Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou
FESPACO Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou | |
![]() Le siège du FESPACO à Ouagadougou. | |
Date de création | 1969 |
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Créateur | François Bassolet Claude Prieux Louis Thiombiano, premier secrétaire général du FESPACO |
Prix principal | L'Étalon de Yennenga |
Édition courante | FESPACO 2019 |
Durée | 8 jours (tous les 2 ans, entre février et mars) |
Direction générale | Michel Ouedraogo (2009-) |
Lieu | Ouagadougou![]() |
Site web | www.Fespaco.bf |
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Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) est un des plus grands festivals de cinéma africain. Il se déroule tous les deux ans à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso.
Sommaire
PrésentationModifier
L’objectif du festival est de :
- favoriser la diffusion de toutes les œuvres du cinéma africain,
- permettre les contacts et les échanges entre professionnels du cinéma et de l'audiovisuel,
- contribuer à l'essor, au développement et à la sauvegarde du cinéma africain, en tant que moyen d'expression, d'éducation et de conscientisation.
En dehors de l’organisation du festival en lui-même, l’établissement public responsable du FESPACO a également comme rôle d’organiser des projections à but non lucratif en direction des zones rurales en partenariat avec les ONG, les associations, les écoles et autres institutions publiques et privées ; de promouvoir le cinéma africain dans les festivals internationaux et d’organiser diverses manifestations autour du cinéma.
Le FESPACO est aidé financièrement par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l’UNESCO, l’UNICEF, l’Union européenne et la coopération de plusieurs pays (Allemagne, Burkina Faso, Danemark, Finlande, France, Pays-Bas, République de Chine, Suède).
HistoriqueModifier
Le festival a été créé en 1969 à Ouagadougou à l’initiative d’un groupe de cinéphiles, dont notamment François Bassolet, Claude Prieux (Directeur du Centre culturel Franco-Voltaïque) et Alimata Salembéré qui en a été la première présidente en 1969 et 1970. À l'époque, le pays était dénué de structures cinématographiques et la population voltaïque n'avait pas accès aux productions africaines de plus en plus nombreuses. Les initiateurs souhaitaient donc que, par l'intermédiaire de ce festival, les populations puissent enfin voir les films de leur propre continent[1].
À tort, la première édition est généralement appelée Semaine du cinéma africain, mais sa véritable dénomination est « Premier festival de Cinéma Africain de Ouagadougou »[2]. Il se déroule du 1er février au 15 février 1969. Cinq pays africains y sont représentés : le Sénégal, la Côte d'Ivoire, la Haute-Volta (actuel Burkina Faso), le Niger et le Cameroun mais également la France et les Pays-Bas. 24 films, dont 18 africains, y ont été présentés. Ce premier rendez-vous draine alors 10 000 spectateurs[3].
En 1970, la deuxième semaine du cinéma africain accueille 9 pays africains (Algérie, Tunisie, Côte d'Ivoire, Guinée, Niger, Sénégal, Mali, Haute-Volta, Ghana) et 40 films y sont projetés devant 20000 spectateurs[3].
L'année 1972 marque un tournant dans le festival car, pour la première fois, il est soutenu par l'État qui l’institutionnalise. Il est alors placé sous la tutelle du ministère de la Culture, du Tourisme et de la Communication[4]. Cette même année, Mme Simone Mensah accède à la présidence[2]. Pour cette troisième édition, le festival prend le titre de Festival panafricain de cinéma de Ouagadougou (FESPACO) et un "grand prix du festival" portant le nom d’Étalon de Yennenga (en référence à la princesse Yennenga, mythe fondateur de l’empire Mossi) est créé. Dès lors les films ne sont plus seulement présentés, ils sont désormais en compétition[4].
Les éditions suivantes ont lieu en 1973, 1976, et le Fespaco ne devient bisannuel qu'à partir de 1979. En 1983, le MICA (Marché International du Cinéma africain) est créé. Il a pour but de favoriser la vente et la distribution des films africains en mettant notamment en relation les professionnels du cinéma avec les chaînes de télévision[4].
Le Festival a été également rebaptisé "Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou". La télévision étant un soutien, par le biais de la distribution et de la coproduction, aux productions cinématographiques, les organisateurs souhaitaient davantage impliquer ce média dans le festival[5].
Depuis le début de l'histoire de ce festival, la manifestation est très liée à la politique intérieure du Burkina Faso et à sa géopolitique[6]. Il est aussi très important dans le mouvement culturel des années 1960 à 1980 très marqué par l'anti-impérialisme des cinéastes, et dans la structuration du tissu culturel africain et panafricain. Aujourd'hui, même s'il connait des difficultés, le Fespaco reste la principale vitrine pour les cinéastes issus du continent africain. Il n'est plus, en revanche, le seul tremplin pour les réalisateurs qui préfèrent souvent être présentés aux festivals de Durban, Cannes, Amiens ou Namur, etc.
Une nouvelle équipe en prend la tête en 2009, dirigée par Michel Ouedraogo[7].
En 2013, les Cahiers du cinéma estiment le « festival est en rupture complète avec la population de Ouagadougou », parlant même de « mépris affiché pour les artistes, les médias, le public et la population[7]. » Ils donnent à cela plusieurs explications : d'une part la situation du pays (une période de crise économique, la guerre au Mali voisin qui crée une ambiance tendue) mais aussi l'incendie qui a détruit le 15 janvier 2013 un bâtiment neuf et a coûté très cher au festival[7]. Mais surtout la « politique étrange » suivie depuis 2009 par la direction, en est la cause[7]. Si elle a su mieux organiser le festival, l'exclusion de films qui ne sont pas en copie 35mm, le déplacement des projections de la sélection documentaire à la périphérie de la ville, les nombreuses tables rondes sans intérêt, l'abandon des projections semi-couvertes ou en plein air qui avaient un grand succès auprès des habitants donnent l'impression qu'il ne s'agit plus ni d'un festival populaire ni d'un lieu où les cinéastes sont à l'honneur[7]. En outre, le prix des places est beaucoup trop cher pour les habitants de la ville : le prix du « pass illimité » est égal à certains salaires locaux, la « carte étalon » n'est rentabilisée qu'au bout de 26 films vus en une semaine[7]. Selon la revue, les cocktails diplomatiques et les soirées organisées par des sponsors ont pris une place démesurée par rapport aux films et aux spectateurs[7]. Ce qui est dommage car le critique loue la grande qualité des films sélectionnés cette année-là.
Le FESPACO 2013 est marqué par la « Déclaration solennelle de Ouagadougou »[8] proclamée par 6 pays lors du colloque sur le « Cinéma et politiques publiques en Afrique » et dont le but est de doter le cinéma africain d'une « force de frappe ». Des réformes majeures ont été annoncées par le délégué général du FESPACO, Michel Ouedraogo. Tout d'abord, l'accès à la compétition officielle pour les films de la diaspora. Ensuite une revalorisation des primes pour les lauréats (les primes pour les Étalons seront doublées). Et enfin, à la suite de la polémique qui aura ébranlé cette édition, les films au format numérique pourront intégrer la compétition long métrage[9].
OuagawoodModifier
C'est le nom donné à l'industrie cinématographique africaine et dont les films sont présentés à Ouagadougou lors du FESPACO [10],[11].
Employé pour la première fois par des journalistes de BBC[10] et du quotidien La Libre Belgique, lors du FESPACO 2011[11], le terme « Ouagawood » est un mot-valise combinant Ouaga, le diminutif de « Ouagadougou », capitale du Burkina Faso, et celui d'un autre symbole de l'industrie cinématographique, en l'occurrence américaine : « Hollywood », (suivant le même modèle que les expressions Bollywood et Nollywood).
PalmarèsModifier
3e FESPACO (1972)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Le Wazzou polygame d'Oumarou Ganda (Niger)
- Deuxième prix (Prix spécial d'authenticité) : Hydre Dyama de Moussa Kemoko Diakité (Guinée)
- Troisième prix : L'Opium et le Bâton de Mohamed Rachedi (Algérie)
- Prix de consolation : Pour ceux qui savent, de Tidiane Aw (Sénégal)
- Premier prix du court métrage : Moseka de Kouami Mambu Zinga (Zaïre)
- Deuxième prix du court métrage : Sur le sentier du requiem de Pierre-Marie Dong (Gabon)
4e FESPACO (1973)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Les Mille et Une Mains de Souheil Ben Barka (Maroc)
- Prix de l'authenticité africaine : Identité de Pierre-Marie Dong (Gabon)
- Prix du 7e art : Décembre de Mohammed Lakhdar-Hamina (Algérie)
- Prix de consolation : Le Sang des parias de Mamadou Djim Kola (Haute-Volta)
- Prix du court métrage : Accident de Benoit-Maurice Ramampy (Madagascar)
- Félicitations du jury : Oumarou Ganda (Niger)
5e FESPACO (1976)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Muna Moto de Jean-Pierre Dikongué Pipa (Cameroun)
- Premier prix de consolation : ex æquo Vent du Sud de Mohamed Slim Riadh (Algérie) et Ndiangane de Mahama Johnson Traoré (Sénégal)
- Deuxième prix de consolation : Sur le chemin de la réconciliation de René-Bernard Yonli (Haute-Volta)
- Prix du 7e art : L'Héritage de Mohamed Bouamari (Algérie)
- Prix spécial du jury : ex æquo Sejnane d'Abdellatif Ben Ammar (Tunisie) et Nationalité immigrée de Sydney Sokhona (Mauritanie)
- Mention spéciale : Kaddhu Beykat (Lettre paysanne) de Safi Faye (Sénégal) et Saïtane d'Oumarou Ganda (Niger)
- Autre mention spéciale : première participation du Ghana
6e FESPACO (1979)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Baara de Souleymane Cissé (Mali)
- Prix de l'authenticité : Soleil des hyènes de Ridha Behi (Tunisie)
- Prix du 7e art : Alyam Alyam d'Ahmed El Maanouni (Maroc)
- Prix du meilleur court métrage : La Boîte dans le désert de Brahim Tsaki (Tunisie)
- Prix spécial de consolation : Yik-Yan de Hamidou-Benoit Ouedraogo (Haute-Volta)
- Prix de l'Agence de Coopération Culturelle et Technique :Béogho naba de Kollo Daniel Sanou (Haute-Volta)
7e FESPACO (1981)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Djeli de Fadika Kramo-Lanciné (Côte d'Ivoire)
- Prix de l'authenticité : La Chapelle de Jean-Michel Tchissoukou (Congo)
- Prix du 7e art : West Indies de Med Hondo (Mauritanie)
- Prix Oumarou Ganda : Love Brewed in the African Pot de Kwaw Ansah (Ghana)
- Prix du meilleur court métrage : Poko d'Idrissa Ouedraogo (Haute-Volta)
8e FESPACO (1983)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Finyè de Souleymane Cissé (Mali)
- Prix Oumarou Ganda : Pawéogo (L'Émigrant) de Kollo Daniel Sanou (Haute-Volta)
- Prix du meilleur court métrage : Certificat d'indigence de Moussa Bathily (Sénégal)
- Prix d'interprétation féminine : Rosine Yanogo dans Wend Kuuni (Haute-Volta)
- Prix d'interprétation masculine : Mohamed Abachi dans Le Coiffeur du quartier des pauvres (Maroc)
- Prix du meilleur scénario : L'Ombre de la terre de Taïeb Louhichi (Tunisie)
- Prix de la meilleure image : Zo Kwe Zo de Joseph Akouissonne (Centrafrique)
- Caméra d'or : Issaka Thiombiano et Sékou Ouedraogo dans Wend Kuuni (Haute-Volta)
- Prix du meilleur opérateur : L'Ombre de la terre de Taïeb Louhichi (Tunisie)
9e FESPACO (1985)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Histoire d'une rencontre de Brahim Tsaki (Algérie)
- Prix du 7e art : Nelisita de Ruy Duarte (Angola)
- Prix Oumarou Ganda : Jours de tourmente de Paul Zoumbara (Burkina Faso)
- Prix du meilleur court métrage : Mariaamu's Wedding de Nangaoma Ngoge (Tanzanie)
- Prix de la meilleure musique : Pierre Akendengué pour Les Coopérants (Cameroun)
- Prix du public : Rue Cases-Nègres d'Euzhan Palcy (France)
- Prix de la meilleure image : Les Baliseurs du désert de Nacer Khémir
10e FESPACO (1987)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Sarraounia de Med Hondo (Mauritanie)
- Prix du 7e art : Le Choix d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
- Prix Oumarou Ganda : Nyamanton de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
- Prix du meilleur court métrage : Le Singe fou de Joseph Koumba (Gabon)
- Prix de la meilleure musique : Le Choix d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
- Prix du public : Nyamanton de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
11e FESPACO (1989)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Heritage Africa de Kwaw Ansah (Ghana)
- Prix Oumarou Ganda : Mortu Nega de Flora Gomes (Guinée-Bissau)
- Prix du meilleur court métrage : La Geste de Ségou (Segu janjo) de Mambaye Coulibaly (Mali)
- Prix Paul Robson de la diaspora : Ori de Raquel Gerber (Brésil)
- Prix d'interprétation féminine : Bia Gomes dans Mortu Nega (Guinée-Bissau)
- Prix d'interprétation masculine : Kofi Bucknor dans Héritage... Africa (Ghana)
- Prix du meilleur scénario : Zan Boko de Gaston Kaboré (Burkina Faso)
- Prix de la meilleure image : La Citadelle de Mohamed Chouikh (Algérie)
- Prix de la meilleure musique : Francis Bebey pour Yaaba (Burkina Faso)
- Mention spéciale pour la prise de son : Testament de John Akomfrah (Ghana)
- Prix du public : Yaaba d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
12e FESPACO (1991)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Tilaï d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
- Prix Oumarou Ganda : Ta Dona d'Adama Drabo (Mali)
- Prix du meilleur court métrage : La Transe (El Hadhra), de Moncef Dhouib (Tunisie)
- Prix du meilleur film documentaire: Yiri Kan d'Issiaka Konaté (Burkina Faso)
- Prix Paul Robson de la diaspora : Almacita Di Desolato de Felix de Rooy (Pays-Bas)
- Mention spéciale (Prix Paul Robson) : Twilight City d'Auguste Reece (Royaume-Uni)
- Autre mention spéciale : Sango Malo de Bassek Ba Kobhio (Cameroun)
- Prix d'interprétation féminine : Mariatou Kouyaté dans Bamunan (Mali)
- Prix d'interprétation masculine : Balla Moussa Keïta dans Sere (Guinée)
- Prix du meilleur scénario : Louss de Rachid Benhadj (Algérie)
- Prix de la meilleure image : Jit de Michael Raeburn (Zimbabwe)
- Prix de la meilleure musique : Abdallah Ibrahim pour Tilaï (Burkina Faso)
- Prix de la meilleure prise de son : Leila, ma raison de Taïeb Louhichi (Tunisie)
13e FESPACO (1993)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Au nom du Christ de Gnoan Roger M'Bala (Côte d'Ivoire)
- Prix Oumarou Ganda : Gito l'ingrat de Léonce Ngabo (Burundi)
- Prix du meilleur court métrage : Denko de Mohamed Camara (Guinée)
- Prix du meilleur film documentaire : Femmes d'Alger de Kamal Dehane (Algérie)
- Prix spécial du jury (longs métrages) : Les Étrangers de Djim Kola (Burkina Faso)
- Prix spécial du jury (courts métrages) : Boxumalen d'Amet Diallo (Sénégal)
- Prix Paul Robson de la diaspora : Lumumba : la mort du prophète de Raoul Peck (Haïti)
- Prix d'interprétation féminine : Maysa Marta dans Les Yeux bleus de Yonta (Guinée-Bissau)
- Prix d'interprétation masculine : Joseph Kumbela dans Gito l'ingrat (Burundi)
- Prix du meilleur scénario : Contre le gouvernement d'Atef el-Tayeb (Égypte)
- Prix du meilleur montage : Bezness de Nouri Bouzid (Tunisie)
- Prix de la meilleure image : Sankofa de Hailé Gerima (Éthiopie)
- Prix de la meilleure musique : Cheick Tidiane Seck pour Yelema (Mali)
- Prix du meilleur son : Quartier Mozart de Jean-Pierre Bekolo (Cameroun)
14e FESPACO (1995)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Guimba de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
- Prix du meilleur court métrage : Le Franc de Djibril Diop Mambéty (Sénégal)
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Mohamed Ali Allalou dans Youcef (Algérie)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Yousra dans Mercedes (Égypte)
- Prix spécial du jury : À la recherche du mari de ma femme de M.A. Tazi (Maroc)
- Mention spéciale du jury : Le Grand Blanc de Lambaréné de Bassek Ba Kobhio (Cameroun)
- Prix Paul Robeson (film de la diaspora) : L'Exil de Behanzin de Guy Deslauriers (Martinique)
- Prix Oumarou Ganda de la première œuvre : Keïta ! L'Héritage du griot de Dani Kouyaté (Burkina Faso)
- Prix des meilleurs costumes et décors : Guimba de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
- Prix de la meilleure monteuse : Kahena Attia (Tunisie)
- Prix du meilleur scénario : Khaled El Haggar pour Ahlam Saghira (De petits rêves) (Égypte)
15e FESPACO (1997)Modifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Buud Yam de Gaston Kaboré(Burkina Faso)
- Prix du meilleur court métrage de fiction : Bouzié de Jacques Trabi
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Belkacem Hadjadj dans Machaho
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Aminata Ousmane Maïga dans Faraw, mère de sables
- Prix spécial du jury : Taafe Fanga d'Adama Drabo(Mali)
- Prix Paul Robeson (film de la diaspora) : The Last Angel of History de John Akomfrah
- Prix Oumarou Ganda de la première œuvre : Miel et Cendres de Nadia Fares-Anliker
- Prix du meilleur montage : Kahena Attia pour Miel et Cendres
- Prix du meilleur scénario : Merzak Allouache pour Salut cousin !
- Prix de la meilleure bande-son : Le Complot d'Aristote de Jean-Pierre Bekolo
- Prix de la meilleure musique de film : Ilhéu da Contenda de Leão Lopes
- Prix de la meilleure image : Tableau Ferraille de Moussa Sène Absa
16e FESPACO (1999)Modifier
Les longs métragesModifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Pièces d'identités de Mwezé Ngangura (République démocratique du Congo)
- Mention spéciale du jury : La Vie sur Terre d'Abderrahmane Sissako (Mauritanie)
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Fats Bookholane dans Chikin Biznis (Afrique du Sud)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Dominique Mesa dans Pièces d'identités (RDC)
- Prix Paul Robeson (diaspora) : Sucre amer de Christian Lara (Guadeloupe, France)
- Prix du meilleur montage : Nadia Ben Rachid pour La Vie sur Terre (Mauritanie)
- Prix du meilleur décor : F. Baba Keïta pour La Genèse (Mali)
- Prix de la meilleure musique : Wasis Diop pour Silmandé (Burkina Faso)
- Prix du meilleur son : Tawsi Thabet pour Lalla Hobby (Maroc)
- Prix de la meilleure image : Mustapha Belmihoub pour L'Arche du désert (Algérie)
- Prix du meilleur scénario : Mtutuzeli Matshoba pour Chikin Biznis (Afrique du Sud)
- Prix Oumarou Ganda : Fools de Ramadan Suleiman (Afrique du Sud)
Les courts métragesModifier
- Prix du meilleur court métrage de fiction : On the Edge de Newton Aduaka (Nigeria)
- Prix du meilleur documentaire : Hot Irons d'Andrew Dosunwu (Nigeria)
- Prix Paul Robeson (diaspora) : Blue Note de Rahdi Taylor (États-Unis)
17e FESPACO (2001)Modifier
Les longs métragesModifier
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Ali Zaoua de Nabil Ayouch (Maroc)
- Prix spécial du jury : Sia, le rêve du python de Dani Kouyaté (Burkina Faso)
- Prix Oumarou-Ganda (meilleure première œuvre) : Rage de Newton Aduaka (Nigeria)
- Prix Paul Robeson de la diaspora noire : Lumumba de Raoul Peck (Haïti)
- Meilleur acteur : Makéna Diop (Sénégal) dans Battu de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
- Meilleure actrice : Albertine N’Guessan dans Adanggaman de Roger Gnoan M’Bala (Côte d’Ivoire)
- Meilleure image : Mohamed Soudani pour Adanggaman
- Meilleur scénario : Dolè de Imunga Ivanga (Gabon)
- Meilleure mise en scène et meilleur montage : Naceur Ktari et Larbi Ben Ali pour Sois mon amie de Naceur Ktari (Tunisie)
- Meilleur son : Fawzi Thabet pour Les Siestes grenadine de Mahmoud Ben Mahmoud (Tunisie)
- Meilleure musique : Wasis Diop pour Les Couilles de l’éléphant de Henri Joseph Koumba Bibidi (Gabon)
Les courts métragesModifier
- Prix du meilleur court métrage de fiction : Bintou de Fanta Régina Nacro (Burkina Faso)
- Hommage spécial Ousmane Sembène (Sénégal) pour Faat-Kiné présenté par l’auteur hors compétition
18e FESPACO (2003)Modifier
Les longs métragesModifier
- Grand prix (Étalon de Yenenga) : En attendant le bonheur (Heremakono) d'Abderrahmane Sissako (Mauritanie)
- Prix spécial du jury : Kabala de Assane Kouyaté (Mali)
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Cheik Doukouré pour Paris selon Moussa (Guinée)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Awatef Jendoubi pour Fatma (Tunisie)
- Prix d’interprétation (mention spéciale) : A. Mahamat Moussa et M. Moctar Aguid pour Abouna (Tchad)
- Prix Oumarou Ganda de la première œuvre : L’Afrance d'Alain Gomis (France-Sénégal)
- Prix du meilleur scénario : Assane Kouyaté pour Kabala (Mali)
- Prix de la meilleure image : Abraham Haile Biru pour Abouna (Tchad)
- Prix du meilleur décor : Joseph Kpobly pour Heremakono (Mauritanie)
- Prix du meilleur montage : Ronelle Loots pour Promised Land (Afrique du Sud)
- Prix du meilleur son : Hachim Joulak pour Fatma (Tunisie)
- Prix de la meilleure musique : Wasis Diop et Loy Ehrlich pour Le prix du pardon (Sénégal)
- Prix de l’Union européenne : L’Afrance d’Alain Gomis (France-Sénégal)
Les courts métragesModifier
- Prix du meilleur court métrage : Source d’histoire de Adama Rouamba (Burkina Faso)
- Prix spécial du jury : A drink in the Passage de Zola Maseko
VidéoModifier
- Prix du meilleur documentaire : Tanger, le rêve des brûleurs de Leila Kilani (Maroc)
- Prix de la meilleure sitcom : Houria de Rachida Krim (Algérie)
19e FESPACO (2005)Modifier
Richard Bohringer est le premier parrain officiel lors de cette dix-neuvième édition qui a eu lieu du 26 février au 5 mars[12]
Les longs métragesModifier
- Étalon d'or de Yennenga (Grand prix) : Drum de Zola Maseko (Afrique du Sud)
- Étalon d'argent de Yennenga : La Chambre noire de Hassan Benjelloun (Maroc)
- Étalon de bronze de Yennenga : Tasuma de Kollo Daniel Sanou (Burkina Faso)
- Prix spécial de l'Union européenne : Zulu Love Letter de Ramadan Suleman (Afrique du Sud)
- Prix Oumarou Ganda (meilleure première œuvre) : Max and Mona de Teddy Mattera (Afrique du Sud)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Pamela Nomvete Marimbe dans Zulu Love Letter de Ramadan Suleman (Afrique du Sud)
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Sid Ali Kouiret dans Les Suspects de Kamal Dehane (Algérie)
- Prix du meilleur scénario : La Nuit de la vérité de Fanta Régina Nacro (Burkina Faso)
- Prix de la meilleure image : Un héros de Zeze Gamboa (Angola)
- Prix du meilleur son : El Manara de Belkacem Hadjadj (Algérie)
- Prix de la meilleure musique : Sékouba Bambino Diabaté dans Sous la clarté de la lune d'Appoline Traoré (Burkina Faso)
- Prix du meilleur décor : Drum de Zola Maseko (Afrique du Sud)
- Prix du meilleur montage : Andrée Davanture pour Le Prince de Mohamed Zran (Tunisie)
- Prix du public décerné par Radio France internationale (RFI) et le ministère français des Affaires étrangères : Tasuma de Kollo Daniel Sanou (Burkina Faso)
- Prix Paul Robeson (meilleur long métrage de la diaspora africaine) : Beah: A Black Woman Speaks de Lisa Gay Hamilton (États-Unis)
Les courts métragesModifier
- Poulain d'or de Yennenga : L'Autre Mal de Tahirou Ouédraogo (Burkina Faso)
- Poulain d'argent de Yennenga : Be kunko de Cheick Fantamady Camara (Guinée)
- Poulain de bronze de Yennenga : Safi, la petite mère de Rasmané Ganemtoré (Burkina Faso)
- Mentions spéciales : ex aequo Le Secret de Fatima de Karim Bensalah (Algérie) ; Prince Loseno de Kibushi Ndjate Wooto (République démocratique du Congo) et Le Sifflet de As Thiam (Sénégal)
Télévision – VidéoModifier
- Prix de la meilleure œuvre de fiction/documentaire : Conakrykas de Manthia Diawara (Mali)
- Prix de la meilleure série ou sitcom : Sidagamie de Maurice Kaboré (Burkina Faso)
- Prix spécial du jury fiction/documentaire : Aliénation de Malek Bensmaïl (Algérie)
- Prix spécial du jury série ou sitcom : Trois hommes, un village de Idrissa Ouedraogo et Issa Traoré de Brahima (Burkina Faso)
Prix spéciaux décernésModifier
- Prix spécial santé : Moolaadé de Ousmane Sembène (Sénégal)
- Prix spécial droits humains : Une seconde de vie de Adjara Lompo (Burkina Faso)
- Prix spécial UEMOA long métrage : La Nuit de la vérité de Fanta Régina Nacro (Burkina Faso)
- Prix spécial UEMOA Court métrage : Safi, la petite mère de Rasmané Ganemtoré (Burkina Faso)
- Prix spécial UEMOA TV/ vidéo professionnelle : Joseph Ki-Zerbo identités de Dani Kouyaté (Burkina Faso)
- Prix des Nations unies pour la lutte contre la pauvreté : Tasuma de Sanou Kollo (Burkina Faso)
- Prix de l'Unicef « pour la promotion des droits de l'enfant » : Un amour d’enfant de Ben Diogaye Bèye (Sénégal)
- Prix de l’Unicef « pour la promotion des droits de la femme » : Zulu Love Letter de Ramadan Suleman (Afrique du Sud)
- mention spéciale : Les Suspects de Kamal Dehane (Algérie)
- mention spéciale : Safi, la petite mère de Rasmané Ganemtoré (Burkina Faso)
- Prix santé et sécurité au travail : Beat the Drum de David Hickson (Afrique du Sud)
- Prix de l'intégration Africaine (CEDEAO) : Tasuma de Sanou Kollo (Burkina Faso)
- Prix Droits de l'enfant : La Caméra de bois de Ntshavheni Wa Luruli (Afrique du Sud)
- Prix Signis de l'association catholique mondiale pour la communication : Beat the Drum de David Hickson (Afrique du Sud)
- mention spéciale : Un amour d'enfant de Ben Diogaye Bèye (Sénégal)
- Prix Loterie nationale : Rencontre en ligne de Adama Rouamba (Burkina Faso)
- Prix RFO/AITV/CFI
- 1er prix documentaire : Rago de la télévision centrafricaine
- 2e prix documentaire : Les Difficultés de conservation des manuscrits de Tombouctou de la télévision nationale du Mali
- 3e prix documentaire : L'Importance de l'igname dans les sociétés béninoises de l'Office de radio télévision du Bénin
- Prix CNLS/IST : Sidagamie de Maurice Kaboré (Burkina Faso)
- Prix Commune de Ouagadougou : Beat the Drum de David Hickson (Afrique du Sud)
- Prix de la ville de Turin : Safi, la petite mère de Rasmané Ganemtoré (Burkina Faso)
- Prix Graine de Baobab Wamdé : Ouaga Saga de Dani Kouyaté (Burkina Faso)
- Prix INALCO Caméra numérique : Zulu Love Letter de Ramadan Suleman (Afrique du Sud)
- Prix POITOU CHARENTES : El Manara de Belkacem Hadjadj (Algérie)
- Prix COE : Prince Loseno de Kibushi Ndjate Wooto (République démocratique du Congo)
- Prix d'interprétation masculine dans un second rôle tenu dans un long métrage : Ouédraogo Rasmané dans La Nuit de la vérité de Fanta Régina Nacro (Burkina Faso)
- Prix d'interprétation féminine dans un second rôle tenu dans un long métrage : Sonia Nouacer dans El Manara de Belkacem Hadjadj (Algérie)
- Prix Point Afrique : Sous la clarté de la lune de Appoline Traoré (Burkina Faso)
- Prix côté doc de la meilleure œuvre documentaire : Sokhna Amar (Sénégal)
- Mention spéciale : Ask Me I Am Positive de Toboho Edkins (Afrique du Sud)
- Mention spéciale : La Volonté de Rolande Ouédraogo (Burkina Faso)
- Mention spéciale : Oberlin Inanda de Chérif Keïta (Mali)
20e Fespaco (2007)Modifier
Manu Dibango est le parrain officiel de la vingtième édition qui a eu lieu du 24 février au 3 mars 2007[12]. Le Mali est le pays invité d’honneur[13].
Les longs métragesModifier
- Étalon d'or de Yennenga (Grand prix) : Ezra de Newton Aduaka (Nigéria)
- Étalon d'argent de Yennenga : Les Saignantes de Jean-Pierre Bekolo (Cameroun)
- Étalon de bronze de Yennenga : Daratt de Mahamat Saleh Haroun (Tchad)
- Prix spécial de l'Union européenne : Daratt de Mahamat Saleh Haroun (Tchad)
- Prix Oumarou Ganda (meilleure première œuvre) : Barakat de Djamila Sahraoui (Algérie)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Adèle Ado et Dorylia Calmel
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Lotfi Abdelli pour Making of
- Prix du meilleur scénario : Barakat de Djamila Sahraoui (Algérie)
- Prix de la meilleure image : Daratt de Mahamat Saleh Haroun (Tchad)
- Prix du meilleur son : L’Ombre de Liberty de Imunga Ivanga (Gabon)
- Prix de la meilleure musique : Barakat de Djamila Sahraoui (Algérie)
- Prix du meilleur décor : Africa Paradis de Sylvestre Amoussou (Bénin)
- Prix du meilleur montage : Making of de Nouri Bouzid (Tunisie)
- Prix du public décerné par Radio France internationale (RFI) et le ministère français des Affaires étrangères : Il va pleuvoir sur Conakry de Cheick Fantamady Camara (Guinée)
- Prix Paul Robeson (meilleur long métrage de la diaspora africaine) : Le président a-t-il le SIDA ? de Arnold Antonin (Haïti)
Prix spéciaux[14]Modifier
- Prix des Nations unies pour la promotion d’une culture de la paix et de la tolérance : Newton Aduaka (Nigeria) pour Ezra
- Prix des Nations unies pour la promotion des droits de la femme : Tahirou Tasséré Ouédraogo (Burkina Faso) pour Djanta
- Prix des Nations unies pour la promotion des droits de l’enfant : Gahité Fofana (Guinée) pour Un matin bonne heure
- Prix des Nations unies pour la promotion de la gestion durable de l’environnement : Fitouri Belhiba (Tunisie) pour Sacrées bouteilles
- Prix spécial de l’intégration africaine (décerné par l’Union économique et monétaire ouest-africaine, UEMOA) :
- long métrage : Issa Brahima Traoré (Burkina Faso) pour Le Monde, un ballet
- court métrage : Dyana Gaye (Sénégal) pour Dénéweti
- Télévision-vidéo : Valérie Kaboré (Burkina Faso) pour Ina
- Prix de Plan Burkina pour les droits de l’homme : Newton Aduaka (Nigeria) pour Ezra
- Prix de l’Institut national des langues et civilisations (INALCO) : Newton Aduaka (Nigeria) pour Ezra
- Prix de l’Action Mondiale contre la pauvreté (AMCP) : Abderrahmane Sissako, pour Bamako
21e Fespaco (2009)[15]Modifier
Cheik Modibo est le parrain officiel de la vingt-et-unième édition qui a eu lieu du 28 février au 7 mars 2009[12].
Longs MétragesModifier
- Étalon d'or de Yennenga : Teza de Hailé Gerima (Éthiopie)
- Étalon d'argent de Yennenga : Nothing But the Truth de John Kani (Afrique du Sud)
- Étalon de bronze de Yennenga : Mascarades de Lyes Salem (Algérie)
- Prix Oumarou Ganda (Meilleur Premier Long Métrage) : Le Fauteuil de Missa Hébié (Burkina Faso)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Sana Mouziane actrice du film Les Jardins de Samira de Latif Lahlou (Maroc)
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Rapulana Seiphemo acteur du film Jerusalema de Ralph Ziman (Afrique du Sud)
- Prix du meilleur scénario : Mama Keïta, pour le film L'Absence de Mama Keïta (Guinée)
- Prix de la meilleure image : Nic Hofmeyr pour le film Jerusalema de Ralph Ziman (Afrique du Sud)
- Prix du meilleur son : Mohamed Hassib pour le film Al Ghaba (Les Démons du Caire) d'Ahmed Atef (Égypte)
- Prix de la meilleure musique : Kamal Kamal pour le film Wadaan Oummahat (Adieu mères) de Mohamed Ismaïl (Maroc)
- Prix du décor : Abdelkrim Akallach pour le film Wadaan Oummahat (Adieu mères) de Mohamed Ismaïl (Maroc)
- Prix du montage : David Helfand pour le film Jerusalema de Ralph Ziman (Afrique du Sud)
- Prix de la meilleure affiche : Les Feux de Mansaré de Mansour Sora Wade du Sénégal (affiche de Ibrahima Soumaré)
- Prix Union Européenne : Cœur de lion de Boubakar Diallo (Burkina Faso)
- Prix RFI du Public : Le Fauteuil de Missa Hébié du (Burkina Faso)
Courts métragesModifier
- Poulain d'or : Sektou (Ils se sont tus...) de Khaled Benaïssa (Algérie)
- Poulain d'argent : C'est dimanche de Samir Guesmi (France/Algérie)
- Poulain de bronze : Waramutsého! (Bonjour !) de Bernard Auguste Kouemo Yanghu (Cameroun)
- Première Mention spéciale : Le poisson noyé (Imout el hout) de Malick Amara (Tunisie)
- Deuxième mention spéciale : La jeune femme et l'instit de Mohamed Nadif (Maroc)
DocumentairesModifier
- 1er prix documentaire : "Nos lieux interdits" de Leila Kilani (Maroc)
- 2e prix documentaire : "Behind the Rainbow (Le pouvoir détruit-il le rêve ?)" de Jihan El-Tahri (Égypte)
- 3e prix documentaire : "Une affaire de nègres (Black business)" de Osvalde Lewat (Cameroun)
- Diaspora : Prix Paul Robeson "Jacques Roumain, la passion d'un pays" de Antonin Arnold (Haïti).
- Mention spéciale : A winter's tale de Frances Anne Solomon (Trinité-et-Tobago).
Télévision VidéoModifier
- Prix spécial du jury TV Vidéo : When we were Black de Khalo Matabane (Afrique du Sud)
- Prix spécial du jury série télévisée Vidéo : Paris à tout prix de Joséphine Ndagnou (Cameroun)
- Prix de la meilleure œuvre de fiction TV Vidéo : Une femme pas comme les autres d'Abdoulaye Dao (Burkina Faso)
- Prix de la meilleure œuvre de série télévisée Vidéo L'as du lycée de Missa Hébié (Burkina Faso).
- Prix INALCO : La Maison Jaune, de Amor Hakkar (Algérie)
Les prix spéciauxModifier
- Prix Paulin Soumanou Vieyra de la Critique : Teza (La Rosée), de Hailé Gerima (Éthiopie)
- Mention spéciale au film L'Absence, de Mama Keïta (Guinée)
- Prix IPPF/Région Afrique : Confession Finale, de Come André Ottong (Gabon)
- Prix des Nations unies pour la lutte contre la pauvreté : Teza, de Hailé Gerima (Éthiopie)
- Prix santé et sécurité au travail : Fanta fanga, de Adama Drabo et Ladji Diakité (Mali)
- Prix Cinétoiles : Mâh Saah-Sah, de Daniel Kamwa (Cameroun)
- Prix SIGNIS : La Maison Jaune, de Amor Hakkar (Algérie)
- Prix Sembène Ousmane pour la paix : Nothing but the Truth, de John Kani (Afrique du Sud)
- Prix de l'Espoir : L'impasse, de Issa Saga (Burkina Faso)
- Prix Turin ville du cinéma : Timpoko, de Serge Armel Sawadogo (Burkina Faso)
- Prix Droits Humains : Les inséparables, de Christiane Chabi-Kao (Bénin)
- Prix des Nations unies pour la promotion des droits de l'enfant: L'as du lycée, de Missa Hébié (Burkina Faso)
- Prix de l'intégration (long métrage): Une femme pas comme les autres, de Abdoulaye Dao (Burkina Faso)
- Prix de l'intégration (court métrage): La femme porte l'Afrique, de Idrissa Diakité (Côte d'Ivoire)
- Prix de l'intégration (TV- vidéo) : Tonton Ali, de Whanonon Noukpo (Bénin)
- Prix spécial CNLS/IST (Conseil National de Lutte contre le SIDA et les Infections Sexuellement Transmissibles) : Merci les ARV, de Fanta Régina Nacro (Burkina Faso)
- Prix de la ville de Ouagadougou : Al ghaba ou les démons du Caire, de Ahmed Atef (Maroc)
- Prix Zaïn : Teza, de Hailé Gerima (Éthiopie)
- Prix du jeune talent : Dieu a-t-il quitté l'Afrique ?, de Musa Dieng Kala (Sénégal)
- Prix Plan pour les droits de l'enfant : Elfu Huanza Moja, de Maria Sarungi Tschai (Tanzanie)
- Prix CEDEAO : Le Fauteuil, de Missa Hébié (Burkina Faso)
- Prix RURART Poitou Charentes : Teza, de Hailé Gerima (Éthiopie)
- Prix de la Bourse de Développement des scénarios africains : Sokho, de Marie Kâ (Sénégal); Morbayassa, de Cheick Fantamady Camara (Guinée), Sarata, de Guy Désiré Yaméogo (Burkina Faso) ; Amour à Libreville, de Dawn Winkler (États-Unis) et Imunga Ivanga (Gabon).
22e Fespaco (2011)[16]Modifier
Elikia M’Bokolo est le parrain officiel de la vingt-deuxième édition qui a eu lieu du 26 février au 5 mars 2011[17] .
Longs métragesModifier
Le professeur de littérature et de film Mbye Cham est le président du jury dans cette catégorie[17].
- Étalon d'Or de Yennenga : Pégase de Mohamed Mouftakir Maroc
- Étalon d'Argent de Yennenga : Un homme qui crie de Mahamat Haroun Saley Tchad
- Étalon de Bronze de Yennenga : Le Mec idéal d'Owell Brown Côte d'Ivoire
- Étalon d'Honneur de Yennenga : Prix remis au comédien Sotigui Kouyaté pour l'ensemble de son œuvre cinématographique et reçu par sa famille
- Prix Oumarou Ganda : Notre étrangère de Sara Bouyain Burkina Faso
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Samia Méziane dans Voyage à Alger (Rihla Ila Aldjazayer) de Abdelkrim BahloulAlgérie
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Sylvestre Amoussou dans un Un pas en avant, les dessous de la corruption Bénin
- Prix du meilleur scénario : Abdelkrim Bahloul pour son film Voyage à Alger (Rihla Ila Aldjazayer) Algérie
- Prix de la meilleure image : Thierry Lebigre pour le film La Mosquée (Jamaâ) de Daoud Aoulad-Syad Maroc
- Prix du meilleur son : Taoufik Mekraz pour le film Pégase de Moftakir Mohamed Maroc
- Prix de la meilleure musique : Wasis Diop du Sénégal pour sa contribution sur les films Un pas en avant, les dessous de la corruption de Sylvestre Amoussou Bénin, Un homme qui crie de Mahamat Haroun saley Tchad et En attendant le vote… de Missa Hebie Burkina Faso
- Prix du décor : pour le film Da Monzon de Sidy Fassara Diabaté Mali
- Prix du montage : pour le film Le Poids du serment (Nyama) de Kollo Daniel Sanou Burkina Faso
- Prix de la meilleure affiche : pour le film Essaha de Dahmane Ouzid Algérie
- Prix Union Européenne : Notre étrangère de Sara Bouyain Burkina Faso
- Prix RFI du Public : non distribué faute de financement[18]
- Prix Paul Robeson du meilleur film de la diaspora : pour le film Les Amours d'un zombi d'Arnold Antonin (Haïti)
Courts métrages et film des écolesModifier
Le réalisateur nigérian Newton Aduaka est le président du jury courts métrages[17].
- Poulain d'Or de Yennenga : Garagouz de Abdenour Zahzah Algérie
- Poulain d'Argent de Yennenga : Tabou de Meriem Riveill Tunisie
- Poulain de Bronze de Yennenga : Tynie so de Daouda Coulibaly Mali
- Prix du Jury du Film des Écoles : Prix Non Décerné
- Prix du Meilleur Film Documentaire des Écoles : Ah les Blancs de Fatim Ouattara de l'Ecole ISIS Burkina Faso
- Prix du Meilleur Film Fiction des Écoles : l'Or blanc d'Adama Sallé de l'Ecole ESAV Maroc
DocumentairesModifier
Le cinéaste Moussa Touré est le président de cette catégorie[17].
- Premier Prix du Documentaire: "Monica Wangu Wamwere-The Unbroken Spirit" de Jane Murago-Munene Kenya
- Deuxième Prix du Documentaire: "Witches of Gambaga" de Yaba Badoe Ghana
- Troisième Prix du Documentaire: "Indochine sur les traces d'une mère" d'Idrissou Mora-Kpaï Bénin
Télévision VidéoModifier
Le cinéaste François Woukoache est le président de ce jury[17].
- Prix Spécial du Jury pour une œuvre de Série télévisée/VIDEO: Prix Non Décerné
- Prix de la Meilleure œuvre de Série télévisée/ VIDEO: "Ismael le gaffeur" de Mamadou N'Diaye Sénégal
- Prix Spécial du Jury pour une œuvre de fiction TV/VIDEO: "Champions of our time" de MAK Kusare Nigeria
- Prix de la Meilleure œuvre de TV/VIDEO: "Hop Ville" de John Trengeue Afrique du Sud
Mentions spéciales des jurysModifier
- jury long métrage: "En attendant le vote" de Missa Hebie Burkina Faso
- jury diaspora, dont le président de jury est le réalisateur John Akomfrah: "Moloch Tropical" de Raoul Peck Haïti et "Itemba" d'Errol WEBER Jamaïque.
- jury films documentaires: "State of Mine" de Djoe Tunda Wa Munga RDC et "SIBI, l'âme du violon" de K. Michel Zongo Burkina Faso
- jury Télévision Vidéo: "Lobolo" de Mathison Michel Afrique du Sud
- jury courts-métrages et films des écoles: "La Métaphore du Manioc" de Lionel Meta Cameroun et "Bipolium H 12" de Emmanuel Rotumbam de l'école ISIS Burkina Faso
Prix spéciaux[19]Modifier
- Prix Signis: Voyage à Alger (Rihla Ila Aldjazayer) d'Abdelkrim Bahloul Algérie
- Prix des Nations unies pour la lutte contre la pauvreté: Essaha de Dahmane Ouzid Algérie
- Prix des Nations unies pour les droits de l'enfant: Voyage à Alger (Rihla Ila Aldjazayer) d'Abdelkrim Bahloul Algérie
- Prix de l'espérance: Bénéré de Serge Armel Sawadogo Burkina Faso
- Prix INALCO: Notre Etrangère de Sara BOUYAIN Burkina Faso
- Prix des droits humains: Histoire de haine manquée d'Eddy Munyameneza Burundi
- Prix graine de baobab Wamdé et Alliance francophone: le linge sale d'Inoussa Kaboré Burkina Faso
- Prix Plan pour le droit des enfants: Bénéré de Serge Armel Sawadogo Burkina Faso
- Prix santé et sécurité au travail: Lobolo de Mathison Michel
- Prix Sembène Ousmane: Un homme qui crie de Mahamat Haroun Saley Tchad
- Prix de l'intégration pour le meilleur film ouest-africain: Champions of our time de MAK Kusare Nigeria
- Prix de l'espoir: La Métaphore du Manioc de Lionel Meta Cameroun
- Prix de la ville de Ouagadougou: L'eau va à la rivière d'Ed Adamo Kiangebeni Angola/RDC
- Prix René Monory de la meilleure école de cinéma: l'Or blanc d'Adama Sallé de l'Ecole ESAV Maroc
- Prix du meilleur talent émergent: La Métaphore du Manioc de Lionel Meta Cameroun
- Prix CSC: Paris mon paradis d'Éléonore Yaméogo Burkina Faso
- Prix UEMOA de l'intégration, tv-vidéo: Le cri de la tourterelle de Sani Elhadj Magori Niger
- Prix UEMOA de l'intégration, court-métrage: Un transport en commun de Dyana Gueye Sénégal
- Prix UEMOA de l'intégration, long-métrage: Da Monzon de Sidy Fassara Diabaté Mali
23e Fespaco (2013)[20]Modifier
La 23e édition, placée sous le thème : "Cinéma et politiques publiques en Afrique"[21], se tient du 23 février au 2 mars 2013. Pour cette édition, la première dame du Burkina Faso, madame Chantal Compaoré, a été désignée comme marraine officielle[22] et madame Alimata Salambéré, membre fondateur du Fespaco, est l'invitée d'honneur du festival[23]. Le pays à l'honneur est le Gabon[24].
Les films sélectionnés pour la compétition officielle ont été révélés le 21 janvier 2013, ils sont au nombre de 101 et 35 pays sont représentés. Les femmes sont à l'honneur pour cette édition puisqu'il n'y a que des présidentes à la tête de chaque jury.
4 films sont exclus de la compétition long métrage pour non-respect du règlement. En effet, seules les œuvres ayant des copies au Format 35 mm peuvent concourir pour l'Étalon d'Or. Or, en Afrique, ce format coûtant cher, ces films n'ont pu être «kinescopés». Cette exclusion a relancé le débat sur le format numérique[25].
Enfin, Djamila Sahraoui est la première femme à se voir décerner un Étalon depuis la création des récompenses en 1972.
Longs Métrages[26]Modifier
La réalisatrice Euzhan Palcy est la présidente du jury dans cette catégorie.
- Étalon d'Or de Yennenga: "Tey"[27] (aujourd'hui) d'Alain Gomis (Sénégal)
- Étalon d'Argent de Yennenga: "Yema"[28] de Djamila Sahraoui (Algérie)
- Étalon de Bronze de Yennenga: "La Pirogue"[29] de Moussa Touré (Sénégal)
- Prix Oumarou Ganda: "Les enfants de Troumaron" de Harrikrisna et Sharvan Anenden (Île Maurice)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Mariam Ouedraogo dans "Moi, Zaphira"[30] d'Apolline Traoré (burkina Faso)
Mention spéciale à Djamila Sahraoui pour son interprétation dans son film "Yema" (Algérie)
- Prix de la meilleure interprétation masculine :Saul Williams dans un "Tey" (aujourd'hui) d'Alain Gomis(Sénégal)
Mention spéciale à Hamadoun Kassogué dans "Toiles d'araignées" d'Ibrahima Touré (Mali)
- Prix du meilleur scénario :Jamal Belmahi pour "Les chevaux de Dieu" de Nabil Ayouch (Maroc)
- Prix de la meilleure image :Raphael O'Byrne pour "Yema" de Djamila Sahraoui (Algérie)
- Prix du meilleur son : Amaury de Guay de Nexon et Arthur Le Roux pour "Le collier de Makoko" de Henri-Joseph Koumba Bididi (Gabon)
- Prix de la meilleure musique : Michel Wintsch pour "Zabana!" de Said Ouled Khelifa (Algérie)
- Prix du décor : Ramdhane Kacer pour "Zabana!" de Said Ouled Khelifa (Algérie)
- Prix du montage : Mick Audsley pour "How to steal two millions" de Charlie Vundla (Afrique du Sud)
- Prix de la meilleure affiche : "Le collier de Makoko" de Henri-Joseph Koumba Bididi (Gabon)
- Prix Union Européenne : Por aqui tudo bem (Ici tout va bien) de Pocas Pascoal (Angola)
- Prix Paul Robeson du meilleur film de la diaspora : pour le film Le Bonheur d'Elza de Mariette Monpierre (Guadeloupe)
Courts métrages et film des écoles[26]Modifier
La réalisatrice Wanjiru Kinyanjui est la présidente du jury courts métrages et films des écoles.
- Poulain d'Or de Yennenga: "Les souliers de l'Aïd" d'Anis Lasoued (Tunisie)
- Poulain d'Argent de Yennenga: "La photographie" de David Randriamanana (Madagascar)
- Poulain de Bronze de Yennenga: "Dialemi" de Nadine Otsobogo (Gabon)
- Prix du Jury du Film des Écoles: "Rencontre virtuelle" de Ayéman Aymar Esse del 'école ISMA, (Bénin)
- Prix du Meilleur Film Documentaire des Écoles: "Hawan-Idi" d'Amina Mamani-Abdoulaye de l'Ecole IFTIC (Niger)
- Prix du Meilleur Film Fiction des Écoles: "Une partie de nous" de Jean-Baptiste Ouedraogo de l'Ecole ISIS (Burkina Faso)
Documentaires[26]Modifier
La réalisatrice Osvalde Lewat est la présidente de cette catégorie.
- Premier Prix du Documentaire: "Même pas mal" de Nadia Elfani (Tunisie)
- Deuxième Prix du Documentaire: "Calypso Rose, the lioness of the jungle" de Pascale Obolo (Cameroun)
- Troisième Prix du Documentaire: "Président Dia" d'Ousmane William Mbaye (Sénégal)
Télévision Vidéo[26]Modifier
La productrice Jacky Motsepe est la présidente de ce jury.
- Prix de la Meilleure Œuvre de Série télévisée/ VIDEO: "L’œil de la cité" de Samantha Biffot (Gabon)
- Prix Spécial du Jury pour une œuvre de Série télévisée/VIDÉO: "Waga Love" de Guy Désiré Yaméogo (Burkina Faso)
- Prix de la Meilleure œuvre de TV/VIDEO: "Beyond the picket line" (Au-delà des lignes ennemies) de K. Lentsoe Serote (Afrique du Sud)
- Prix Spécial du Jury pour une Œuvre de Fiction TV/VIDEO: "Zamora" de Bhangi Shams (Tanzanie)
- Mention spéciale pour "Congé de mariage" de Boubacar Diallo (Burkina Faso)
Prix spéciaux[31]Modifier
- Prix Signis : Terre et fils Fernand Lepoko (Gabon)
- Prix INALCO : Tey (Aujourd’hui) d'Alain Gomis (Sénégal)
- Prix des droits humains et civisme : Rencontre virtuelle d'Ayeman Aymar Esse (Bénin)
- Prix graine de baobab Wamdé et Alliance francophone : Zamaana (Il est temps!) de Zalissa Zoungrana-Babaud (Burkina Faso)
- Prix santé et sécurité au travail : Le prix de l’effort de Nantenaina Rakotondranivo (Madagascar)
- Prix Sembène Ousmane : Toiles d’araignées d'Ibrahima Touré (Mali) et Tey (Aujourd'hui) d'Alain Gomis (Sénégal)
- Prix de l'espoir de la banque mondiale : Le bois de la survie d'Abraham Fofana (Guinée Conakry)
- Prix de la ville de Ouagadougou : Ils sont fous, on s’en fout de Seydou Coulibaly (Côte d’Ivoire)
- Prix René Monory de la meilleure école de cinéma : Nuit de noces de Massino Bossou de l'ESAV (Maroc)
- Prix du meilleur talent émergeant de l’Organisation international de la francophonie (OIF) : La main gauche de Fadil Chouika (Maroc)
- Prix CSC : Congé de mariage de Boubakar Diallo (Burkina Faso)
- Prix UEMOA de l'intégration, tv-vidéo : Moly de Moly KANE (Sénégal)
- Prix UEMOA de l'intégration, court-métrage : non-décerné
- Prix UEMOA de l'intégration, long-métrage : La Pirogue de Moussa Traoré (Sénégal)
- Prix Critique africaine de la cinématographie : One man’s show[32] de Newton Aduaka (Nigéria)
- Prix ACP-Culture : The cut de Beryl Magoko (Kenya)
- Prix de la chance, LONAB : Sur la route d’un ange de Thierry Roland Ntamack (Cameroun)
- Prix Nescafé jeune espoir : Une couleur de vie d'Hurel Régis Béninga (Centrafrique)
- Prix Femmes pour l’Afrique : Même pas mal de Nadia El Fani (Tunisie)
- Prix Dan-Faso : Ini Hono Izi Ravorona de Sitraka Randriamahaly (Madagascar)
- Prix Initiative pauvreté et environnement : Le bois de la survie d'Abraham Fofana (Guinée)
- Prix Afrikenous : Le prix de l’effort de Nantenaina Rakotondranivo (Madagascar)
24e Fespaco (2015)[33]Modifier
- Étalon d'Or de Yennenga: Fièvres d’Hicham Ayouch (France, Maroc)[33]
- Étalon d'Argent: Fadhma N'Soumer de Belkacem Hadjadj (Algérie)
- Étalon de Bronze: L'Œil du cyclone de Sékou Traoré (Burkina Faso)
25e Fespaco (2017)Modifier
Longs métragesModifier
- Étalon d'Or de Yennenga: Alain Gomis pour son film «Félicité»[34].
- Étalon d'Argent: « mais pas antioccidental »
- Étalon de bronze : "A mile in my shoes" du Marocain Said Khallaf [35].
Courts métrages et films des écolesModifier
- Poulain d'or de Yennenga : Hymenée de Violaine Myriam Blanche Bellet, Maroc[36]
- Poulain d'argent : The Bicycle man de Twiggy Matiwana, Afrique du Sud
- Poulain de bronze : Khalina hakka khir (on est bien comme ça) de Mehdi Barsaoui, Tunisie
26e FespacoModifier
Autres initiativesModifier
- LE FESPACO OLVIDO ou MINIFESPACO a pour but de promouvoir le cinéma africain en dehors de la capitale. Il est organisé par l'institut Olvido en partenariat avec le Fespaco. La première édition s'est tenue à Ouahigouya du 5 jusqu'au 8 juin 2013 et a permis la diffusion d'une douzaine de film sélectionnés pour l'édition 2013[37].
Notes et référencesModifier
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Cinéma burkinabé » (voir la liste des auteurs)
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Ouagawood » (voir la liste des auteurs)
- L’Histoire du Fespaco avec un grand «H», interview de Colin Dupré par Siegfried Forster pour RFI, publié le 22 février 2013
- Naissance et évolution du FESPACO de 1969 à 1973, Chez l'auteur, Hamidou Ouédraogo (ancien Trésorier général du Fespaco), 1995,p.61, B009NHB2EO
- 1er Festival de Cinéma Africain de Ouagadougou sur le site du FESPACO
- Fespaco (Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou) par Colin Dupré sur Africulture
- Évolution du Fespaco depuis sa naissance, interview d'Alimata Salambéré, fondatrice du FESPACO sur Afrik.com
- Colin Dupré, Fespaco, une affaire d'État(s), 1969-2009, L'Harmattan, 2012
- Vincent Malausa, « Faut-il brûler le Fespaco ? », Cahiers du cinéma, no 689, , p. 67-68
- La nouvelle politique du cinéma en Afrique sur RFI publié le 1er mars 2013
- le Sénégal pour la première fois sur Sidwaya, publié le 3 mars 2013
- Christian Ndounou-Delwami, « BBC Afrique en direct au FESPACO », sur bbc.co.uk, (consulté le 14 juin 2011)
- Karin Tshidimba, « Voir Ouaga et revenir », sur lalibre.be, (consulté le 22 juillet 2011)
- Le parrain du Fespaco : Choix politique ou… sur Clap noir
- FESPACO 2007Le Mali invité d'honneur à Ouagadougou, Le Républicain (Mali), 6 décembre 2006
- 20e édition du FESPACO : Une trentaine de prix spéciaux décernés sans le Mali, L’Indépendant (Mali), 6 mars 2007
- Palmarès Fespaco 2009 : Teza de l'Ethiopien Haïlé Gerima décroche l'Etalon de Yennenga et le prix de la critique le palmarès complet (officiel et prix spéciaux) sur le site Africultures [1] consulté le 20 avril 2009
- Palmarès Fespaco 2011 : Le 22e Fespaco s'est tenu du 26 février au 5 mars 2011 sur Africultures, publié en mars 2011. (Consulté le 22 septembre 2014)
- 22e Fespaco : Le parrain s’appelle Elikia M’Bokolo sur lefaso.net
- Prix du public : les compagnies téléphoniques doivent s’investir publié sur clap noir le 14 mars 2011
- FESPACO 2011 : Le palmarès des prix spéciaux sur lefaso.net publié le 9 mars 2011
- Dossier spécial Fespaco 2013, RFI, 5 mars 2013
- La nouvelle politique du cinéma en Afrique, RFI, 1er mars 2013
- FESPACO 2013: La machine de l’organisation est lancée! sur Burkina24, publié le 21 janvier 2013
- Alimata Salambéré, une pionnière à l’honneur sur Sidwaya publié le 23 février 2013
- Ouverture du FESPACO 2013 : Quand la politique s’invite au cinéma sur lefaso.net publié le 24 février 2013
- FESPACO 2013: le support numérique loin d’être reconnu au festival sur techmissus
- http://www.clapnoir.org/spip.php?article977 sur clap noir publié le 3 mars
- Fespaco 2013: Alain Gomis emporte l’Etalon d’or de Yennenga, RFI, 3er mars 2013
- Le cinéma maghrébin au Fespaco: «Yema» et «Love in the Medina» RFI, 25 février 2013
- Moussa Touré: «La Pirogue est une claque à ceux qui nous gouvernent», RFI, 25 février 2013
- «Moi Zaphira», Bravo Apolline Traoré !, RFI, 27 février 2013
- FESPACO 2013 : Le palmarès des prix spéciaux sur le site de la RTB publié le 3 mars 2013
- Fespaco : le Prix de la critique africaine parrainé par RFI pour «One Man’s Show» d’Aduaka Newton Ifeanyi, RFI, 2 mars 2013
- « Cinéma africain: le film marocain "Fièvres" sacré au Fespaco », sur La Libre Belgique, (consulté le 8 mars 2015)
- « Le palmarès du Fespaco en état de «Félicité» et touché par «L’Orage africain» - RFI », RFI Afrique, (lire en ligne, consulté le 5 mars 2017)
- « Fespaco 2017: Le film marocain "A mile in my shoes" recompensé », Menara.ma, (lire en ligne, consulté le 5 mars 2017)
- « Palmares de la 25eme édition du Fespaco - CLAP NOIR : cinémas et audiovisuels Africains », sur www.clapnoir.org (consulté le 22 janvier 2019)
- FESPACO 2013 : les 12 meilleurs films seront projetés à Ouahigouya. Retrieved 05/29/2013 from http://www.ouahigouya.org/index.php?option=com_content&view=article&id=99:fespaco-2013-les-12-meilleurs-films-seront-projetes-a-ouahigouya&catid=1:latest-news
Voir aussiModifier
Articles connexesModifier
BibliographieModifier
- Colin Dupré, Le Fespaco, une affaire d'État(s). 1969-2009 , Paris, L'Harmattan, 2012, 406 pages, (ISBN 2336001632)
- Patrick G. Ilboudo, Le FESPACO, 1969-1989: les cinéastes africains et leurs œuvres, original provenant de l'université du Michigan, La Mante, 1988.
FilmographieModifier
- Les Parias du cinéma, d'Idrissa Ouedraogo, 1997, film documentaire, 6 min.
- Les Fespakistes, d'Eric Münch et François Kotlarski, 1999-2001, film documentaire, 52 min.
- Au bord de la piscine, de Mónica Blanc Gómez, 2006, film documentaire, 13 min
- Dix mille ans de cinéma, de Balufu Bakupa-Kanyinda, 1991, film documentaire, 13 min
Liens externesModifier
- Site officiel
- (en) Fespaco 2009 sur RFI
- Présentation du Fespaco sur Africultures