Jules Cazot

homme politique français
Jules Cazot
Jules Cazot avant 1912.
Fonctions
Premier président de la Cour de cassation
-
Président du conseil général du Gard
-
Sénateur inamovible
-
Député français
Assemblée nationale
Gard
-
Conseiller général du Gard
Canton d'Anduze
-
David Mazarin (d)
Henry Mazade (d)
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Activités
Autres informations
Membre de
Le Progrès (d)
L'Étoile des Cévennes (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Théodore-Jules-Joseph Cazot, né le à Alès (Gard) et mort le au lieu-dit « La Jasse de Bernard » (commune de Saint-Hilaire-de-Brethmas, Gard), est un homme politique et magistrat français. Avocat, il prend part à la défense des accusés du complot de Lyon en 1851.

Portrait dans Une lettre d’Élie Reclus, 1904

Mandats électifs modifier

Après le coup d'État du 2 décembre 1851, il est condamné à l'internement à Montpellier[1].

Mandats gouvernementaux modifier

Magistrature modifier

Notes et références modifier

  1. « Poursuivis à la suite du coup d’État de décembre 1851 », sur poursuivis-decembre-1851.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • « Jules Cazot », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
  • « Cazot », dans Dictionnaire biographique du Gard, Paris, Flammarion, coll. « Dictionnaires biographiques départementaux » (no 45), (BNF 35031733), p. 143-144.
  • « Jules Cazot (1821-1912) », dans Raymond Huard, La Conquête républicaine dans le Gard : les moments, les idées, les hommes (1830-1880), Uzès, Inclinaison, coll. « Petite bibliothèque d'histoire », (ISBN 978-2-916942-05-6), p. 154-155.
  • Raymond Huard, « Cazot Théodore Jules Joseph 1821-1912 », dans Jean-Marie Mayeur et Alain Corbin (dir.), Les immortels du Sénat, 1875-1918 : les cent seize inamovibles de la Troisième République, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Histoire de la France aux XIXe et XXe siècles » (no 37), , 512 p. (ISBN 2-85944-273-1, lire en ligne), p. 256-259.

Liens externes modifier