Gare de Pierrefitte - Stains

gare ferroviaire française

La gare de Pierrefitte - Stains est une gare ferroviaire française des lignes de Paris-Nord à Lille et de Sartrouville à Noisy-le-Sec (tangentielle légère nord), située près de l'ex-route nationale 301, au nord-est du centre-ville, sur le territoire de la commune de Pierrefitte-sur-Seine, à proximité de celle de Stains, dans le département de la Seine-Saint-Denis, en région Île-de-France.

Pierrefitte - Stains
Image illustrative de l’article Gare de Pierrefitte - Stains
Bâtiment voyageurs.
Localisation
Pays France
Commune Pierrefitte-sur-Seine
Adresse 1, place du Général-Leclerc
Pierrefitte-sur-Seine (RER D)
Rue Joséphine-Baker
Stains (T11)
Coordonnées géographiques 48° 57′ 50″ nord, 2° 22′ 20″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF (RER D)
Transkeo (T11)
Code UIC 87271163
Site Internet La gare de Pierrefitte - Stains, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions
Services (RER)(D) (T)(11)
Caractéristiques
Ligne(s) Paris-Nord à Lille
Grande ceinture de Paris
Sartrouville à Noisy-le-Sec (tangentielle légère nord)
Voies 8
Quais 2
Transit annuel 10 628 690 voyageurs (2022)
Zone 4 (tarification Île-de-France)
Altitude 46 m
Historique
Mise en service
Correspondances
Bus RATP (BUS)RATP150168268337361
Noctilien (BUS)N44

Carte

Mise en service en 1859, par la Compagnie des chemins de fer du Nord, cette gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) est desservie par les trains de la ligne D du RER et les trams-trains de la ligne 11 du tramway d'Île-de-France.

Situation ferroviaire

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Établie à 46 mètres d'altitude, la gare de Pierrefitte - Stains est située au point kilométrique (PK) 10,111 de la ligne de Paris-Nord à Lille, entre les gares de Saint-Denis et de Garges - Sarcelles[1].

La gare est implantée près d'un raccordement vers la ligne de la grande ceinture de Paris (utilisée par le trafic de fret), qui atteint cette dernière à proximité immédiate de la gare désaffectée de Stains-Grande-Ceinture.

Histoire

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Origine

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Le , le maire informe le conseil municipal que la « Compagnie du chemin de fer de Paris en Belgique (par Pontoise) »[Note 1] se propose d'établir une station à Saint-Denis à la maison de Seine[Note 2]. Lors de sa délibération le conseil estime qu'une station établie à cet endroit n'a aucune utilité et émet le vœu qu'elle soit construite sur la place aux Gueldres (aujourd'hui place de la Résistance-et-de-la-Déportation).

 
Détail de la carte du chemin de fer du Nord (1845), avec la situation de la station de Saint-Denis et des villages de Pierrefitte et de Stains.

Deux ans plus tard, le le conseil doit donner son avis sur un projet d'une ligne de chemin de fer de Paris à Louvres. Il vote contre car les localités desservies sont trop proches de Paris et parce que cette ligne apporterait un grand trouble dans les habitudes de travail des habitants du fait qu'elle enlèverait 180 hectares de terre agricole de première classe. Il précise que le prix d'achat proposé, de 8 000 francs l'hectare, devrait être doublé et que par ailleurs si, en dépit de cette vive opposition, la voie ferrée était créée, il réclamerait une station sur Pierrefitte et de plus un chemin de terre parallèle à la ligne et la longeant des deux côtés[2].

La concession à la Compagnie du Nord est accordée le , pour une ligne de Paris à Creil par Chantilly. Les études sont achevées et approuvées en [3]. Le sujet de l'ouverture d'une station sur la commune est à l'ordre du jour du conseil municipal du . Il délibère sur la question de l'établissement d'une station sur une nouvelle ligne de Saint-Denis à Creil par Chantilly. Il est demandé que tous les trains omnibus s'y arrêtent et que, dans l'impossibilité de donner le nom des « onze communes » qu'elle est appelée à desservir, elle porte le nom de « Pierrefitte » puisque c'est sur son territoire qu'elle est située et aussi parce que la commune de Stains ne vient qu'en second lieu dans l'ordre alphabétique comme dans celui de la situation et de l'importance[4]. Sous la direction de l'ingénieur de la Compagnie Mantion[5], les chantiers de construction sont ouverts en 1857. La première station après l'embranchement à la sortie de la gare de Saint-Denis est celle dénommée « Pierrefitte-Stains », située à l'est de Pierrefitte sur le plateau calcaire. Elle est suivie par la station de Villiers-le-Bel[3].

Gare de la Compagnie du Nord

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La « station de Pierrefitte-Stains » est mise en service le par la Compagnie du Nord, lorsqu'elle ouvre à l'exploitation sa nouvelle ligne, à double voie, de Saint-Denis à Creil par Chantilly[3].

 
Le bâtiment voyageurs vers 1900.

En 1864, le Guide Joanne indique : Pierrefitte - Stains est la deuxième station intermédiaire de l'itinéraire de Paris à Cologne si l'on prend après Saint-Denis l'itinéraire le plus court, qui passe par Chantilly, comme le font tous les trains express et presque tous les trains omnibus à destination de la Belgique, de Boulogne, de Calais et de Dunkerque. Le gain de temps est d'une demi-heure par rapport à l'itinéraire le plus ancien qui passe par Pontoise et l'économie est d'environ de deux francs pour une place en première classe. La station, située à 11 kilomètres de Paris, est établie, à 1 000 mètres du village de Pierrefitte qui compte 915 habitants et à 2 000 mètres de celui de Stains qui compte 1 038 habitants, dans le département de la Seine[6].

Le après-midi, la gare est le théâtre d'un des premiers accidents ferroviaires de l'histoire : le train no 24 venant de Calais à destination de Paris est arrêté par suite d'une rupture de bielle d'accouplement de la locomotive lorsqu'il est percuté par le train no 26 venant de Bruxelles et à destination de Paris, qui écrase les cinq dernières voitures de l'omnibus, dont on tirera six morts et dix-neuf blessés. Le train tamponneur, qui a accéléré pour rattraper un retard de dix minutes, ne parvient pas à s'arrêter, bien qu'un disque rouge ait été placé par l'aiguilleur de la route de Gonesse et qu'on lui ait fait des signaux de ralentissement. Le 31 janvier, le tribunal correctionnel de Paris condamnera le mécanicien du train tamponneur à trois ans de prison, son chauffeur et le chef de train à six mois et 300 francs d'amende pour n'avoir pas respecté la signalisation couvrant le train en panne et déclare la Compagnie du Nord responsable civilement[7].

 
À gauche, la gare ; à droite, le raccordement de la Grande Ceinture (vers 1930).

Le raccordement avec la ligne de la grande-ceinture est ouvert le . Long de 1 000 mètres, il s'embranche à proximité de la gare[8].

En 1896, la desserte de la gare de « Pierrefitte-Stains » est, entre cinq heures du matin et minuit trente, de treize trains en direction de Paris et de quatorze trains en direction de Creil. Il faut dix-sept minutes aux trains pour parcourir les onze kilomètres jusqu'à la gare de Paris-Nord. Pour Paris, le prix varie en fonction de la classe. Il est possible de prendre un billet simple, un aller-retour ou une carte d'abonnement pour, un, trois, six ou douze mois. Il y a des réductions pour les élèves de moins ou de plus de dix-huit ans, les étudiants des facultés et les ouvriers. Le prix sans réduction, en troisième classe, est de 0,55 franc pour un billet simple, de 0,85 franc pour un aller-retour, et pour les cartes d'abonnement de 21 francs pour un mois à 106 francs pour un an[9].

Le , la gare est le lieu d'une rencontre entre le Président de la République Émile Loubet et le roi d'Angleterre Édouard VII, qui se rend en train de Calais à Marseille pour effectuer une croisière en mer Méditerranée. Le Président effectue le trajet avec lui jusqu'à la gare de Lyon[10]. En 1907, la gare dispose de quatre voies[11]. Le , sont déclarés d'utilité publique les travaux pour réaliser une ligne du réseau des Tramways de la Seine, dit départemental Nord, suivant le décret de constitution du , allant de la station du métropolitain de la Porte de Clignancourt à la gare de Pierrefitte-Stains, via Saint-Denis[12].

Gares de la SNCF

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Historique de la gare

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La gare de Pierrefitte - Stains, comme notamment l'ensemble du réseau de la Compagnie du Nord, entre officiellement dans le réseau de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) le [13]. Lors de la Seconde Guerre mondiale, en 1944, la gare est renommée « Pierrefitte-Seine » à la suite d'une demande de la municipalité, nommée par le gouvernement de Vichy, avec comme argument le fait qu'il y avait d'autres gares portant le nom de « Pierrefitte »[14].

En 1967, à la suite de la réorganisation de la région parisienne, la SNCF décide, sans en informer les municipalités, de renommer la gare en « Pierrefitte-Seine-Saint-Denis ». Les titres de transport sont imprimés avec ce nouveau nom, mais le service Voies et Bâtiments trouve cette dénomination trop longue pour figurer sur les panneaux de quais et n'inscrit, sur les plaques fixées aux bâtiments, que « Pierrefitte ». Les élus de Stains protestent vigoureusement et insistent pour que l'on revienne à l'ancienne dénomination. Il faudra six ans pour que leur vœu soit exaucé en , où la gare retrouve son nom d'origine « Pierrefitte - Stains »[15]. L’esplanade de la gare a été entièrement rénovée en 1981. En 1983 et 1984, un passage souterrain est construit par la SNCF pour éviter aux voyageurs de faire un détour par le bout du quai[16]. Le RER D est inauguré le avec un train tous les quarts d’heure en journée puis un toutes les demi-heures après 21 h 45. L'inauguration officielle a lieu en gare le lendemain à 18 h par le maire Daniel Bioton[16]. Une gare routière est créée en 1998, ce qui permet aux voyageurs de prendre une correspondance avec les bus dans de meilleures conditions. En 2003, le nombre de voyageurs qui fréquentent quotidiennement la gare se situe entre 7 500 et 15 000[17].

Au cours des mois, de mars, avril et mai 2015, la gare n'est pas desservie par les trains de la ligne D dans le cadre de la réalisation de travaux concernant le « tramway T11 Express »[18]. La voie 1L est déplacée pour dégager l'espace nécessaire à la réalisation d'un quai central, encadré par les voies 1L et 2L, afin de permettre les relations piétonnes avec la nouvelle ligne. Cette étape est suivie, en septembre, par la pose, avec une grue, d'une passerelle métallique établie en surplomb des quatre voies (RER et Grandes lignes). Longue de 64 m et pesant 63 tonnes, elle est posée et scellée sur les appuis établis de chaque côté de la plateforme ferroviaire. Elle permet aux voyageurs d'effectuer des échanges entre les quais du RER et ceux de la nouvelle ligne. Pour son accessibilité, le nouveau quai est desservi par un plan incliné et des ascenseurs[19].

En 2022, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare est de 10 628 690 voyageurs[20].

Correspondance entre les gares du RER D et du T11

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En juillet 2017, la gare est mise en correspondance avec la ligne de tramway T11 qui est dotée d'un bâtiment voyageurs au sud des voies du T11[21]. La gare tramway est située rue Joséphine Baker, impasse donnant sur l'avenue Colonel Rol-Tanguy à Stains[22]. Si la gare est en zone 4, l'arrêt de bus la jouxtant est en zone 3 de la tarification Île-de-France[22].

La passerelle de liaison, équipée d'escaliers fixes, d'un escalier mécanique et d'ascenseurs, est alors mise en service et relie le nouveau quai central du RER, opérationnel depuis juin 2017, à la nouvelle gare du T11[22].

L'ouverture de la gare T11 renforce l'attractivité de la zone des Tartres qui lui fait face. En 2019, la première pierre d'un centre d'affaires de 25 000 m2 est posée afin d'accueillir en 2020 un centre de recherche d’Engie, le Crigen (250 emplois), mais également un centre de formation de Total[23]. Le Conseil régional décide fin 2017 la construction d'un lycée devant ouvrir à proximité pour la rentrée 2021[24].

Restructuration d'ici 2025

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En 2021, une enquête publique est menée sur un projet de restructuration de la gare qui inclut la construction d'un nouveau bâtiment voyageurs plus proche des voies (l'ancien devant être affecté à de nouveaux usages), la rénovation de la gare routière avec la mise en place d'un alternat pour les bus, ainsi que la création de stationnements vélo. Les travaux d'un montant évalué à près de 21 millions d'euros sont prévus entre 2023 et 2025[25].

Service des voyageurs

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Accueil

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Gare SNCF du réseau Transilien, elle dispose de deux bâtiments voyageurs (un principal pour la gare de la ligne du RER D et un autre destiné à l'accès au T11). Le bâtiment voyageurs historique, destiné à l'accès aux trains de la ligne du RER D, accueille un guichet ouvert tous les jours. Elle est équipée d'automates pour l'achat de titres de transport Grandes lignes et Transilien et du système d'information sur les horaires des trains en temps réel. Pour l'accessibilité des personnes à mobilité réduite, elle dispose : d'un guichet adapté, de bandes d'éveil de vigilance sur les quais, de boucles magnétiques. Une boutique presse tabac, une cabine photographique automatique et des automates pour des boissons, froides ou chaudes, et des friandises sont installées dans le hall[26],[27].

Le bâtiment voyageurs destiné au trafic de la ligne T11 abrite uniquement des automates pour l'achat de titres de transport Grandes lignes et Transilien en façade. On retrouve en gare l'habituel système d'information sur les horaires de passage des trams-trains en temps réel.

Desserte

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Desservie par deux lignes ferroviaires distinctes, la gare de Pierrefitte - Stains est située en zone 4 pour le RER D[26] et le T11[28]. C'est la seule gare de la ligne T11 à être située en zone 4, toutes les autres étant en zone 3.

Intermodalité

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Un parc pour les vélos et des parkings (gratuit et payant) doivent y être aménagés[26].

Des lignes de transports en commun routiers ont un arrêt à proximité de la gare SNCF : les lignes 150, 168, 268, 337 et 361 du réseau de bus RATP ; la ligne N44 du service de bus de nuit Noctilien[26]. À compter du , le bus 168 dessert la gare du T11 par un couloir bus sur la RD 28[29],[30].

Dans la culture populaire

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La gare est citée dans la chanson Plus vite que les balles, faisant partie de l'album 95200 du groupe sarcellois de rap Ministère A.M.E.R. :

« Je saute de justesse dans un wagon les poulets sont en chien
Ah j'vous ai baisé ! Mes baskets ont changé de teint
Je repense encore à leur éclat du matin
Je descends à Pierrefitte-Stains[31] »

Notes et références

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  1. Il s'agit en fait de la Compagnie des chemins de fer du Nord et du premier tracé ouvert entre les gares de Saint-Denis et Creil de la ligne de Paris-Nord à Lille.
  2. C'est l'emplacement de la gare de Saint-Denis.

Références

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  1. Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau français : lignes 001 à 600, vol. 1, Paris, La Vie du Rail, , 239 p. (ISBN 978-2-918758-34-1), « [272/1] Paris-Nord - Creil », p. 104.
  2. Fernand Bournon, 1896, p. 18-19.
  3. a b et c François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Le Second Empire, t. 2 (1858-1863), Paris, Palau, , 221 p. (ISBN 2-9509421-2-1), p. 67.
  4. Fernand Bournon, 1896, p. 19-20.
  5. « M. Mantion (notice nécrologique) », Le Génie Civil, no 794,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. A. Morel, De Paris à Cologne, à Bruxelles, à Senlis, à Laon, à Dinant, à Givet, à Luxemburg, à Trèves, à Maestricht : itinéraire descriptif et historique, Paris, Libr. de L. Hachette et Cie., coll. « Guide Joanne », , 464 p. (lire en ligne), p. 26-27.
  7. « 566 Catastrophe de Pierrefitte - le 5 janvier 1864 », Répertoire méthodique et alphabétique de législation, de doctrine et de jurisprudence en matière de droit civil, commercial, criminel, administratif, de droit des gens et de droit public, vol. 24,‎ , p. 970-971 (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Chemin de fer d'intérêt général livrés à l'exploitation pendant l'année 1884 : Compagnies principales : Nord », Revue générale des chemins de fer,‎ 1885 1er semestre, p. 362ter (lire en ligne, consulté le ).
  9. Fernand Bournon, 1896, p. 44-45.
  10. « Escale royale à Pierrefitte » [PDF], Ville de Pierrefitte (consulté le ).
  11. Michel Rival, Le Refoulons : Chemin de fer d'Enghien à Montmorency, Paris, Éditions du Valhermeil, , 285 p. (ISBN 2-905684-20-8, EAN 9782905684202), p. 248.
  12. « État des affaires municipales et départementales : Tramways de la gare de Pierrefitte-Stains à Saint-Denis et à la Porte de Clignancourt », Bulletin de la Chambre de commerce de Paris,‎ , p. 117 (lire en ligne, consulté le ).
  13. Françoise Berger et Gilles Ferragu, Le XXe siècle, Hachette Éducation, coll. « HU Histoire contemporaine », , 416 p. (ISBN 978-2-01-320112-4 et 2-01-320112-5, lire en ligne), p. 107.
  14. Louis Bordes, 1979, p. 155.
  15. Louis Bordes, 1979, p. 156.
  16. a et b « 1987 : le RER à Pierrefitte », sur mairie-pierrefitte93.fr, (consulté le ).
  17. Stif - Atlas des transports publics en Île-de-France.
  18. « RER D : interruptions de desserte de la gare de Pierrefitte-Stains (Six weekends concernés jusqu'au 31 mai) », sur /www.plainecommune.fr, (consulté le ).
  19. « Aménagement de la correspondance entre la gare de Pierrefitte-Stains et la future Tangentielle Nord », sur ttps://maligned.transilien.com/, (consulté le ).
  20. « Fréquentation en gares : Pierrefitte - Stains », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
  21. Jean-Gabriel Bontinck, « Tramway T11 : des gares écolos à découvrir », leparisien.fr, (consulté le ).
  22. a b et c « La ligne de tramway T11 est ouverte ! », sadur.org, (consulté le ).
  23. Fanny Rocher, « Grand Paris : le campus urbain de Stains ouvre la voie au chantier de la métropole », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  24. Maxime François, « Un lycée à Pierrefitte à l’horizon 2021 », leparisien.fr, (consulté le ).
  25. « RER D/Tram T11 : près de 21 millions d’euros pour transformer la gare de Pierrefitte-Stains et ses abords », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  26. a b c et d « Gare PIERREFITTE STAINS », sur transilien.com (consulté le ).
  27. « Tangentielle nord - Grutage d'une passerelle », sur Chantiers de France, (consulté le ).
  28. « Plan de ligne T11 Express » [PDF], sur transilien.com (consulté le ).
  29. https://www.ratp.fr/plans-lignes/busratp/168
  30. « Avec l'ouverture à la circulation de la RD28, le réseau de transport se développe », sur Ville de Pierrefitte-sur-Seine, (consulté le ).
  31. Ministère A.M.E.R., « Plus Vite Que Les Balles », sur genius.com (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Lien externe

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Origine Arrêt précédent Train   Arrêt suivant Destination
Orry-la-Ville - Coye
ou Creil
ou Villiers-le-Bel - Gonesse - Arnouville
Garges - Sarcelles     Saint-Denis Corbeil-Essonnes (par Évry-Courcouronnes)
ou Juvisy
Goussainville Garges - Sarcelles     Saint-Denis Melun (par Combs-la-Ville)
Épinay-sur-Seine Villetaneuse-Université     Stains-La Cerisaie Le Bourget