Léopold Fabre

joueur français de rugby
Léopold Fabre
Description de l'image Léopold_Fabre.png.
Fiche d'identité
Nom complet Léopold Fabre
Naissance
Toulouse (France)
Décès (à 80 ans)
Thézan-lès-Béziers (France)
Taille 1,74 m (5 9)
Surnom « Lolo »[1]
Poste XV : Talonneur, pilier
XIII : Pilier
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
XV
1925-1931
1931-1932
1934-1936

F.C. Lézignan
Stade châteaurenardais
F.C. Lézignan
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
XV
1930-1930

France

1 (0)

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.

Léopold Fabre, né le à Toulouse (Haute-Garonne) et mort le à Thézan-lès-Béziers (Hérault), est un joueur international français de rugby à XV et de rugby à XIII évoluant aux postes de pilier ou de talonneur dans les années 1920 et 1930.

Formé au rugby à XV au F.C. Lézignan, il fait ses débuts dans le Championnat de France lors de la saison 1925-1926. L'arrivée de l'entraîneur-joueur Jean Sébédio permet au club de gravir les échelons et d'atteindre, avec ses coéquipiers Maurice Porra et Gaston Amila, la finale de l'édition de 1929 perdue contre l'U.S. Quillan. Il reste fidèle au club malgré les menaces d'exclusion de ce dernier pour brutalité. Finalement, le club est maintenu et reste un club outsider du Championnat. Il connaît en sa première et unique sélection en équipe de France en remportant 31-0 son opposition face à l'Allemagne à Berlin. En , le F.C. Lézignan se trouve exclu du Championnat pour brutalité, L. Fabre décide alors de rejoindre le Stade châteaurenardais et joue quelques rencontres au Stade toulousain du temps de l'Union française de rugby amateur en 1930.

En 1934, il rebondit en prenant part à la première manifestation du rugby à XIII français sur l'invitation de son ex-coéquipier en sélection Jean Galia pour la tournée des « Pionniers ». De retour à Lézignan, il milite pour la création d'un club de rugby à XIII mais cela reste sans suite. Il retourne ainsi au XV au F.C. Lézignan en pour s'y entraîner sans possibilité de jouer en match dans un premier temps en raison de son passé treiziste ; il y accompagne ses deux frères dont le plus jeune, Émile Fabre, est un futur international de rugby à XV et capitaine du Stade toulousain. Il ne peut que se contenter de matchs amicaux pour revêtir de nouveau le maillot du F.C. Lézignan avant de mettre un terme à sa pratique sportive en 1936.

Biographie modifier

Enfance, jeunesse et débuts en rugby à XV à Lézignan modifier

Léopold Fabre naît le à Toulouse[2]. Il n'est pas reconnu à sa naissance[2]. Sa mère, Marie Basilisse Eustelle Cuguillère (née le à Gardie[3]), sans profession, le reconnaît comme fils naturel le [2] et son père, Léopold Fabre (né le à Lézignan-Corbières[3]), rentier, le reconnaît comme fils naturel le [2]. Il se marie le avec Geneviève Suzanne Cazals, en la mairie de Béziers[2]. Il est, dans cette région du Sud-Ouest, très vite imprégné par le ballon ovale et le rugby à XV. Il fréquente le lycée de Foix avant de rejoindre Lézignan-Corbières et son club le F.C. Lézignan[4].

1925-1931 : carrière de Léopold Fabre au F.C. Lézignan modifier

Début de carrière de Léopold Fabre dans un club ambitieux modifier

 
Jean Sébédio, son entraineur au F.C. Lézignan, l'emmène en finale du Championnat de France 1929.

Avec le F.C. Lézignan, Léopold Fabre découvre le Championnat de France de rugby à XV lors de la saison 1925-1926 au sein du F.C. Lézignan. Le club dispute la poule d'excellence qui correspond à la première division française. Le club lézignanais est entraîné par l'ancien international et entraîneur-joueur de l'A.S. Carcassonne, Jean Sébédio surnommé « le Sultan », personnage haut en couleur[5]. Le club est alors frappé d'une interdiction de rencontre à domicile dans son stade du Moulin en raison d'incidents sur les terrains mais reste qualifié pour disputer le Championnat[6]. Petit à petit, Léopold Fabre parvient à se faire sa place au sein des avants et est remarqué par la presse pour son talent, cependant que des résultats amènent à considérer le club audois comme un outsider du Championnat sous l'impulsion du capitaine J. Sébédio qui continue de jouer malgré son âge[4],[7]. Lors de cette saison 1926-1927, le F.C. Lézignan est tout proche de disputer les demi-finales du Championnat et bataille avec le Stade Français d'Adolphe Jauréguy, Jean Duhau et André Verger pour cette qualification parvenant même à les battre le au stade Buffalo[8], et ce n'est qu'une rencontre supplémentaire nommée match de barrage qui détermine le qualifié en raison de l'égalité de points en phase de poule[8]. À Colombes, le Stade Français parvient à prendre l'avantage sur le F.C. Lézignan de L. Fabre dans cette rencontre décisive 11-5[9].

 
Maurice Porra occupe le poste de talonneur au F.C. Lézignan avec à ses côtés Léopold Fabre au poste de pilier.

La saison 1927-1928 voit l'arrivée d'un nouvel élément en première ligne des avants avec Maurice Porra au talonnage[10]. Le club en Championnat de France se trouve dans la poule G aux côtés du Racing C.F., du Stade bordelais, l'U.S. Montauban et le C.A. Brive. Le club fait bonne figure mais ne se qualifie pas pour la phase des poules de quatre à la suite de sa défaite dans le match de barrage qualificatif face au Stade bordelais 9-0[11].

Saison 1928-1929 : Léopold Fabre dispute une finale du Championnat de France modifier

La saison 1928-1929 est plus prometteuse, J. Sébédio n'est plus joueur mais il reste l'entraîneur de cette équipe audoise. Le club surprend et réalise une série de victoires stoppée une première fois par l'U.S. Quillan, dernier finaliste du Championnat de France, puis par l'A.S. Béziers en [12]. Au fil de la saison, le F.C. Lézignan postule comme un sérieux outsider dans le Championnat de France. Le club bat au cours de la saison certains autres prétendants tels que le S.C. Mazamet, le Stadoceste tarbais, l'U.S. Perpignan, le Racing C.F. ou encore le S.U. Agen[13]. Ses moyens restreints limitent son effectif et il fait l'objet d'une réputation peu flatteuse infligée par les équipes vaincues dénonçant le chauvinisme de son public, la brutalité des joueurs ou la partialité des arbitres lors des rencontres à domicile au stade du Moulin[14]. L'équipe est en revanche saluée par de nombreux adversaires lorsqu'elle évolue sur terrain adverse où elle est appréciée pour son jeu ouvert, mobile et une assurance en mêlée[13]. Le F.C. Lézignan domine la poule de cinq[13] puis celle de la poule de trois devant le F.C. Grenoble et Boucau stade pour se qualifier pour les quarts-de-finale du Championnat[15].

Finale perdue du Championnat de France 1929 avec le F.C. Lézignan
U.S. Quillan 11 - 8 F.C. Lézignan

Composition du F.C. Lézignan :

Lézignan : Léopold Fabre, Maurice Porra, Léon Duezo, André Clady, Louis Haener, Arthur Boyer  , Antoine Wisser, Célestin Wisser - Roger Llary (m), Louis Bès (o) - Pierre Cance, Robert Gachein, Marius Dedieu, Michel Bigorre, André Calmet - Entraîneur : Jean Sébédio

Le F.C. Lézignan affronte en quarts-de-finale le Stade bordelais au stade des Ponts-Jumeaux de Toulouse et revêt à ce stade de la compétition l'habit de grand prétendant au titre en raison de l'excellente préparation de l'équipe pour terminer la saison[16]. La rencontre tourne à l'avantage de Lézignan qui s'impose 27-5[17]. En demi-finale du Championnat, le club audois affronte l'A.S. Béziers à Carcassonne, pendant que l'autre demi-finale oppose l'U.S. Quillan au S.U. Agen, permettant au comité du Languedoc d'avoir trois qualifiés en demi-finales[18]. La demi-finale, disputée sur le terrain de la Pépinière devant près de 15 000 spectateurs, est serrée, et ce n'est qu'au terme des prolongations (6-6 à la fin du temps réglementaire) que Lézignan s'impose 9-6 grâce à un ultime essai de Célestin Wisser pour se qualifier pour la première finale de son histoire et affronter l'U.S. Quillan dans une finale 100 % audoise[19]. La date de la finale fait l'objet d'un débat, les Quillanais souhaitant qu'elle se dispute le et les Lézignanais voulant qu'elle soit repoussée au pour permettre à ses joueurs de récupérer. C'est finalement la première option qui est retenue par la Fédération française[20]. La finale, disputée à Toulouse, contre l'U.S. Quillan de Jean Galia et Eugène Ribère est émaillée par de nombreuses bagarres hachant le jeu au grand dam des spectateurs[21]. Au cours de ce match, le F.C. Lézignan mène 8-0 après 45 minutes de jeu avant de s’effondrer en fin de rencontre et laisser les Quillanais gagner 11-8[21]. Quelques semaines plus tard, en mi-, l'exclusion du F.C. Lézignan du Championnat de France pour un an est votée au conseil de la Fédération française de rugby à XV en raison des faits de matchs pointant la brutalité des joueurs du club lors de la finale[22]. Dans cette période d'incertitude, le club voit le départ de M. Porra qui signe pour le F.C. Lyon[23] tandis que L. Fabre reste au club[24].

1929-1930 : Léopold Fabre intègre l'équipe de France modifier

Après des semaines d'hésitations et à la suite d'un remaniement de la constitution du comité de Languedoc, le F.C. Lézignan est de nouveau qualifié en Championnat de France[25]. L. Fabre prend le rôle au talonnage à la suite du départ de M. Porra et le F.C. Lézignan reste une équipe qui compte en Championnat, affrontant même l'U.S. Quillan dans un esprit apaisé loin des bagarres agitant la fin de saison 1928-1929[25] avec une victoire lézignanaise[26]. Le F.C. Lézignan est finalement requalifié en Championnat en lui permettant de disputer la division d'excellence (première division de rugby à XV)[27]. Le club audois s'extirpe de la poule de 5 avec le F.C. Lourdes et le S.A.U. Limoges[28], mais voit son parcours stoppé en poule de 3 pour une qualification en quart-de-finale en étant devancé par la Section paloise[29]. La saison finie, L. Fabre prend part à des rencontres amicales comme lors d'une confrontation entre le Stade toulousain, avec lequel il est aligné, et le S.O. Béziers[30].

L'unique sélection de Léopold Fabre face à l'Allemagne

Son repositionnement au poste de talonneur cette saison est un succès[31]. Léopold Fabre apprend alors qu'il est convoqué en équipe de France. Il prend à une rencontre en faveur des sinistrés du Midi à Toulouse le [32] où il y gagne sa place dans l'optique de l'opposition contre l'équipe d'Allemagne[31]. La rencontre est programmée le le à Berlin[31]. Il remplace au poste de talonneur son partenaire de club Charles Bigot (qui joue comme pilier au F.C. Lézignan)[31] et se trouve être le seul Lézignanais sélectionné pour ce match[33]. Il déclare avant la rencontre : « Je ferai de mon mieux, croyez-le, pour gagner la cape ! J'ai du cœur au ventre et ne rebute pas au boulot[34]. » Pour se rendre en Allemagne, l'équipe de France est réunie à Paris et voyage par wagon-lit de la capitale à Cologne puis de Cologne à Berlin[35]. Cette rencontre démontre la supériorité des Français qui s'imposent sur un score de 31-0[36].

Saison 1930-1931 : Léopold Fabre subit la radiation du F.C. Lézignan modifier

Le F.C. Lézignan et Léopold Fabre réalisent une saison 1930-1931 des plus correctes. Ils s'extirpent de leur poule de cinq en éliminant le Stade hendayais et l'U.S. Montauban, et en accompagnant au tour nommé « poule de trois » l'U.S. Cognac et le C.A. Périgueux[37]. L. Fabre réalise une saison des plus réussies à son poste de talonneur où il reste l'une des références du Championnat, amenant la presse sportive à questionner les sélectionneurs français sur son absence dans les convocations[38]. En , le club est éliminé de la poule de trois par l'A.S. Montferrand. La saison a été émaillée de nombreuses controverses au sujet de la brutalité des joueurs lézignanais au cours des rencontres[39]. Le club finit par être radié par la Fédération française de rugby à XV, ce qui contraint les joueurs à trouver un autre club pour la saison 1931-1932[40]. Léopold Fabre décide alors de rejoindre le Stade châteaurenardais[41] avec son frère Albert[42]. Le club chateaurenardais ne parvient pas à se qualifier pour la division d'excellence[43].

1934 : fin du chapitre rugby à XV et Pionnier du rugby à XIII en France modifier

Jean Galia convainc Léopold Fabre de prendre part à la tournée des Pionniers pour promouvoir le rugby à XIII modifier

 
Les Pionniers, première manifestation française du rugby à XIII.

Lors de l'arrivée du rugby à XIII en France, l'initiateur de ce mouvement, Jean Galia, banni du rugby à XV, décide de convaincre de nombreux joueurs de le rejoindre. Fabre annonce son arrivée au rugby à XIII en dénonçant l'amateurisme marron à l'instar de nombreux joueurs de rugby à XV, y compris de nombreux internationaux. Il déclare qu'il touchait 350 francs par match joué au Stade toulousain du temps de l'Union française de rugby amateur[44], mettant en accusation cette organisation qui se prétendait « être des purs » au sens amateurisme et rénover le rugby à XV français[45]. Le monde du rugby à XV entre en ébullition devant ces révélations, notamment au regard des exigences des Britanniques qui exigent le strict amateurisme du rugby à XV. Pour la première manifestation du rugby à XIII en France, Jean Galia concocte une tournée d'une sélection française en Angleterre en [S 1]. Léopold Fabre fait partie de cette sélection qui sera nommée « Les Pionniers » entouré par quelques-uns des grands du rugby à XV de l'époque désireux de dénoncer l'amateurisme marron du XV après avoir été bannis et de faire fructifier leurs talents au rugby, à l'instar de Robert Samatan, Jean Duhau, Charles Mathon ou Charles Petit[S 1]. Cette tournée permet de lancer le mouvement treiziste en France et de créer de nombreux clubs tout en mettant en place un Championnat de France à partir de l'automne 1934[S 2].

Impossibilité de créer un club de rugby à XIII à Lézignan et radiation au rugby à XV - Prémices d'une fin de carrière modifier

Léopold Fabre accompagne la volonté d'anciens présidents du F.C. Lézignan, MM. Guiraud, Dufour et Sermentin, et des joueurs Gaston Amila et Maurice Porra pour créer un club de rugby à XIII sur la ville de Lézignan-Corbières, mais le projet n'aboutit pas[46]. À la rentrée 1934, il accompagne aux entraînements ses deux jeunes frères, dont Émile Fabre, grand talent qui sera international de rugby à XV et capitaine du Stade toulousain[47]. Il ne peut pas prendre part dans un premier temps aux rencontres officielles en raison de son passage au rugby à XIII amenant sa radiation par la fédération française de rugby à XV[48],[49]. Il joue alors des rencontres amicales pour renouer avec la pratique du rugby à XV au sein du F.C. Lézignan jusqu'en 1936[50].

Après-carrière modifier

En 1939, il est réquisitionné durant la Seconde Guerre mondiale à proximité d'une base aérienne[51]. Il meurt le à Thézan-lès-Béziers (Hérault)[2].

Palmarès modifier

Rugby à XV modifier

Détails en sélection modifier

Matchs internationaux de Léopold Fabre
Date Adversaire Résultat Compétition Poste Points Essais Pen. Drops
sous les couleurs de la France
1.   Allemagne 31-0 Test-match Talonneur - - - -

Statistiques en club modifier

Saison Championnat Sélection
Comp. Class. Comp. M Pts Ess. Buts Dp.
1925-26   FC Lézignan Championnat de France poule de trois
1926-27 Championnat de France poule de quatre
1927-28 Championnat de France poule de cinq
1928-29 Championnat de France Finaliste
1929-30 Championnat de France poule de trois 1 - - - -
1930-31 Championnat de France poule de trois
1931-32   Stade châteaurenardais
1934-34   Les Pionniers (XIII) Passage de Léopold Fabre au rugby à XIII en prenant part à la tournée des Pionniers emmenés par Jean Galia.
1934-36   FC Lézignan Radié par la Fédération française de rugby à XV, Léopold Fabre ne joue que les rencontres amicales du club lézignanais.

Notes et références modifier

Le rugby à XIII : le plus français du monde modifier

  1. a et b Bonnery 1996, p. 46.
  2. Bonnery 1996, p. 49.

Références modifier

  1. « Echos de septimanie », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  2. a b c d e et f Acte de naissance de Léopold Roch Fabre, archives de Toulouse, consulté le 28 octobre 2023.
  3. a et b Acte de mariage de Léopold Fabre et Marie Cuguillère, archives de Toulouse, consulté le 28 octobre 2023.
  4. a et b « Le « Sultan » est toujours là ! », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  5. L. Cherpe, « Sébédio contre Guillermoz », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  6. « Le F.C. Lézignan ne pourra plus jouer sur son terrain pendant trois ans », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  7. « Autour des touches », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  8. a et b « Lézignan contre le Stade Français en Championnat de France », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  9. J. L., « Le Stade Français triomphe de Lézignan après une partie émouvante », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  10. « Autour des touches », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  11. « Lyon, Périgueux, Narbonne et Toulon sont toujours au purgatoire », Le Matin,‎ (lire en ligne).
  12. « Languedoc », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  13. a b et c « Les Lézignanais contre le stade Français au Parc des Princes », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  14. « Après le match Agen-Lézignan - Une mise au point lézignanais », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  15. « Les Lézignanais contre le stade Français au Parc des Princes », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  16. « Sédébio a préparé le F.C. Lézignanais », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  17. J. Fleury, « Un seul qualifié pour les demi-finales: Lézignan », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  18. « Lézignan et Béziers disputeront demain, à Carcassonne, la seconde demi-finale d'Excellence ... », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  19. Gaston Bénac, « Après prolongations, Lézignan se qualifie pour la finale d'Excellence », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  20. « La grande finale se joue après-demain à Toulouse », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  21. a et b J. Fleury, « L'U.S Quillanaise est champion de France », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  22. « Le conseil de la F.F.R. a nommé son bureau et ses commissions et a pris de graves décision pour enrayer la brutalité », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  23. « Brèves », L'Ami du peuple,‎ (lire en ligne).
  24. Jacques Moulinie, « Le « Football-Club de Lézignan » présente sa défense », Le Soir,‎ (lire en ligne).
  25. a et b Le Comité de l'U.S. Quillan, « Quillan tend la main à Lézignan », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  26. Vignau, « Les Champions de France battus à Lézignan », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  27. « Lézignan obtient le sursis - Suspension de M. Laborde est levée - Les « 6 » seront « surveillés » », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  28. L. L., « La situation actuelle dans les poules de cinq d'excellence », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  29. « Aucune surprise n'a été enregistrée hier dans les Poules de Trois », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  30. L.-C. Bioussa, « Pyrénées », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  31. a b c et d « Autour des touches », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  32. « France contre Reste », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  33. « Le Ve France-Akllemagne », La Dépêche du Berry,‎ (lire en ligne).
  34. Géo Villetan, « L'équipe de France a quitté Paris hier matin », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  35. « Le 5e France-Allemagne se jouera, dimanche à Berlin », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  36. Gaston Bénac, « L'équipe de France, nettement supérieure dans toutes ses lignes, a écrasé celle d'Allemagne par 31 points à 0 », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  37. « À la F.F.R. comme à l'U.F.R.A. de beaux matchs auront lieu demain, pour les Poules de Cinq et le Tournoi », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  38. « Pourquoi le talonneur Fabre est-il évincé de l'équipe de France ? », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  39. « La fin d'un incident », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  40. « L'ordre du jour du conseil fédéral », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  41. Ceux qui ont quitté le rugby à Lézignan..., Paris-soir, le 10 novembre 1931.
  42. Châteaurenard bat le R.C. Avignon, Le Petit Marseillais, le 14 décembre 1931.
  43. « Le premier tour des Poules de Cinq », L'Ami du peuple,‎ (lire en ligne).
  44. « Des sensationnelles révélations sur les mœurs rugbystiques sont faites par les joueurs du rugby à treize », Le Petit Provençal, 5 mars 1934.
  45. « Lueurs sur les ombres du visage de la FFR », L'Auto, 3 mars 1934.
  46. « Le rugby à treize à Lézignan », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  47. A. Reynis, « Le L.O.U. à Lézignan », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  48. « Aux écoutes », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  49. « Sous le ciel généraux des Corbières », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  50. « Toulon bat Lézignan par 17 points à 6 », L'Auto,‎ (lire en ligne).
  51. « Sportifs sous les armes ... Voici des nouvelles de ... », L'Auto,‎ (lire en ligne).

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Liens externes modifier