée avec des collines datant du Miocène, éminences qui séparent les vallées de rivières toutes tributaires du Rhône. Au nord de la plaine berjalienne se présente un modeste massif calcaire jurassique dénommé localement l'Isle-Crémieu du fait de son élévation. Celui-ci se prolonge jusqu'au territoire de La Verpillière. Les glaciations qui se sont succédé au cours du Quaternaire sont à l'origine du modelé actuel de la plaine, les produits antéglaciaires restant profondément enfoui sous les dépôts d'alluvions liés à l'écoulement des eaux lors de la fonte des glaces[3].

Hydrographie modifier

Le territoire communal est longé dans sa partie septentrionale par le canal de dessèchement de la Bourbre. La Bourbre est une rivière d'une longueur de 72,2 km[4] qui traverse une grande partie de la plaine berjalienne et qui conflue avec le Rhône au nord du département de l'Isère.

Le syndicat Mixte d'aménagement du bassin de la Bourbre, regroupant 75 communes, est la structure de gestion du bassin[5]

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 922 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records LYON-ST EXUPERY (69) - alt : 235m, lat : 45°43'35"N, lon : 5°04'40"E
Records établis sur la période du 01-04-1975 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,4 4,3 7,3 11,2 14,8 16,7 16,5 12,8 9,6 4,8 1,9 8,5
Température moyenne (°C) 3,9 4,9 8,8 12,1 16,1 19,9 22,1 21,9 17,7 13,5 7,9 4,6 12,8
Température maximale moyenne (°C) 6,6 8,4 13,4 16,9 20,9 25 27,5 27,3 22,5 17,3 11 7,2 17
Record de froid (°C)
date du record
−20,3
07.01.1985
−12,9
11.02.1986
−9,6
01.03.05
−3
08.04.03
−0,2
01.05.1976
4
04.06.1984
6,6
22.07.1980
5,1
30.08.1986
1,7
22.09.1977
−3,7
31.10.1997
−8,1
27.11.1989
−12,7
10.12.1980
−20,3
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
20,4
10.01.15
22,4
24.02.1990
26,1
22.03.1990
28,8
30.04.05
33,9
24.05.09
38,1
22.06.03
39,4
24.07.19
39,9
24.08.23
34,2
10.09.23
30,3
09.10.23
22,4
08.11.15
20,1
18.12.1989
39,9
2023
Ensoleillement (h) 727 993 1 678 1 826 2 165 2 515 2 786 2 469 186 1 235 717 504 19 473
Précipitations (mm) 55 46,9 54,1 72,4 82,7 70,7 67,4 70,6 86,6 101 92,1 63 862,5
Source : « Fiche 69299001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Voies de communication modifier

Autoroutes

L' Autoroute A43 permet de relier Lyon et Chambéry (ainsi que l'agglomération grenobloise grâce à la jonction avec l' autoroute A48) dessert le territoire communal, notamment grâce à une bretelle permettant son accès direct.

Routes

L'ancienne route Nationale 6 déclassée en route départementale permet de relier la commune avec l'agglomération lyonnaise et les autres communes de la communauté de communes dont Bourgoin-Jallieu et L'Isle d'Abeau.

Transports publics modifier

 
Gare SNCF de la Verpillière
Par le train

La gare de La Verpillière est desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes des relations :

Par les transports routiers

La Verpillière est desservie par plusieurs lignes de transport routier dont une ligne Transisère Lyon (Part-Dieu) / Saint-Quentin-Fallavier / Villefontaine, ainsi que deux lignes régulières du Réseau urbain Bourgoin-Jallieu - Agglomération nouvelle (dit Ruban) :

  • Ligne B : Villefontaine Mas de la Raz ↔ La Verpillière Mairie
  • Ligne H : La Verpillière - Giraud - Gare SNCF ↔ La Verpillière - Giraud - Gare SNCF (Ligne circulaire)

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Verpillière est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villefontaine, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[15] et 37 745 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

La Verpillière est composée d'environ 25 % de logements sociaux. Entre 2009 et 2015, à la suite de l'accord que la CAPI a passé avec l'État (construction de 1 000 logements par an), la Verpillière envisageait d'accueillir 350 logements privés et 85 logements sociaux.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (38,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,4 %), zones urbanisées (30,7 %), terres arables (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Quartiers, hameaux et lieux-dits modifier

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de La Verpillière, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[21].

  • Ferme de Cabale
  • Ferme de l'Espérance
  • Malatrait
  • les Gaffes
  • la Grande Sétive
  • les Lommes
  • les Loipes
  • les Maisons Neuves
  • le Danet
  • Maison Thomas
  • Chapeau Rouge
  • les Grandes Vignes
  • la Plaine (ou Riante Plaine)
  • l'Alouette
  • Écorcheboeuf
  • Pont Beloud
  • La Gare
  • Bois de Bret

Morphologie urbaine modifier

Le quartier de Riante Plaine est composé uniquement de logements sociaux avec une vingtaine d'immeubles (R+2 à R+8). Une zone commerciale y est implantée. le centre-ville est essentiellement composé de maisons et petits immeubles (R+2) comporte les commerces de proximité de la ville. Le secteur de la gare est en pleine mutation notamment avec le contournement du passage à niveau, création de parkings dû à la fréquentation en hausse de la gare (plus de 2000 voyageurs par jour). Le secteur du stade-Mairie est composé majoritairement d'immeubles (R+3 a R+7).

Logement modifier

Projets d'aménagement modifier

Depuis ces dernières années l'aménagement de la commune s'est accéléré, et avec lui le nombre d'immeubles et de maisons. Sur le site de l'ancienne école Les Marronniers, plus de 300 logements prévus sur le site de Tecumseh, un immeuble construit dans la rue de la République et enfin plusieurs immeubles et logements proches du centre-ancien (de l'église) et sur la zone des marais (anciennement inondable).

Risques naturels et technologiques majeurs modifier

Risques sismiques modifier

L'ensemble du territoire de la commune de La Verpillière est situé en zone de sismicité n°3, comme l'ensemble des communes de son secteur géographique[22].

Terminologie des zones sismiques[23]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques modifier

Toponymie modifier

Historique du nom modifier

de Vulpilleri au XIIIe siècle, Vulpilleria et Verpoleya au XVe siècle, Verpillyat au XVIIIe siècle[24].

Interprétation et étymologie modifier

Le nom de La Verpillière proviendrait du nom latin vulpēs signifiant renard. Un grand nombre de ces animaux (certainement le Renard roux (Vulpes vulpes) furent certainement observés dans le secteur lors de la création de la paroisse[25]. Afin d'accréditer ce fait, deux renards figurent sur les armoiries de la ville[26].

Les armoiries de la ville sont ici en accord avec l’origine de son nom, ce qui n’est pas toujours le cas. Il pourrait s’agir d’un terme vulpicula associé à un suffixe -aria[27]. Il existe bien le mot latin vulpecula mais c’est un diminutif de vulpes et signifie « petit renard ». Plus simplement nous avons affaire à un mot régional, verpillière, volpillière, vulpilière[24], équivalent de l’arpitan vualpelira[28], « lieu fréquenté par les renards ».

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

Moyen Âge modifier

Durant l'époque médiévale, la paroisse de La Verpillière dépend de la terre des seigneurs de Fallavier. Les comptes de la châtellenie de Fallavier, mis en place par Pierre II de Savoie, sont parmi les plus anciens conservés de la gestion par les comtes de Savoie et remonte au milieu du XIIIe siècle[29]. Guillaume de Beauvoir est en 1233[30] le seigneur de Fallavier et des terres environnante et prête hommage au chapitre de Saint-Maurice. En 1242[30] il vend sa possession en fief oblat à l'évêque de Clermont, puis à l'archevêque de Vienne en 1247[30].

Par lettres, le comte Amédée VI de Savoie porte concession en fief à Guillaume de Franciscy le domaine de La Verpillière. Au cours de l'année 1349, le royaume de France annexa le Dauphiné. Sept ans plus tard, en janvier 1356, l'enclave savoyarde de Fallavier fut concédée au Dauphiné et par conséquent au royaume de France.

Temps Modernes modifier

Un procès-verbal en date du confirme l'appartenance des terres de Falavier comprenant Les paroisses de Saint-Quentin, la Verpillière, de Ponas et de Menufamille au domaine royal, le vassal propriétaire de ces terres étant Imbert de Comboursier [31]. Au XVIIe siècle et au siècle suivant, l'église Saint-Denis de la Verpillière faisait partie des membres de la commanderie hospitalière de Bellecombe[32].

Époque contemporaine modifier

La Seconde guerre mondiale modifier

Le des combats opposent l'armée allemande d'occupation aux troupes de l'armée de libération et celle de la Résistance locale qui progressent vers Lyon après avoir contourné le secteur du canton de La Verpillière[33].

Le XXIe siècle modifier

Entre 2003 et 2006, la bande organisée d'abord dénommée sous le nom de « gang des mécanos » puis sous le nom de « gang des souris vertes » procèdent à de nombreuses attaques de banques et de fourgons de transport de fonds sur le territoire français. Le une attaque à La Verpillière va entraîner la fin de l'aventure pour les membres du gang : un convoyeur de fonds s'échappe et réussit à donner l'alarme, les gendarmes réussissant à intercepter la voiture des gangsters, ce qui entraînera l'arrestation de trois hommes sur la commune voisine de Bonnefamille et le suicide de leur chef[34].

En 2012, un tableau du peintre peintre français Charles Camoin dénommé « La jeune fille au foulard », dérobé cinq ans plus tôt, a été retrouvé sur les bords de la Bourbre par un pécheur. Le tableau fut très rapidement identifié par la gendarmerie locale car il était fiché dans la base de données d’Interpol[35].

Politique et administration modifier

 
Hôtel de Ville de La Verpillère

Tendances politiques et résultats modifier

Élections locales modifier

Élections municipales de 2014 modifier

Ces élections opposent le maire sortant Patrick Margier (UDI) à Nicolas Sielanszyk (DVG) et Antoine Rodríguez (Divers droite).

  • Résultats du premier tour

Patrick Margier obtient 44.14% des voix (1088 votes), {Nicolas Sielanszyk} obtient 31.76 % des voix (783 voix) et Antoine Rodríguez obtient 24.1 % des voix (594 votes).

On compte moins de 3 % de votes blancs ou nuls. La participation s'élève à 62.68%.

  • Résultats du second tour

Patrick Margier remporte le scrutin avec 48.40 % (soit 1268 votes), Nicolas Sielanszyk arrive second avec 35.99% (soit 943 votes) et enfin Antoine Rodríguez avec 15.61% (soit 409 voix).

Les votes blancs ou nuls ne s'élèvent qu'à 1.43 % et la participation est de 65.91 %.

Élection présidentielle de 2017 modifier

  • Résultats
1er tour 2ème tour Nombre de voix au 1er tour
Marine Le Pen 27,37% 39,96% 871
Emmanuel Macron 21,72% 60,04% 691
Jean-Luc Mélenchon 19,45% 619
François Fillon 15,96% 508
Nicolas Dupont-Aignan 5,78% 184
Benoît Hamon 5,56% 177
François Asselineau 2,07% 66
Jean Lassalle 0,69% 22
Philippe Poutou 0,66% 22
Nathalie Arthaud 0,52% 18
Jacques Cheminade 0,16% 5

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs de 1789 à 1919
Période Identité Étiquette Qualité
1892 1910 Marcel Ogier Républicain Conseiller général (1892-1910)
1888 1892 Fernand Billon
1869 1888 Guillaume Roux
1868 1869 Jean-Baptiste Chauvet (*)
1848 1868 Claude François Faure
1846 1848 Louis Collonge
1838 1846 Pierre François Girier
1837 1838 Joseph Odet
1835 1837 Pierre Parent
1826 1835 Jean Faure
1820 1826 Pierre Parent
1816 1820 Marc Berger de Moidieu
1814 1816 Auguste Devaulx
1805 1814 François-Nicolas Girier
1795 1805 Pierre-François Girier
1793 1794 Baptiste Mazet
1790 1792 Joseph Girier
  • (*) L'adjoint au maire a remplacé ce dernier, décédé durant son mandat.
Liste des maires successifs de 1919 à 2019
Période Identité Étiquette Qualité
2008 en cours Patrick Margier UDI Artiste peintre
1989 2008 Achille Paoli RPR-UMP Conseiller général (1985-1998)
1983 1989 Jean Rabilloud
1977 1983 Maurice Ancel PS Conseiller général (1979-1985)
1976 1977 Jean Rabilloud
1973 1976 Simon Depardon
1947 1973 Jean Blein RGR-RI Conseiller général (1945-1973)
1944 1947 Antoine Michaud
1935 1944 Joseph Ogier
1932 1935 François Frandaz
1927 1932 Joseph Perrotin
1925 1927 Jean-François Charvet Rad. Conseiller général (1922-1928)
1919 1925 Adrien Gilly
1910 1919 Victor Duplessis

Jumelages modifier

La commune est jumelée avec :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

En 2021, la commune comptait 7 500 habitants[Note 3], en augmentation de 7,42 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5595806477751 0621 0601 1861 1761 220
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2241 2291 2541 2431 2401 2101 2401 2151 237
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3281 2711 3071 4241 5061 5231 3651 3811 494
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 7952 4243 2855 4005 5955 6915 9826 0186 528
2017 2021 - - - - - - -
7 2267 500-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune, située dans l'académie de Grenoble, accueille de nombreux établissement scolaires sur son territoire[41], dont, pour l'enseignement primaire :

  • deux groupes scolaires publiques (Jean-Jaurès et Jean-Moulin)

et pour l'enseignement secondaire :

  • un collège public (Anne-Frank)
  • l'externat Sainte-Marie également dénommée Sainte-Marie Lyon, établissement privé catholique, accueille sur un seul site des élèves de maternelle, élémentaire, collège, lycée avec un internat pour les lycéens [42].

Équipements culturels et de loisirs modifier

La commune gèrait, jusqu'en 2009 (depuis, c'est la CAPI), la médiathèque André-Malraux, ainsi qu'une école de musique et un espace culturel comprenant une salle de spectacles[43].

Les événements locaux sont généralement organisés sur différents sites gérés par la commune tels que la salle polyvalente, la salle des fêtes et le Gymnase Le Cossec,

ou en extérieur, si le temps le permet, notamment pour la fête de l'Été, la fête de la Musique.

Équipement sportifs modifier

La ville gère et héberge sur son territoire deux stades de football dont un terrain synthétique, ainsi qu'un city stade et une piscine couverte.

Il existe également une piste d'athlétisme, deux terrains de rugby, deux gymnases, deux courts de tennis couverts et quatre courts de tennis plein air, un terrain de basket extérieur et un terrain de handball extérieur. En 2019, la mairie a enregistré plus de vingt-cinq associations sportives sur le territoire de la commune [44].

Cultes modifier

 
Clocher de léglise Saint-Denis.

Culte catholique modifier

La communauté catholique, l'église de La Verpillère (propriété de la commune) ainsi que la congrégation des Petites Sœurs de l'Évangile, installée dans la commune depuis plus de cinquante ans, dépendent de la paroisse Saint-Paul-des-Quatre-vents qui recouvrent dix communes. Cette paroisse est elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[45].

Autre culte modifier

Un lieu de prière à l'intention des personnes de confession musulmane est implanté dans la commune.

Médias modifier

Presse écrite modifier

Le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

La municipalité édite et distribue, à l'intention des résidents de la commune, un magazine d'information saisonnier dénommé le Vulpi-Lien[46].

Économie modifier

La Verpillière a longtemps été un bassin économique de la micro région du Nord Isère, car de grandes industries y ont été longtemps implantées telles que Ferraz, ou Plastic Omnium Auto interieur et medical, et certaines y sont toujours présentes telles que Tecumseh Europe et Nemera (anciennement Rexam Pharma).

Emploi modifier

Secteurs d'activité modifier

Entreprises modifier

La ville abrite une usine du groupe Nexans[47].

Patrimoine architectural modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église paroissiale Saint-Denis de la Verpillière a été construite en 1842 dans un style néo-classique. l'édifice religieux de rite catholique présente une façade tripartite. À l'intérieur du bâtiment la nef flanquée de deux collatéraux[48]..
  • Le Bloc à cupules de La Verpillière, servant de base au monument aux morts communal d'Emmanuel Frémiet est classé monument historique par arrêté du [49],[50]. Le monument est orné d'une victoire ailée en bronze doré[51].
  • L'Externat Sainte-Marie de La Verpillière, bâtiment conçu par l'architecte Georges Adilon, est labellisé « Patrimoine du XXe siècle » de l'Isère depuis 2007.
  • La maison forte de la Verpillière, du XIVe siècle[50].
  • La Maison Girier est une grande demeure datant du XIXe siècle et ayant appartenu à une famille de notable, les « Girier ». L'édifice a entièrement été restauré par la municipalité en 1998 afin d'être utilisé en espace communal, abritant notamment la salle des mariages et un espace d'expositions[52].

Espaces verts et fleurissement modifier

En , la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[53].

Patrimoine naturel modifier

Le territoire de La Verpillière abrite partiellement sur son territoire trois espaces naturels inventoriés en raison de leurs caractères remarquables[54].

  • La ZNIEFF des zones humides reliques de la vallée de la Bourbre (partagée avec les communes de Saint-Quentin-Fallavier, de Frontonas, de Satolas-et-Bonce, de Villefontaine et de Chamagnieu).
  • La ZNIEFF de l'ensemble fonctionnel des vallées de la Bourbre et du Catelan (partagée avec vingt autres commune de la région).
  • La ZNIEFF de l'ancienne gravière d'Ecorcheboeuf (partagée avec la commune de Villefontaine).

Patrimoine et tradition orales modifier

Langue régionale modifier

 
Carte linguistique du Dauphiné : Le dauphinois est un dialecte arpitan parlé dans le nord du Dauphiné

Sur le plan linguistique, le territoire de La Verpillère, ainsi que l'ensemble du Nord-Isère, se situe au nord-ouest de l'agglomération grenobloise et au sud-ouest de l'agglomération lyonnaise. Son secteur se situe donc dans la partie septentrionale du domaine linguistique des patois dauphinois, laquelle appartient au domaine de la langues dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens.

L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans la partie centre-est de la France, différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône. .

Personnalités liées à la commune modifier

 
La Verpillière en 1824
  • Henri Giraud, militaire et homme politique français, général de brigade.
Après son évasion de la citadelle de Koenigstein le . Giraud s'est caché trois mois dans la maison de M. et Mme Coron, habitants de la commune.
  • Léon Goubet
Plus connu sous le nom Ben-Ghou-Bey, ce fakir français célèbre né à La Verpillière en 1931, devenu par la suite champion du monde de fakirisme. Il est mort au Paraguay.
Ce peintre et graveur français fit halte le en sortant de Lyon, et dessina un croquis du village et de sa Poste aux chevaux.

Héraldique modifier

La commune de La Verpillière porte :

Écartelé : aux 1er et 4e de gueules au renard ravissant d'argent ; aux 2e et 3e d'or au dauphin d'azur, crété, barbé, loré et peautré de gueules[55].

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 13 avril 2019
  2. Site via michelin page sur la distance entre La Verpillière et Bourgoin-Jallieu, consulté le 13 avril 2019
  3. Site Persée L'isère préhistorique et protohistorique d'Aimé Bocquet, page 124
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Bourbre (V17-0400) » (consulté le ).
  5. « SMABB - Syndicat Mixte d'Aménagement du Bassin de la Bourbre », sur smabb.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  9. « Station Météo-France « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Villefontaine », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Site géoportail, page des cartes IGN
  22. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  23. [1]
  24. a et b Henry Suter, Noms de lieux de la Suisse Romande, Savoie et Environs, www.henrysuter.ch
  25. Site du journal le dauphiné, article "La Verpillière, le renard à l’origine du nom de la commune, consulté le 13 avril 2019
  26. Site de la commune de La Verpillière, page Histoire, consulté le 13 avril 2019
  27. A. Dauzat & Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Guénégaud, Paris, 1978
  28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, 2, 3, Droz, Genève,1990-1
  29. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 2-05-101676-3), p. 355.
  30. a b et c Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 1082.
  31. Google livre "Description topographique, historique et statistique des cantons formant le département de l'Isère, canton de La Verpillière" de F. Crozet, 1869, consulté le 13 avril 2019
  32. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 113 (H.137) et 137 (H. 166)
    Les Hospitaliers possédaient la paroisse mais la juridiction est restée aux ayants droit de la seigneurie de Falavier ; 1614/15: « juridiction au seigneur Maréchal d'Esdiguière, pour cause du chasteau de Falavié ». Ne pas confondre avec l'Hôpital Saint-Jean de la Verpillière (La Trossaz), commune de Cercier en Haute-Savoie qui est un membre de Compesières en Genevois.
    .
  33. Site de l'association des 11ème cuirassés page sur le 29 aout 1944, consulté le 12 avril 2019
  34. Article sur le gang des souris vertes sur le site de Lyon-mag.
  35. Site du journal le Dauphiné, article "Dérobé il y a 5 ans, un tableau de maître retrouvé dans un fourré", consulté le 13 avril 2019
  36. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Site de la commune de La Verpillière, page "Vie scoalire", consulté le 13 avril 2019
  42. Site de Sainte-Marie Lyon "La Verpillière", consulté le 13 avril 2019
  43. Site de la commune de La Verpillère, consulté le 13 avril 2019
  44. Site de la commune de La Verpillière, page sur le sport, consulté le 13 avril 2019
  45. Site de la paroisse Saint-Paul-des-quatre-vents, page sur Bonnefamille, consulté le 12 avril 2019
  46. Site calamaeo, exemplaire n°15 du Vulpi-Lien, consulté le 13 avril 2019
  47. (fr) Nexans - Nos implantations en France ; consulté le 19 mars 2016.
  48. Site Isère Tourisme, page sur l'église Saint-Denis, consulté le 13 avril 2019
  49. « Bloc erratique à cupules », notice no PA00117313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. a et b Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 711.
  51. Site isère patrimoine, page sur le monument aux morts de La Verpillière, consulté le 13 avril 2019
  52. Site Isère Tourisme, page sur la maison Grier, consulté le 13 avril 2019
  53. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  54. :Site de l'INPN, page sur la liste des znieff de La Verpillière, consulté le 13 avril 2019
  55. Site de la commune de La Verpillière

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  • Aimé Vidal, La Verpillière : une cité chargé d'histoire, Bellier, , 113 p.

Liens externes modifier

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