Dompierre-sur-Yon

commune française du département de la Vendée

Dompierre-sur-Yon
Dompierre-sur-Yon
Le lac de Rortheau.
Image illustrative de l’article Dompierre-sur-Yon
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité La Roche-sur-Yon-Agglomération
Maire
Mandat
François Gilet (DVG)
2020-2026
Code postal 85170
Code commune 85081
Démographie
Gentilé Dompierrois
Population
municipale
4 457 hab. (2021 en augmentation de 5,44 % par rapport à 2015)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 14″ nord, 1° 23′ 07″ ouest
Altitude 81 m
Min. 56 m
Max. 94 m
Superficie 33,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Dompierre-sur-Yon
(ville isolée)
Aire d'attraction La Roche-sur-Yon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Roche-sur-Yon-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Dompierre-sur-Yon est une commune française, du département de la Vendée dans la région Pays de la Loire.

Ses habitants sont appelés les Dompierrois.

Géographie modifier

Dompierre-sur-Yon se situe au cœur du bocage vendéen, dans la vallée de l'Yon, affluent du Lay. La ville est située à 8,5 km au nord de La Roche-sur-Yon et à environ 60 km au sud de Nantes. La ville est composée d'un centre-bourg et de nombreux hameaux éparpillés sur les 3 360 ha de la commune.

Le territoire municipal de Dompierre-sur-Yon s'étend sur 3 393 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 81 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 56 et 94 mètres[1],[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de La Roche-sur-Yon à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 885,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Dompierre-sur-Yon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dompierre-sur-Yon, une unité urbaine monocommunale[12] de 4 244 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,9 %), zones agricoles hétérogènes (35 %), prairies (13,1 %), zones urbanisées (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), forêts (1,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

En poitevin, la commune est appelée Dunpiére[18]. De même origine que Dampierre, le toponyme Dompierre vient de « domnus Petrus » c'est-à-dire « saint Pierre », domnus étant la contraction de dominus (seigneur), employé pour « saint » de l'époque mérovingienne jusqu'au Xe siècle[19].

Histoire modifier

Des traces de présence néolithique puis celte attestent des premières occupations sur le territoire de la commune. Un cimetière d'urnes a été découvert et fouillé à la Créancière au XIXe siècle[20]. Datant de l'époque romaine (IIe siècle), il prouve la présence d'une communauté à cette époque au sud du futur territoire communal qui restera longtemps sa partie la plus peuplée, comme le montre la forte densité de lieux-dits anciens le long de l'Yon et de ses affluents[21]. Entre le XIe et le XIIIe siècle, une famille « de Dampierre » (écrit aussi « de Dompierre ») est attestée par trois actes de donation. Son premier membre connu, Guillaume de Dampierre, vivait vers 1050, ce qui prouve l'existence de Dompierre à cette date. Sur une donation datant d'environ 1230, Jean de Dampierre est qualifié de seigneur de Dampierre près la Roche-sur-Yon. Après la fille de ce dernier, cette famille comme sa seigneurie disparaissent des sources historiques[22]. L'église de Dompierre est cité pour la première fois en 1179 (Ecclesiam Dampetri)[23]. Elle appartient alors à l'abbaye Saint-Jouin-de-Marne (Deux-Sèvres), l'un des plus anciens monastères de France. Un prieuré dessert cette église ; il reste aujourd'hui de ce prieuré un bâtiment daté de 1628[24]. Au XIVe siècle, le territoire de Dompierre apparaît inclus pour l'essentiel dans les seigneuries de la Jarrie (Saligny), de la Ralière (la Merlatière) et de la Merlatière. Les trois seigneuries appartenant au même seigneur (famille de Rezay) et étant vassales indirectes, puis directes après 1503, du même suzerain, le vicomte de Thouars, elles sont réunies en 1504 en une seule châtellenie dont le notaire est installé à Dompierre[25]. Une grande partie du nord de l'actuelle commune semble faire partie d'une vaste forêt dont il ne reste aujourd'hui, à Dompierre, que le bois des Gâts[26]. C'est la présence de cette forêt qui explique l'installation de maîtres verriers à Rortheau (famille Bertrand, puis famille de Rossy) entre le XVe et XVIIIe siècles[27]. À partir du XVIe siècle, les principaux seigneurs résidant à Dompierre sont ceux des Gâts (famille de La Haye-Montbault, puis famille de Guerry de Beauregard)[22]. Pendant la guerre de Vendée (1793-1796), Dompierre est en plein pays insurgé. À partir de juin 1794, elle se trouve de facto sous l'autorité du chef vendéen Charette qui a installé son quartier général à Belleville-sur-Vie[28]. Le bois des Gâts servait parfois de refuge et de lieu de cache des munitions pour les royalistes, particulièrement à partir de novembre 1795 et durant l'hiver 1796 lorsque les troupes du général Travot pourchassaient celles de Charette[28]. Durant la deuxième moitié du XIXe siècle, le bourg de Dompierre se transforme : les propriétaires reconstruisent de nombreuses maisons de ce qui est aujourd'hui la partie ancienne du bourg et une nouvelle église est construite[26] en 1879-1881 dans un style éclectique médiéval associant des éléments néo-roman pour l'extérieur à des éléments néo-gothique pour la voûte intérieure. L'ancienne église est détruite en 1887[29] ; son emplacement est aujourd'hui indiqué par un marquage au sol sur la place du Prieuré. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le bois des Gâts est le lieu de rassemblement du Maquis R1 qui réceptionnera des armes parachutées par les Alliés durant l'été 1944 afin de soutenir le combat de la Résistance vendéenne[30]. Le village se développe doucement jusqu'au XXe siècle (1 324 habitants en 1962). La fin du XXe siècle et le début du siècle actuel sont marqués par une croissance du nombre d'habitants du fait de sa proximité avec La Roche-sur-Yon et de la construction de nouveaux lotissements au centre-bourg[31].

Dompierre de France modifier

Dompierre fait partie de l'Association des Dompierre-de-France regroupant 23 communes françaises dont le nom comporte Dompierre. Chaque année, une commune différente accueille la fête. Dompierre-sur-Yon a déjà accueilli ses cousins Dompierrois et Dompierrais en 1996 et 2006[32]. En 2013, la fête nationale a eu lieu le 1er week-end de juillet à Dompierre-les-Ormes en Saône-et-Loire.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Aimé Rocheteau    
[33]
(démission)
Gérard Hermouet SE Agriculteur
Réélu en 1977, 1983, 1989 et 1995[34]
[35] Dominique François DVD Professeure d'anglais
Réélue en 2001[36]
[37] juillet 2020 Philippe Gaboriau PS Cadre dirigeant territorial
Réélu en 2014[38]
juillet 2020 en cours François Gilet DVG Cadre territorial
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 4 457 habitants[Note 4], en augmentation de 5,44 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 0065149931 0201 0891 2271 4101 3801 366
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 4111 5321 5001 5931 6101 7141 6861 6691 701
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 6961 6371 4171 4341 4441 4161 3301 3521 354
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
1 3391 5472 3582 9753 1913 5283 7584 0664 227
2020 2021 - - - - - - -
4 3944 457-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 164 hommes pour 2 130 femmes, soit un taux de 50,40 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,7 
4,3 
75-89 ans
4,6 
17,2 
60-74 ans
18,2 
23,2 
45-59 ans
23,3 
19,0 
30-44 ans
20,0 
15,0 
15-29 ans
13,2 
21,2 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Lieux et monuments modifier

  • Domaine de la Haute-Braconnière : maison-tour et communs construits vers 1602 par Jean Régnon, un cadet d'une famille noble des Clouzeaux converti au protestantisme. Inscription aux monuments historiques en 2010.
  • Proximité au sud de la commune (au hameau de la Berthelière) du barrage du moulin Papon sur l'Yon.
  • Étangs de Malvoisine, une promenade agréable qui serpente au nord de la commune.
  • La stèle du maquis R1 au bois des Gâts, lieu de la Résistance intérieure française lors de la Seconde Guerre mondiale en 1944.
  • Pont de Pierre-Plate : formé de trois grands blocs monolithes plats et allongés, d'origine inconnue.
  • Château de Rortheau (1844).
  • Église Saint-Pierre (1881).
  • Chapelle de Margerie (1844) : lieu de culte marial (chapelle et source).
  • Logis de l'Eraudière (XVe-XVIe s.) et de Beaumanoir (XVIIe s.).

Personnalité liée à la commune modifier

Jumelages modifier

Événements modifier

  • Tournoi annuel national de football féminin le week-end de Pentecôte.
  • Rassemblement des Dompierre de France chaque année dans une ville ou village différent.

Pour approfondir modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Commune 22265 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Dompierre-sur-Yon », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Dompierre-sur-Yon et La Roche-sur-Yon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Roche-sur-Yon », sur la commune de La Roche-sur-Yon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « La Roche-sur-Yon », sur la commune de La Roche-sur-Yon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Dompierre-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 126.
  19. Jean-Loïc Le Quellec op. cit.
  20. Leroy de la Brière, Note sur les objets gallo-romains découverts en Vendée depuis la création du Musée départemental, Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée de 1855, 1856
  21. Carte de Cassini levée en 1766-68. Mise en ligne sur le site de l'Institut Géographique National www.ign.fr
  22. a et b Henri et Paul Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, Tome troisième, Poitiers, Société française d'imprimerie et de librairie, 1905 (seconde édition)
  23. Bulle du pape Alexandre III du 17 mai 1179 confirmant les possessions de l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marne. Texte intégral en latin mise en ligne sur www.pierre-abelard.com
  24. Site de la commune de Dompierre-sur-Yon www.dompierre-sur-yon.fr
  25. François Emmanuel, « Linières et Saint-André-Goule-d'Oie, article "Les seigneurs de la Roche de Chauché" », sur linieres-saint-andre.com, .
  26. a et b abbé Aillery, Les Essarts, Saint-Fulgent et leurs environs, Paris, Res Universis, 1992 (réédition des "chroniques paroissiales" parues en 1892) (ISBN 2-87760-826-3)
  27. Une activité verrière au Poiré et dans ses alentours, in www.montaiguvendee.fr (article issu de recherches personnelles de l'auteur, non nommé, et d'une exposition de l'Historial des Lucs-sur-Boulogne)
  28. a et b Lionel Dumarcet, François Athanase Charette de La Contrie, Une histoire véritable, Paris, Éditions Les 3 Orangers, (ISBN 2-912883-00-8)
  29. « Délibérations du Conseil municipal de Dompierre AC 81 4 - 1884-1888 (page 36) », sur archives.vendee.fr.
  30. « Le Maquis R1 », sur dompierre-sur-yon.fr (site officiel de la commune), mis à jour le 9 juillet 2021.
  31. histoire
  32. Site des Dompierre de France
  33. « Dompierre : le conseil démissionne », Ouest-France,‎
    « Gérard Hermouet, maire de Dompierre-sur-Yon depuis 1971, a démissionné lundi. ».
  34. « Les élections de maires », Ouest-France,‎
    « Dompierre-sur-Yon : Gérard Hermouet, 61 ans, retraité, est réélu pour un cinquième mandat de maire. ».
  35. « Une femme succède à Gérard Hermouet, démissionnaire », Ouest-France,‎
    « Dominique François a été élue, hier soir, au poste de nouveau maire de Dompierre-sur-Yon, au premier tour, avec 22 voix sur 23. ».
  36. « Les élections de maires », Ouest-France,‎
    « Dominique François, 49 ans, professeur, est réélue, par 22 voix sur 23 et au premier tour de scrutin, maire de Dompierre-sur-Yon. Dominique François est maire depuis 1996, date à laquelle elle avait succédé à Gérard Hermouet, démissionnaire. ».
  37. « Philippe Gaboriau : "Je serai le maire de tous les Dompierrois" », Ouest-France,‎
    « Philippe Gaboriau est élu par 21 voix (Dominique François, 6 voix). ».
  38. [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dompierre-sur-Yon (85081) », (consulté le ).
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).