Léon de La Varende
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| Député de l'Eure | |
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| Maire de Chamblac | |
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| Naissance | |
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| Décès | |
| Nom dans la langue maternelle |
Léon Mallard de La Varende |
| Nationalité | |
| Activités | |
| Famille | |
| Conjoint |
Marie-Pauline Perrier de La Genevraye (d) (à partir de ) |
| Enfant |
Antoine de La Varende (d) |
| Propriétaire de | |
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| Arme | |
| Grade militaire | |
| Distinctions |
Léon-Gabriel-Jacques-Marie Mallard, comte de La Varende, né le et mort le , est un militaire et homme politique français, député de l'Eure.
Biographie modifier
Léon Mallard de La Varende est né au Sap le , fils de Jacques-Louis Mallard, seigneur de La Varende et de la Saussaye, seigneur et patron des Anthieux, et d'Élisabeth Françoise du Moulin de la Buterne[1],[2].
Il devint lieutenant d'artillerie en 1786, émigra à la Révolution et servit comme officier dans l'armée des Princes[2]. À son retour avec les Bourbon, il devint conseiller général de l'Eure ; lieutenant-colonel d'artillerie, il fut fait chevalier de l'ordre de Saint-Louis[1].
Maire de Chamblac, il fut élu, le , député de l'Eure. Réélu le de la même année, par le grand collège du même département, il ne se fit pas remarquer à la Chambre, ou il siégea au centre, parmi les ministériels muets[1].
Aux élections législatives du , il échoua à Bernay face à Dupont de l'Eure. Il rentra alors dans la vie privée et démissionna de son mandat de maire[1]. Il mourut le dans son château de Bonneville au Chamblac.
Léon de La Varende avait épousé en 1808 Marie Madeleine Pauline Perrier de La Genevraye[2], sœur de l'officier blessé Achille Perrier de La Genevraye, dont s'est inspiré le petit-neveu de Léon, l'écrivain Jean de La Varende, pour le personnage principal de Nez-de-Cuir, gentilhomme d'amour.
Bibliographie modifier
- « Léon de La Varende », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore].
- A. Révérend, Titres et confirmations de titres, Paris, Champion, , p. 168-169.
Notes et références modifier
- Robert et Cougny 1889.
- Révérend 1909, p. 168-169.
Liens externes modifier
- Ressources relatives à la vie publique :
