Ailly-le-Haut-Clocher

commune française du département de la Somme
(Redirigé depuis Famechon (Ailly))

Ailly-le-Haut-Clocher
Ailly-le-Haut-Clocher
La mairie.
Blason de Ailly-le-Haut-Clocher
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Antoine Berthe
2020-2026
Code postal 80690
Code commune 80009
Démographie
Gentilé Aillacois et Aillacoise
Population
municipale
1 016 hab. (2021 en augmentation de 6,95 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 04′ 43″ nord, 1° 59′ 46″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 115 m
Superficie 10,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Ailly-le-Haut-Clocher
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Ailly-le-Haut-Clocher
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Ailly-le-Haut-Clocher

Ailly-le-Haut-Clocher est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Depuis juillet 2020, la commune fait partie du parc naturel régional de la Baie de Somme Picardie maritime[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes d’Ailly-le-Haut-Clocher
Yaucourt-Bussus et
Bussus-Bussuel
Domqueur et
Ergnies
Francières et
Buigny-l'Abbé
  Brucamps
Long et
Cocquerel
Villers-sous-Ailly

Description modifier

Ailly-le-Haut-Clocher est située sur un vaste plateau à 107 m d'altitude. Il n'existe qu'une légère ondulation de terrain vers l'est. La commune relevait autrefois du comté de Ponthieu, province historique de Picardie. Le bourg est situé sur l'axe Abbeville-Amiens, à une dizaine de kilomètres au sud-est d'Abbeville.

L'ancienne Route nationale 1, devenue route départementale 1001, traverse l'agglomération. L'autoroute A16 longe la limite communale au nord.

En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80 (axe Abbeville - Flixecourt - Amiens, ligne no 17), chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 836 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ailly-le-Haut-Clocher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,3 %), zones urbanisées (10 %), prairies (5,6 %), forêts (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Trois quartiers composent la commune : Ailly (le « centre »), Famechon et Alliel, autrefois considérés comme des hameaux. Dans les années 1940, Alliel est encore écrit « Ailliel ».

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 448, alors qu'il était de 428 en 2013 et de 385 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89,3 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ailly-le-Haut-Clocher en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,3 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Ailly-le-Haut-Clocher en 2018.
Typologie Ailly-le-Haut-Clocher[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,3 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 6,4 8,4 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous sa forme latine Asliacum, Alliacum en 814, Alliacus, Aliacus, Alli et dérive de l'anthroponyme romain Allius[réf. nécessaire].

Le toponyme Ailly vient de la ferme d'« Alius », ferme gallo-romaine qui se trouvait au niveau du cimetière actuel, sur la route nationale et dont on voit des traces sur les photos aériennes. Fut ajoutée au nom de la localité la mention d'un haut clocher, à cause de la caractéristique d'autrefois de la flèche de l'église qui servit d'observatoire aux académiciens chargés de dresser la carte de France de Cassini en 1760[réf. nécessaire].

Certains habitants disent encore Ailly-Clotcher en picard.

Histoire modifier

Préhistoire - Antiquité modifier

Ailly est d'origine ancienne. Des haches de pierre, des cercueils de pierre contenant des squelettes et des médailles, trouvés entre Ailly et Famechon, au lieudit les Trois Villes font croire à l'existence en cet endroit d'un cimetière gallo-romain.

Une hache en bronze est également découverte en 1888[15].

Moyen Âge modifier

En 831, Ailly appartient à l'abbaye de Saint-Riquier. Quatre fiefs se créèrent à Ailly : un tenu par Nicolas Deroussen, un autre par Jean Maye, un troisième tenu par J. Belleborgue et aussi un par François de Bacouel. Le fief de Famechon était tenu par Bernard et celui d'Alliel par J. Fuzelier[réf. nécessaire].

Temps modernes modifier

En 1546, l'église d'Ailly est incendiée par des scélérats : 130 habitants qui s'y étaient réfugiés périrent. Le chef des incendiaires fut brûlé à Abbeville le .

En 1556, est construite la flèche d'Ailly par François Glassant, charpentier.

En 1590, le hameau de Famechon abrite une garnison de ligueurs.

En 1615, Ailly est ravagée par les troupes du maréchal d'Ancre (qui meurt assassiné le ).

En 1639, Ailly est pillée par les troupes françaises du maréchal de la Meilleraye.

En 1651, a lieu un combat avec les cavaliers du fisc d'Abbeville, qui sont battus.

Époque contemporaine modifier

La commune, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1793 celles de d'Ailhel et de Famechon[16].

En , Victor Hugo est de passage[17] dans le bourg. Il y signale « peu de choléra ». Sur la route principale, la commune possède alors encore son relais de poste qui donne beaucoup d'animation dans la localité. Cette activité perdure pendant environ 200 ans, gérée par la famille Deroussen.

La « boutonnerie » de la famille Sabras, atelier de fabrication de boutons de nacre, emploie jusqu'à une quarantaine de personnes pendant une période à cheval sur les XIXe et XXe siècles. Une rue Sabras existe encore en face de l'entrée des anciens locaux qui ont été le siège de la communauté de communes du Haut-Clocher.

La commune est ravagée par la grêle en 1885.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, en 1944, la commune est bombardée par les alliés, bombardements visant la base de V1 située à Alliel, en périphérie du village.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Ailly-le-Haut-Clocher[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Rue

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

Intercommunalité modifier

Ailly-le-Haut-Clocher était le siège de la communauté de communes du Haut-Clocher, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Albert Bilhaut Républicain de gauche[18] agriculteur, marchand de charbon, président du syndicat d'électrification d'Ailly-le-Haut-Clocher,
conseiller d'arrondissement d'Abbeville, canton d'Ailly-le-Haut-Clocher de 1919 à 1937
    Mortier   Maire d'Ailly durant la Seconde Guerre mondiale.
    Angilbert Berthe   agriculteur
mars 1971 1995 Alain Jacques[19]   médecin généraliste, conseiller général d'Ailly-le-Haut-Clocher de 1967 à 1998
1995 2001 Arnaud Dubois   médecin généraliste
mars 2001 En cours
(au 16 juillet 2020)
Antoine Berthe   agriculteur
Vice-président de la CC Ponthieu-Marquenterre (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[20],[21]

Jumelages modifier

  Fexhe-le-Haut-Clocher (Belgique)

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

 
Cybercentre et école intercommunale Victor-Hugo.

Le bourg dispose d'une école intercommunale et du collège Alain Jacques. Ces établissements sont classés en zone B pour les vacances scolaires et dépendent de l'Académie d'Amiens.

L'école intercommunale Victor Hugo , siège d'un regroupement pédagogique concentré, a été mise en place à Ailly-le-Haut-Clocher en 2009. Elle scolarise 303 élèves du primaire au cours de l'année scolaire 2014-2015 et regroupe des écoliers d'Ailly-le-Haut-Clocher, Brucamps, Domqueur, Ergnies, Long, Mouflers, Yaucourt-Bussus[22]. En 2022-2023, douze communes relèvent du secteur[23].

Population et société modifier

Les habitants sont appelés les Aliacois ou les Aliaciens.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 1 016 habitants[Note 3], en augmentation de 6,95 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7371 0501 2511 3171 2621 3171 2431 2411 206
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1911 1841 1881 1071 1291 0651 044989936
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
954938928799762735764688787
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
778757778801809831853863859
2014 2019 2021 - - - - - -
9509971 016------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs modifier

L’Ascla, association sportive et culturelle d’Ailly, propose quatre activités :

  • le renforcement musculaire (aérobic, stretching ...) ;
  • la gymnastique douce ;
  • le yoga ;
  • l’atelier pictural qui réunit les artistes peintres[27].

Économie modifier

La commune rurale se trouve sur l'axe routier Abbeville/Amiens, ce qui favorise l'emploi hors du territoire communal. Jusque dans les années 1930, l'usine de confection de boutons de nacre Sabras employait les Aliacois.

Désormais, la vie économique s'est réduite à deux producteurs d'endives qui emploient jusqu'à 35 personnes en période de production, l'agriculture, quelques artisans et commerçants.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Monument aux morts :
    Il est érigé à côté (flanc sud) de l'église. Les quatre obus qui l'entourent ne laissent dépasser de terre que leur extrémité supérieure, dépourvue de leur ogive[31]

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules au chef échiqueté d'argent et d'azur de trois tires, au haut clocher d'argent brochant sur le tout[34].
Détails
Ornement extérieur :
  • Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze. Citation à l'ordre du régiment du  : « bourg dont l'attitude a été très courageuse au cours de la guerre 1939-1945. Aux deux cinquièmes détruit, s'est remis avec foi et ardeur au travail[34]. »

    La commune a adopté ces armoiries le . Le chef reprend celui de la famille d'Ailly, seigneur du lieu au XVe siècle. Le clocher représente celui du clocher de la commune datant de 1556[35].

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. « Un nouveau parc naturel régional est né », Courrier picard,‎ , p. 6.
  2. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Ailly-le-Haut-Clocher et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Lire en ligne la communication de la Société d'émulation historique d'Abbeville », .
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Pour les détails et les sources, voir le site perso de Marc Roussel.
  18. Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme, Amiens, (www.somme.fr/getpdf.php?a=853711&v=2).
  19. Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme (1800-1945), de J-Michel Schill, Amiens, 2011, en ligne [www.somme.fr/getpdf.php?a=853711&v=2]
  20. Johann Rauch, « Ponthieu-Marquenterre : Qui à la tête de l’intercommunalité… : Focus sur la nouvelle gouvernance de l'intercommunalité Ponthieu-Marquenterre… », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Antoine Berthe, maire d’Ailly-le-Haut-Clocher réélu pour un quatrième mandat en mars dernier ».
  21. « Liste des maires de la Somme » [ods], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. Bulletin municipal de Long, juillet-août 2015.
  23. « Les parents d'élèves ne désarment pas », Courrier picard, vol. édition Picardie maritime,‎ , p. 17A.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « La saison de l'ASCLA », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 10.
  28. « L'église sur Somme-photos ».
  29. Clochers.org
  30. « L'église sur le site clochers.org ».
  31. Karl-Michael Hoin, « Monument aux morts d'Ailly-le-Haut-Clocher : dossier IA80010940 réalisé en 2022 », sur inventaire.hautsdefrance.fr, Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  32. Généalogie de la famille d'Ailly
  33. a et b Archive de la maison de Ribeaucourt ; et Généalogie de Ribeaucourt, manuscrit de la bibliothèque d'Amiens
  34. a et b Jean Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, Abbeville, F. Paillart, , p. 13.
  35. « Le blason dans l'Armorial de France ».