Drevant

commune française du département du Cher

Drevant
Drevant
Le théâtre gallo-romain.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes du Cœur de France
Maire
Mandat
Patrick Bigot
2020-2026
Code postal 18200
Code commune 18086
Démographie
Population
municipale
549 hab. (2021 en diminution de 2,49 % par rapport à 2015)
Densité 113 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 41′ 39″ nord, 2° 31′ 33″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 250 m
Superficie 4,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Amand-Montrond
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Amand-Montrond
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Drevant
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Drevant

Drevant est une commune française, située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire, dans un environnement naturel préservé (zone natura 2000) et proche de la sortie autoroute A71 (Saint-Amand-Montrond).

Détail de la façade du prieuré

Drevant est un important site gallo-romain.

Le Moyen Âge revêt une importance majeure dans la constitution du village où le prieuré, site clunisien, a joué un rôle essentiel ; cela représente plus de 7 siècles d'implantation monastique qui ont façonné le paysage.

Drevant est l'une des dix-neuf communes de la communauté de communes Cœur de France, riches en intérêt patrimonial et touristique.

Géographie modifier

Drevant est situé sur la rive droite du Cher.

Localisation modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orval à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ORVAL (18) - alt : 165m, lat : 46°43'18"N, lon : 2°28'59"E
Records établis sur la période du 01-09-1990 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 0,8 2,8 4,9 8,7 12,3 14 13,7 10,2 7,8 3,9 1,6 6,8
Température moyenne (°C) 4,7 5,3 8,4 11,1 15 18,7 20,7 20,5 16,6 13 8,1 5,1 12,3
Température maximale moyenne (°C) 8,2 9,7 14 17,3 21,2 25 27,5 27,3 23 18,1 12,2 8,6 17,7
Record de froid (°C)
date du record
−12,7
26.01.07
−13,6
09.02.12
−12,2
01.03.05
−4,3
11.04.03
−1,1
08.05.1997
3,9
04.06.01
6
17.07.00
3,5
30.08.1993
1,2
20.09.12
−7,6
30.10.1997
−9,6
21.11.1993
−12,5
16.12.01
−13,6
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
20,2
05.01.1999
24,7
27.02.19
26,7
16.03.12
30,7
30.04.05
34
27.05.05
41,8
29.06.19
42,3
24.07.19
41,6
06.08.03
37
14.09.20
30,3
12.10.18
26,3
07.11.15
19
17.12.15
42,3
2019
Précipitations (mm) 59,9 48,6 50,1 66 77,8 61,8 62,1 55,1 67 69,3 70,4 69 757,1
Source : « Fiche 18172001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Drevant est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amand-Montrond, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 11 794 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,4 %), prairies (19,8 %), zones urbanisées (19,2 %), terres arables (16,7 %), forêts (4 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Drevant est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, une rupture de barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher et le canal de Berry. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[18],[16].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Drevant.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[19]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 309 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 309 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Derventum en 1217[23].

Il s'agit d'un composé celtique (gaulois) basé sur le substantif dervos « chêne » et le suffixe prélatin -entum[23] que l'on retrouve dans les Nogent (Novientum). Derventum remonte plus précisément à *Derventon « chênaie » et est homonyme de Darvoy (Loiret, Darvetum 1137)[24], formé un autre suffixe, à savoir le suffixe collectif -etum (-ETU) qui a donné le suffixe -aie en français (chênaie, hêtraie, etc.). Il existait en ancien français un mot dervée « forêt de chêne »[24].

Le brittonique conserve le même mot : moyen breton deru « chênes », breton dervenn, gallois derwen[24]. Plus loin, il s'agit d'une forme apophonique de l'indo-européen *dóru, génitif *dréus, en composition *dru- « arbre, bois » → « dur, solide, ferme »[24].

Histoire modifier

Drevant conserve les traces d'une forte activité cultuelle de la période gallo-romaine. L'amphithéâtre, souvent considéré à tort comme un lieu de spectacles sanglants (fauves, gladiateurs), s'inscrit dans un ensemble religieux complet et cohérent :

  • espace sacré comprenant 2 fana associés à une source ;
  • sanctuaire des eaux, parfois considéré comme un établissement thermal ;
  • aqueducs alimentant le sanctuaire, en provenance de la source de Meslon à Coust et du Chignon à Colombiers.

Le site est à l'écart de la voie antique, qui se trouve sur l'autre rive du Cher.

On ignore le nom de la ou des divinités honorées dans ce lieu, mais son étendue et sa position géographique en font un des lieux sacrés les plus importants de la cité des Bituriges (voir les musées de Saint-Amand-Montrond et de Bourges).

Une nécropole médiévale a été fouillée entre le prieuré et l'église paroissiale.

À l'époque féodale, l'amphithéâtre est réutilisé pour servir de base à une forteresse dépendant de la seigneurie de Charenton (creusement d'un puits dans le sol de l'arène et fondation d'un bâtiment ).

Ebbe de Charenton donne en 1055 à l'abbaye creusoise du Moûtier-d'Ahun, l'église primitive ; elle y établit un prieuré cure. Il aura une importance économique pour le village, liée entre autres à la viticulture, propice sur les coteaux du Cher et développée par les moines.

La commune possédait au XIXe siècle un important terroir viticole, dont il subsiste de nombreuses « loges de vigne ».

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 mai 2020 Bernard Jamet[25]   Retraité de l'enseignement
mai 2020 En cours Patrick Bigot[25],[26]   Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise

Politique environnementale modifier

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[27].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 549 habitants[Note 4], en diminution de 2,49 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
304453497256204194188216250
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
269276323308301306306308343
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
307343306305290247212249235
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
260283355486533610621631580
2014 2019 2021 - - - - - -
565549549------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

L'agglomération secondaire gallo-romaine modifier

Le site antique de Drevant comprend deux fana, un établissement thermal et un théâtre.

Les ruines gallo-romaines (thermes 1, thermes 2, théâtre et sanctuaire dit forum, la basilique civile, au sud du sanctuaire) sont classées parmi les monuments historiques : liste de 1840[32]. La summa cavea du théâtre est classée parmi les monuments historiques : arrêté du 6 août 1992. Inscription sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques : arrêté du 16 09 1991, annulée. Peuvent être considérés comme classés sur la liste de 1840, les éléments fouillés par Hazé : le premier édifice thermal, à cheval sur les parcelles AN 59 et 62 (école communale, propriété de la commune), et sur le domaine public communal non cadastré ; le second édifice thermal, à cheval sur les parcelles AN 82 335 (propriétés d'une personne privée), et sur le domaine public communal non cadastré ; le théâtre : n'était alors visible que la cavea, parcelle AN 274 (propriété de l’État) ; le sanctuaire appelé forum, parcelles AN 275 (propriété de l’État), AN 55 et 56 (propriétés d'une personne privée) et sur le domaine public communal non cadastré, ainsi que sur les parcelles ZI 33, 34, 35 (propriétés d'une personne privée). Le classement du 6 août 1992 a ajouté la parcelle AN 67, correspondant à la summa cavea du théâtre (propriété de l’État). D'autres parcelles correspondant à la summa cavea, propriétés privées, restent à protéger.

Le prieuré de Drevant modifier

 
Détail de la façade du prieuré

Le prieuré roman, dépendance de l'abbaye de Moutier-d'Ahun (Creuse), avec façade ouvragée de style poitevin composée d'une corniche avec 8 beaux modillons et de 3 arcades. La façade du prieuré est inscrite sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques (arrêté du 2 mars 1926).

En 2015, le prieuré de Drevant, membre de la Fédération européenne des sites clunisiens, a fêté les 960 ans de l'acte de donation à l'abbaye du Moutier-d'Ahun. En 2018, ses rendez-vous culturels sont labellisés par le ministère de la Culture pour l'année européenne du patrimoine culturel et il reçoit en 2020, 2021, 2022 et 2023, le label "Nouvelles Renaissances" de la région Centre val de Loire.

 
Pont sur le Cher entre Drevant et La Groutte (D97)

Autres monuments modifier

  • L'église : chœur du XVe siècle, horloge XVIIIe à une aiguille en façade, acrotère provenant du site gallo-romain,escalier menant au clocher XIX ème; ruban du patrimoine en 2004 pour renovation enduit intérieur.
  • Le pont du Cher, de style Eiffel, construit par la société Hachette et Driout de Saint-Dizier, inauguré le 17 avril 1898, enjambant le Cher vers La Groutte sur 84 m.

Le canal de Berry modifier

  • Le canal de Berry passe à Drevant ; il y longe le Cher qu'il surplombe (à voir : le pont-levis de Marigny, en bois).

Patrimoine rural modifier

  • Granges à auvent ;
  • Loges de vignes ;
  • Puits.

Vie culturelle modifier

Drevant possède une Maison du Patrimoine qui accueille des expositions.

Chaque année, durant les deux jours du premier week-end du mois de juillet, ont lieu Les Derventiales. Ce festival attirant plus de 2 000 visiteurs rassemble plusieurs troupes de reconstitution historique travaillant sur le thème des Celtes et des Romains. Ils font revivre l'artisanat, le domaine militaire, la vie de camp, donnant un aperçu de ce qu'était la vie de tous les jours au temps de nos ancêtres.

  • Le sentier de César, randonnée pédestre et équestre en mars ;
  • Les 5 heures de Drevant, course nationale de motos verte par équipage en juin ;
  • Fête de Drevant et vide-greniers en juin ;
  • Fête du canal en août ;
  • Journées du Patrimoine en septembre ;
  • Concert musical à l'église, en novembre ;
  • Marché de Noël en décembre ;
  • Rendez vous culturels du Prieuré de Drevant. CRHEA : cercle de recherches historiques et expression artistique du domaine du prieuré de Drevant.

Georges Simenon s'est inspiré de son passage à Drevant dans son roman Maigret et le tueur.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Drevant et Orval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Saint-Amand-Montrond », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Drevant », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
  24. a b c et d Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Éditions Errance, (ISBN 2-87772-237-6), p. 140-141
  25. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Notice no PA00096786, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier