Fouencamps

commune française du département de la Somme

Fouencamps
Fouencamps
Saint-Pierre-ès-liens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Yves-Robert Leconte
2020-2026
Code postal 80440
Code commune 80337
Démographie
Gentilé Fouencampois
Population
municipale
206 hab. (2021 en diminution de 6,79 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 33″ nord, 2° 24′ 31″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 99 m
Superficie 3,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.fouencamps.fr/

Fouencamps (API : /fwɛ̃kɑ̃/) est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Le village est bâti le long d'une route, la RD 90 (Boves - Ailly-sur-Noye) qui remonte en pente douce le flanc d'une colline. Il est aisément accessible par l'ex-RN 35 (actuelle RD 935) (Compiègne - Abbeville).

Lorsqu'on vient d'Amiens, après avoir traversé Boves, on arrive à Fouencamps par le nord-ouest, en traversant les champs situés entre la voie ferrée et l'Avre. Puis la route descend, passe le long de quelques constructions isolées juste avant d'atteindre le pont de l'Avre et les sous-bois marécageux qui s'étalent ensuite des deux côtés de la route. Là, un virage à angle droit délaisse un chemin de terre toujours livré aux herbes humides. Alors que la route tourne pour passer sous la voie ferrée puis faire un second virage, ce chemin longe le talus de plus de cinq mètres qui supporte la ligne de Paris-Nord à Lille. Cette ligne a perdu de son importance depuis la mise en service, en 1993, de la LGV Nord qui accueille désormais les services Eurostar et Thalys.

Localisation modifier

  Boves Boves  
N Thézy-Glimont
O    Fouencamps    E
S
Cottenchy Dommartin Hailles

Hydrographie modifier

Le village est situé entre deux petites rivières, très marécageuses, la Noye et l'Avre près de leur confluent. L'Avre se jette ensuite dans la Somme à plus de 10 km de là, à Amiens même.

On observe, en 1990-1992, des nids de hérons cendrés[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Fouencamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), eaux continentales[Note 3] (15,8 %), forêts (15,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 60, Davenescourt - Moreuil - Amiens)[14].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Le 28 mars 1697, un incendie survient au presbytère et les registres paroissiaux sont détruits[15],[16].

Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [17].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouvait de 1793 à décembre 2016 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme[18], date à laquelle elle a été rattachée à l'arrondissement de Montdidier[19]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Boves[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [20], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[21], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[22],[23]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[24] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[25] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[26], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1980 1983 Jacques Berlancourt[Note 4]    
1983 1989 Pierre Forget    
1989 En cours
(au 8 octobre 2020)
Yves-Robert Leconte   Agriculteur propriétaire exploitant
Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29],[30]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 206 habitants[Note 5], en diminution de 6,79 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
223200232245325364391398374
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
351346312310294264268267268
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
242221213212212211184215231
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
225219196184214239228224230
2017 2021 - - - - - - -
208206-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La scolarisation des élèves du primaire se fait au sein du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) constitué des communes de Cottenchy, Dommartin, Fouencamps, Guyencourt-sur-Noye, Remiencourt. L'aspect financier est géré par un SISCO (syndicat intercommunal scolaire) basé à Cottenchy[34].

La commune accueille l'École nationale de gardes-pêche[35].

Manifestations culturelles et festivités modifier

De 1977 à 1983, Ches Maraudeux d'flencamps (association locale) a animé le village : bals populaires, projections de films dans le café du village, sorties au cinéma, pièce de théâtre amateur sur la légende des saints du canton : saint Domice, sainte Ulphe[réf. nécessaire].

Cultes modifier

Fouencamps fait partie de la paroisse catholique Saint-Domice[36].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Le monument aux morts.
  • La mairie.
  • Le monument aux morts.
  • L'église Saint-Pierre-aux-Liens[37] : bâtie en pierre à l'origine, elle a été réhabilitée avec des briques et contient un vitrail représentant la délivrance de saint Pierre par un ange de la fin du XIXe siècle conçu par le peintre-verrier Latteux-Bazin[38].
Parmi ses objets liturgiques, elle contient des fonts baptismaux du XIIe siècle[39],[40], une clochette de 1597 ornée d'une guirlande comportant des têtes de chérubins, des palmettes, des banderoles de personnages burlesques[41],[42], un bénitier du XVIe siècle aux armes de Barbe de Parthenay, dix-neuvième abbesse de l'abbaye du Paraclet[43], une statue de saint Pierre en bois polychrome du XVIe siècle[44] ainsi qu'une sainte Ulphe de la même époque, qui serait probablement une vierge de poutre de gloire[45], une statue de sainte Catherine probablement du XVIIIe siècle[46].
L'église comprend de nombreuses œuvres d'art religieux du XIXe siècle : une sainte (sainte Gertrude ou sainte Judith) en bois taillé peint [47], un saint Roch en bois polychrome[48] et un groupe sculpté saint Nicolas et les trois clercs au saloir en bois[49], ainsi qu'une statue de procession représentant la Vierge à l'Enfant en bois doré[50] et un christ en croix[51].
On note également un tableau du milieu du XVIIIe siècle de L. Depage représentant la Crucifixion[52].
  • Chapelle Saint-Domice, sur la route de Hailles[53], bâtie à l'emplacement supposé de l'ermitage du saint, diacre et confesseur au VIIIe siècle.
Elle est appareillée en brique posée en « lame de couteau » et pierre depuis 1755. La chapelle primitive appartenait à l'abbaye du Paraclet des Champs en 1267. Elle a perdu son campenard au début des années 1990[54].
La chapelle contient un christ en croix en bois peint[55] et une statue de sainte Ulphe[56] ainsi que de sainte Colette en bois peint ton pierre[57] du XVIIIe siècle, tous classés monuments historiques.
  • Chapelle Sainte-Ulphe, sur la route de Cottenchy.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Jacques Berlancourt : conseiller municipal (1971-2001), adjoint au maire (1977-1980) - (1989-2001).
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Gilles Neveu et Pierre Royer, « La nidification du héron cendré ardea cinerea dans le département de la somme: historique et installation d’une colonie dans la vallée de la Noye », L'avocette, Centrale ornithologique picarde, vol. 18, no 1994 (1-2),‎ , p. 5-10 (ISSN 0181-0782, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Fouencamps et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  15. AD de la Somme consultables en ligne, vue no 10, côté droit
  16. AD de la Somme consultables en ligne, vue no 12, côté gauche
  17. Journal officiel du 4 novembre 1920, p. 17349.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  21. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  22. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  23. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  24. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  25. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  26. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  27. « Les maires de Fouencamps », sur francegenweb.org (consulté le ).
  28. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  29. Réélu pour le mandat 2014-2020 :« Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  30. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Site de la mairie de Cottenchy, section « écoles ».
  35. « Fouencamps – 80 – Ecole Nationale des gardes-pêche (IDF/IDP) », Images de la Somme, Images de Picardie - CRDP - CANOPÉ (consulté le ).
  36. « La paroisse Saint-Domice » (consulté le ).
  37. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Fouencamps, d'après nature, 20 avril 1870 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  38. « Verrière : Délivrance de saint Pierre », notice no PM80004947, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Les fonts baptismaux », notice no PM80001460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. « gravure : Fonts baptismaux d'Havernas (Extrait de "Monuments religieux de l'architecture romane dans la région picarde" par C. Enlart, Amiens, 1895). », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  41. « Clochette », notice no PM80001461, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « gravure : Clochette de Fouencamps (Extrait du "Bulletin de la Société des Antiquaires de Picardie", 1910). », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  43. « Bénitier », notice no PM80004939, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. « Statue : Saint Pierre », notice no PM80004938, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. « statue : Sainte Ulphe (ou Vierge de poutre de gloire) », notice no PM80004937, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  46. « Statue : Sainte Catherine », notice no PM80004946, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  47. « Statue : Sainte tenant une épée », notice no PM80004945, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  48. « Statue : Saint Roch », notice no PM80004943, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  49. « Groupe sculpté : Saint Nicolas et le saloir », notice no PM80004944, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  50. « Statue de procession : Vierge à l'Enfant », notice no PM80004942, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  51. « Statue : Christ en croix », notice no PM80004941, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « tableau : Crucifixion », notice no PM80004940, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. Photos [1] et [2] de la chapelle Saint-Domice (site Panoramio)]
  54. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 202 (ASIN B000WR15W8).
  55. « Statue : Christ en croix », notice no PM80004950, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. « Statue : Sainte Ulphe », notice no PM80004948, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « Statue : Sainte Colette », notice no PM80004949, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.