Haillainville

commune française du département des Vosges

Haillainville
Haillainville
Entrée du village, par la route d'Essey.
Blason de Haillainville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Bernard Laurent
2020-2026
Code postal 88330
Code commune 88228
Démographie
Gentilé Haillainvillois, Haillainvilloises
Population
municipale
179 hab. (2021 en augmentation de 5,92 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 37″ nord, 6° 28′ 58″ est
Altitude 324 m
Min. 293 m
Max. 381 m
Superficie 12,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charmes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Haillainville
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Haillainville
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Haillainville
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Haillainville

Haillainville est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Géographie modifier

Le village a la particularité de s'étendre de part et d'autre d'une ligne de partage des eaux entre les bassins versants de la Meurthe et de la Moselle. Cette limite passe un peu au delà du carrefour de la route d'Essey, côté Clézentaine.

Selon la carte IGN, le bâtiment de la mairie se situe à 320 mètres d'altitude. Le point le plus élevé du territoire est à 375 mètres, à la limite du territoire d'Ortoncourt. Curiosité : le parc éolien du Haut de Lorraine situé à cet endroit peut être aperçu par temps clair depuis le Rambettant, le coteau qui surplombe l'Est de Dombasle-sur-meurthe et de Varangéville.

Le point le plus bas est à 295 mètres dans la forêt en limite des territoires de Clézentaine et de Giriviller. Cependant l'autre point bas en limite de Damas-aux-Bois est à peine plus élevé.

La commune comprend un écart rural appelé ferme de la Fontaine, au Sud-Est du village (voir la section histoire). Au cours de l'histoire, on l'a parfois appelé cense de la Fontaine ce qui localement s'est abrégé en ferme de la cense et a pu entraîner des confusions.

Localisation modifier

 
Situation géographique de Haillainville.


             

Hydrographie modifier

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Paleboeuf et le ruisseau du Menil[1],[Carte 1].

 
Réseaux hydrographique et routier d'Haillainville.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 860 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Haillainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,3 %), prairies (32,7 %), forêts (27,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), zones urbanisées (2,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le dictionnaire topographique du département des Vosges indique les formes suivantes relevées dans diverses documents historiques sans préciser lesquels : Hablainvilla, Haillanville, Haillenville, Haillieville, Halainvilla, Halenville, Halleville, Hayllenville, Heillenville, Huillenvilla[15]. Les annales de la Société d'émulation des Vosges complète cette liste avec Haillainvilla, Halainvilla (1402), Hailleville (1475), Halainville (1532), Halanville-au-Haut-Clocher (1557) et Halenvelle[16].

Ernest Nègre donne Hullini Villae au XIe siècle; Huillen Villam et Hayllenvilla au XIIe. Pour lui, le toponyme se serait formé sur le nom de personne germanique Hugolinus[17].

Dans la deuxième moitié du XXe siècle, on entendait parfois prononcer « Halli-inville ».

Histoire modifier

Il existait, entre Haillainville et Fauconcourt, un tumulus datant de l'époque intermédiaire entre l'âge du bronze et le halstatt. Il fut fouillé un peu avant 1938[18].

Un titre de 1159 émanant de l'empereur Frédéric Barberousse confirme la possession de « la Fontaine » par l'abbaye de Beaupré[19]. La Fontaine est un écart rural sur le territoire communal.

À compter de l'année 1500, les habitants sont astreints à une corvée de guet à la forteresse de Châtel[20].

Il aurait existé une verrerie en contrebas de l'église et qui aurait été détruite lors de l'invasion suédoise. Au XIXe siècle, on voyait encore des scories vitrifiés ainsi que divers minéraux carbonisés, ce qui tend à conforter l'hypothèse de la présence de cette industrie[21].

Pendant la guerre de trente ans, les Suédois massacrèrent une bonne partie de la population du village ainsi que la totalité des habitants de la « cense des convers » tués dans un petit bois voisin de cette ferme. Cela a donné naissance au lieu-dit « Martymont », le mont des martyrs. La peste ayant encore accentué les pertes humaines, le secteur était fortement dépeuplé. La France qui occupait la Lorraine repeupla la contrée en y faisant venir des Bourguignons mais la cohabitation fut difficile. Les nouveaux venus étaient injuriés avec l'expression patoise « têtes de bouh'gnons »[16].

En 1704, un ouragan renversa la flèche du clocher qui était la plus haute du secteur, raison pour laquelle on appelait le village « Haillainville-au-haut-Clocher ». Cette tour fut remplacée par un édifice de taille plus modeste[16].

À la veille de la Révolution, Haillainville appartenait au bailliage de Chastel-sur-Moselle (Châtel-sur-Moselle)[22].

En 1789, la justice de la communauté d'Haillainville dépendait du tribunal de Châtel-sur-Moselle. À cette époque, Le seigneur de Châtel se nommait Cosserat de Bouverois. Il avait été anobli par le roi Stanislas et sa famille était originaire d'Haillainville.

En janvier 1792, le Conseil Général de la commune élit trois « bangards »[21] (gardes champêtres).

Le un orage de grêle provoque d'importants dégâts dans la commune. Le préjudice total est estimé à 57 850 francs de l'époque[23].

Le 22 juin 1861, un ouragan emporte le toit de l'église ainsi que ceux d'autres maisons[24]. En 1863, sur proposition du préfet des Vosges, le ministre de l'instruction publique et des cultes accorde une subvention de 1 500 francs à la commune pour réparer l'église[25].

En 1881 Lucien Adam publie son dictionnaire des patois lorrains[26]. Le document est une synthèse des contributions volontaires d'érudits lorrains. Parmi eux, Monsieur Thomas instituteur à Saint-Maurice-sur-Mortagne en 1877, est mentionné pour ses apports concernant la langue ancienne parlée à Haillainville. Son manuscrit est déposé à la bibliothèque municipale de Nancy.

Le est publié l'appel d'offres pour la réalisation des travaux d'adduction d'eau potable[27] ; cette date est relativement précoce pour une petite commune. Par comparaison, le village voisin de Damas-aux-Bois n'aura la sienne qu'en 1958.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1819 1830 Jean Joseph Cosserat    
1830 1832 Joseph Sébastien Vuillaume    
1832 1835 Dominique Epvre Cosserat    
1835 1837 Jean Nicolas Cosserat    
1837 1846 Joseph Sébastien Vuillaume    
1846 1868 Charles Joseph Chamagne    
1868 1876 François Cosserat    
1876 1878 Etienne Mangin    
1878 1881 Jean-François Mougeolle    
1881 1883 Etienne Mangin    
1883 1884 Prosper Martin    
1884 1904 Marie Auguste Laurent    
1904 1908 Georges Chamagne    
1908 après 1911 Cuny    
1913 ? après 1918 Charles Laurent    
avant 1921 après 1921 C. Cosserat    
1923 1935 Édouard Laurent   décédé en cours de mandat
chevalier de la légion d'honneur
officier du mérite agricole
1935   P. Laurent    
         
    Paul Cunin    
    Charles Laurent    
mars 2001 mars 2008 Noëlle Humbert    
mars 2008 En cours
(au 24 mai 2020)
Bernard Laurent    

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 179 habitants[Note 3], en augmentation de 5,92 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
350373429447493481510513517
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
507503490451444439411384375
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
372319320297294272270246226
1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
203194193172162158171169178
2021 - - - - - - - -
179--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église Saint-Èpvre.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Jean-Claude Munier, ecclésiastique. Il est né à Haillainville le et ordonné prêtre à Saint-Dié le . Compte tenu de l'agitation de l'époque, il s'est immédiatement exilé. À son retour, il est nommé curé d'Haillainville, ensuite de Villers-lès-Nancy puis de Haraucourt. Il fut ensuite directeur du séminaire de Nancy. Lors du rétablissement du siège épiscopal de Saint-Dié, il fut nommé directeur du grand séminaire. En 1827, il reçut en plus les charges de vicaire général et d'archidiacre de Saint-Dié. Il est décédé le en laissant le souvenir d'un homme de grande lucidité ayant un sens aigu de l'exactitude et une grande connaissance de la théologie[21],[37].
  • André Thiébaut né à Haillainville le 24 mai 1916 et décédé à Lépanges le 19 avril 1972. Il figure dans la liste des premiers engagés de la France libre puisqu'il rejoint ses rangs en août 1940, en Palestine. Il combat essentiellement au Moyen-Orient dans un régiment du train. Le 8 juin 1942, pour avoir réussi à rejoindre BIR HAKEIM avec son véhicule, il est cité à l'ordre de la Brigade. Il termine son service avec le grade d'adjudant[38].
  • Marie Marienne, née en 1921 à Méménil (88), était sage-femme à Haillainville lorsque, le 3 septembre 1944, des maquisards ont attaqué un convoi allemand à la sortie du village. C'est elle qui prodigua les premiers soins au lieutenant-colonel allemand sévèrement blessé, ce qui valu au village d'être épargné des représailles que connut le village voisin de Rehaincourt le 6 septembre.

Héraldique modifier

  Blasonnement :
De gueules au cheval passant d'argent; au chef d'or chargé de trois fourmis de sable posées en bande
Commentaires : Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Blason populaire modifier

Les habitants étaient surnommés « les fourmis » et aussi « les herrs ». Le village était également l'objet d'un quolibet : « à Haillainville, il vaut mieux être cheval que femme de herr ». En lorrain-roman, un herr est un « monsieur », une personne financièrement aisée et qui aime à le montrer. Cela s'adressait aux prétendus « riches laboureurs ». À Haillainville, les propriétaires d'animaux de trait se livraient à une compétition pour avoir le plus bel attelage. Alors la malice populaire prétendait qu'ils avaient plus d'attentions pour leurs chevaux que pour leurs épouses[39].

La fourmi a ici la même symbolique que dans la fable de La Fontaine : un travailleur acharné... Et un caractère acariâtre[40].

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Haillainville » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Fiche communale d'Haillainville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Haillainville et Roville-aux-Chênes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Impr. nationale, 1941
  16. a b et c Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, Épinal, Imprimerie Klein, , 388 p. (lire en ligne), p. 124.
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume II, Genève, Librairie Droz S.A., , 1372 p. (ISBN 978-2-600-00133-5), p. 938.
  18. Bulletin de la Société archéologique champenoise, Reims, Imprimerie Braine, , 194 p. (lire en ligne), p. 180.
  19. Mémoire de la Société d'archéologie lorraine, tome LII, Nancy, Imprimerie Crépin-Leblond, , 519 p. (lire en ligne), p. 32.
  20. Le Pays lorrain, Nancy, Berger-Levrault, , 39 p. (lire en ligne), page 25.
  21. a b et c Husson, instituteur, Haillainville, statistique rétrospective de la commune en 1788, bailliage de Châtel, Haillainville, manuscrit, , 61 p. (lire en ligne), p. 36.
  22. Abbé Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des gaules et de la France ; volume 4, Amsterdam, (lire en ligne), p. 387 ; 404.
  23. M. Parisot, Société d'émulation du Département des Vosges connaissances usuelles, , 464 p. (lire en ligne), page 464.
  24. L'Espérance : courrier de Nancy, Nancy, , 4 p. (lire en ligne), p. 3.
  25. L'Espérance : courrier de Nancy, Nancy, , 4 p. (lire en ligne), p. 3.
  26. Lucien Adam, Les patois lorrains, Nancy et Paris, Grosjean-Maupin, , 454 p. (lire en ligne), page XIV.
  27. « Adjudication de travaux », sur gallica.bnf.fr, hebdomadaire, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 335 à 338.
  33. « Orgue de tribune », notice no PM88001136, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. Notice no PM88001137, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue.
  35. Notice no PM88001138, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue.
  36. L'oratoire dédié à Notre-Dame de Lourdes à Haillainville.
  37. Notices biographiques des célébrités vosgiennes / Humbert le Vosgien, site personnel de Bernard Visse.
  38. « les français libres », sur www.francaislibres.net (consulté le ).
  39. Jean Vartier, Sobriquets et quolibets de Lorraine, Jarville-la-Malgrange, Éditions de l'Est, , 217 p. (ISBN 2-86955-065-0, lire en ligne), p. 170 ; 181.
  40. Christian Herbé, « Cartographie des blasons populaires en Lorraine romande », sur cherbe.free.fr, (consulté le ).