Discussion:Tire la chevillette, la bobinette cherra

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Autre point de vue modifier

A priori, il n'a pas été trouvé ensemble une bobinette et une chevillette, ce qui aurait permis de comprendre le fonctionnement technique de ce système ancien de fermeture. Pour ma part j'ai la certitude que la pièce de bois noble cylindrique que je possède et qui a 18 cm de long et 3,8 cm de diamètre, chanfreinée à ses deux extrémités et percée en son axe central d'un vide de 8 mm de diamètre, est une bobinette. Elle était en effet positionnée perpendiculairement dans l'axe vertical d'un tronc d'arbre travaillé servant de centre d'appui à un escalier classique hélicoïdal en bois d'une maison du 16ème siècle de Vitré (Ille-et-Vilaine). De plus, elle était positionnée au niveau d'une porte, entre deux étages. Je peux ajouter que, sur l'une des deux extrémités, a été creusée, en position diamétrale, une encoche de 3 mm de profondeur qui a pu accueillir une cordelette. Michel Vappreau — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Jibi44 (discuter), le 16 mai 2008 à 22:47.

Explication qui n'explique rien modifier

Je vais modifier dès que possible ce paragraphe, qui semble faire croire qu'on ne sait pas ce que veut dire cette phrase de la grand-mère du petit chaperon rouge. Or le dictionnaire du CNTRL est très clair sur ce point. De plus, on voit encore de nos jours dans de vieilles bâtisses des systèmes de fermeture de porte fondés sur une bobinette et une chevillette. Cela ne veut pas dire que la phrase n'a pas été volontairement formulée par la tradition, reprise par Perrault, pour associer une expression complexe à une geste anodin, comme une touche d'humour.

L'expression « Tire la cordelette et le loquet se lèvera » se réfère à un deuxième mécanisme, plus rudimentaire. La clenche est encore un troisième dispositif (voir clenche dans le dictionnaire du CNTRL), toujours à base de loquet. --Pierrot Lunaire (d) 19 juillet 2010 à 18:40 (CEST)Répondre

Sur la gravure de Felix Octavius Carr Darley (1821-1888), de 1850, époque où l'on utilisait encore couramment chevillette et bobinette pour verrouiller et ouvrir une porte, l'auteur a certainement bien dessiné une partie du mécanisme: la pièce de l'extérieur a plutôt la forme d'une petite bobine que d'une petite cheville, et on la tire pour faire tomber la chevillette qui verrouille la porte de l'intérieur. Bloquer, verrouiller, est la fonction de toute cheville, grosse ou petite. Par conséquent, l'expression « Tire la chevillette, la bobinette cherra » est probablement erronée et on devrait dire : « Tire la bobinette et la chevillette cherra. » --Raspucci (d) 26 février 2013 à 17:43 (CET)Répondre

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil modifier

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 06 novembre 2016 à 14:47)

Techniquement modifier

Imaginons une porte qui s'ouvre vers l'intérieur de la maison. Sur la face intérieure du cadre de celle-ci se trouve un loquet. Dans la porte, juste sous le loquet, un trou où insérer une cheville. Je rentre dans la maison, avant de refermer la porte j'insère la chevillette dans le trou de la porte, je ferme la porte et je tourne la bobinette (qui pointe vers le sol) de 270 degrés et la fait reposer sur la chevillette. La porte est barrée. Quelqu'un arrive de l'extérieur, il tire la chevillette, la bobinette redescend vers le sol dégageant l'espace nécessaire à l'ouverture de la porte.

Je sors de la maison, j'insère la chevillette dans le trou de la porte, je ferme presque la porte et appui la bobinette sur le chant de la porte, quand je ferme complètement la porte la bobinette tombe sur la chevillette et le mécanisme est en place pour débarrer la porte quand je reviendrai à la maison... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 192.95.204.159 (discuter), le 20 janvier 2017 à 01:41

Membre de phrase contesté : ou encore « tape le digicode et la porte sera dévérouillée » modifier

Bonjour, je propose de supprimer de la page les mots : ou encore « tape le digicode et la porte sera dévérouillée ». Je trouve que ceci est un anachronisme. Et pourquoi pas évoquer les clochettes, les cloches d'appartement, les sonnettes, et bientôt la possibilité d'ouvrir/fermer son domicile avec son téléphone portable. Ou alors je propose un membre de phrase encore plus in : « mets ton œil sur le scanner à reconnaissance de l'iris et la porte de champ de force s'ouvrira » (pour le coup, on serait plus au XXIIe siècle qu'au XVIIe siècle !). --Éric Messel (Déposer un message) 22 octobre 2017 à 18:43 (CEST)Répondre

Bonjour Éric Messel (d · c · b), c'est incontestablement mieux et bravo pour ton humour. De toute façon, la phrase actuelle est erronée (c'est l'ingénieur qui parle), il ne faut surtout pas « taper le digicode » au risque de l'endommager, il faut « taper le code » en appuyant sur les touches du digicode, ce sera déjà beaucoup mieux. Bien cordialement. AntonyB (discuter) 22 octobre 2017 à 19:50 (CEST)Répondre
Bonjour, je partage la remarque d'Éric Messel concernant le digicode. C'est très surprenant de trouver cet élément technique contemporain pour illustrer une formule datant du XVIe siècle. Qu'est-ce qui justifie cet ajout svp ? --J i b i--44 23 octobre 2017 à 10:14 (CEST)Répondre
C'est moi qui ai proposé de parler de digicode en voyant la phrase « contemporaine  »: « tourne la poignée, la porte s'ouvrira » qui ne peut que perturber le lecteur, car les longues explications qui précèdent tentent de faire comprendre que celui qui ouvre la porte ne manœuvre pas de pièce tournante. Le digicode m'a paru une bien meilleure analogie que la poignée que l'on tourne. Il faut savoir que quand j'ai découvert l'article il y a quelques années, il disait que la phrase « Tire la chevillette, la bobinette cherra » ne voulait rien dire. --Pierrot Lunaire (discuter) 23 octobre 2017 à 20:42 (CEST)Répondre
Non, l'article dans ses premières versions ne disait pas que la formule « ne veut rien dire », mais qu'elle n'est pas directement compréhensible. C'est pour cela que l'article s'arrête sur les différents termes et les définit (dans ce que vous appelez « de longues explications qui tentent de faire comprendre »). C'est bien le but de l'encyclopédie. En revanche, l'analogie avec un digicode a de quoi perturber s'agissant d'un conte classique. On se demande si, dans la foulée, le Petit Chaperon Rouge ne va pas envoyer un sms à sa grand-mère pour lui annoncer que son RER a du retard. C'est un parfait anachronisme. Sans vouloir froisser personne, je propose de retirer cette mention. --J i b i--44 24 octobre 2017 à 09:22 (CEST)Répondre
« Sans vouloir froisser personne ». Hum !   --Pierrot Lunaire (discuter) 24 octobre 2017 à 13:33 (CEST)Répondre
L'article, le 19 avril 2010, disait exactement ceci: « La formule, en dépit de sa célébrité, reste obscure car les deux diminutifs bobinette et chevillette ne se rencontrent dans aucun autre texte pour désigner les éléments rudimentaires de fermeture de porte. ». --Pierrot Lunaire (discuter) 24 octobre 2017 à 13:45 (CEST)Répondre
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