Émilie Paton
| Naissance | |
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| Décès | |
| Sépulture |
Cimetière du Père-Lachaise, tombeau de Paton (d) |
| Nom de naissance |
Émilie Euphémie Thérèse Pacini |
| Pseudonymes |
Jacques Rozier, Mme Jules Paton, Émilie Fleurichamp |
| Nationalité | |
| Activité | |
| Père | |
| Fratrie | |
| Conjoint | |
| Enfant | |
| Parentèle |
Antoine de Choudens (beau-frère) Antony Choudens (neveu) Paul de Choudens (neveu) |
| Membre de |
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Émilie Euphémie Thérèse Pacini, dite Émilie-Thérèse Paton (née à Paris le [1] et morte à Paris 17e le [2]), connue sous le nom de plume de Jacques Rozier, est une romancière et dramaturge française.
Biographie modifier
Émilie Pacini est la fille de Jacqueline Rozier, dont elle dérive son nom de plume (Jacques Rozier) et du compositeur et éditeur de musique italien Antonio Pacini. Elle épousa l'économiste Jules Paton, chroniqueur financier au Journal des débats.
Elle se fit d'abord connaître en publiant des chroniques et articles sur les beaux-arts[3],[4].
Elle publia ensuite plusieurs romans, dont Le Divorce de Sarah Moore qu'elle adapta pour le théâtre. Elle en tira un drame en 3 actes qui fut créé au Théâtre de l'Odéon le (3 représentations), avec le soutien d'Alexandre Dumas fils[5].
Elle devint membre de la Société des gens de lettres et officière d'académie.
Sa fille Jacqueline Comerre-Paton, née en 1859, devint artiste peintre.
Émilie Paton est enterrée au cimetière du Père-Lachaise (81e division) le . Émile Delaunay vint lui rendre un dernier hommage au nom de la Société des gens de lettres.
Œuvres modifier
Références modifier
- Paris, État civil reconstitué, vue 16/51.
- Acte de décès à Paris 17e, n° 195, vue 28/31.
- Mireille de Mongival, « Les Femmes françaises auteurs dramatiques », La Française, , p. 3 (lire en ligne).
- Mireille de Mongival, « Les Femmes françaises auteurs dramatiques », La Française, , p. 3 (lire en ligne).
- Albert Cim, Le dîner des gens de lettres : Souvenirs littéraires (lire en ligne).
- La Princesse Cléo, lire en ligne sur Gallica.
- Le Divorce de Sarah Moore, lire en ligne sur Gallica.
Liens externes modifier
