Holothele sulfurensis
espèce d'arachnides
Cet article est une ébauche concernant les araignées.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations du projet Arachnologie.
Holothele sulfurensis
| Règne | Animalia |
|---|---|
| Embranchement | Arthropoda |
| Sous-embr. | Chelicerata |
| Classe | Arachnida |
| Ordre | Araneae |
| Sous-ordre | Mygalomorphae |
| Famille | Theraphosidae |
| Genre | Holothele |
Holothele sulfurensis est une espèce d'araignées mygalomorphes de la famille des Theraphosidae[1].
Distribution modifier
Cette espèce est endémique de Guadeloupe[1]. Elle se rencontre sur la Soufrière de 700 à 1 465 m d'altitude[2].
Description modifier
La femelle holotype mesure 18,7 mm et le mâle paratype 16,4 mm[2]. Elle fréquente aussi bien les milieux ouverts que fermés.
Étymologie modifier
Son nom d'espèce, composé de sulfur et du suffixe latin -ensis, « qui vit dans, qui habite », lui a été donné en référence au lieu de sa découverte, la Soufrière.
Publication originale modifier
- Maréchal, 2005 : Description d’une nouvelle espèce d’Holothele (Arachnida, Araneae, Mygalomorphae, Theraphosidae) de Guadeloupe (Antilles françaises) et commentaires sur la répartition du genre. Zoosystema, vol. 27, no 2, p. 211-218 (texte intégral).
Liens externes modifier
- (en) Référence Animal Diversity Web : Holothele sulfurensis (consulté le )
- (fr + en) Référence ITIS : Holothele sulfurensis Maréchal, 2005 (consulté le )
- (en) Référence World Spider Catalog : Holothele sulfurensis Maréchal, 2005 dans la famille Theraphosidae +base de données (consulté le )
- Photos
- guadeloupe-parcnational
Notes et références modifier
- World Spider Catalog (WSC). Musée d'histoire naturelle de Berne, en ligne sur http://wsc.nmbe.ch. doi: 10.24436/2, consulté lors d'une mise à jour du lien externe
- Maréchal, 2005 : Description d’une nouvelle espèce d’Holothele (Arachnida, Araneae, Mygalomorphae, Theraphosidae) de Guadeloupe (Antilles françaises) et commentaires sur la répartition du genre. Zoosystema, vol. 27, no 2, p. 211-218 (texte intégral)
