Jouhet

commune française du département de la Vienne

Jouhet
Jouhet
Chapelle funéraire (intérieur).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Dominique Raban
2020-2026
Code postal 86500
Code commune 86117
Démographie
Population
municipale
518 hab. (2021 en diminution de 0,58 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 31″ nord, 0° 50′ 24″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 153 m
Superficie 25,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montmorillon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montmorillon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Jouhet
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Jouhet
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Jouhet

Jouhet est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Jouhet
Antigny
Leignes-sur-Fontaine

Pindray

  Haims
Montmorillon Journet

Hydrographie modifier

Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montmorillon à 7,62 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 781,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Jouhet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montmorillon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,8 %), zones agricoles hétérogènes (38,5 %), forêts (9,7 %), prairies (5,2 %), zones urbanisées (1,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Jouhet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gartempe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[16],[14].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Jouhet.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 76,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Risque technologique modifier

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 4]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 5],[20],[21].

Histoire modifier

Sur le territoire de la commune, le village de Rillé était au cours de la Seconde Guerre mondiale le centre d'un maquis polonais appartenant au réseau Monika. Ce maquis fut actif notamment en 1944 et reçut, à la ferme du Pouillotté, plusieurs parachutages (équipements radio, armes, munitions). En , quelques jours après le débarquement de Normandie, plusieurs membres du SOE furent parachutés acheminant notamment des fonds et des instructions[22].

Politique et administration modifier

liste des maires modifier

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
1830 1873 François Helion    
janvier 1878 Narcisse Maréchal    
21 janvier 1878 3 janvier 1881 Bernard Ernest    
3 janvier 1881 3 octobre 1909 de Moussy Gustave    
3 octobre 1909 10 décembre 1919 Mazereau Louis    
10 décembre 1919 19 mai 1929 Tabuteau Baptiste    
19 mai 1929 3 mai 1953 (?) Guigner Narcisse    
3 mai 1953 1er mars 1971 (?) Gaillard Joseph    
1979 (?) Guigner René    
1997 (?) LEBEAU André    
mars 2001 en cours (2008) Jacques Bouloux    

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics modifier

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 518 habitants[Note 6], en diminution de 0,58 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
720626753659682727632690732
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
738735719710736711745724675
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
698684690611581573567580539
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
470462418480476452501508504
2017 2021 - - - - - - -
527518-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 20 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie modifier

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[28], il n'y a plus que 24 exploitations agricoles en 2010 contre 25 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté et sont passées de 2 560 hectares en 2000 à 2 610 hectares en 2010[28]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l'évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[29].

43 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour 60 % mais aussi orges et maïs), 20 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 20 % pour le fourrage et 7 % reste en herbes. En 2000, 3 hectares étaient consacrés à la vigne[28].

Six exploitations en 2010 (contre huit en 2000) abritent un élevage de bovins (367 têtes en 2010 contre 506 têtes en 2000). Huit exploitations en 2010 (contre dix en 2000) abritent un élevage d'ovins (2 907 têtes en 2010 contre 3 320 têtes en 2000)[28]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[30]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[31]. L'élevage de volailles a disparu en 2010 (872 têtes sur sept fermes en 2000)[28].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux modifier

  •  
    Extérieur du funéraire
    Près de l'église paroissiale se trouve une ancienne chapelle funéraire. Elle a été classée comme Monument Historique en 1908. Elle date du XVe siècle. Elle conserve des peintures du XVIe siècle. Au-dessus de l'autel, le Christ en Majesté est entouré d'anges et des symboles des Évangélistes. Sur le mur de droite, les peintures représentent l'Enfance du Christ, la Résurrection des morts et l'Adoration des mages. Le mur de gauche offre un Dit des trois morts et des trois vifs, représentation murale montrant trois jeunes gentilshommes interpellés dans un cimetière par trois morts, qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme. Cette scène annonce les danses macabres que l'on peut trouver dans une trentaine de peintures murales de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle ainsi que les Vanités des XVIe et XVIIe siècles. Ce mur est aussi décoré par une représentation de la création d'Adam et d’Ève. De part et d'autre de la porte, les donateurs, Jean de Moussy et sa femme, seigneur de Boismorand ont été peints.
  • L'église paroissiale Notre-Dame. Citée dès 1093, le prieuré Notre-Dame dépendait alors de l'abbaye de Saint-Savin-sur-Gartempe. C'est un édifice haut et rectangulaire. Il est flanqué d'un clocher carré hors d’œuvre. Le chevet est plat. Il est percé de trois baies qui éclairent abondamment l'église comme dans de nombreuses églises du pays de Montmorillon sous l'influence de l'architecture limousine. La nef est voûtée en berceau brisé, tandis que le chœur a reçu une croisée d'ogives de style angevin. À l'intérieur, une colonnette engagée dans le mur sud reçoit la retombée de l'arc doubleau séparant la nef du chœur. Elle est tronquée à hauteur d'homme et un culot sculpté la soutient. Une tête grotesque aux yeux exorbités tire la langue. C'est - peut être - un symbole du mensonge.

Patrimoine naturel modifier

Les brandes de la Pierre Là sont classées comme zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique. Elles sont situées dans l’angle sud-oriental du département de la Vienne.

Les brandes de la Pierre Là sont un conservatoire d’espèces rares et fragiles : 16 végétaux sont protégés ainsi que 15 espèces d’oiseaux.

La lande abrite la bruyère à balais et l’Ajonc nain. D’autres habitats plus ponctuels tels que les dépressions tourbeuses cache le Rhynchospore. Les mares et les étangs sont favorables au Flûteau nageant. D’autres végétaux trouvent refuges dans ces milieux :

Les prairies maigres qui relient entre eux les divers noyaux de landes sont d’une grande importance pour l’avifaune : c’est là que nichent en effet plusieurs limicoles menacés que chassent diverses espèces de rapaces nichant dans les landes. Elles accueillent le cortège complet des oiseaux typiques de ce milieu en région centre-atlantique. Le promeneur attentif et silencieux pourra ainsi observer :

Les brandes de la Pierre Là sont aussi un repère pour deux espèces protégés d’amphibiens : le Crapaud calamite et la rainette verte.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Jean-Baptiste Huguet de la Perotière (Béthines, 1741 - Rochefort, 1794), curé de Jouhet (1771-1791), prêtre réfractaire, mort en déportation à Rochefort sur le bateau-ponton les Deux-Associés[32].

Voir aussi modifier

Articles de Wikipédia modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  5. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Jouhet et Montmorillon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montmorillon » (commune de Montmorillon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Montmorillon » (commune de Montmorillon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montmorillon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Jouhet », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur edf.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  22. L'opération, montée par la 6e Section de l'état major général polonais, est documentée sous le nom de code Operation Dewsbury dans les archives militaires polonaises conservées au Royaume-Uni, à la base de RAF de Northolt.
  23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. a b c d et e Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  29. Agreste – Enquête Structure 2007
  30. Agreste – Bulletin no 12 de Mai 2013
  31. Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
  32. BMS Béthines et http://pretres-deportes.rabany.eu/les_deportes.html