Gimeux

commune française du département de la Charente

Gimeux
Gimeux
L'église et la mairie de Gimeux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Danièle Lambert Daney
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16152
Démographie
Gentilé Gimeusiens
Population
municipale
711 hab. (2021 en augmentation de 0,28 % par rapport à 2015)
Densité 96 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 11″ nord, 0° 22′ 06″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 72 m
Superficie 7,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gimeux

Gimeux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Gimeusiens et Gimeusiennes[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Gimeux est une commune de l'ouest du département de la Charente limitrophe de la Charente-Maritime située à 7 km au sud-ouest de Cognac et 41 km à l'ouest d'Angoulême, en Grande Champagne, 1er cru classé du vignoble d'appellation cognac.

Gimeux est aussi à 12 km à l'ouest de Segonzac, 15 km au nord-est de Pons et 24 km de Saintes[2].

La commune est à l'ouest de la route départementale 731 qui relie Cognac à Barbezieux, et proche de la zone industrielle de Merpins et de la base aérienne de Cognac. Elle est aussi proche de la route départementale 732 qui relie Cognac à Royan par Pons et qui passe à 5 km à l'ouest du bourg. La D 47 relie Gimeux à l'agglomération cognaçaise[3].

La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits modifier

Les hameaux de la commune se reroupent autour du bourg et le long de la route de Cognac : les Guillons, le Pas Robin, la Tour, la Croix de l'Oumelet, la Grave. Il y a aussi l'Anglade au nord, sur la D 147 (ancien chemin Boisné)[3].

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Gimeux
Merpins
Ars   Salles-d'Angles
Celles
(Charente-Maritime)

Géologie et relief modifier

Géologiquement, comme toute cette partie de la rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac, c'est une zone calcaire datant du Crétacé supérieur avec cuestas.

Le Santonien occupe la grande moitié septentrionale de la commune. Il correspond à la plaine de Châteaubernard. La partie méridionale est occupée par le Campanien, calcaire plus crayeux, qui donne les paysages de Champagne dans cette partie des Charentes.

À l'intérieur du Campanien, s'amorce une cuesta faisant face au nord-ouest et sur laquelle le bourg s'étage. Cet escarpement caractéristique s'amplifie vers l'est et traverse tout le département jusqu'à Gurat ; il délimite la Champagne au sud jusqu'au Blanzacais. Dans la commune, il est interrompu par la vallée du Né à l'ouest. Celle-ci est occupée par des alluvions du Quaternaire[4],[5],[6],[7].

La commune de Gimeux occupe la vallée du Né sur sa bordure occidentale, et la plaine de Cognac sur une grande moitié nord-est. Les coteaux occupent la bordure méridionale. Le point culminant de la commune est à une altitude de 72 m, situé au sud du bourg à l'ancien moulin à vent de Fanaud. Le point le plus bas est à 6 m, situé le long du Né près de l'Anglade. Le bourg est à environ 20 m d'altitude sur le flanc de la vallée[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Gimeux.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Né, biau de l'anglade, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Gimeux est traversé par le , affluent du fleuve Charente. Il forme sur le territoire de Gimeux une zone de marais, irriguée par des biaus (Biau de la Grave qui fait la limite de commune et Biau de l'Anglade)[10].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Toponymie modifier

Les formes anciennes, non datées mais du Moyen Âge, sont Gemodiis[13], Gemois[14].

L'origine du nom de Gimeux remonterait à un nom de femme germanique Gelmod, ce qui correspondrait à Gemoldiae villa[15],[16].

Histoire modifier

Gimeux était habitée à l'époque romaine comme l'attestent les découvertes faites à Langlade, d'une part des sépultures renfermant des monnaies d'Adrien et d'Antonin, d'autre part de petits bronzes et grands bronzes d'Antonin, Marc Aurèle, Adrien, différents vases et pièces de vaisselle[17],[18]. Une voie très ancienne, Saintes-Périgueux, présente sur diverses cartes et dite chemin Boisné, passait par Gimeux où elle franchissait le Biau de l'Anglade à gué. Ce serait une voie gauloise devenue voie romaine.

Un site de tegulæ a été prospecté sur le coteau de Fanaud[19].

La paroisse existait déjà au XIe siècle car elle est donnée en 1121 par Pierre de Confolens, évêque de Saintes, au prieuré de Merpins[20].

Au XVIe siècle, la seigneurie de Gimeux appartenait à François de La Rochebeaucourt, seigneur de Saint-Même et sénéchal d'Angoumois. Son fils, François de Brémond, fut un ardent défenseur du protestantisme. La seigneurie passa ensuite par mariage aux Pasquier de Mainxe. Un des fils, connu sous le nom de Monsieur de Gimeux, fut tué, croit-on, au siège de La Rochelle en 1628. La terre de Gimeux passa ensuite entre les mains de plusieurs propriétaires, entre les de Donissan, et enfin les de Verdelin avant la Révolution.

Les registres de l'état civil remontent à 1610[21].

Le , les représentants de Gimeux à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont P. Robin et F. Jean[22].

La commune de Gimeux à sa création en 1793, appartenait au district de Cognac et au canton de Salles-d'Angles puis en 1801 à l'arrondissement et au canton de Cognac et en 1973 au canton de Cognac-Sud.

Administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 mai 2012 Joël Baudin SE Éleveur retraité
juin 2012 En cours Chantal Nadeau    

La fiscalité est d'un taux de 14,73 % sur le bâti, 45,18 % sur le non bâti, et 9,61 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

Gimeux fait partie de la communauté d'agglomération du Grand Cognac qui prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Gimeux est une commune rurale[Note 1],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].

Les 276 logements de la commune sont sauf six des logements individuels. Ce sont 255 résidences principales, cinq des résidences secondaires et 16 logements vacants d'après le recensement de 1999. Ces logements ont été construits pour 96 avant 1949, 38 entre 1949 et 1975 et 148 depuis 1975. C'est un parc de logements particulièrement neufs pour le Cognaçais[28].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (27,7 %), terres arables (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (9,9 %), forêts (9,8 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Gimeux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gimeux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 339 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 334 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1993 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[30].

Risques technologiques modifier

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[34].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

En 2021, la commune comptait 711 habitants[Note 3], en augmentation de 0,28 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
345372373357449427429455460
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
463462443478392399420381363
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
393388355341298287341364346
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
390465686751713715716719719
2021 - - - - - - - -
711--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 352 hommes pour 367 femmes, soit un taux de 51,04 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,3 
5,7 
75-89 ans
9,0 
25,0 
60-74 ans
24,3 
23,9 
45-59 ans
23,2 
15,9 
30-44 ans
16,6 
13,6 
15-29 ans
12,8 
15,3 
0-14 ans
13,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques modifier

La population est restée stable de 1800 à 1975 puis a fortement augmenté depuis ce qui est à mettre en parallèle avec les 148 logements neufs durant cette même période.

Suivant le recensement de 1999, Gimeux comptait 391 habitants actifs dont 346 ayant un emploi, 190 hommes et 156 femmes (309 salariés et 37 non salariés)[28].

Économie modifier

La viticulture est l'activité économique principale de cette commune située dans la Grande Champagne, premier cru classé de la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac[42].

Une quinzaine de viticulteurs et petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de Pays charentais, ainsi qu'une distillerie, sont installés sur la commune de Gimeux.

Il y a un seul commerçant, quelques artisans du bâtiment et une infirmière libérale.

Le centre de stockage liquide d'Antargaz, classé Seveso, est installé depuis une trentaine d’années loin des habitations[43].

Équipements et services modifier

Enseignement modifier

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ars et Gimeux. Ars accueille l'école élémentaire et Gimeux l'école primaire. L'école de Gimeux comporte trois classes, deux de maternelle et une d'élémentaire. Le secteur du collège est Cognac (Élysée-Mousier)[44].

Santé modifier

Il y a une infirmière, un cabinet médical et une pharmacie à Ars.

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux modifier

 
Église de Gimeux.

L'église Saint-Germain date du XIIe siècle puis a été rénovée au XVe siècle puis à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Elle est de plan allongé, à un vaisseau, avec coupole sur pendentifs. Elle possède un escalier demi-hors-œuvre, en vis sans jour[20].

Il existe aussi à la Chapelle, un bâtiment très simple du XVIIe siècle, anciennement chapelle Notre-Dame-de-Piété[45].

Du moulin à vent de Fanaud qui daterait selon certaines sources de 1760, il ne reste que des vestiges[46].

Patrimoine civil modifier

  • La Sauzade, déjà notée sur la carte de Cassini, comporte une ferme et un moulin à huile. Elle est dotée d'une distillerie moderne[47].
 
Pigeonnier à la Grave.
  • La Grave est un logis du XIXe siècle avec ferme et pigeonnier[48].

Sur la base Mérimée huit édifices sont étudiés et 20 sont repérés. Ce sont des maisons et des fermes datées 1652, 1749, 1806 pour les plus anciennes[49].

Patrimoine environnemental modifier

Le marais d'Ars-Gimeux et la vallée du forme une zone humide remarquable. Toute la vallée est classée zone Natura 2000 et l'on y trouve comme animaux remarquables la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Triton crêté (Triturus cristatus) des invertébrés remarquables, Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), Gomphe à cercoïdes fourchus (Gomphus graslinii) et Rosalie des Alpes (Rosalia alpina) mais surtout la Loutre (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola)[50].

Chemins de randonnée : sentier du Fanaud et chemin de découverte du marais.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Gimeux » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le ).
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Pons », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Gimeux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. Sandre, « le Né »
  11. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 350
  14. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1865, p. 372
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 320.
  16. Foerstemann, Altdeutsches Namenbuch, Berlin, 1856 in Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  17. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1862, p. 281
  18. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1863, p. 271
  19. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 230
  20. a et b « Église paroissiale », notice no IA00059175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  21. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 188
  22. Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882 ; réédition 2007 (ISBN 2-84618-496-8)
  23. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  25. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. a et b Gimeux sur le site de l'Insee
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Gimeux », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  33. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gimeux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gimeux (16152) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  42. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le ).
  43. Charente libre
  44. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  45. « La Chapelle », notice no IA00059184, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. « Moulin à vent », notice no IA00059186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  47. « Moulin à huile », notice no IA00066283, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  48. « La Grave », notice no IA00059187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  49. « Gimeux », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  50. Vallée du Né, Natura 2000

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Catillus Carol, « Gimeux », (consulté le )