George Stephanopoulos

George Stephanopoulos
George Stephanopoulos le 28 avril 2009.
Fonctions
Haut conseiller du président des États-Unis
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Bruce Lindsey (en)
Directeur de la communication de la Maison-Blanche
-
Margaret D. Tutwiler (en)
Mark Gearan (en)
Porte-parole de la Maison-Blanche
-
Marlin Fitzwater (en)
Biographie
Naissance
Nom dans la langue maternelle
George Robert StephanopoulosVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
depuis Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Alexandra Wentworth (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Parti politique
Membre de
Distinction

George Robert Stephanopoulos, né le à Fall River, dans le Massachusetts, est un analyste politique et journaliste américain, ancien conseiller du président Bill Clinton.

Il est le directeur de la communication de la Maison-Blanche en 1993. George Stephanopoulos est le responsable du bureau de Washington pour la chaîne ABC News.

Son salaire à ABC News s'élève à 15 millions de dollars par an. Il se déclare opposé à la création d'un impôt sur la fortune[1].

Dans la série Friends (saison 1, épisode 4), Monica, Rachel et Phoebe épient George Stephanopoulos depuis la fenêtre de leur appartement, après avoir été livrées par erreur de sa pizza[2].

Vie privée modifier

Stephanopoulos est marié à Ali Wentworth, actrice américaine. Ils se sont rencontrés lors d'un rendez-vous à l'aveugle en avril 2001 et se sont fiancés deux mois plus tard. Ils se sont mariés le 20 novembre 2001 à la cathédrale archidiocésaine de la Sainte Trinité dans l'Upper East Side de New York lors d'un long service[3]. Ils ont deux filles, Elliott et Harper[4].

Voir aussi modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

  1. Serge Halimi, « Vers la bérézina des médias ? », sur Le Monde diplomatique,
  2. « The One With George Stephanopoulos », sur www.livesinabox.com (consulté le )
  3. « Stephanopoulis bride's reluctance short-lived », The Post and Courier,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. Mark Sachs, « Ali Wentworth, 'Head Case' », Los Angeles Times,‎ (lire en ligne)