Gruchet-le-Valasse

commune française du département de la Seine-Maritime

Gruchet-le-Valasse (gRyʃɛ.lə.valas) est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime (76) en région Normandie.

Gruchet-le-Valasse
Gruchet-le-Valasse
L'hôtel de Ville en 2022.
Blason de Gruchet-le-Valasse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Caux Seine Agglo
Maire
Mandat
Didier Peralta
2020-2026
Code postal 76210
Code commune 76329
Démographie
Gentilé Gruchetains
Population
municipale
3 074 hab. (2021 en diminution de 1,88 % par rapport à 2015)
Densité 216 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 25″ nord, 0° 29′ 08″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 141 m
Superficie 14,2 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bolbec
(banlieue)
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bolbec
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Gruchet-le-Valasse
Liens
Site web gruchet-le-valasse.fr

Ses habitants sont appelés les Gruchetains et les Gruchetaines.

Géographie modifier

La commune se trouve au sud-ouest du plateau de Caux, à proximité de l'estuaire de la Seine. Elle est traversée par la rivière du Commerce.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 869 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Petiville à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports modifier

Voies routières modifier

La commune est desservie par :

  • la départementale : D173 ;
  • la départementale : D487 ;
  • la départementale : D6015.

Transports en commun modifier

La ligne no 500 depuis le du réseau d’autocars de la région Normandie dont les terminus sont Caudebec en Caux (Rive-en-Seine) et Le Havre.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Gruchet-le-Valasse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Bolbec, une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes[11] et 17 958 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56 %), terres arables (18,1 %), prairies (17,4 %), zones urbanisées (8,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

La commune actuelle est formée de la réunion des communes de Gruchet et du Valasse par ordonnance royale du [17].

Gruchet, est attesté sous les formes Grocet entre 1165 et 1185, Grocheto en 1210[18].

Le Valasse, ancienne paroisse réunie à celle de Gruchet sous le nom de Gruchet-le-Valasse est attestée sous la forme, Vallis Aszonis sans date (Charte de Galeran comte de Meulan), Valacia en 1172, 1173 et 1182, Valle Aceii en 1212[19].

Artères, voies et rues modifier

Les rues principales de la commune sont : rue Charles de Gaulle, rue du Maréchal Foch, rue de l’Abbaye.

Parmi les nombreuses rues :

  • rue du Pilori : anciennement emplacement du pilori ;
  • rue du Couvent : au XIXe siècle, des sœurs de l'ordre de la Compassion occupent une maison en brique ;
  • impasse des Frères Doudement : nommée depuis le nom des trois frères Doudement, tombés lors de la Première Guerre mondiale.

Histoire modifier

Des origines à la fondation de l'abbaye modifier

Les premiers habitants de la région du pays de Caux, sont le peuple des Calètes. Un peuple venant du territoire de la Belgique actuelle. Loin de l’idée que la Gaule était une nation, elle était au contraire composée de plusieurs peuples ou tribus.

Le nom des calètes serait synonyme de « brave » ou « rude ». Ce peuple rejoint les coalitions contre Rome en 57 et 52 av. J.-C.[20].

La commune est placée sur deux voies romaines, celle qui allait de Juliobona (Lillebonne) à Étretat en passant par le coteau de Saint-Antoine-la-Forêt et celle qui, passant par le Fond-de-la-Roche, allait de Lillebonne à Fauville. Le territoire de Gruchet-le-Valasse fait partie de la forêt de Lillebonne, d’abord forêt mérovingienne, puis ducale, à partir de l’installation des Normands.

La première fondation de l’abbaye Notre-Dame du Vœu remonte aux environs de 1145. Fondée à l’initiative de Galéran IV de Meulan grâce au financement de Mathilde l'Emperesse, princesse de Normandie, marié à Henri IV, empereur du Saint-Empire romain puis à Henri Plantagenêt. Elle est implantée à Gruchet, sur le domaine ducal de Lillebonne, sur une terre tenue du duc par Renaud de Gerponville, vassal qui a accompagné Galéran de Meulan en Terre Sainte. Il souscrit une charte par lequelle la reine Mathilde donne à l'abbaye du Valasse une terre située à Gruchet, 1164-1167. Galéran était seigneur d'une partie de Gruchet depuis qu'il a reçu la Haie-Lintôt de son beau-frère Simon d'Évreux[21].

La Vallée d'or modifier

En 1830, les communes de Gruchet et du Valasse sont réunies sous le nom de : Gruchet-le-Valasse.

 
Cadastre de Gruchet, 1822.
 
Cadastre du Valasse, 1822.

Le développement de l’industrie textile dans la région est à l’origine de l’essor de la commune mais aussi de celui des communes limitrophes comme Bolbec.

Les grandes familles bourgeoises, en majorité protestantes, créent et font prospérer des manufactures de tissus, et notamment la technique emblématique de la région : les Indiennes. Ces usines sont donc appelées des « Indienneries ». En 1785, les manufactures de Daniel Lemaître et de Pierre Pouchet imprimaient respectivement 8 000 et 400 pièces annuelles[22].

Ces familles exercent dans plusieurs domaines d’activités en plus de l’industrie. A la fin du XVIIIe siècle et jusqu’à la fin du XIXe siècle, c’est dans la terre que se trouve l’aisance économique. C’est pourquoi les différentes grandes familles de Gruchet-le-Valasse se diversifient et investissent dans le domaine agricole, et se lancent en politique. Ces activités sont intimement liées.

« Tous étaient laboureurs, souvent propriétaires, tout au moins d’une partie des terres qu’ils mettaient en valeur, mais cette activité leur laissait d’autant plus loisirs que les familles étaient nombreuses : les femmes et les filles nous sont connues comme fileuses, profession souvent citée dans les actes paroissiaux du Pays de Caux »[23].

XXe – XXIe siècle modifier

La commune compte sa part de victimes durant les deux conflits mondiaux. Elle verra s’installer des citadins qui fuient les villes, les bombardements, l’Occupation.[réf. nécessaire]

Depuis la période de la Reconstruction, Gruchet-le-Valasse connait, une forte désindustrialisation.[réf. nécessaire]

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1879   Capelle   Teinturier
  1882
(décès)
Henry-Auguste Desgenétais Droite Filateur
1889 1894 André Piérard    
Les données manquantes sont à compléter.
  1906 Louis Desgenétais    
1910 1919 de Castelbajac   Industriel
Les données manquantes sont à compléter.
1932 1937 Léon Gernez   Chirurgien
mars 1971 mars 2001 Claude Laplace DVD Retraité, suppléant du député Charles Revet
mars 2001 En cours Didier Peralta UDI (PR)
puis MRSL[24]
puis PR
Cadre de banque
Conseiller régional de Normandie (2015 → )
Vice-président de la CA Caux Vallée de Seine (2014 → ) [25] ,[26].

Politique de développement durable modifier

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[27].

Jumelages modifier

  Redditch (Royaume-Uni)

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 3 074 habitants[Note 3], en diminution de 1,88 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0041 0621 0691 2241 1701 3451 4061 5581 505
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5381 4631 5501 6611 7501 8481 8481 8421 866
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8051 7471 7651 5631 6531 5911 5291 5441 682
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 8071 8551 8192 3172 7872 6822 5452 9403 153
2021 - - - - - - - -
3 074--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 521 hommes pour 1 642 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,90 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,2 
5,2 
75-89 ans
8,4 
16,6 
60-74 ans
16,5 
17,8 
45-59 ans
17,9 
21,6 
30-44 ans
19,9 
14,5 
15-29 ans
14,7 
23,7 
0-14 ans
21,4 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,5 
75-89 ans
9,5 
16,6 
60-74 ans
17,7 
19,5 
45-59 ans
19,1 
18,5 
30-44 ans
17,6 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,1 
0-14 ans
16,8 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Château du Valasse, ancienne abbaye cistercienne Notre-Dame du Vœu. L'ancienne abbaye du Valasse du XIIe – XVIIIe siècle. Fondée en 1157 par l'impératrice Mathilde. Le bâtiment change de nature en devenant une résidence privé au XIXe siècle, propriété du richissime armateur Jacques-François Begouën, puis de la famille Fauquet-Lemaître. L’édifice est inscrit aux monuments Historiques par arrêté du sous l’appellation : château du Valasse, ancienne abbaye Notre-Dame-du-Vœu.
  • Château des Genêts. Auguste Desgenétais, achète en 1865, le parc du château de Navarre. Il y fait construire une grande maison bourgeoise, en 1877, appelée château des Genêts du nom de la famille à l'origine de sa construction[34]. Le bâtiment est situé au milieu d'un parc. Des écuries-remises créées par l'architecte Cottard sont ajoutées aux communs déjà existants. La famille Desgenétais est l'une des familles les plus prospèrent de la commune. Par ses différentes alliances matrimoniales, les Desgenétais possèdent les grandes maisons de la commune. Aujourd’hui, le bâtiment a été redécoupé en plusieurs logements et est une propriété privée.
  • L'église Saint-Thomas-Becket (XVIe – XIXe siècle). L’église de Gruchet-le-Valasse est l’une des premières à « être mise sous le vocable de Saint-Thomas Becket »[35]. Le bâtiment connait plusieurs constructions et destructions. En effet, en 1201, elle est donnée à l’abbaye du Valasse par l’archevêque de Rouen, Gaston de Coustance. L’église actuelle est érigée en 1894, financée par la famille Desgenétais. Les vitraux sont presque tous réalisés par les ateliers Boulenger (Rouen).
  • L'hôtel de ville (fin XIXe siècle). Ancien asile, c’est-à-dire orphelinat, fondé par Célestine Leclert, sœur appartenant à l’ordre religieux des Filles de la Charité de Saint-Vincent de Paul. Les sœurs de l’ordre prendront en charge de nombreux enfants, uniquement des filles. En 1977-1978, l'établissement ferme ses portes. En effet, la Congrégation ne conserve pas l'établissement car elle manque de sœurs, pour s'occuper de la gestion et des enfants, et de moyens financiers[Note 4]. La DDASS ne reprend pas l'établissement. Les sœurs sont alors autorisées par décret ministériel à vendre la bâtisse. Les locaux de la mairie deviennent trop exigües dans la même période. Après la vente et le rachat par la commune, l’orphelinat accueille les bureaux de la mairie. Le bâtiment est aujourd’hui l’hôtel de ville.
  • Château du Vieux-Gruchet. Autrefois, situé en face du château des Genêts, les deux parcs reliés par une passerelle de bois. Le château a aujourd’hui disparu, détruit par un incendie. Il est finalement rasé en 1976. Aujourd’hui, seuls les communs demeurent. Les Gruchetains désignent les bâtiments restants comme « Le Manoir ». Après avoir appartenu à la famille Boutren pendant deux siècles puis au Le Bas de Bultot puis au marquis de Lillers de 1830 à 1843 qui le restaura, il fut acheté par les Vasse, puis par Henri Auguste Desgenétais en 1880.
  • Château de Tous-Vents. Édifié en 1875 par Théodore Geissler sur les ruines du château incendié par les Prussiens en 1871. Le château de Tous-Vents était la clinique de Tous-Vents, dans les années 1950. Aujourd'hui, le château a une extension et ce sont devenus des résidences privées divisées en appartement.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de la commune de Gruchet-le-Valasse se blasonnent ainsi :
mi-parti : au 1) de gueules aux trois léopards d’or passant l’un sur l’autre, au 2) d’or à l’aigle bicéphale couronnée d’azur.


Les léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Centenaire des bâtiments de l'Hôtel de Ville, 1891 - 1991, Société d'études et de recherches du Pays de Calètes : collectifs d'auteurs, édition Ville de Gruchet-le-Valasse.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Gruchet-le-Valasse et Petiville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bolbec », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur Le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le Site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 462.
  18. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 462b.
  19. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 1004.
  20. Hugo Janssens, Ces belges les « plus braves », Histoire de la Belgique gauloise, Édition Racine, , 268 p. (ISBN 978-2-8738-6539-9 et 2873865393, lire en ligne), p. 49.
  21. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 47.
  22. Archives nationales : F.12.1.404 A« Lettre de l’inspecteur général des manufactures pour la France ».
  23. Vivre à Gruchet-le-Valasse vers 1900, Association d'études du Pays des Calètes
  24. Didier PERALTA – Mouvement Radical, sur lemouvementradical.fr
  25. « Municipales 2020. À Gruchet-le-Valasse, Didier Peralta réélu pour un quatrième mandat : . Le maire sortant obtient 73,14 % des suffrages exprimés », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Didier Peralta (maire sortant, liste « Vivre Ensemble ») a été réélu avec un suffrage de 73,14 % des votes contre Philippe Mary (liste « Ensemble Construisons Notre Avenir ») avec 26,85 % des voix (...) la participation des votants a été faible : 47,76 % alors qu’elle s’élevait à 66,28 % en 2014 ».
  26. « Municipales 2020. Didier Péralta réélu maire de Gruchet-le-Valasse : Le maire de Gruchet-le-Valasse a placé son nouveau mandant sous le signe de l’économie », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « le maire de Gruchet-le-Valasse, Didier Péralta, a été réélu mardi 26 mai, à 20 voix contre 3 pour Philippe Mary ».
  27. Fiche Agenda 21 de Territoires - Gruchet-le-Valasse, consultée le 26 octobre 2017.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gruchet-le-Valasse (76329) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
  34. « Châteaux de France » (consulté en ).
  35. Jean Fournée, « Les lieux de cultes en Normandie », in Annales de Normandie,‎ , p. 338 (lire en ligne).