Altillac

commune française du département de la Corrèze
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Altillac
Altillac
La mairie d'Altillac.
Blason de Altillac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Brive-la-Gaillarde
Intercommunalité Communauté de communes Midi Corrézien
Maire
Mandat
Denis Pinsac
2020-2026
Code postal 19120
Code commune 19007
Démographie
Gentilé Altillacois
Population
municipale
826 hab. (2021 en diminution de 4,07 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 40″ nord, 1° 50′ 48″ est
Altitude Min. 136 m
Max. 502 m
Superficie 25,23 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Biars-sur-Cère - Saint-Céré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argentat-sur-Dordogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Altillac
Liens
Site web altillac.com

Altillac (Altilhac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Généralités modifier

 
Vue sur la Dordogne et Beaulieu-sur-Dordogne depuis Altillac.

La commune d'Altillac, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

En Xaintrie, à l'extrême-sud du département de la Corrèze et de la région Limousin, elle se situe en rive gauche de la Dordogne, qui la sépare de trois communes en rive droite : Brivezac, Beaulieu-sur-Dordogne et Astaillac.

Altillac est très étendu géographiquement. Avec une superficie de 2500 hectares, la commune s'étend sur près de 30 hameaux dispersés et presque une dizaine de châteaux dont Bra, Sugarde, le Doux, Rholan, la Majorie, Bichiran, Miègemont et Gary[1].

Le territoire communal est desservi par les routes départementales 41 et 940.

Communes limitrophes modifier

Altillac est limitrophe de huit autres communes, dont deux dans le département du Lot.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 972 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Camps-Saint-Mathurin-Léobazel à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 432,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Bien qu'étant indiquée comme faisant partie du périmètre de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) la « vallée de la Dordogne quercynoise » (de type II)[9],[10] et « la Dordogne quercynoise » (de type I)[11],[12], Altillac n'est pas concernée, comme le montrent les cartes des deux sites, les ZNIEFF commençant juste après la limite communale sud-ouest, à Biars-sur-Cère.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Altillac est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,7 %), prairies (30 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), cultures permanentes (5,8 %), eaux continentales[Note 3] (2,6 %), zones urbanisées (1,3 %)[18].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier modifier

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Altillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le ruisseau d'Orgues. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999, 2001 et 2021[21],[19]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Altillac - Bassin de la Dordogne », approuvé le [22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Altillac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 610 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 235 sont en aléa moyen ou fort, soit 39 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1994 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, du Chastang, de Marcillac, d'Enchanet, de Hautefage et de Saint-Étienne-Cantalès, des ouvrages de classe A[Note 4] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[26].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Altillac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

Histoire modifier

Altillac fut le siège d'une viguerie sous les Carolingiens[28].

Lors des premières années de la Révolution française, la commune de Fontmerle fusionne avec Altillac[29].

Le , le préfet régional de Limoges réquisitionne le domaine du Doux pour y créer un centre d'internement pour familles juives[30],[31].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
1808 1834 Antoine Dauvis Bichiran    
1834 1837 Jean Frédéric Bichiran    
1837 1878 Jean Joseph Fontanille    
1878 1883 Jean Baptiste Victor Borie    
1883 1884 Joseph Lebrun    
1884 1885 Jules Humieres (d')    
1885 1888 Jules Argueyrolles    
1888 1904 Philippe Dounier    
1904 1908 Louis Laumond    
1908 1919 Jean Versejoux    
1919 1934 Ernest Faugere    
1934 1944 Georges Mas    
1944 1945 Romain Conche    
1945 1958 Georges Mas    
1958 1977 Romain Conche    
1977 1983 Robert Audrerie    
1983 1995 Pierre Poulvelarie    
1995 2001 Jean-claude Vergne    
mars 2001 mai 2020 Robert Vialard   Retraité
mai 2020 octobre 2020 Michel Servantie[33]   Démissionne en octobre 2020
octobre 2020 En cours Denis Pinsac[34]    

Politique de développement durable modifier

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[35].

Jumelages modifier

La commune d'Altillac est jumelée depuis 1993 avec la commune de Squiffiec, dans les Côtes-d'Armor, en Bretagne.

Démographie modifier

Les habitants sont appelés les Altillacois et les Altillacoises.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 826 habitants[Note 5], en diminution de 4,07 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5441 2901 6851 5761 7941 8701 8051 8941 914
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8851 8001 7471 6951 6561 6371 7091 4511 502
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4191 3781 3331 1351 1431 0811 023938860
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
781762720791824801839833854
2015 2020 2021 - - - - - -
861829826------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Le château du Doux vue du portail.
  • Le château du Doux est construit en 1904-1906 sur des plans de Jean-Louis Pascal. Influencé par le style utilisé à Deauville, il est construit dans le style de Xaintrie, pour servir d'hôtel de luxe. Il est construit sur le haut d'un vallon, offrant ainsi des vues sur le paysage alentour. Des registres différents sont utilisés pour ses ouvertures : fenêtres simples, grande baie cintrée à croisillons de pierre, fenêtre à croisée, lucarnes rampantes, passantes ou à la capucine. Il emploie des matériaux locaux qui lui permettent d'avoir un air régional : pierres de couleurs variées, toit de lauzes. À l'intérieur, les boiseries sont Art nouveau[31]. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il devient un centre d'internement payant pour une soixantaine de juifs étrangers. En 1943, au moins deux déportations sont effectuées vers le camp de Drancy[40]. Actuellement propriété privée, il est utilisé comme lieu d'hébergement de luxe[41].
  • Le château Bra ;
  • Le château de Sugarde ;
  • Le château de Rholan ;
  • Le château de La Majorie ;
  • Le château de Bichiran ;
  • Le château de Miègemont ;
  • Le château de Gary.
  • De l'autre côté du vallon occupé par le domaine du Doux, de vastes dépendances agricoles sont construites : immense grange-étable à deux niveaux, nombreuses porcheries construites à l'imitation de petites fermes, qui forment un semblant de hameau, poulailler, four à pain. L'ensemble des constructions, hôtel et bâtiments agricoles, a été labellisé patrimoine du XXe siècle[31].
  • L'église Saint-Étienne est construite au XVIe siècle, sauf le clocher-porche, qui remonte au XIVe siècle. Elle est classée monument historique en 1975[28].
  • L'église Sainte-Agathe de Fontmerle.
  • Le dolmen de la Borderie, un dolmen néolithique en bon état[42].

Personnalités liées à la commune modifier


Héraldique modifier

  Blason
D'azur au loup ravissant d'or, à la bordure engrelée cousue de gueules, au chef cousu de même chargé de trois étoiles d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site de la commune
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Altillac et Camps-Saint-Mathurin-Léobazel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Camps » (commune de Camps-Saint-Mathurin-Léobazel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Camps » (commune de Camps-Saint-Mathurin-Léobazel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. [PDF] - La Dordogne quercynoise (Identifiant national 730011020), Antoine Chapuis, Bureau d'études Biotope, agence régionale Midi-Pyrénées, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  10. Carte de la ZNIEFF « Vallée de la Dordogne quercynoise», INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  11. [PDF] - La Dordogne quercynoise (Identifiant national 730014505), Antoine Chapuis, Bureau d'études Biotope, agence régionale Midi-Pyrénées, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  12. Carte de la ZNIEFF « La Dordogne quercynoise», INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  13. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Altillac », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  22. « PPRI Altillac - Bassin de la Dordogne », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Altillac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  28. a et b Arrêté préfectoral du 27 août 1975, Notice no PA00099650, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 avril 2011
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Fontmerle », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  30. Château du Doux
  31. a b et c Colette Aymard (directrice de la publication), Architecture et patrimoine du XXe siècle en Corrèze, Direction régionale des affaires culturelles du Limousin, 2010, p. 1-2
  32. « Les maires de Altillac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  33. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  34. « Denis Pinsac élu maire d'Altillac, en Corrèze », sur lamontagne.fr (consulté le ).
  35. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Altillac, consultée le 25 octobre 2017
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. « Château-du-Doux », sur www.ajpn.org (consulté le ).
  41. (en-GB) « Château du Doux- French Château Wedding Venue », sur Château du Doux (consulté le ).
  42. Dolmen de la Borderie sur Mégalithes du Monde, consulté le 9 juillet 2015.