Vaux (Allier)

commune française du département de l'Allier
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Vaux
Vaux (Allier)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Montluçon
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Cher
Maire
Mandat
Jérôme Duchalet
2020-2026
Code postal 03190
Code commune 03301
Démographie
Gentilé Vaudois, Vaudoises [1]
Population
municipale
1 164 hab. (2021 en augmentation de 8,18 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 25′ 39″ nord, 2° 35′ 53″ est
Altitude Min. 178 m
Max. 247 m
Superficie 18,1 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montluçon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montluçon-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Vaux
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Vaux
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Vaux
Liens
Site web https://mairie-vaux03.fr

Vaux est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Toponymie modifier

Vaux est mentionnée sous le terme de Vallis dans une charte datée de 1082[2] ou 1088[3]. Val ou Valle sont aussi utilisés au cours du Moyen-Âge[4]. Vallis, is (pl. valles) est un mot d'origine latine qui désigne une vallée, un vallon.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Vaux est située au nord du Massif central, dans la région naturelle du Bocage bourbonnais.

Communes limitrophes modifier

Villages et lieux-dits modifier

La commune de Vaux se compose du bourg et des villages suivant :

  • Argentières
  • les Bernards
  • la Bourse
  • les Brandes
  • les Bregnats
  • les Crozardais
  • les Roussets
  • la Roussille
  • les Poiriers
  • les Trillers
  • Vazenton
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie modifier

Cours d'eau modifier

Le bourg de Vaux aux est à la confluence entre le Cher et l'un de ses affluents, la Meuzelle. La commune s'étend sur la rive gauche du Cher qui forme sa limite à l'est et les plateaux traversés à l'ouest par la Meuzelle, la Magieure et le ruisseau des Tartasses.

Sources modifier

Deux sources d'eau minérales sont exploitées jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. L'une est située à Argentières ; elle est connue depuis 1605. L'autre, la source Madeleine, est ferrugineuse et se situe aux Trillers[5].

Géologie et relief modifier

Le bourg et la partie basse de la commune qui s'étend dans la vallée du Cher sont bâtis sur des alluvions et des dépôts datant de la fin du Pliocène. Le reste de la commune est formé de plateaux constitués de roches sédimentaires tertiaires (argiles, grès, calcaires et marnes) qui datent de l'Oligocène[6].

La superficie de la commune est de 18,1 km² et son altitude varie de 185 à 247 mètres.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Montluçon à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 637,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication et transports modifier

Voies routières modifier

Vaux est desservie via Saint-Victor (  36) par les autoroutes A71, reliant Paris et Orléans au nord à Clermont-Ferrand au sud-est, et A714 qui est prolongée par la route nationale 145 menant à Guéret et à l'A20 après La Souterraine.

La commune est aussi desservie par des routes départementales :

Ainsi, Vaux est à 10 min de Montluçon, h 20 de Clermont-Ferrand et h 30 de Paris (ces trajets comprennent des autoroutes à péage ; ils partent et arrivent au cœur des agglomérations).

Transport ferroviaire modifier

La ligne de chemin de fer de Bourges à Miécaze traverse du nord au sud la commune. Celle-ci est desservie par la gare des Trillers[13] qui a été mise en service en 1861.

Transport fluvial modifier

Parallèle à la voie de chemin de fer, s'étend le canal de Berry dont l'activité s'est étalée entre 1840 et 1945. Il est déclassé depuis 1955.

Depuis 2014, une voie verte court le long du canal afin de former une véloroute permettant de rejoindre Vierzon, Tours ou Nevers.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vaux est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montluçon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,9 %), forêts (12,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), zones urbanisées (9,9 %), terres arables (9,9 %), eaux continentales[Note 3] (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

La présence de population sur ce territoire est attestée dès la Préhistoire par la découverte de trois haches polies et des fragments de pierres taillées dans la seconde moitié du XIXe siècle[20]. En 1865, la mise au jour de plusieurs haches à talon indique une activité humaine à l'Âge du bronze (Bronze moyen)[21]. Elles ont été trouvées, enterrées et alignées sans autre objet complémentaire, lors de travaux contiguës à la construction du château des Trillers. Ce dépôt ayant été regroupé avec ceux des communes voisines, les sources font généralement état d'une dizaine de haches[22]. Toutefois, seulement trois haches sont réellement identifiées comme provenant du dépôt de Vaux : elles sont en bronze, de type rectangulaire et sans anneau latéral[23].

Antiquité, période gallo-romaine modifier

Une voie romaine longeant la rive gauche du Cher et traversant le territoire de Vaux semble attestée par les sources[24] mais il n'en reste que peu de traces à Vazenton et aux Poiriers puis à Saint-Georges, Peyreguines et La Dure sur la commune voisine de Saint-Victor[25]. Il s'agit probablement d'un axe secondaire de communication[26] reliant Montluçon à Vallon-en-Sully.

De même, aux Roussets et aux Bernards, la découvertes de tagulae, de tessons de céramique et de débris d'ossements témoignent d'un habitat permanent durant l'Antiquité[27].

Moyen-Age et époque moderne modifier

À l'époque médiévale, une motte castrale ovalaire entourée d'un fossé se dresse à la confluence du Cher et de la Magieure, offrant une position de défense et de surveillance des deux vallées ainsi que de la voie d'origine antique. Ce promontoire a été fortement mutilé par les aménagements du canal, de la voie ferrée et de la route mais il devait mesurer une centaine de mètres de long sur 50 à 60 mètres de large. Il était encore dénommé « le Donjon » au XIXe siècle, donjon dont il ne subsiste que des substructions[28].

L'ancienne paroisse d'Argentière est intégrée dans la commune de Vaux en 1793.

Époque contemporaine modifier

Le développement du canal de Berry et de la ligne de chemin de fer de Montluçon à Bourges au XIXe siècle ont permis le développement économique du village des Trillers, situé sur le territoire de la commune. Un important moulin est créé au XIXe siècle ainsi que les Forges de Saint Hippolyte en 1881 ; elles sont spécialisées dans la production de fers à bœufs.

Politique et administration modifier

 
Agence postale communale et Bibliothèque municipale

Administration municipale modifier

Le conseil municipal de Vaux est composé de 14 membres dont 4 maires-adjoints et 9 conseillers municipaux[29]

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 1989 Robert Laclémence    
mars 1989 mars 2014 Richard Prevost    
mars 2014 En cours
(au )
Jérôme Duchalet[30] DVG Fonctionnaire de police[31]
Réélu en 2020

Intercommunalités modifier

La commune de Vaux est rattachée à la Communauté de communes du Val de Cher et adhère au SIVOM Région minière.

Jumelage modifier

Vaux est jumelée avec   Vaux-sur-Sûre (Belgique)

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 1 164 habitants[Note 4], en augmentation de 8,18 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
327510475598572639756727701
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
683664687691690678748790765
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
677729722704744682694758773
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7517727018209059669549541 040
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0601 1661 164------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Vaux est située dans l'académie de Clermont-Ferrand. La commune administre l'école maternelle et élémentaire Saint-Exupéry.

Sport modifier

Vaux est équipée d'un complexe sportif comprenant un terrain de rugby et une salle multi-sports (handball, basket-ball, gymnastique, volley-ball). la commune compte aussi des terrains de pétanque.

Culte modifier

L'église Saint-Éloi dépend de la paroisse Sainte-Marie du doyenné de Montluçon[36].

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Église Saint-Éloi modifier

L'église Saint-Éloi[37] du XIIe siècle est une église romane avec un clocher-mur percé de deux arcades sur sa façade ouest. Elle est construite en grès rouge sur un plan rectangulaire avec une abside en hémicycle. La porte en plein cintre, sans tympan, est encadrée de colonnettes surmontées de chapiteaux à crochets soutenant une archivolte à quatre voussures toriques[5].

Château des Trillers modifier

Le château des Trillers est un manoir dans le style de la seconde moitié du XIXe siècle. Il appartenait à la famille de Montaignac de Chauvance. C'est actuellement un centre de loisirs administré depuis 2015 par la Communauté de communes du Val de Cher.

Canal de Berry modifier

Écluse et pont-canal de Chantemerle modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

  1. https://www.habitants.fr/allier-03
  2. Acte n°3067 dans Chartes originales antérieures à 1121 conservées en France, Cédric Giraud, Jean-Baptiste Renault et Benoît-Michel Tock, Orléans, Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2010. (Telma) (Lire en ligne)
  3. Dom François Thomas (Archives nationale, LL1189, notice n°188), Inventaire des chartes de l’abbaye de Saint-Denis en France selon l’ordre des dattes d’icelles, commencé en l’année 1688, t. I, (lire en ligne), p. 197-198
  4. Maurice Prou (dir.) et al., Recueil des historiens de France : Pouillé, vol. IX, t. I : Pouillé de la Province de Bourges, Paris, Imprimerie nationale, , 577 p. (lire en ligne), p. 98 & 148
  5. a et b Frédéric Méténier, Léonard Leroux, Yann Rossignol et al., Le Patrimoine des communes de l'Allier, t. 2, Charenton-le-Pont, FLOHIC Éditions, , 1144 p. (ISBN 2-84234-053-1), p. 788-789
  6. Pierre de Puytorac et al., L'Auvergne : Une exploration géologique, botanique et faunistique illustrée, Paris, Delachaux et Niestlé, , 368 p. (ISBN 2-603-01045-X)
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Vaux et Montluçon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Montluçon », sur la commune de Montluçon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Montluçon », sur la commune de Montluçon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. Site SNCF TER Auvergne : Gare de Magnette lire (consulté le 16 septembre 2013).
  14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. Maurice Piboule, Le bassin montluçonnais: dits et non dits géologie, archéologie, histoire, traditions, mythes, M. Piboule, , 319 p. (ISBN 978-2-9522046-1-3), p. 19
  21. Françoise Audouze et Gilles Gaucher, « L'Age du Bronze français au Peabody Museum », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 75, no 10,‎ , p. 429 (ISSN 1760-7361, lire en ligne)
  22. Lucien Fanaud, L'Age du bronze en Bourbonnais, Moulins, Imprimeries réunies, , 82 p., p. 24-25, 47
  23. Pierre Abauzit, « L'Age de Bronze en Bourbonnais : Les haches à talon », Revue archéologique du centre de la France, vol. 6, no 4,‎ , p. 345-348 (ISSN 1951-6207, lire en ligne)
  24. Lucien Fanaud (préf. René Germain), Voies romaines et vieux chemins en Bourbonnais, Romagnat, De Borée, (1re éd. 1960), 330 p. (ISBN 2-84494-006-4), p. 164-165
  25. Maurice Piboule, Le bassin montluçonnais: dits et non dits géologie, archéologie, histoire, traditions, mythes, M. Piboule, , 319 p. (ISBN 978-2-9522046-1-3), p. 49
  26. Lucien Fanaud (préf. René Germain), Voies romaines et vieux chemins en Bourbonnais, Romagnat, De Borée, (1re éd. 1960), 330 p. (ISBN 2844940064), Hors-texte
  27. Michel Provost (resp.) et Jacques Corrocher, Carte archéologique de la Gaule : L'Allier 03, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule / Nouvelle série », , 216 p. (ISBN 2-87754-009-X), p. 165
  28. René Germain (dir.), Dominique Laurent, Maurice Piboule, Annie Regond et Michel Thévenet, Châteaux, fiefs, mottes, maisons fortes et manoirs en Bourbonnais, Éd. de Borée, , 684 p. (ISBN 2-84494-199-0), p. 430.
  29. « Conseil municipal & Commissions | Mairie de Vaux » (consulté le )
  30. « Liste nominative des communes de l'Allier » [PDF], sur maires-allier.fr, Association des maires et présidents d'intercommunalité de l'Allier, (consulté le ).
  31. Supplément « Annuaire des maires Allier », La Montagne, , p. 31 (édition de l'Allier).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Paroisse Sainte-Marie », sur Diocèse de Moulins, (consulté le )
  37. André Leguai (direction), Histoire des communes de l'Allier, Arrondissement de Montluçon, Roanne, Editions Horvath, , 432 p. (ISBN 2-7171-0367-8), p. 168-169

Voir aussi modifier

Article connexe modifier

Liens externes modifier

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