Hondschoote
Hondschoote | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Hauts de Flandre | ||||
Maire Mandat |
Hervé Saison 2020-2026 |
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Code postal | 59122 | ||||
Code commune | 59309 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hondschootois | ||||
Population municipale |
4 072 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 172 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 58′ 49″ nord, 2° 35′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 19 m |
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Superficie | 23,66 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Wormhout | ||||
Législatives | Quatorzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | http://www.hondschoote.fr/ | ||||
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Hondschoote (Hondschote en flamand occidental / néerlandais)[1] est une commune française située dans le département du Nord et la région Hauts-de-France.
Étymologie et prononciationModifier
Hondschoote ne devrait en principe pas se prononcer comme pourrait le suggérer une lecture à la française de ce nom (qui correspond en fait à une graphie néerlandaise). Il devrait se prononcer à peu près « honne-ts-côte », conformément à la prononciation du néerlandais, ou « honne-ts-chaud-te » selon une prononciation flamande occidentale, se différenciant de la prononciation standard du néerlandais (A.N.).
Dès 1069, nous retrouvons un Hondescote.
Plusieurs traductions fantaisistes ont été proposées :
- Hundo, nom d’homme germanique, Schot : « terrain clos » ;
- « Enclos aux chiens » (de Hond : « chien » et de Schoot, Schoote, Scheute : « enclos » (Beschutting) ;
- Huns Cota signifierait également enclos des Huns, lesquels auraient établi un camp au bord des Moëres lors de l’invasion de la Gaule.
Des recherches approfondies d'un spécialiste de la langue néerlandaise — Jacques Fermaut — sont plus vraisemblables ; « Hondschoote » correspond à une définition géographique : « éminence — 5 à 9 m — du chenal de marée ».
GéographieModifier
SituationModifier
-Située à 24 km de Dunkerque, 63 km de Lille, 11 km de Bergues.
Communes limitrophesModifier
HéraldiqueModifier
Les armes d'Hondschoote se blasonnent ainsi : « D'hermine à la bande de gueules chargée de 3 coquilles d'or ». Voir également l'armorial du Tournoi de Chauvency
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HistoireModifier
Avant 1789Modifier
Avant la Révolution française, Hondschoote relève de la châtellenie de Bergues. Celle ci s'étend sur tous les villages qui l'entourent mais doit partager le pouvoir avec la Cour féodale ou Peron de Bergues, propriété des souverains (comtes de Flandre puis rois de France) qui détient également certains droits et pouvoirs. La seigneurie d'Hondschoote relève ainsi de la Cour féodale[2]. Elle appartient au XVIIIe siècle au comte de Hornes résidant à Douai puis à Mr Coppens d'Hersin[2].
En 1096-1099, Guillaume Moran de Honschoote, seigneur de Hondschoote, et Raoul de Lederzelle participent à la première croisade menée par Godefroy de Bouillon[3].
Baudouin de Hondescote, fils de Guillaume Moran, épouse Mahaut de Guînes, fille d'Arnould Ier de Guînes[4].
Au début du XIIIe siècle, Walter (dans les textes en latin, traduit par Gauthier dans les textes en français) de Hondschoote est un des meneurs d'un groupe nommé les Blavoetins qui s'opposaient aux Ingrekins. L'ancienne comtesse de Flandre Mathilde de Portugal, soutenant les Ingrekins, les Blavoetins vinrent en 1206 assiéger Bergues où se trouvait Mathilde, après avoir ravagé une de ses possessions à Furnes. Ils furent écrasés par le parti adverse. Le combat eut lieu un lundi qui porta ensuite dans la région le nom de « lundi rouge » (de rood maendag) en raison du sang versé[5].
En 1258, Jean de Hondschoote et Isabelle sa femme, passent un accord avec l'abbaye de Watten au sujet d'une redevance due par les tenanciers d'Hondschoote[6].
En 1263, Guillaume de Hondschoote est prévôt du chapitre de Sainte-Walburge de Furnes, et nomme avec le chapitre, un arbitre chargé de terminer le différend existant entre les habitants de Rubroc (Rubrouck) et l'abbaye de Watten[7].
Gautier de Hondschoote est présent aux festivités données par le comte de Chiny en 1285 et décrites par Jacques Bretel dans son Tournoi de Chauvency. Il s'y trouve aux côtés de Philippe de Flandres, de Florent de Hainaut, du châtelain de Bergues, des seigneurs de Haussy, Lalaing, Ligne, Fléchin, Montigny, Auberchicourt, etc.
En 1303, Walter de Hondschoote seigneur de Houtkerque, et Jean de Haverskerque, seigneur de Hondschoote, vendent à Gilles Ier Aycelin de Montaigut, archevêque de Narbonne pour la somme de 3000 livres, une rente de 300 livres sur le Trésor de France[8]. En avril 1309, le roi de France Philippe, (Philippe IV le Bel), assigne à Walter ou Gautier de Hondschoote, seigneur de Houtkerque, 250 livres tournois sur 500 qu'il lui avait données, à prélever sur les salines de Carcassonne[9]. En 1314 (?), Philippe roi de France donne à Gautier de Hondschoote 1400 livres de rentes sur le trésor, à condition que si Gautier ne laisse que des filles, le roi pourra racheter cette rente moyennant 600 livres[10]. En septembre 1318, Philippe, roi de France, (Philippe V le Long), confirme à Marie, fille de feu Gautier, seigneur de Hondschoote (de Hondschoote ou de Houtkerque? ou des deux?), et son mari Gaucher Regnaut, seigneur de Los (Loos?) le don d'une rente de 1400 livres tournois à prélever sur le trésor royal[11].
Au Moyen Âge, Hondschoote prospère grâce à l'industrie du drap. Avec le lin cultivé dans les environs des centaines de petits ateliers fabriquent du tissu de serge. Ces fabrications étaient exportées jusqu'en Turquie[12]. Le comte de Flandre Louis de Crécy (Louis Ier de Flandre) accorde au XIVe siècle plusieurs privilèges aux fabricants dont celui de marquer leurs étoffes d'une empreinte portant d'un côté les armes du Comte, de l'autre la marque particulière de chacun, marques dont certaines sont conservées dans les archives de la ville[13]. Deux foires annuelles à la Pentecôte et en juillet favorisaient les affaires[14].
En 1383, la ville est incendiée lorsque Charles VI chasse les Anglais de la région (croisade d'Henri Le Despenser)[13].
François de Hondschoote, seigneur d'Hondschoote, combat et trouve la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[15].
Au XVIe siècle, Hondschoote avait une chambre de rhétorique, De Persetreders, toujours opérationnelle en néerlandais au XIXe siècle. À partir du XVIe siècle, cependant, les malheurs s'acharnent sur la ville, devenue espagnole, plusieurs fois pillée au cours des guerres (ainsi en 1558, lors de l'expédition française en Flandres du Maréchal de Thermes terminée par la bataille de Gravelines), victime d'incendies dévastateurs (en 1576 où 600 ateliers furent brûlés dans la partie ouest de la ville, également en 1582 où 900 fabriques furent incendiées[13]) et touchée par la peste de surcroît en 1545 et 1578[14]. Au début du mois d'août 1566, les Gueux pillent l'église d'Hondschoote. Cet incident mineur donne le signal de la rébellion sur toute la côte et conduisit à des émeutes iconoclastes conduites par les calvinistes dans tous les Pays-Bas espagnols.
Après chaque désastre, Hondschoote essaie de s'en remettre mais ne peut empêcher son déclin. Devenue française en 1658 après de nouveaux pillages,et de nouveaux incendies, elle succombe enfin après l'invasion hollandaise de 1708 [13] : toute production cesse bientôt et elle n'est plus qu'un village agricole. Les producteurs de tissu se sont enfuis pour se réfugier dans l'actuelle Belgique et en Angleterre, faisant profiter de leur savoir-faire les rivaux de la France.
En 1753, Jacques Josse Coppens est seigneur d'Hondschoote. Il est l'époux de Anne Marie Bart, cousine germaine de François Cornil Bart, fils de Jean Bart. Elle est morte à Dixmude le 12 février 1767 et a été enterrée dans l'église d'Hondschoote le 14 février[16].
Avant la Révolution française, Hondschoote compte quatre couvents : un de Trinitaires, un de Récollets, lesquels dirigent un collège, un de Sœurs grises et un de religieuses recollectines. Dans la ville se trouve également un hôpital pour les indigents[17].
Après 1789Modifier
La bataille d'Hondschoote du 6 au , au cours de la Révolution, est un événement majeur qui sauve la République française. Le roi d'Angleterre a envoyé à travers les Flandres une armée commandée par le duc d'York, pour s'emparer de Dunkerque, tête de pont à l'invasion du pays. Cette armée, renforcée par des troupes hanovriennes et autrichiennes sous les ordres du maréchal Wilhelm von Freytag, venues des Pays-Bas voisins, est battue par une armée de volontaires patriotes. Durant la bataille, le moulin à vent sert de poste de guet et d'infirmerie. Une grande partie des blessés pendant la bataille fut évacuée vers Saint-Omer dans les églises de Saint-Bertin et de Saint-Denis[14].
Les frères Herwyn, (Pierre-Antoine, comte Herwyn de Nevèle; Philippe Jacques, baron Herwyn), natifs d'Hondschoote, s'illustrent pendant la Révolution, le Premier Empire et la Restauration.
En , des Honsdchootois, Mr et Mme Coppens, donnent à l'hospice de Bergues, deux maisons et quatre hectares de terre. Mme Coppens n'est autre que la sœur d'Alphonse de Lamartine, le célèbre poète, député de Bergues de 1833 à 1837. La famille Coppens quant à elle est bien connue dans le canton : Laurent Coppens fut député du Nord en 1791-1792 puis de 1815 à 1818[18].
Dans les années 1850, un Hondschootois s'illustre ː Jules Demersseman, né à Hondschoote, a été premier prix de flûte au Conservatoire de Paris, et flûte solo des concerts de Paris[19].
En 1895, avant le développement de l'automobile, et à l'époque des petits trains dans les campagnes, une voie ferrée dite des Flandres relie Bergues à Hondschoote via Warhem, Rexpoëde, Killem. Trois trains circulent par jour dans les deux sens, le trajet dure 45 minutes[20].
Pendant la première guerre mondiale, Hondschoote est de 1915 à 1918, le siège d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée, organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. À partir de 1916, Warhem, Téteghem, Uxem, Killem, Leffrinckoucke, Zuydcoote sont les communes dépendant du commandement d'étapes et accueillant des troupes[21]. Et en 1917, s'y ajoutent Les Moëres, Ghyvelde, Bray-Dunes[21].
La commune dépendait elle-même pendant la même période du commandement d'étapes, installé à Steenvoorde puis transféré à Rexpoëde[22].
Entre les deux guerres mondiales, on construit sur la commune des blockhaus intégrés à une suite continue de constructions défensives allant de Bray-Dunes à Bailleul : voir secteur fortifié des Flandres, partie intégrante de la ligne Maginot.
Le , un habitant d'Hondschoote, le maçon Émile Warin, connait une petite célébrité ː il est le vingt-cinq millionième visiteur de la Tour Eiffel et gagne une automobile[23].
Politique et administrationModifier
Entre 1853 et 1860, le maire est Mr Jean Delaroière, docteur en médecine, membre du Conseil général[24], membre correspondant de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts[25].
En 1883 le maire est Ch. Vanderheyde[26].
La commune fait partie de la quatorzième circonscription du Nord qui a pour député Jean-Pierre Decool ; le conseiller général du canton est Patrick Valois.
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
Évolution démographiqueModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2018, la commune comptait 4 072 habitants[Note 1], en augmentation de 0,49 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âgesModifier
ÉconomieModifier
Un marché a lieu tous les vendredi matin.
Lieux et monumentsModifier
L'office de tourisme accueille les visiteurs pour les renseigner sur les particularités de la ville.
L'église Saint-VaastModifier
(XVIe et XVIIe siècles - Monument historique).
Bâtie au XVIe siècle. La tour, haute de 82 mètres, construite en briques blanches du pays s'appelle De Witte torre (la tour Blanche). Cette tour préservée lors de l'incendie de 1582 porte dans l'un de ses piliers la date de 1513.
Ses autels
Dans la nef droite : l'autel Saint Sébastien. - Autel sculpté de style Louis XIV : On peut y remarquer les armoiries de la confrérie Saint Sébastien ou confrérie d'Archers, fondée en 1586, ayant pour charge la défense de la ville et de ses habitants.
Un autel moderne : l'autel du Sacré-Cœur.
À droite du chœur : l'autel des Âmes (1673) : style Louis XV ; le sujet principal du retable est un tableau peint représentant la descente du Saint-Esprit sur les apôtres. De chaque côté, des statues sculptées, l'une de saint Crépin (patron des cordonniers), l'autre de saint Séverin (patron des tisserands).
Au centre : le maître autel. Une dalle rappelle que la nièce de Jean Bart y est enterrée.
À gauche du chœur : l'autel de la Sainte Vierge. Le sujet principal représente l'Apparition de la Sainte Vierge à Saint Dominique.
L'autel Notre Dame des Sept Douleurs. Le sujet principal représente le Christ mort, étendu sur les genoux de sa mère.
Buffet d'orgue En chêne, style Louis XV et Renaissance, construit entre 1611 et 1613, le grand buffet a été remplacé en 1737.
Boiseries et confessionnaux tous en chêne sculpté, style Louis XV.
Hôtel de villeModifier
En grès et pierres blanches, il date de 1558. Sa façade avant comporte sept blasons, dont celui de la confrérie Saint-Sébastien, qui date du Moyen Âge. Sur sa façade arrière, on peut remarquer les motifs en forme de bouteille qui encadrent les fenêtres du pignon gauche et de la face latérale de la tour.
La cave de l'hôtel de ville servait d'ancien corps de garde.
AutresModifier
- Le Pays du Lin : surnommé ainsi car l'économie du lin y est importante, ce vaste territoire naturel s'étend de la vallée de l'Yser jusqu'au plages de sable fin de la côte d'Opale. Les nombreuses fermettes et maisons isolées donnent à cette campagne un caractère typique qu'il faut absolument découvrir à bicyclette ! En juin, la plaine devient toute bleue (c'est la floraison du lin) et l'odeur des blés qui mûrissent parfume l'air chaud de l'été qui arrive.
Deux paysages radicalement différents entourent Hondschoote : au sud de la ville, c'est le « Houtland » avec ses petits bois « déposés » çà et là reliés par les haies d'épines qui retiennent et abritent les animaux des fermes d'élevages. Au nord d'Hondschoote, c'est l'univers de l'eau, « une vraie petite Camargue » ! De nombreuses espèces d'oiseaux viennent nicher sur les berges des « watergang » (petits canaux qui quadrillent ce territoire situé à -2m sous le niveau de la mer). À voir absolument : l'atterrissage du cygne sur les étangs des Moëres...
Un circuit pédestre de 11 km, le « Circuit de la tour blanche » permet de découvrir Hondschoote et ses environs[37].
- Monument commémoratif de la bataille de 1793 : inauguré en 1890 et dû au statuaire lillois Darcq.
- La fontaine : offerte à la ville en 1835 par Alphonse de Lamartine (dont la sœur résidait à Hondschoote).
- Le Noordmeulen (moulin à vent) : restauré en 1988, porte la date de 1127. Sa cabine de bois repose sur un pivot de pierre. Sur les poutres ont été gravés les noms des meuniers, des dates. En 1982, il devient propriété communale. Il a cessé de tourner en 1959.
- Le Spinnewyn (autre moulin à vent) : abattu en 1793 lors de la bataille d'Hondschoote, il a été reconstruit lors du bicentenaire, en 1993, à l'identique (en bois et sur un pivot de briques) car il fut le témoin privilégié de la bataille de 1793.
Monument commémoratif de la
bataille d'Hondschoote.Fontaine offerte à la ville par
Alphonse de Lamartine.
Personnalités liées à la communeModifier
- Adrien Cauchie, douanier et peintre sculpteur. La crèche de Noël qui est exposé dans l'église chaque année est son œuvre.
- Eugénie de Lamartine, sœur du poète Alphonse de Lamartine, était mariée à Bernard Coppens d'Hondschoote, d'une famille noble dunkerquoise. Il est enterré dans le cimetière communal.
- Émile Coornaert, historien et résistant
- Jules Demersseman, (1833-1866), flûtiste de renom et compositeur fécond, ami d'Adolphe Sax
- Philippe Jacques, baron Herwyn ( - Hondschoote ✝ - Furnes, Royaume de Belgique), homme politique français et belge des XVIIIe et XIXe siècles.
- Pierre-Antoine, comte Herwyn de Nevèle ( - Hondschoote ✝ - Paris), frère du précédent, agronome et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles.
- Alphonse de Lamartine
- Auguste Outters
- Jacob Peyt, meneur dans la révolte paysanne flamande qui précéda la Bataille de Cassel
- Arthur Van Hecke, peintre, l'un des principaux protagonistes du Groupe de Roubaix. Arthur Van Hecke vécut longtemps avec sa compagne, Lucette, à Hondschoote. Il y est décédé le . Il est enterré à Hondschoote.
- Edmond Vansteenberghe, évêque de Bayonne, a passé une partie de sa jeunesse à Hondschoote. Ses parents et grand-parents sont enterrés dans le cimetière communal.
JumelagesModifier
Pour approfondirModifier
BibliographieModifier
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
- Site officiel
- Histoire de la ville de Hondschoote
- Communauté de Communes de Flandre (CCF)
- Hondschoote sur le site de l'Institut géographique national
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Louis de Baecker, Recherches historiques sur la ville de Bergues (lire en ligne), p. 128 à 131
- Henri Piers, Histoire de la ville de Bergues-Saint-Winoc:notices historiques sur Hondschoote, Wormhoudt, Gravelines, Mardick, Bourbourg, Watten, etc., ,, Imprimerie de Vanelslandt, (lire en ligne), p. 90
- André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 65, lire en ligne.
- Louis de Baecker, Recherches historiques sur la ville de Bergues (lire en ligne), p. 18 à 22
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome V, Année 1258.
- A. Wauters, option citée, Tome V, Année 1263.
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VIII, Année 1303.
- Wauters, Tome VIII, Année 1309.
- Wauters, p. Tome VIII, Année 1317 (année erronée le roi Philippe meurt en 1314).
- Wauters, p. Tome VIII, Année 1318.
- Henri Piers option citée page 87
- Henri Piers option citée page 88
- Henri Piers option citée page 89
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? »
- Raymond de Bertrand, « Note et document inédit sur le vice-amiral François Corneille Bart », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, années 1861-1862, Dunkerque, 1862, p. 355-356, lire en ligne.
- Henri Piers option citée page 90
- Henri Piers option citée pages 91 et 92
- Raymond de Bertrand, « Monographie de la rue David d'Angers à Dunkerque », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 324, lire en ligne.
- Le Journal de Bourbourg et du canton de Gravelines, n° 744 du 2 janvier 1895
- « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le 28 juin 2020)
- « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le 9 août 2020)
- Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 59
- Almanach du commerce Département du Nord 1854
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1855, p. 227, lire en ligne; Année 1857, p.334, lire en ligne
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1883
- Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire historique et biographique des généraux français : depuis le onzième siècle jusqu'en 1820, , 506 p. (lire en ligne), p. 274.
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598216
- http://www.cc-hautsdeflandre.fr/?page_id=55
- http://cluster011.ovh.net/~cchautsdts/wp-content/uploads/2014/compterendu/CC14-01-14.pdf
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Hondschoote en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juillet 2010)
- « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le 29 juillet 2010)
- « Circuit de la tour blanche », sur Cirkwi (consulté le 28 octobre 2020)
- Voir sur Osterburken.de & (de) Osterburken