Épinay-sous-Sénart

commune française du département de l'Essonne
(Redirigé depuis JC Épinay)

Épinay-sous-Sénart
Épinay-sous-Sénart
La mairie en 2020.
Blason de Épinay-sous-Sénart
Blason
Épinay-sous-Sénart
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Évry
Intercommunalité CA Val d'Yerres Val de Seine
Maire
Mandat
Damien Allouch
2020-2026
Code postal 91860
Code commune 91215
Démographie
Gentilé Spinoliens
Population
municipale
11 869 hab. (2021 en diminution de 5,88 % par rapport à 2015)
Densité 3 315 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 41′ 41″ nord, 2° 30′ 53″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 87 m
Superficie 3,58 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Épinay-sous-Sénart
(bureau centralisateur)
Législatives 9e circonscription de l'Essonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Épinay-sous-Sénart
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Épinay-sous-Sénart
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Voir sur la carte topographique de l'Essonne
Épinay-sous-Sénart
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Épinay-sous-Sénart
Liens
Site web http://www.ville-epinay-senart.fr/

Épinay-sous-Sénart (prononcé [epinɛ su senaʁ] Écouter) est une commune française située à vingt-deux kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Spinoliens[1].

Géographie modifier

Bordée par l’Yerres et la forêt de Sénart, proche de grands axes de communication, Épinay-sous-Sénart est une ville de plus de 12 000 habitants située dans le département de l’Essonne.

Épinay-sous-Sénart rassemble une population hétéroclite, près d’une centaine d’associations et des entreprises qui bénéficient de la zone franche urbaine qui rassemble les quartiers de la Croix Rochopt, les Petits sanceaux, le Clos Guillaume, Le Pré aux agneaux, le Gué Mandres, et les grands ensembles de la Plaine 1 (Région Française), la Plaine 2 (les Écrivains), la Plaine 3 (les Musiciens) et les Cinéastes ainsi que la zone Industrielle de la Foret, dans le vieil Épinay-sous-Sénart.

Situation modifier

 
Position d’Épinay-sous-Sénart en Essonne.
Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 30,6 % 109,50
Espace urbain non construit 10,7 % 38,20
Espace rural 58,8 % 210,47
Source : Iaurif MOS 2008[2]

Épinay-sous-Sénart est située à vingt-deux kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, neuf kilomètres au nord-est d'Évry[4], dix kilomètres au nord-est de Corbeil-Essonnes[5], dix-neuf kilomètres au nord-est de Montlhéry[6], vingt et un kilomètres au sud-est de Palaiseau[7], vingt-trois kilomètres au nord-est d'Arpajon[8], vingt-six kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais[9], trente-trois kilomètres au nord-est de Milly-la-Forêt[10], trente-neuf kilomètres au nord-est d'Étampes[11], quarante et un kilomètres au nord-est de Dourdan[12].

Hydrographie modifier

La commune est traversée par la rivière l'Yerres, rivière affluent de la Seine.

Relief et géologie modifier

Le point le plus bas de la commune est situé à trente-sept mètres d'altitude et le point culminant à quatre-vingt-sept mètres[13].

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 667 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mandres-les-Roses à 2 km à vol d'oiseau[16], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,3 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Statistiques 1991-2020 et records MANDRES (94) - alt : 93m, lat : 48°42'33"N, lon : 2°32'59"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,6 3,8 5,8 9,6 12,7 14,5 14 10,8 8,2 4,7 2,4 7,5
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,2 11 14,8 18,1 20,2 20 16,3 12,4 7,8 5 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,6 12,7 16,4 19,9 23,5 25,9 26,1 21,8 16,6 10,9 7,5 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−16
08.01.10
−13
07.02.1991
−10,5
01.03.05
−3
07.04.21
0,5
07.05.1997
1,8
04.06.1991
6,1
04.07.1990
6
28.08.1998
1
30.09.12
−3,8
30.10.1997
−10,4
24.11.1998
−10,3
29.12.1996
−16
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
22
27.02.19
25
31.03.21
29
20.04.18
33
28.05.17
38
22.06.17
39,5
31.07.20
40,1
06.08.03
35
15.09.20
29,5
01.10.11
23
08.11.15
17,3
16.12.1989
40,1
2003
Précipitations (mm) 57,2 50,9 49,8 50,6 67,4 58,6 60 61,1 52,4 58 61,8 70,5 698,3
Source : « Fiche 94047001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports modifier

La ville d'Épinay-sous-Sénart peut être accessible en transports en commun. En effet, les lignes de bus C et 91.01 du réseau de bus Val d'Yerres Val de Seine desservent la ville, ces dernières partant de la gare de Boussy en passant par la gare de Brunoy, desservies par les trains de la ligne D du RER.

Lieux-dits, écarts et quartiers modifier

 
Le quartier des Cinéastes.

Une dizaine de quartiers compose la ville, la Plaine 1, la Plaine 2, la Plaine 3, les Cinéastes, la Croix Rochopt, les Petits Sanceaux, le Clos Guillaume, le Pré aux Agneaux, le Gué Mandres et le Vieil Épinay avec la zone industrielle de la Forêt[20].

Néanmoins plusieurs quartiers ont été rattachés afin de créer le quartier prioritaire et la zone franche urbaine de la Plaine-Cinéaste. En 2018, il compte 6 590 habitants, soit plus de la moitié de la population de la ville[21].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Épinay-sous-Sénart est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[25] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28],[29].

La commune est au delà du seuil de HLM fixé par la loi SRU, puisqu'elle était à 43% en 2021 (https://actu.fr/societe/dans-quelles-villes-de-l-essonne-y-a-t-il-le-plus-de-logements-sociaux_46670962.html).

Toponymie modifier

Spinolium en 637, Espinolium en 1298, Espinoletum Sae Genovefae au XIIIe siècle, Epiney[30].

La commune fut créée en 1793 sous le nom d'Épinay-sous-Sénart, le nom actuel fut introduit par le Bulletin des lois en 1801[31].

Histoire modifier

Histoire des Cinéastes modifier

Les Cinéastes, autrefois Gerbeaux, sont sortis de terre en 1967.

Alors qu’Épinay-sous-Sénart est encore un village, l’actuel quartier des Cinéastes fait partie des terres fertiles de la ville grâce à leur proximité avec l’Yerres. Puis avec les années soixante, du village naît une ville. En 1967, un lot de 810 logements est mis en chantier, baptisé résidence les Gerbeaux en l’honneur du passé rural d’Épinay-sous-Sénart, les numéros vont de 1 à 36. À partir de 1969, au fur et à mesure des installations, près de 4 000 Spinoliens vont vivre dans ces petits immeubles bordés de rosiers dont certains ouvrent leurs fenêtres sur la prairie et sur l’Yerres. Les enfants jouent sur le terrain d’aventure la Plaine Robinson situé derrière la Résidence. Pour accueillir ces nouveaux habitants deux groupes scolaires, Gerbeaux 1 et Gerbeaux 2, sont réalisés en et .

Vingt ans passent. Avec le temps, les logements vieillissent et le cadre de vie de la résidence des Gerbeaux est dégradé. En 1987, une rénovation-réhabilitation du quartier est envisagée et avec elle, le désir de la municipalité de l’époque, de lui donner une nouvelle identité. La résidence des Gerbeaux devient le quartier des Cinéastes par la délibération du . Les 16, 17, 18 et 19 résidence les Gerbeaux deviennent les 5, 6, 7 et 8 allée François-Truffaut. Le même jour le groupe scolaire Gerbeaux I prend le nom de Georges-Brassens tandis que Gerbeaux II devient le groupe scolaire Jacques-Brel. Une maison de quartier est créée : le centre social Jean-Monnet.

En 1990, le quartier des Cinéastes est inscrit dans le contrat de plan État-Région en site développement social des quartiers.

En 1994, le désenclavement des Cinéastes est amorcé par la réalisation de la voie reliant la rue Jean Paul-Sartre à la rue de l’Ile-de-France puis en 1998, avec la voie Hitchcock / Daudet, les Cinéastes sont reliés à la Plaine I.

Histoire du collège la vallée modifier

À la rentrée 1969, un établissement neuf ouvre ses portes : le collège 600.

En hommage au comédien, la municipalité émet le vœu de l’appeler le CES Gérard-Philippe.

Très vite l’établissement s’avère trop petit. Le collège devient lycée et prend le nom de Maurice-Eliot le . La construction d’un nouvel établissement, plus grand, débute en 1973. D’une superficie de 20 000 m2, le CES 900 accueille ses premiers élèves le et prend le nom de collège La Vallée en .

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Antérieurement à la loi du [32], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son Arrondissement de Corbeil après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, la ville fait partie de la neuvième circonscription de l'Essonne.

Elle faisait partie de 1806 à 1919 du canton de Boissy-Saint-Léger, année où elle intègre le canton de Villeneuve-Saint-Georges, puis, en 1964, celui de Canton de Brunoy du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de l'Essonne, elle devient le chef-lieu du canton d'Épinay-sous-Sénart[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est étendu, passant de 4 à huit communes (plus une partie de celle de Brunoy).

Intercommunalité modifier

La ville adhérait depuis 2002 à la communauté d'agglomération du Val d'Yerres.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération Sénart Val de Seine, de la communauté d'agglomération du Val d'Yerres et extension du nouveau regroupement à la commune de Varennes-Jarcy[33] », jusqu'alors membre de la communauté de communes du Plateau Briard. Celle-ci, après une consultation de ses habitants[34] qui s'est tenue en [35], intègre néanmoins la communauté de communes de l'Orée de la Brie le , de manière à ne pas être concernée par la Métropole du Grand Paris[36],[37].

Les communes de Sénart Val de Seine s'opposent à la création, et le maire de Draveil, Georges Tron, organise un référendum dans sa ville, qui aboutit à un rejet de la fusion par 98,3 %, mais avec une participation limitée à 23 % des électeurs[38],[39].

La création de la nouvelle communauté d'agglomération est néanmoins créée par arrêté préfectoral du « portant création d’un établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion des communautés d’agglomération Sénart Val de Seine et Val d’Yerres », dénommée communauté d'agglomération Val d'Yerres Val de Seine.

Tendances et résultats politiques modifier

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
Référendums

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[59].
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1860 1865 Jean-Louis Bouret   Propriétaire
Les données manquantes sont à compléter.
1897 1929 André Lot    
1929 1935 Georges Marienval    
1935 1944 Toussaint Duchamps    
1944 1965 Maurice Deslandes    
mars 1965 mars 1977 Roger Biteau    
mars 1977 mars 1983 Pierre Bonningue PCF[60]  
mars 1983 mars 2001[61] Jacques-Louis Dôle RPR  
mars 2001[62] avril 2014 Christine Scelle-Maury[63] PS
puis DVG[64],[65]
Professeure
avril 2014[66],[67] juillet 2020[68] Georges Pujals DVD Économiste
Vice-président de la CA du Val d'Yerres (2017 → )
juillet 2020[69] ,[70] En cours
(au 5 juillet 2020)
Damien Allouch[71] PS Professeur de français
Ancien maire adjoint de Boussy-Saint-Antoine (2014 → ? )
Conseiller départemental d'Épinay-sous-Sénart (2015 → )

Jumelages modifier

Épinay-sous-Sénart a développé des associations de jumelage avec :

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[74],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 11 869 habitants[Note 4], en diminution de 5,88 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
120240192195159200211234218
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
222281289265348329359379350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
356380491435498603569576757
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8702 70614 85714 73513 37412 79713 14412 12912 760
2021 - - - - - - - -
11 869--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[75].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 47,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,9 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 5 796 hommes pour 6 483 femmes, soit un taux de 52,80 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[76]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,5 
3,8 
75-89 ans
5,3 
10,6 
60-74 ans
11,1 
17,9 
45-59 ans
18,4 
17,5 
30-44 ans
19,8 
21,6 
15-29 ans
20,0 
28,3 
0-14 ans
25,0 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[77]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement modifier

Les élèves d'Épinay-sous-Sénart sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose des écoles primaires du Pré-aux-Agneaux, Alphonse-Daudet, Jacques-Brel, Georges-Brassens et de la Croix-Rochopt[78], du collège de la Vallée et du lycée général et technologique Maurice-Eliot[79].

Culture modifier

La La Maison des Arts et de la Cultureest un lieu pluridisciplinaire, regroupant différents espaces d'expression, de diffusion, de soutien à la création artistique et d'action éducative et culturelle : Ma MAC a ouvert ses portes le . Elle comprend notamment :

  • la salle de spectacle Eugène-Ritt (400 Places assises et 700 debout)
  • la Galerie d'exposition dite « Nef » de 140 m2
  • le studio de musique Jacques-Ysaebert
  • l'atelier de sculpture Jacques Froment-Meurice
  • l'atelier de dessin et peinture Maurice-Eliot
  • l'atelier de théâtre et cirque Déborah Lukumuena
  • la salle information Enzo-Schott
  • le studio de danse Jocelyn-Lux-Preux et Jean-Claude Preux
  • un espace Café avec terrasse sur le parvis
  • un espace Micro Folie qui est un espace numérique déployé par le parc de La Villette et le ministère de la culture en partenariat avec 12 institutions culturelles (musée du Louvre, Centre Pompidou, RMN- Grand Palais, Versailles, Musée Picasso, etc.) intègre également un Fab Lab, un espace scénique et un café folie.

Santé modifier

Un centre de la protection maternelle et infantile[80] et un centre de planification familiale[81] sont implantés dans la commune.

Sports modifier

Épinay-sous-Sénart est une ville sportive: un club de football qui réunit plus de 400 licenciés, près de 2 000 Spinoliens sont licenciés dans un club, les clubs de karaté et de kung-fu sont parmi les meilleurs de France[réf. nécessaire].

Autres services publics modifier

La commune dispose sur son territoire d'un bureau de poste[82].

Lieux de culte modifier

La paroisse catholique d'Épinay-sous-Sénart est rattachée au secteur pastoral de Brunoy-Val d'Yerres et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Damien de Veuster[83]. La communauté musulmane dispose dans la commune d'une mosquée. La communauté juive dispose d'une synagogue. Le séminaire orthodoxe russe[84] a été installé à Épinay-sous-Sénart en 2009, dans la maison Sainte-Geneviève qui appartenait auparavant aux sœurs auxiliatrices du purgatoire.

Il y a également une communauté chrétienne protestante à l’église Parole du Salut.[réf. nécessaire]

Médias modifier

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie modifier

Un marché se tient les mercredis et samedis matin[85].

Emplois, revenus et niveau de vie modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 423 , ce qui plaçait Epinay-sous-Sénart au 16 710e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[86].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Épinay-sous-Sénart 0,2 % 6,9 % 13,7 % 25,9 % 29,9 % 23,3 %
Zone d'emploi de Créteil 0,2 % 5,4 % 17,6 % 27,3 % 30,3 % 19,3 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Épinay-sous-Sénart 0,3 % 9,0 % 6,5 % 12,4 % 8,8 % 7,7 %
Zone d'emploi de Créteil 0,7 % 9,4 % 7,1 % 14,4 % 13,9 % 7,2 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[87],[88],[89]

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Les berges de l'Yerres et la portion communale de la forêt de Sénart ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[90].

Personnalités liées à la commune modifier

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Épinay-sous-Sénart :

Héraldique et logotype modifier


Les armes d'Épinay-sous-Sénart se blasonnent : D'azur au chevron ondé d'argent soutenu d'une crosse d'or et d'une quenouille du même passées en sautoir.[92]

La commune s'est en outre dotée d'un logotype.

Épinay-sous-Sénart dans les arts et la culture modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Épinay-sous-Sénart », p. 272–275

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
  2. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
  3. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  4. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  5. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  6. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  7. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  8. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  9. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  10. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  11. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  12. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
  13. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 21/02/2013.)..
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Mandres-les-Roses », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. Cartes de zonage d'Épinay-sous-Sénart sur le site de l'Insee. Consulté le 26/02/2011.
  21. Quartier Prioritaire : Plaine - Cinéastes sur sig.ville.gouv.fr
  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  26. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  30. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  31. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  33. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional (la coopération intercommunale » [PDF], sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
  34. « Votez pour votre intercommunalité » [PDF], sur varennesjarcy.fr, (consulté le ).
  35. « Ils disent non à l’Essonne », Le Républicain de l'Essonne,‎ .
  36. « Brie-Comte-Robert : Varennes-Jarcy (91) rejoint l’Orée de la Brie », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
  37. Jérôme Lemonnier, « Les villes orphelines en quête de leur agglo », Essonne Info,‎ (lire en ligne).
  38. « Draveil dit non à 98 % au mariage avec le Val d'Yerres », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  39. « Remous autour du mariage entre le Val d'Yerres et Sénart Val de Seine », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  40. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  41. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  42. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.
  43. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  44. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  45. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21/06/2012.
  46. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  47. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  48. Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2014.
  49. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  50. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.
  51. Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  52. Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 01/04/2011.
  53. Résultats de l'élection municipale 2001 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  54. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/01/2013.
  55. « ESSONNE (91) - Epinay-sous-Sénart », Résultats des élections municipales et communautaires 2014, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  56. « Municipales 2020. Damien Allouch nouveau maire d’Epinay-sous-Sénart : Opposé à Georges Pujals, maire sortant, Damien Allouch a été élu maire d'Epinay-sous-Sénart (Essonne) avec 56,25% des voix », Actu Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 22/07/2009.
  58. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.
  59. « Les maires de Épinay-sous-Sénart », sur francegenweb.org (consulté le ).
  60. « Sous l’œil d'Oscar : Exclusion, injustice et provocations sont à l'origine des affrontements du week-end dernier entre policiers et jeunes », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  61. Jérôme Lemonnier, « Épinay-sous-Sénart : la division s’affiche de nouveau : Après avoir perdu ses délégations, la première adjointe au maire d’Epinay-sous-Sénart Khadidja Seddiki affiche au grand jour les raisons qui l’opposent au maire Georges Pujals. Elle vient d’entamer une grève de la faim. Un nouveau déballage qui vient ternir l’image d’une ville connue pour son instabilité politique », Essonne info,‎ (lire en ligne) « Retour aux élections municipales de 2001, date du premier conflit au cœur de la majorité spinolienne. Après avoir effectué deux mandats consécutifs, Jacques-Louis Dôle s’est vu progressivement barrer la route qui le menait vers une troisième victoire par son protégé de l’époque, David Nadeau. Il s’agissait juste d’une guerre de succession comme on a pu en voir dans plusieurs communes, comme notamment à Viry-Châtillon en 1995, pouvait-on croire à l’époque. Cependant, cette première crise entre deux élus de la même majorité en a appelé d’autres.
    Quelques années plus tard après, d’autres oppositions interviennent en plein milieu du mandat entre la nouvelle maire Christine Scelle-Maury et son adjoint Mourad Lebcir. Mais, après un nouveau scrutin municipal mouvementé en 2008, la maire sortante récupère son siège dès le premier tour. Durant le mandat 2008-2014, ce fut l’occasion de vérifier la pertinence du vieil adage : « jamais deux sans trois ». Et il disait vrai ! Comme un véritable mal chronique, voilà que les divisions refont surface en 2013. Christine Scelle-Maury et son premier adjoint Pascal Michelangeli finissent par faire bande à part à quelques mois des élections municipales de mars dernier »
    .
  62. Sébastien Ramnoux, « Peu de femmes parmi les nouveaux maires », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Au soir du deuxième tour des élections municipales, Christine Scelle-Maury a remporté deux victoires. Non seulement la socialiste prend Épinay-sous-Sénart à la droite, mais elle s'impose contre un homme, le maire sortant RPR, Jacques-Louis Dôle ».
  63. « Christine Scelle-Maury, Maire PS d'Epinay-sous-Sénart », PS Épinay-sous-Sénart (consulté le ).
  64. « La maire claque la porte du PS », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  65. « A Épinay-sous-Sénart, un ancien adjoint défie la maire sortante », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  66. « Municipales à Epinay-sous-Sénart : Georges Pujals, 38 ans, soutenu par Dupont-Aignan », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  67. Laurent Degradi, « Municipales à Epinay-sous-Sénart : Georges Pujals crée la surprise », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  68. Laurent Degradi, « Municipales à Épinay-sous-Sénart : trois listes de gauche face au maire sortant : Candidat à sa propre succession, le maire (divers droite) Georges Pujals va trouver sur sa route trois adversaires marqués à gauche, qui part moins dispersée que lors du précédent scrutin. », Le Parisien, édition de l'essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sept candidats dont quatre listes… rien que pour la gauche. Une aberration qui avait rendu le scrutin quasi illisible pour les électeurs en 2014. Six ans plus tard, la raison a regagné du terrain du côté d'Epinay-sous-Sénart. Seules quatre listes en effet devraient être au départ cette année du premier tour des élections municipales (...) Têtes de liste : Georges Pujals (SE), Damien Allouch (PS), Nathalie Delaunay (SE), Samir Lebcir (SE) ».
  69. Pauline Darvey, « Municipales 2020 en Essonne : Damien Allouch se lance dans la course à Epinay-sous-Sénart : Le conseiller départemental socialiste a annoncé sa candidature la semaine dernière », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  70. Nolwenn Cosson, Laurent Degradi, Gérald Moruzzi et Cécile Chevallier, « Essonne : dans cinq grandes villes, ces maires sortants désormais opposants : Des conseils municipaux d’installation se sont tenus ce week-end à Corbeil-Essonnes, Athis-Mons, Les Ulis, Savigny-sur-Orge et Epinay-sous-Sénart, où les maires sortants ont été sortis et se battront désormais, pour la majorité d’entre eux, dans l’opposition », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Damien Allouch (PS) désigné nouveau maire par 24 voix contre 7 ».
  71. Laurent Degradi, « Municipales en Essonne : le nouveau maire d’Epinay a une âme d’artiste : Damien Allouch (PS) a suivi des cours d’arts dramatiques, écrit des pièces de théâtre, des comédies musicales. Le voilà désormais maire d’Epinay-sous-Sénart, après avoir remporté un duel face à Georges Pujals (DVD) », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  72. Fiche du jumelage Épinay-sous-Sénart - Isernhagen sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 08/01/2013.
  73. Fiche du jumelage Épinay-sous-Sénart - Peacehaven sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 08/01/2013.
  74. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  75. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  76. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Épinay-sous-Sénart (91215) », (consulté le ).
  77. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
  78. Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 14/09/2010.
  79. Liste des établissements du second degré de l'Essonne sur le site de l'Académie de Versailles. Consulté le 04/10/2010.
  80. Fiche du centre de PMI d’Épinay-sous-Sénart sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 14/01/2013.
  81. Fiche du centre de planification familiale d’Épinay-sous-Sénart sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 16/01/2013.
  82. Coordonnées de l'agence postale d'Épinay-sous-Sénart sur le site de La Poste. Consulté le 15/05/2011.
  83. Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 30/10/2009.
  84. Site officiel du séminaire orthodoxe russe en France. Consulté le 15/11/2012.
  85. Annuaire des marchés sur le site Marchés de France. Consulté le 25/04/2011.
  86. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  87. %5CCOM%5CDL_COM91215.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.
  88. %5CDL_ZE19901135.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi de Créteil sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.
  89. Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
  90. Carte des ENS d'Épinay-sous-Sénart sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 03/2019.
  91. Auguste Perdonnet, Notions générales sur les chemins de fer: suivies Des biographies de Cugnot, Séguin et George Stephenson; d'un mémoire sur les avantages... et d'une bibliographie raisonnée, E. Lacroix, 186?, p. 56 %A9n%C3 %A9rales+sur+les+chemins+de+fer&hl=fr&ei=MvHjTvOcFMS78gPuvrCKBA&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CDUQ6AEwAA#v=onepage&q=Perdonnet%20Notions%20g%C3 %A9n%C3 %A9rales%20sur%20les%20chemins%20de%20fer&f=false intégral (consulté le 22 mai 2011).
  92. Blasonnement sur le site de Gaso, la banque du blason. Consulté le 10/09/2009.