Gauchin-Verloingt

commune française du département du Pas-de-Calais

Gauchin-Verloingt
Gauchin-Verloingt
L'église Saint-Vaast.
Blason de Gauchin-Verloingt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Dominique Crépy
2023-2026
Code postal 62130
Code commune 62367
Démographie
Gentilé Gauchinois
Population
municipale
796 hab. (2021 en diminution de 5,8 % par rapport à 2015)
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 43″ nord, 2° 18′ 47″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 141 m
Superficie 5,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Pol-sur-Ternoise
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Gauchin-Verloingt
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Gauchin-Verloingt
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Gauchin-Verloingt
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Gauchin-Verloingt

Gauchin-Verloingt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Gauchinois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

Localisée dans le sud du département du Pas-de-Calais et dans la vallée de la Ternoise, c'est une commune urbaine limitrophe de la commune de Saint-Pol-sur-Ternoise et qui fait partie de la couronne de son aire d'attraction.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Gauchin-Verloingt
Hernicourt Troisvaux
  Saint-Pol-sur-Ternoise
Croix-en-Ternois Ramecourt

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Ternoise, un cours d'eau naturel non navigable de 41,43 km, qui prend sa source dans la commune d'Ostreville et conflue dans la Canche dans la commune d'Huby-Saint-Leu[1].

Trois autres petits cours d'eau courent sur la commune :

  • le Ruisseau de Ramecourt, d'une longueur de 4,44 km, qui prend sa source dans la commune de Ramecourt et se jette dans la Ternoise au niveau de la commune de Saint-Pol-sur-Ternoise[2] ;
  • le Chapelle de Rocourt, d'une longueur de 1,97 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Ternoise au niveau de la commune[3] ;
  • le Ferme Saint-Ladre, d'une longueur de 1,59 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Ruisseau de Ramecourt au niveau de la commune[4].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Paysages modifier

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[11].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[12].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, située au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, d’une superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 à 90 mètres, présente des fonds de vallées, des coteaux crayeux et des zones prairiales[13].

 
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Espèces faunistiques et floristiques modifier

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 203 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 29 protégées et quatre menacées[14].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Gauchin-Verloingt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Pol-sur-Ternoise, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[18] et 8 546 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,4 %), prairies (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Voies de communication modifier

La commune est desservie par la route départementale D 343[24].

Transport ferroviaire modifier

La commune est proche de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise (commune limitrophe), située sur les lignes de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples et d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise, desservie par des trains TER Hauts-de-France.

Toponymie modifier

Gauchin-Verloingt modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Verloing Gauchin en 1793 ; Gauchin-Verloing et Gauchin-Verloingt depuis 1801[25].

Gauchin modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Galcin en 1173 (cartulaire de Saint-Josse, f° 4 v°), Galci au XIIe siècle (cartulaire de Saint-Georges, f° 24 v°), Gaucin en 1232 (abb. de Cercamp, c. III), Gauchain au XVIIIe siècle (Cass.)[26].

Verloingt modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Velloing en 1379 (ch. d’Art., A. 773), Veloing en 1385 (ch. d’Art., A. 803), Verloing en 1444 (cart. des charitables de Béth., f° 1), Werloing en 1439 (cart. des chartrses de Gosnay, t. I, f° 170 r°), Warloing en 1469 (Arch. nat., J. 1003, f° 17 r°), Verloin au XVIIIe siècle (Cass.)[27].

Histoire modifier

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[25].

Commune et intercommunalités modifier

La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [28] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[29]. À l'initiative des intercommunalités concernées[30], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant seize communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[31] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant douze communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [32],[33].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [34].

Circonscriptions administratives modifier

La commune fait partie, depuis 1801, du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifié et regroupe désormais 88 communes, dont Gauchin-Verloingt.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 4 juillet 2020 Jean-Michel Saloppe   Retraité de La Poste
Réélu pour le mandat 2014-2020[35],[36],[37]
4 juillet 2020 13 mars 2023
(démission)
Jean-Jacques Hochart   Ancien cadre[38],[39]
13 mars 2023[40] En cours Dominique Crépy   Professeur des écoles, ancien premier adjoint

Politique locale modifier

La municipalité décide en 2014 de la tenue d'un référendum local en vue de déterminer s'il convient de réhabiliter l'église, fermée depuis 2012, et dont le coût serait de l'ordre de 870 000 , selon un devis de 2008, ce qui se traduirait par une augmentation de la fiscalité locale de l'ordre de 20 %[41],[42]. Ce référendum, qui s'est tenu en , a vu la victoire des partisans de la réhabilitation par 167 bulletins pour, 145 contre et sept bulletins nuls et un taux de participation de 59,74 %[43]. Quatre ans après, le chantier n'était toutefois pas engagé, la municipalité recherchant des subventions pour financer le chantier[44].

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre l'école primaire « le Val Fleuri »[45].

Santé modifier

La commune dispose d'une maison de santé avec des médecins généralistes, infirmières, Kinésithérapeute, etc.[46].

Justice, sécurité, secours et défense modifier

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[47].

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de la commune sont appelés les Gauchinois[48].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

En 2021, la commune comptait 796 habitants[Note 5], en diminution de 5,8 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
250166251295305299321315322
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
296293350342360359389423415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
403414410452428416422426379
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
383396465592801825908864846
2021 - - - - - - - -
796--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 382 hommes pour 453 femmes, soit un taux de 54,25 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
HommesClasse d’âgeFemmes
3,9 
90 ou +
8,4 
12,0 
75-89 ans
20,0 
16,3 
60-74 ans
14,3 
22,1 
45-59 ans
20,0 
12,6 
30-44 ans
13,6 
17,6 
15-29 ans
10,6 
15,5 
0-14 ans
13,1 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[53]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De sinople à la bande d'argent[57].
Détails
Armes de la famille de Verloing.

Adopté par le conseil a municipal.

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ternoise (E5400650 ) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Ramecourt (E5400660) » (consulté le )
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Ramecourt (E5401300) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ferme Saint-Ladre (E5401430) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Gauchin-Verloingt et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  19. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  25. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  27. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  28. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  29. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  30. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  31. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  32. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  33. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  34. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  35. Camille Gaubert, « La réfections de plusieurs rues et l’assainissement collectif au centre du bilan du maire de Gauchin-Verloingt : Jean-Michel Saloppe est membre du conseil municipal depuis 1983. Le retraité de La Poste est maire depuis 1989. Il ne sait pas encore s’il se présentera aux municipales de 2014. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  37. Alexis Degroote, « Gauchin-Verloingt - Des feux tricolores pour davantage de sécurité aux abords de l’école : Plusieurs dossiers ont été bouclés, depuis le début du mandat, à Gauchin. Notamment en ce qui concerne la sécurité des élèves au niveau de l’école. Un point important pour le maire Jean-Michel Saloppe, qui va continuer de travailler sur le dossier avec son équipe », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  39. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  40. « Dominique Crépy élu nouveau maire de Gauchin-Verloingt: les dossiers de l’école et de l’église en feuille de route : Lundi soir, les membres du conseil municipal ont élu un nouveau maire et ses adjoints, après la démission du poste de premier magistrat de Jean-Jacques Hochart. Dominique Crépy lui succède, un élu qui avait intégré le conseil en 2020 et qui occupait la fonction de premier adjoint. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Aline Chartrel, « Quel avenir pour l’église de Gauchin-Verloingt ? Vous trancherez… par référendum : Fermée depuis 2012, l’église de Gauchin-Verloingt attend son jugement : des travaux de rénovation, ou l’abandon. La commune, selon le maire, n’aurait pas les reins assez solides pour ces travaux, équivalents au montant du budget annuel. Un référendum sera cependant proposé aux habitants », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Alexis Degroote, « Gauchin-Verloingt – En cas de validation de la préfecture, référendum sur l’église le 7 février : Les élus de Gauchin-Verloingt ont décidé d’organiser un référendum concernant le devenir de l’église. Les électeurs de la commune seront appelés aux urnes afin de savoir s’il faut oui ou non engager des travaux pour permettre la résurrection du lieu de culte… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Les habitants de Gauchin-Verloingt ont tranché : 53,5 % veulent que l’église soit restaurée : Les habitants de Gauchin-Verloingt, près de Saint-Pol-sur-Ternoise, étaient invités ce samedi à se prononcer dans un référendum inédit sur le devenir de l’église. À la question « Voulez-vous que l’église soit restaurée ? », 53,5 % ont répondu que oui… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  44. Alix Penichou, « Gauchin-Verloingt: plus d’un an après le référendum, où en est la rénovation de l’église ? : Le débat sur la rénovation de l’église Saint-Vaast est ouvert depuis 2012. Quinze mois après le référendum, dont l’issue était positive, les travaux n’ont toujours pas commencé. L’association SOS Ternoise, qui milite pour la rénovation du patrimoine dans la commune, s’inquiète. Le maire, lui, appelle à la patience », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  45. « Établissement scolaire de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
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