Gembrie

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Gembrie
Gembrie
Entrée du village avec le pont sur l'Ourse.
Blason de Gembrie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Neste Barousse
Maire
Mandat
Jeanine Montes
2020-2026
Code postal 65370
Code commune 65193
Démographie
Gentilé Gembricois
Population
municipale
91 hab. (2021 en augmentation de 19,74 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 59′ 26″ nord, 0° 34′ 32″ est
Altitude Min. 497 m
Max. 585 m
Superficie km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de la Barousse
Législatives Première circonscription
Localisation
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Gembrie
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Gembrie
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Gembrie
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Gembrie

Gembrie est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.

Vue en été.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Ourse et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Gembrie est une commune rurale qui compte 91 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 213 habitants en 1836. La commune partage la même densité de population que la même population de 91 habitants. Ses habitants sont appelés les Gembricois ou Gembricoises.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Gembrie se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 49 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 36 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 21 km de Lannemezan[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montréjeau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Gaudent (0,7 km), Antichan (0,8 km), Sacoué (0,9 km), Bramevaque (1,4 km), Créchets (1,4 km), Anla (1,6 km), Troubat (1,6 km), Samuran (1,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Gembrie fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

 
Localisation de Gembrie dans le département des Hautes-Pyrénées.
 
Carte de la commune de Gembrie et des proches communes.
Communes limitrophes de Gembrie[6]
Gaudent Créchets Antichan
Sacoué  
Bramevaque Troubat

Hydrographie modifier

 
L'Ourse.

Elle est drainée par l'Ourse, le ruisseau Bignasse, constituant un réseau hydrographique de 2 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Ourse, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune de Ferrère et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Loures-Barousse, après avoir traversé 12 communes[8].

Climat modifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 037 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mauléon-Barousse », sur la commune de Mauléon-Barousse, mise en service en 1995[14] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 121,4 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 53 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[20].

Milieux naturels et biodiversité modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[21] : « l'Ourse et ses affluents de Ferrère à Izaourt » (85 ha), couvrant 18 communes du département[22] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[21] :

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Gembrie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[25],[I 2],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,2 %), forêts (23,6 %), prairies (23,2 %)[27].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Logement modifier

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 72[I 5].
Parmi ces logements, 51.1  % sont des résidences principales, 40.3  % des résidences secondaires 8.6  % des logements vacants.

Voies de communication et transports modifier

Cette commune est desservie par la route départementale D 925 et par les routes départementales D 125 et D 422.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Gembrie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ourse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[30]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1999 et 2009[31],[28].

Gembrie est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[32]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gembrie.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[33].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 69,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 70 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[28].

Toponymie modifier

 
 
 
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Gembrie au nord de Mauléon-Barousse

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[36] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : probablement du gascon gembre (= genévrier).
Nom occitan : Gembria.

Histoire modifier

Cadastre napoléonien de Gembrie modifier

Le plan cadastral napoléonien de Gembrie est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[37].

Politique et administration modifier

 
La mairie en 2023.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Prosper Menvielle    
avant 1995 ? Albert Mansas    
mars 2008 en cours Jeanine Montes    

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Historique administratif modifier

Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, Vallée de la Barousse, canton de Barousse (1801-2014)[38].

Intercommunalité modifier

Gembrie appartient à la communauté de communes Neste Barousse créée en et qui réunit 43 communes.

Services publics modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41]. En 2021, la commune comptait 91 habitants[Note 8], en augmentation de 19,74 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
159153143187169213202197198
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
176170166162155141159149133
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1231141091018566796650
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
647260535475666571
2015 2020 2021 - - - - - -
769291------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
L'ancienne école en 2023.

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2019[44].

Économie modifier

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 15,5 % 8,9 % 10,9 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 41 personnes, parmi lesquelles on compte 67,4 % d'actifs (56,5 % ayant un emploi et 10,9 % de chômeurs) et 32,6 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 9 emplois en 2018, contre 7 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 23, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 40,3 %[I 10].

Sur ces 23 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 7,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Galerie modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
Parti de sinople et de gueules, à l'écusson d'argent chargé d'une lettre B capitale soudée d'or, brochant en chef, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Gembrie » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Gembrie » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Gembrie
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gembrie » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gembrie » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Stephan Georg, « Distance entre Gembrie et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Gembrie et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Gembrie et Lannemezan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Gembrie », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Gembrie », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « l'Ourse »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
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  14. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  16. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Orthodromie entre Gembrie et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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  25. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gembrie », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  36. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  37. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Gembrie en 1833
  38. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  39. « Liste des juridictions compétentes pour Gembrie », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
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  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  45. « Gembrie. Une résidence pour personnes âgées valides où il fait bon vivre », sur ladepeche.fr (consulté le ).