Cornil

commune française du département de la Corrèze
(Redirigé depuis Jeanne de Cornil)

Cornil
Cornil
Le bourg de Cornil.
Blason de Cornil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tulle Agglo
Maire
Mandat
Pascal Fouché
2020-2026
Code postal 19150
Code commune 19061
Démographie
Gentilé Cornilois
Population
municipale
1 304 hab. (2021 en diminution de 6,92 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 40″ nord, 1° 41′ 36″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 490 m
Superficie 19,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Fortunade
Législatives Première circonscription
Localisation
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Cornil
Géolocalisation sur la carte : France
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Cornil
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
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Cornil
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Cornil

Cornil est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Géographie modifier

La commune est traversée par plusieurs ruisseaux qui confluent vers la Corrèze située en contrebas :
Ruisseaux de la Geinde, de Brauze, du Mazet, des Mirandes, du Bois Coudert sur la rive gauche de la Corrèze et la Sudrie, la Gane, du Moulin sur la rive droite.


Communes limitrophes modifier

Cornil est limitrophe de cinq autres communes. Au nord-ouest, la commune de Favars se situe à moins de 300 mètres du territoire de Cornil.

 
Carte de la commune.

Climat modifier

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 161 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tulle à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

 
La Corrèze au pont de Cornil.

Typologie modifier

Cornil est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,9 %), prairies (35,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), zones urbanisées (2,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Cornil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tulle-Brive, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Corrèze et de la Vézère (17 dans la Corrèze et trois dans la Dordogne), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[17]. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001[19],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Corrèze amont », approuvé le [20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cornil.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 17,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 511 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 46 sont en aléa moyen ou fort, soit 9 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cornil est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie modifier

Cornil s'est appelé à travers les âges : Cornilio cas et Cornilio[Note 3] puis vers 926-927 à 957 Parrochia de Cornilio. On trouve ensuite de Cornilio en 1103 et en 1154 ainsi que Cornilh en 1105 et Cornill en 1114. Le nom de Cornil apparait pour la première fois vers 1143-1154, 1157-1158, 1177-1178, etc. On retrouve toutefois la typographie de Cornilio vers 1315[24].

Le nom de Cornil est de formation latine provenant du nom d'un homme Cornélius. Une très ancienne église, disparue, placée sous le vocable de saint Étienne indique la grande ancienneté du village.

Au XIIe siècle, vers 1142-1143, Cornil, et sa forme féminine Cornila, sont encore utilisés en Bas-Limousin, comme noms de baptême.

Histoire modifier

Le village, bâti sur un site préhistorique, est dominé par son église romane et les vestiges d'un de ses châteaux. Centre actif au Moyen Âge, on y battait monnaie sous les Mérovingiens. Importante famille, les Cornil participent aux premières Croisades.

Jaubert de Malemort, marié à Aude, fille de Bernard II de Ventadour et de Marguerite de Beaumont fut seigneur de Cornil. Marguerite de Beaumont était la fille de Robert de Brienne, vicomte de Beaumont, qui était le petit-fils de Jean de Brienne, roi de Jérusalem, et de Bérengère de Castille[25].

En 1595, pendant les guerres de religion une troupe de ligueurs s'empare de Cornil après l'avoir assiégé.

Le loup enragé de Cornil concerne un loup qui au XVIIIe siècle a terrorisé la population dans la commune de Cornil.

À la Révolution, une grande partie sud du territoire de la paroisse de Cornil en a été détachée pour former la commune d'Aubazines[Note 4],[26].

Après l'ouverture de la Route nationale 89, en 1840, un premier pont existait et était situé un peu en aval du pont actuel, qui sera détruit lors de la crue de la Corrèze le [27].

Il y avait, en 1910, une usine, qui dominait la gare de Cornil, appelée « Usine des Anglais ». Cette usine a d'abord fabriqué un produit tannant (où un colorant), fait à base de châtaigniers, très nombreux dans la région, découpés en bûches[28]. Puis un tissage de draps s'y installa et depuis 1956 une fabrique de jouet en bois est propriétaire des bâtiments[29],[30],[31].

En 1944, plusieurs actions opposent la résistance et les troupes allemandes. Le , un groupe de FTP tire sur une voiture allemande, dont les occupants sont blessés et parviennent à s'enfuir. Sur le chemin du retour, ils font dérailler un train au pont de Jayle[32] sur la commune de Malemort. Le , sept résistants FTP tendent une embuscade sur la route nationale 89 à hauteur de Cornil pour attaquer, et capturer un convoi d’essence allemand. L'affaire s'engage mal car le convoi de la Wehrmacht est escorté de GMR, appuyé d'un groupe de 21 policiers de la Schutzpolizei, rapidement rejoints par des éléments de la LNA sous les ordres d'Henri Lafont[33]. Les FTP décrochent laissant sur place leur mitrailleur blessé qui sera arrêté ainsi que dix otages du village. Le mitrailleur et cinq autres otages sont exécutés le 2 avril à Tulle. Le , 90 hommes de la 232e compagnie FTP de la Corrèze attaquent avec succès un convoi de neuf camions et de trois voitures[34].

Le , l'acte de reddition de la garnison allemande de Tulle est signé au Pont-de-Cornil. Toutefois la signature a lieu dans l'hôtel, aujourd'hui disparu, qui était situé sur la commune de Chameyrat, juste à la limite des deux communes[35],[36].

Maison de Cornil modifier

La maison de Cornil est une ancienne chevalerie distinguée. Elle parait être originaire du Limousin et avoir formé des établissements dans la vicomté de Turenne, dès le XIIe siècle.

Pierre de Cornil fut l'un des onze nobles qui assistèrent, en 1143, à la sépulture de Boson II, vicomte de Turenne. Raimond de Cornil, fut archidiacre puis évêque de Cahors de 1280 à 1293. En 1440, Jean de Toucheboeuf épousa en secondes noces Jeanne de Cornil[Note 5]. Ils quittèrent le Limousin pour s'établir en Quercy, au château de Clermont qui devint le siège de sa maison et dont elle a pris le surnom.

La maison de Cornil s'éteignit en 1541 par le mariage de Françoise de Cornil avec Gilbert Durfort, qui forma la branche de Prouilhac-de Roquenadelh, éteinte en 1648[37].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
ca 1792   Jean Marie Blaise Brunie[38]    
an II décembre 1812 Jean Dauzier    
janvier 1813 juin 1825 Jean Vacher    
juin 1825 décembre 1829 Jean-Marie Blaise Brunie (Brunye)    
janvier 1830 juin 1837 Jean-Baptiste Crozat    
juillet 1837 février 1848 Guillaume Sylvain-Lajonchère Crozat    
mars 1848 décembre 1851 Jean Vacher    
janvier 1852 décembre 1876 Jean Estorges    
janvier 1877 octobre 1894 Pierre Vacher    
novembre 1894   Jean Brugeille    
         
1921 1931 Hippolyte Estorges   Avoué
         
1944   Jean Perrier    
         
    Pierre Hippolyte Marie Estorges    
         
1951 1952 Jean Jargois    
1953 1956 Maurice Dauzier    
         
1989 1995 Jean-Paul Chapoux    
         
mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Chapoux    
mars 2008 En cours Pascal Fouché[39] DVD Fonctionnaire

Jumelages modifier

 
Panneau de jumelage de Cornil.

  Flachslanden (Allemagne)

Démographie modifier

Les habitants de Cornil sont les Cornilois.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 1 304 habitants[Note 6], en diminution de 6,92 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0669641 1231 2541 2031 2771 3581 4091 479
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5011 3991 4671 4721 4051 4351 4551 6691 810
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8581 9031 8911 7181 6741 7461 6201 5131 675
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 5681 5641 5321 5151 4231 3631 3911 3951 399
2018 2021 - - - - - - -
1 3111 304-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Châteaux, église modifier

  • Le « château bas » était situé à la sortie du bourg et fut détruit lors des guerres de religion quand les troupes royales d'Anne de Lévis, duc de Ventadour, s'emparèrent du village.
  • Le château du bourg dit « de Sallegaye » a été détruit pendant la Révolution française car son seigneur, Jérôme Lagarde sieur d'Aubertie, maltraitait les Cornilois et en était détesté.[réf. nécessaire]
  • Le château de la Chapoulie[44], situé près de l'église sur un escarpement rocheux qui domine le village, est appelé le « château haut » ou « sucquet » ; il ne subsiste qu'une tour en ruines. Il fut partiellement détruit pendant la Révolution mais madame de Bar étant bienveillante envers les Cornilois, en particulier en les soignant, ceux-ci ménagèrent le site qui fut surtout détruit par la suite en servant de carrière.[réf. nécessaire]

Deux bâtiments[45] de Cornil sont inscrits au titre des monuments historiques en 1927 :

Lieu modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Son blasonnement est :

D'or à deux cors de chasse de gueules posés l'un sous l'autre.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Sur des monnaies mérovingiennes.
  4. « Aubazine n’était sous l’Ancien Régime qu’une collecte dépendant de la paroisse de Cornil. Elle serait devenue commune en 1790, mais ne dispose pas d’un état civil avant mars 1792 ».
  5. Connue également sous le nom de Jeanne de Cornilio
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Limite communale sur OpenStreetMap.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Cornil et Tulle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Tulle » (commune de Tulle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Tulle » (commune de Tulle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Cornil », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tulle-Brive », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « PPRI Corrèze amont », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cornil », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. Noms de lieux de la Corrèze.
  25. Histoire généalogique de la maison d'Auvergne, page 288
  26. Historique, registres paroissiaux, état civil et tables décennales sur le site des Archives départementales de la Corrèze, consulté le 5 novembre 2015.
  27. Les crues de la Corrèze et les inondations dans la région de Tulle (page 336)
  28. Deux articles du journal La Croix de la Corrèze des 15 novembre et 13 décembre 1914 concernant cette usine.
  29. FRANCE JOUETS.
  30. « Cornil : Un produit non identifié s’est échappé de l’usine France Jouet » sur lamontagne.fr.
  31. Carte postale de l'usine des Anglais.
  32. Situation du pont de chemin de fer du Jayle qui traverse la rivière Corrèze.
  33. Bruno Kartheuser : Les pendaisons de Tulle, tome 3, p. 164 et suivantes.
  34. « Les soldats du 126e régiment d'infanterie ont reconstitué la troisième embuscade de 1944 à Cornil (Corrèze) » sur lamontagne.fr.
  35. Tulle, Résistante et martyre », Chemin de mémoire sur cheminsdememoire.gouv.fr.
  36. Tulle, Résistante et martyre », Chemin de mémoire sur ville-tulle.fr, page 31.
  37. Nobiliaire universel de France Livre XIV page 201
  38. « Les maires de Cornil », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  39. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. a et b « Restes du château », notice no PA00099746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2015.
  45. Base Mérimée : Cornil, consultée le 5 novembre 2015.
  46. « Église », notice no PA00099747, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2015.
  47. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 121 (H. 138), 326 (H. 550)
    Perchacornil (1615/16) figure parmi les membres de Puy de Noix, Le Peuch à Cornil est baillé à ferme en 1756 par les Hospitaliers.
    .