Jean Léonard III Froereisen

Cet article est une ébauche concernant une personnalité alsacienne, Strasbourg et le protestantisme.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Jean Léonard III Froereisen
(Chapitre de Saint-Thomas)

Biographie
Naissance	9 mai 1694
Décès	13 janvier 1761 (à 66 ans) Strasbourg
Activités	Théologien protestant, pasteur, professeur d'université

Jean Léonard III Froereisen, né le 9 mai 1694 à Breuschwickersheim et mort le 13 janvier 1761 à Strasbourg, est un théologien protestant luthérien, adversaire du piétisme^[1].

Professeur au séminaire protestant, puis à l'université dont il fut plusieurs fois Recteur et Doyen, il devient président du Convent ecclésiastique^[1].

Longtemps pasteur responsable du Temple Neuf, c'est à ce titre qu'il prononce le 8 février 1751 la Harangue à l'occasion des funérailles du maréchal Maurice de Saxe^[2].

Notes et références modifier

↑ ^{a et b} Paul Greissler, « Jean Léonard III Froereisen », in Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 12, p. 1067
↑ Discours prononcé à Strasbourg le 8. février 1751 dans l'Église Neuve par ordre du Roy à l'occasion des funérailles de Très-Haut et Très-Puissant Seigneur Maurice comte de Saxe, élu duc de Courlande et de Semigallie, maréchal-général des camps et armées de France ... traduit de l'allemand et revu, Strasbourg, 1751 ?

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Paul Greissler, « Jean Léonard III Froereisen », in Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 12, p. 1067

Articles connexes modifier

Protestantisme en Alsace

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Jean Léonard III Froereisen, sur Wikimedia Commons

Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- GND
- Belgique
- Pays-Bas
- Pologne
- Suède
- WorldCat
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Deutsche Biographie

[NDBA-1] {a et b} Paul Greissler, « Jean Léonard III Froereisen », in Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 12, p. 1067

[2] Discours prononcé à Strasbourg le 8. février 1751 dans l'Église Neuve par ordre du Roy à l'occasion des funérailles de Très-Haut et Très-Puissant Seigneur Maurice comte de Saxe, élu duc de Courlande et de Semigallie, maréchal-général des camps et armées de France ... traduit de l'allemand et revu, Strasbourg, 1751 ?

[1]

[2]