Héricourt (Pas-de-Calais)

commune française du département du Pas-de-Calais

Héricourt
Héricourt (Pas-de-Calais)
L'église et le monument aux morts.
Blason de Héricourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Mickaël Poillion
2020-2026
Code postal 62130
Code commune 62433
Démographie
Population
municipale
81 hab. (2021 en diminution de 17,35 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 46″ nord, 2° 15′ 18″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 147 m
Superficie 4,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Première circonscription
Localisation
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Héricourt
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Héricourt
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Héricourt
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Héricourt

Héricourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Héricourt
Guinecourt Croisette
 
Blangerval-Blangermont Flers

Paysages modifier

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[1].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[9].

 
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Héricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,4 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (4,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Village attesté comme Herikortis (1072), Lehericort (1213)[réf. nécessaire].

D'un nom de personne germanique Heiric + cortem (court)[16].

Histoire modifier

Héricourt était avant la Révolution française le siège d'une seigneurie dont les titulaires figurent parmi les personnalités liées à la commune[17].

Héricourt a également donné son nom à une famille de la noblesse[18].

Politique et administration modifier

 
Héricourt dans son ancien canton et dans l'arrondissement d'Arras.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Elle fait partie du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifié et regroupe désormais 88 communes, dont Héricourt.

Intercommunalité modifier

La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [20] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21]. À l'initiative des intercommunalités concernées[22], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[23] ;
- la communauté de communes de la Région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [24],[25].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [26].

Liste des maires modifier

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial modifier

Commune et intercommunalités modifier

Circonscriptions administratives modifier

Circonscriptions électorales modifier

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 mars 2014[27] Jacques Dupas    
mars 2014[28],[29] En cours
(au 23 mars 2022)
Mickaël Poillion   Agriculteur[30]
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 81 habitants[Note 5], en diminution de 17,35 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
162163153150183170183173178
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
179217223209221201182163143
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
150156146153141140135131126
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1051008510210098105103106
2015 2020 2021 - - - - - -
988381------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 46 hommes pour 45 femmes, soit un taux de 50,55 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,4 
90 ou +
0,0 
11,9 
75-89 ans
9,8 
16,7 
60-74 ans
22,0 
23,8 
45-59 ans
26,8 
21,4 
30-44 ans
17,1 
16,7 
15-29 ans
9,8 
7,1 
0-14 ans
14,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Équipements communaux modifier

La mairie a été déplacée dans un ancien garage en 2015/2016, ainsi qu'un city stade[38].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Léger, édifiée au centre du village, est mentionnée dans un cartulaire de l’abbaye d'Auchy-les-Hesdin en . L'édifice actuel date des XVIe et XVIIe siècles. La chapelle latérale et le chœur datent sans doute du XVIIIe siècle[39]
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune modifier

Famille de Héricourt modifier

  • Baudouin de Héricourt a épousé Frémine de Créqui (Famille de Créquy).
  • Adam de Héricourt est le fils de Baudouin.
  • Henri de Héricourt, fils d'Adam, est écuyer, seigneur de Canlers. Il a épousé Isabeau de la Rozière, fille de Charles, seigneur de Ribaucourt, (Ribeaucourt?).
  • Nicolas de Héricourt, fils d'Henri, écuyer, seigneur d'Héricourt et de Canlers. Il s'est marié avec Claude de Septfontaine, fille de Jean.
  • Antoine de Héricourt, frère de Nicolas, était chevalier de Malte[40].
  • Charles Ier de Héricourt, fils de Nicolas, écuyer, seigneur d'Héricourt, de Canlers, Warvillers et de Senescauville, gentilhomme de la chambre de feu Charles II de Bourbon, (maison de Bourbon), légat du pape à Avignon, oncle d'Henri IV. Il a épousé Marie d'Ocoche.
  • Charles II de Héricourt, second fils de Nicolas, a épousé Marguerite d'Anglarre, nièce du comte de Grandpré. Antoine de Héricourt, frère de Nicolas,
  • Antoine de Héricourt, fils de Charles, écuyer, seigneur d'Héricourt, et de Canlers, natif d'Arras, reçoit le , des lettres de chevalerie, données à Bruxelles[18].

Seigneurs d'Héricourt modifier

  • Alexis Charles de Fiennes, seigneur d'Héricourt et de Condolle, mayeur (maire) de Saint-Omer, où il a rendu de grands services au souverain depuis que cette ville est retournée à la France, reçoit en , des lettres de chevalerie données à Chambord[17].
  • François de Salperwick, seigneur d'Héricourt, reçoit en octobre 1705, des lettres données à Fontainebleau, lui permettant de relever le titre de marquis de Grigny. François de Salperwick et sa femme Marie Charlotte de Harchies déclarent consentir à ce qu'Antoinette Philippe de Bassecourt jouisse sa vie durant de la terre de Grigny. François de Salperwick est seigneur du Fresnoy, Crehem, Hestruval, Plumoison, Quiesy, Ristade, Marconnelle, Héricourt et Leuzeux, mousquetaire de la seconde compagnie de la garde du roi, commandée par le sieur de Jouvelle, a assisté aux prises de Valenciennes, Cambrai, Saint-Omer, à la bataille de Cassel. Il est fils de feu Louis de Salperwick et d'Antoinette Philippe de Bassecourt et neveu de Jean Baptiste de Bassecourt, marquis de Grigny. Il peut relever ce titre de marquis en y ajoutant et y incorporant les terres de Fresnoy, Quisy et Marconnelle qui relèvent aussi du château d'Hesdin, pour en jouir après le décès de sa mère qui suivant les intentions de son frère, lui avait fait don de la terre de Grigny par acte du 17 janvier 1703[41].
  • Louis François Joseph de Servins, seigneur d'Héricourt, est un ancien capitaine de grenadiers du régiment Dauphin. Fait chevalier en juin 1760 par lettres données à Versailles, il était déjà à cette date chevalier de Saint Louis[42]. En août 1779, des lettres données à Versailles accordent à Louis François Joseph Servins d'Héricourt, membre de la noblesse des États d'Artois, le titre de marquis avec permission de l'affecter à celle de ses terres que bon lui semble. Il sert depuis trente-trois ans sous les armes, a fait les guerres d'Italie, de France, d'Allemagne, a été blessé à la bataille de Parme, et descend d'une ancienne famille qui a pris de bonnes alliances et dont plusieurs membres sont morts les armes à la main[43].
  • Louis Émile Albert Servins d'Héricourt, est comte de Servins en 1873. Il a épousé Agathe Joséphine Clémence Macquart. Une de leurs filles se marie à Saint-Omer le [44].

Héraldique modifier

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
deux écus accolés :
D’argent à la croix de gueules chargée de cinq coquilles du champ,
D’azur au croissant d’or, accompagné de cinq étoiles d’argent, trois en chef 2.1 et 2 en pointe.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Héricourt et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
  17. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 55, lire en ligne
  18. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 29.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  21. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  22. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  23. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  24. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  25. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  26. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  27. « Héricourt - L’ancien maire Jacques Dupas conserve son amertume », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. S. B., « Sévère mise au point de Jacques Dupas », L'Abeille de la Ternoise, no 8462,‎ , p. 20.
  29. Alexis Degroote, « Héricourt – « Démontrer que le village a toujours sa place sur le territoire » : Les projets des maires : Amener du lien entre les habitants, jouer la carte de la transparence… Tels sont les leitmotivs du nouveau maire Mickaël Poillion et de son équipe. Un conseil qui a déjà entamé plusieurs chantiers depuis le début du mandat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Anne-Sophie Hache, « À Héricourt, l’exemple d’une ferme où « on fait autrement » : C’est un parfum. Pas la puanteur des bouses, ni l’odeur aigre qu’exhale le cuir chaud des vaches couchées sur la paille, mais le doux, l’enveloppant parfum du foin séché. Il éclate dans la vapeur que les bêtes crachent de leurs naseaux en fins nuages, dans l’étable traversée de courants d’air, dans l’humidité froide de ce matin de février, comme au beau milieu de l’été », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Héricourt (62433) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  38. Anthony Hoyer, « L'Abeille se pose à … Héricourt « Nous œuvrons afin que les habitants aient des infrastructures pour se réunir » », L'Abeille de la Ternoise, nos 8573-1622,‎ , p. 24.
  39. Anthony Hoyer, « Église Saint-Léger : Des ‘‘menus’’ travaux sont prévus », L'Abeille de la Ternoise, nos 8573-1622,‎ , p. 24.
  40. Louis de La Roque, Catalogue des chevaliers de Malte, Paris, 1891, Alp. Desaide, col. 119
  41. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 378, lire en ligne.
  42. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 93, lire en ligne.
  43. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 114, lire en ligne.
  44. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.352 (lire en ligne).